
Les forces armées fédérales de Maximus sont chargées de défendre la fédération contre les menaces extérieures, comme les invasions.
Elles sont constituées de trois divisions :
La première division, nommée Jartisa (en hommage à une figure de l'indépendance), est basée à Tarmas. Elle compte 4 000 hommes et dispose de 4 000 armes légères d'infanterie.
La deuxième division, nommée Jerom, est basée à Maritone. Elle compte également 4 000 hommes et dispose de 4 000 armes légères d'infanterie.
La Garde royale, basée à Aros. Elle compte 2 000 hommes et dispose de 2 000 armes légères d'infanterie de niveau 1.
Cependant, les forces armées souffrent de problèmes graves. En raison de limitations budgétaires, elles ne comptent que 10 000 hommes au total. Leur équipement est obsolète, conçu principalement pour des opérations de contre-insurrection et de répression civile, mais totalement inadapté à une guerre contre un État voisin.
Ces forces ont été constituées sous l'ancien dictateur Maximilien Setiani Samir. La Garde royale, censée être une force d'élite, a en réalité été conçue pour garantir sa loyauté au gouvernement central. Après la chute de la dictature, les gouvernements royaux successifs ont accordé peu d'attention à la situation militaire. Au fil des années, cette négligence a entraîné une détérioration constante des forces armées.
Un exemple flagrant de cet état de délabrement : les fusils de type 54, qui sont encore fabriqués en bois et en acier, témoignent de l'ancienneté des équipements utilisés.
Alors que les fusils d'autres pays ont progressé et adopté des fusils fabriqués à partir de matériaux polymères, il faut également évoquer le grave manque d'équipement de l'armée, qui, pour l'instant, ne dispose même pas de mortiers légers. Tous ces problèmes ont conduit le gouvernement actuel de Jatar Ilma, qui espère lancer des réformes en profondeur pour équiper et réorganiser l'armée, afin qu'elle puisse nous défendre plus efficacement
En plus des problèmes mentionnés concernant l’état des forces armées de la fédération Maximiliane, il est important de souligner plusieurs autres problèmes infestant l'armée.
Le premier étant le manque criant de mécanisation et de motorisation de l’armée. Cette dernière dépend encore largement de chevaux pour ses déplacements.
La deuxième est que de nombreuses casernes sont dans un état vétuste.
La troisième est que le corps d'officiers souffre de corruption et de népotisme, ce qui limite la capacité des forces armées à promouvoir des hommes capables dans le haut-commandement.
La quatrième : l'armée manque d'expérience : la dernière guerre à laquelle elle a pris parti officiellement était la guerre des Patras.
La cinquième est que l'armée manque de tout : elle ne dispose pas d'équipement antichar, de mitrailleuse lourde, de mortier léger ou de transport de troupe blindé.
La sixième est que le complexe militaro-industriel Maximilien est bien trop faible. Au moment où nous écrivons ceci, le complexe militaro-industriel ne dispose que de quatre usines, bien trop peu pour une modernisation adéquate et pour pouvoir ravitailler les troupes de pièces de rechange.
Face à cette situation, le ministère des Armées a proposé un plan ambitieux pour des réformes et des modernisations des forces armées. Ce plan s’articule autour des points suivants :
Modernisation partielle des fusils de type 54
2 000 fusils seront modernisés pour adopter un nouveau type de munition.
Ces armes bénéficieront également de davantage de possibilités de personnalisation et de modularité.
Motorisation de l’armée
L’introduction du véhicule utilitaire M j-44 permettra de réduire la dépendance de l’armée aux chevaux pour ses déplacements et son ravitaillement.
Réforme des divisions et redéploiement des forces
Actuellement, les forces armées disposent de trois divisions, un nombre insuffisant pour assurer une défense efficace des frontières de Maximus.
Les divisions existantes seront réduites à 2 000 hommes chacune, afin de libérer des ressources pour la création de quinze nouvelles divisions.
Ce redéploiement vise à renforcer la flexibilité et la capacité opérationnelle de l’armée.
Pour les casernes, nous devrons augmenter les dépenses concernant les casernes, car leur mauvais état faciliterait la propagation des maladies dans l'armée.
Le complexe militaro-industriel devra être agrandi à au moins 40 usines pour pouvoir garantir une production plus efficace des équipements et des pièces de rechange que l'armée a besoin.
Pour la corruption et le népotisme, nous estimons que la corruption au sein des forces armées n'est pas un problème majeur qui n'exige pas autant de ressources (Après tout le chef des forces armées a profiter de la corruption et du népotisme).
Pour le manque d'expérience, l'armée devra agrandir ses partenariats à l'étranger pour pouvoir s'entrainer auprès d'armée qui possède beaucoup d'expérience.
Ce plan est une étape cruciale vers une armée plus efficace et capable de répondre aux défis actuels.