10/05/2016
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Les alliés se rencontrent (Novyavik/Antegrad)

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C'est au début du mois de septembre que Novyavik et Antegrad, deux alliés, se sont rencontrés. Pour Novyavik, cette rencontre était de réaffirmer les positions du nouveau gouvernement novais en faveur de l'alliance entre Antegrad et Novyavik actée depuis le traité antero-novais. L'avion anterien devrai bientôt atterrir. Sweltana Volkov et le Président de la République attendait sur la coté de la piste de l'aéroport international de la République l'arrivée de la délégation anterienne, où était présent le chef suprême d'Antegrad, Ismael Idi Amar.

L'avion atterrit, ensuite, la délégation dont le chef suprême descendirent de l'avion. Le Président et la Ministre les saluèrent.

Viktor Vladimirovitch Mirov : Soyez les bienvenus cher alliés !

La Ministre des affaires étrangères avait déjà rencontré les anteriens à Destint à l'occasion de la signature du traité antero-novais, dont le principal accord était une alliance militaire défensive. Cependant, le Président, Viktor Vladimirovitch Mirov n'avais jamais rencontré diplomatiquement les anteriens.

Président
Président de la République Viktor Vladimirovitch Mirov
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Le chef suprême de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad, Ismael Idi Amar, accompagné de sa délégation, arrive pour la première fois sur le sol novais. Il s'agissait de la seconde rencontre entre les deux nations. Le chef suprême, en tenue militaire, descend de son avion, suivi de sa garde, de sa femme et de sa délégation. Il salue la foule avant de rejoindre son homologue, le président de la République de Novyavik, Viktor Vladimirovitch Mirov.

Ismael Idi Amar: Je vous remercie pour cette accueil Monsieur Viktor Vladimirovitch Mirov.

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Le Président de La République fit poliment signe au dirigeant d'Antegrad de le suivre. Il s'installèrent dans une voiture blindée noire luxueuse. La voiture démarra. Il y avais sur la voiture les drapeaux d'Antegrad et de Novyavik, deux nations alliées depuis seulement quelques mois; Novyavik, soucieux de réaffirmer son alliance notamment après la crise de Novyavik, quelques troubles militaires en Afarée et le changement soudain de type de régime et de gouvernement de la République.

Viktor Vladimirovitch Mirov :
Monsieur avant toute chose, j'aimerais, moi et mon gouvernement, vous annoncer que l'Union continu d'assumer son rôle d'allié et de partenaire de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad malgré les nombreux troubles qui aurait pus déstabiliser les relations de la République de Novyavik.
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Ismael Idi Amar suivit le dirigeant novais dans la limousine arborant le drapeau des deux nations, un sourire aux lèvres.

Ismael Idi Amar : Je vous remercie, et je ne doute pas un instant de votre soutien, monsieur Viktor Vladimirovitch Mirov. Je tiens également à réaffirmer, au nom de ma nation, notre soutien total envers votre pays et vos positions. Les troubles dans votre pays ne nous posent aucun problème, et nous maintiendrons notre soutien. Nous avons entendu parler des récentes tensions entre votre pays et une autre puissance eurysienne. Malgré notre alliance avec celle-ci, nous soutenons votre position.

Il était heureux de l'accueil et du soutien de son allié novais et était prêt à commencer cette rencontre avec le nouveau dirigeant novais.
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Viktor Vladimirovitch Mirov fut satisfait des positions prises par Ismael Idi Amar. Novyavik traversais un période compliquée de son histoire mais aussi une période d'espérance et de montée en puissance. Les objectifs intérieurs du Président et du Général était rien de moins que renouveler la puissance et la gloire de l'ancien Empire de Slaviensk. Viktor était persuadé que se soutien de la part de son fidèle allié anterien serais la garantie pour la république d'une sécurité supplémentaire, et bien sûr inversement.

Viktor Vladimirovitch Mirov : Cela peut sembler un peu précipité excellence, cependant, je serais honoré de pouvoir directement converser sur diverses sujets dès maintenant. Seriez vous en accord de développer avec nous une coopération économique plus forte se traduisant par un investissement de la part de Novokrat pour implanter des lignes de production dans votre pays ? Cela réduirais le chômage et participerais de votre part au développement. De plus, cela serais pour nous un avantage car permettrai de produire directement proche des lieux de vente de nos produits. Nous pourrions investir dans la production automobile, la transformation alimentaire ainsi que la production textile.
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Ismael Idi Amar: Votre proposition, bien que rapide, témoigne d’une volonté de coopération que je ne peux qu’apprécier. Le développement économique et la création d’emplois permettrez le meilleurs développement de l'économie de mon pays, et nous sommes ouverts aux partenariats qui respectent nos intérêts mutuels. L’implantation de lignes de production en Antegrad pourrait effectivement être un moteur de croissance et un levier pour réduire le chômage.
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La voiture continuait sa route vers le palais Présidentiel. Ils étaient à mi-chemin.

Viktor Vladimirovitch Mirov : Excellence, nous aimerions avoir des nouvelles sur la situation actuelle en Antegrad. En effet, nous faisons que parler de la situation à Novyavik depuis quelques temps et aimerions en apprendre un peu plus sur votre pays, Antegrad, qui est au passage le meilleur partenaire de la République.

Avec cela, le Président espérais premièrement, s'informer directement de la part du dirigeant d'Antegrad, et deuxièmement, discuter et se rapprocher de lui en discutant pendant le trajet vers le palais présidentiel.
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Ismael Idi Amar : Je vais être entièrement honnête. Actuellement, l'économie progresse bien, lentement mais sûrement. Cependant, le principal problème dans ma nation en ce moment est le terrorisme. Notre milice nationale rencontre des difficultés sur notre territoire du sud du continent afaréen, le Mondawa. Les terroristes mènent une guérilla en tendant des embuscades aux forces de la milice. Ils semblent se financer par la vente de stupéfiants, mais rien n'est certain. Nous prévoyons d'envoyer des renforts afin de reprendre la situation en main. Mis à part cela, la situation est calme.

En disant cela, le chef suprême de la fédération ne souriait plus et se frottait régulièrement le front durant son discours.
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Le convois diplomatique s'arrêta, ils étaient devant le palais Présidentiel. Novais et les anteriens sortirent de la voiture.

Viktor Vladimirovitch Mirov : Si nécessaire, Novyavik peut vous envoyer de l'aide militaire pour vous soutenir face à cette terrible menace.

Ils gravirent les escaliers, des gardes y était présents, dans une posture respectueuse. Ils tenaient un sabre et étaient dans un uniforme impérial, c'était en fait la garde Présidentielle, symboliquement copiée des gardes de l'empire de Slaviensk. Après être entrés, ils arrivèrent dans une somptueuse sable où se trouvait une table et de confortables chaises. Le Président invita son homologue ainsi que toute la délégation anterienne à s'installer.

Viktor Vladimirovitch Mirov : Bien, nous pouvons commencer. Vous savez peut-être que la croissance de Novyavik est très forte, c'est pourquoi la production s’accélère. Mais la consommation, bien qu'augmentant, ne le fait pas assez vite. Pour maintenir notre croissance, il nous faut trouver de nouveaux marchés. Nous proposons donc d'augmenter la réduction des droits de douane en passant de 23,5% de réduction pour 50%. Qu'en dites vous ?
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Ismael Idi Amar : Je vous remercie pour votre proposition, mais je dois la refuser. Je m'en excuse. Toutefois, cela me touche et montre que votre nation honorera toujours ses promesses.

Le chef suprême, accompagné de sa délégation, suivit Viktor Vladimirovitch Mirov jusqu'à une salle où celui-ci les invita à s'installer. Les Antériens s'installèrent donc et écoutèrent attentivement ce que Viktor Vladimirovitch Mirov avait à leur dire.

Ismael Idi Amar : Votre proposition d'augmenter la réduction des droits de douane, en passant de 23,5 % à 50 %, me semble juste. C'est pourquoi nous l'acceptons.
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Viktor Vladimirovitch Mirov : Parfait, Je vous propose également de participer à un exercice militaire interallié qui aurait pour but d'exercer notre jeune armée à des climats plus chauds comme ceux d'Afarée. Cela permettrai également de renforcer notre coordination entre allié. Et si vous objectez à faire l'exercice sur votre territoire, nous pouvons également le faire sur le notre. Voir les deux si vous le souhaitez. Après tout, les évènements récents que ce soit chez vous ou chez nous nous obligent en tant qu'alliés de s'exercer ensemble.
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Ismael Idi Amar : Je trouve que c'est une très bonne idée. En effet, cela permettra à nos deux armées de mieux se coordonner. Je ne vois aucun souci à accueillir vos soldats et véhicules sur notre territoire. Je ne rejette pas l'idée de réaliser davantage d'exercices sur nos deux territoires à l'avenir.
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Viktor Vladimirovitch Mirov : Je suis flatté de votre acceptation excellence. Je pense en effet qu'un tel accord permettrai à renforcer nos deux armées. Il serait donc excellent de procéder à l'exercice sur nos deux territoires. C'est à ces fins que je propose que nos deux états majors se rencontrent pour discuter de la programmation des exercice et débuter une coordination interalliée pour les états majors.

Que pensez vous de tout cela Excellence ? Cet accord nous serons bénéfiques que se soit sur le plan stratégique que sur le plan diplomatique. En effet de tels accords seront bénéfiques diplomatiquement de façon durable.
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Ismael Idi Amar: Cela me semble être une très bonne idée. Notre état-major sera dirigé, je pense, par le général Adamté Campo, l'un des généraux les plus compétents, professionnels et un stratège hors pair de la Fédération d'Antegrad, ainsi que par le jeune général Youssaf Benkali, très prometteur, et d'autres hauts dirigeants de l'armée.
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Le Président n'avais plus grand chose à proposer au Dirigeant D'Antegrad. Il préféra temporiser pour voir si le Chef Suprême pouvait proposer des choses à Novyavik. Il proposa alors une spécialité novaise.


Viktor Vladimirovitch Mirov :
Excellence Ismael Idi Amar, acceptez vous de déguster avec moi une spécialité novaise, les Novaïski Kolsta ? C'est un anneau frit à base de fromage, pomme de terre et oignon. Il n'y a pas à s'inquiéter, il n'y a ni porc, ni alcool dedans.
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