Mtis Khalkhi (მთის ხალხი) et/ou Lerrnayin Mardik (լեռնային մարդիկ).
Généralités :
Nom officiel : Provinces des Mtis Khalkhi (Mtis Khalkhis P’rovintsiebi/მთის ხალხის პროვინციები).
Provinces des Lerrnayin Mardik (Lerrnayin Zhoghovrdi Gavarrner/լեռնային ժողովրդի գավառներ).
Nom courant : PMK/PLM/Les Provinces/Les quatre vallées.
Gentilé : Mtis K’atsebi (მთის კაცები)/Mtis Kalebi (მთის ქალები).
Lerrnayin Kanayk’ (լեռնային կանայք)/Lerrnayin Tghamardik (լեռնային տղամարդիկ).
Pour distinguer les peuples minoritaires sans distinctions : Ayl Tegh (այլ տեղ)/Skhvagan (სხვაგან).
Pour désigner les personnes ayant un passeport Lerrnayin Mardikien : Lav P'iri (Լավ პირი).
Inspirations culturelles : Géorgienne, Arménienne. Des peuples minoritaires : peuples persans (kurdes, kirghize...), peuples turcs (abkhaze, tatares...)
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Géorgien, Arménien.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Langues turciques : Turc, Ouzbek, Azéri, Ouïghour, Kazakh, Tatar, Turkmène, Kirghize, Bachkir, Tchouvache.
Langues persanes : Persan, Tadjik, Afghan, Kurde.
Drapeau :

Devise officielle : Pauvre mourra de la joie.
Gharibi sikharulisgan mok’vdeba (ღარიბი სიხარულისგან მოკვდება).
Kheghch mardy urakhut’yunits’ kmerrni (խեղճ մարդը ուրախությունից կմեռնի).
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le dram (AMD). Dans les faits, la monnaie nationale n'est pas la plus répandue, de nombreuses monnaies existe dans tout le pays.
Capitale : Dzyun Tovli (ձյուն თოვლი) est la capitale officielle et est en même temps la plus grande agglomération avec 800 000 habitants. Dans les faits , la capitale à un contrôle politique extrêmement faible sur le reste du territoire, il est donc difficile de considérer cette ville comme une capitale. Le seul pouvoir puissant qui y est exercé est la diplomatie.
Population : 6 millions d'habitants.
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Géographie :

Légende :
Plus la couleur est foncé plus le hauteur moyenne est élevée et inversement. De 5000 mètres de moyenne pour les portions les plus élevés à 1500 mètres de moyennes pour les portions les moins élevées.
Fleuves et Lacs
Villes

Légende :
Orange foncé : La majorité des gens font partie des populations Ayl Tegh.
Orange : La majorité des gens font partie des populations arméniennes.
Jaune : La majorité des gens font partie des populations géorgiennes.
*Ce recensement se base sur les populations sédentaires. Petit coquille 70 à 75 % des gens vivant dans les quatre vallée sont nomades...
Comme son nom l'indique, le pays est traversé par de nombreuses chaînes de montagne. Quatre vallées principales sont revendiqués par l'État Mtis Khalkhien. Au-delà des frontières, au Nord, Nord-Ouest se trouve des tribus non incorporer, à l'Est se trouve la forêt de Pădure (appelé forêt de T'q'e (ტყე) ou forêt d'Antarr (անտառ)) qui sert de frontière... ou pas totalement vu que des morceaux de la forêt sont représenté sur la carte et sont officiellement revendiqué par les quatre vallées, car quelques nomades intrépides s'aventurent parfois là-bas (parfois (souvent) ils y restent pour toujours). Personne ne vit sur le long terme dans ses zones douteuses. Finalement, au Sud, Sud-Ouest se trouve de nouveau des tribus non incorporer, dont une (très étrange) qui se nomme transblêmie ; si vous avez des informations sur ses gens dits les nous...
Le climat en ses terres est fréquemment terriblement hostile, même si dans certaines vallées les conditions sont plutôt propice à une agriculture modeste (notamment le vin (surtout le vin)), ainsi que des fruits et légumes dont vous ignorez le nom et même l'existence. Le reste de la population se nourrit grâce à l'élevage, la chasse et les ressources alimentaires qu'ils peuvent trouver dans la myriade d'immenses forêts jalonnant le territoire. Dont certaines provenant de la forêt de Pădure, qui, parait-il, confère des pouvoirs exceptionnels (dites pas que je vous l'ai dit).
L'essentiel de la population sédentaire et des nomades saisonniers se concentre dans le centre du pays dans la zone de culture géorgienne. Particulièrement dans le cirque se trouvant en plein milieu du pays qui a pour ville principale Dzyun Tovli.
Modes de vie : Le PMK est un pays très particulier dans le contexte d'un monde qui tend à se globaliser. 75 % des Lav P'iri se déplace pour assurer leur subsistance et celle de leurs cultures millénaires. Environ 10 % d'entre eux sont des nomades permanents. Ils se trouvent en grande majorité dans le Sud et le Nord, Nord-Ouest, Nord-Est du pays. Approximativement 65 % d'entre eux sont des nomades saisonniers, c'est-à-dire qu'il ne se déplace que lors d'une saison particulière. La plupart marchent pendant le printemps et l'été avec pour objectif secondaire de faire des provisions pour l'hiver. Actuellement, ce besoin n'est plus très présent, car le début du développement des villes et du commerce avec le reste du monde, permettent aux Lav P'iri de se ravitailler dans des marchés modernes. Bon, nombres d'entre vivent encore dans des "villages" donc cette pratique est loin de disparaitre. Quelques communautés pratiquent le nomadisme saisonnier en automne et en hiver, mais ils sont très minoritaires. Ils le font pour des raisons culturelles. Environ 25 % des Lav P'iri se sont sédentarisés et ce pourcentage tend à croitre avec le "développement" du pays.
Après, pas de panique, les fleuves au débits délirants, les versants très abrupts et les innombrables maquis rendent la généralisation des modes de vies et des pratiques incroyablement difficiles. Beaucoup s'y sont cassé les dents. Beaucoup ont tenté de centraliser la vie politique, mais aucun n'a réellement réussi. Le développement des voies de communications et des industries est magnifiquement complexe grâce à cette géographie casse-gueule. Enfin, pas que grâce à la géographie...
Histoire : L'histoire de cette région du Nazum est impossible à développer ici tant elle est riche du fait que c'est un endroit obligatoire à traverser pour relier l'Est à l'Ouest du Nazum, ainsi que l'Eurysie au Nazum. La culture du nomadisme étant très développé les archives écrites sont très peu nombreuses ce qui rend l'exercice historique encore plus complexe. On peut toutefois faire une esquisse des régimes politiques officielles récents qui ont tenté chacun de centralisé toujours plus le pays avec des résultat médiocre du fait du nombre important de communautés politique locales puissante.

*L'historicité du pays est évidemment plus complexe, mais je développerait ça en RP.
Villes : Les cinq villes majeures du pays sont : Dzyun Tovli (ձյուն თოვლი) (800 000 habitants), Vits’ro (ვიწრო) (600 000 habitants), Kheoba (ხეობა) (200 000 habitants), Handipum (հանդիպում) (200 000 habitants), K’anioni (კანიონი) (150 000 habitants)
*La population des villes dépend assurément des saisons. En l'occurrence, ses données sont celles où la population est la plus importante.
Mentalité de la population :
La plupart des Lav P'iri n'ont pas la moindre idée de l'existence de mers et d'océans. Enfin si, mais la plupart n'y croient pas (ou bien en ils s'en foutent). Blague à part, comme on peut s'en douter, résumer la mentalité de populations aussi diverse n'est pas chose aisée. Surprenamment, les sociétés Lav P'iri sont incluantes pour nombre de minorités oppressé. Elles ont appris à l'être, pour la plupart, dans le contexte politique du siècle en cours (voir histoire). Toutefois, il existe des communautés qui prennent un total contre-pied à cette tendance et d'autre qui était déjà de ce type bien avant. Bref, tout ça pour dire que peux n'importe les sujets, on ne peut que dégager des tendances.
La préservation de leurs espaces naturels est essentielle pour quasiment toutes les communautés Lav P'iri. En fait, ce n'est même pas un sujet (enfin si depuis peu, mais à la marge), cela va de soi. Cette mentalité est essentielle pour la survie de nombre de gens au pays.
La préservation des lieus de cultes et des cultes est aussi très important dans nombre de sociétés, même si encore une fois ce n'est qu'une tendance générale.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion a une place encore très importante dans la société du fait que la plupart de la population vit encore en milieu rural. Place mineure de la religion au sein de la vie politique du pays. En effet, une séparation effective existe au sein de l'État et des communautés politiques importantes.
Les quatre religions présentent sur le territoire sont : l'orthodoxie, le catholicisme apostolique arménien, le sunnisme et le chiisme. Il existe aussi tout un tas de croyances locales en rapport avec les nombreuses montagnes et forêts qui parsèment le territoire.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Les institutions officielles sont plutôt simples et classiques. C'est une république parlementaire. Avec des ministères, un parlement, un président, des découpages territoriaux... Bref, cela n'est pas très important, car les compétences de l'Etat et du gouvernement sont très limitées. À vrai dire, elles se limite essentiellement à la ville de Dzyun Tovli (et encore, pas partout) et à engager le pays dans des accords diplomatiques et commerciaux (sans grandes garanties pour les états étrangers).
De nombreuses communautés puissantes vont potentiellement pouvoir traiter internationalement. Mais leurs fonctionnements seront détaillés au moment adéquat.
Principaux personnages :
Tedore Abashidze, président des quatre vallées (chef de la diplomatie officielle, enfin, il est là quoi).
Katie Baratashvili, journaliste international.
Haygazoun Tumanyan, star du football.
Amannisa Ötkür, érudite géniale spécialiste de l'histoire, de la géographie, de l'anthropologie et de la sociologie de la région (adresser vous à elle si vous voulez des conseils sur comment et à qui s'adresser au sein des quatre vallées pour obtenir telle ou telle chose).
Politique internationale :
La politique internationale général de la région est plutôt isolationniste. Mais, prenant en compte que l'Etat est légèrement bancal, les personnes influentes avec qui s'arranger est nombreux. Alors, si vous voulez quelque chose dans le pays, vous trouverez toujours quelqu'un avec qui discuté. Inversement, il y aura toujours quelqu'un pour venir discuter chez iel veut quelque chose, peu n'importe le contexte.
Pour faire face à une quelconque pression internationale, le pays va rencontrer de nombreuses difficultés structurelles, ce qui va amener (ce qui amène déjà) des nombreux problèmes...