Création de pays : République Nationale de Kubala
Généralités :
Nom officiel : République National de Kubala
Nom courant : Le Kubala
Gentilé : Kubalien, Kubalienne
Inspirations culturelles : Slave, Polonaise
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Polonais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Croate, Slovaque
Drapeau :
Devise officielle : Dobrobyt poprzez pracę i solidarność (La prospérité par le travail et la solidarité)
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le Kuba
Capitale : Ródza
Population : 7 000 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Kuballa est une nation majoritairement développé grâce à son agriculture, en effet, 20% de son territoire y est consacré. Les territoires du Nord Est regroupe la plupart des villes développés et urbaines, tandis que le Sud, plus reculés dans les terres concentrent les terres agricoles et rurale. Les infrastructures ainsi que les moyens de productions sont la possession de l’Etat, permettant donc au citoyens détenteur de la nationalité de bénéficier de transports, d’éducation (de la maternelle à l’entrée en entreprise) gratuit, l’important réseau agricole ainsi que la santé sont la propriété de l’Etat. Également, beaucoup d’initiative culturelles et d’association sportive, notamment pour la jeunesse sont gratuites et assurés par des fonctionnaires. En échange, seuls un impôt mensuel est prélevé aux foyers pour assurer les recettes de l’Etat. On peut situer les emplois selon cette proportion : 2,1 millions dans l'agriculture, 700 000 dans l'éducation, 1,05 million dans l'industrie, 350 000 dans les militaires, et 2,8 millions dans d'autres secteurs (enfants, retraités, services publics, professions artistiques…).
Mentalité de la population :
Très fier de leur nation, les Kubaliens sont des gens assez bourrins et rustres en apparence, mais faisant preuves d’une solidarité et d’une générosité souvent perturbante à ceux n’y étant pas habitués, à conditions de les respecter et d’être apprécié par ces derniers. Très attachés à leurs cultures et leurs traditions, les Kubaliens peuvent se montrer vantard, en affirmant que seul leur peuple et leur culture est digne de vrais hommes. Ces derniers souhaitent à un avenir sûr pour leurs enfants où les valeurs de camaraderies, de solidarité et de respect du passé sera transmise et appliqués dans la vie de tous les jours.
Histoire de la République de Kubala :
Le Kubala est aujourd’hui une nation dirigée par une République Nationale, cependant cela reste relativement récent et son instauration n’est que le fruit de l’histoire du Kubala.
Durants son Antiquités, période où l’histoire put être tracées, plusieurs tribus occupaient chacune une portion du territoire.
Les Velgaris dans les montagnes de l’Ouest du pays, un peuple de guerrier adepte de la culture martiale et vivant reclus
Les Karnobogues, occupant le Nord et la côte maritime. Des marins et explorateurs
Les Boreadènes dans les plaines du Sud-Est, surnommé le peuple des plaines, ce sont des bâtisseurs et des agriculteurs très en avance sur leurs temps.
Chacun d’eux occupaient une portion du territoire et cherchais à grignoter chez ses voisins, les guerres furent nombreuses ainsi que les tensions ethniques dans les divers villes et mouvement migratoires. Cela durera jusqu’en 1400 où L’Empire Arkosien alors en plaine expansion dû à l’étoffage du commerce et du développement des technologies militaires (canon, transports de troupes et début des armes à feu).
Les trois tributs ayant concentrés leurs efforts sur leurs conflits internes et se cantonnant à leurs domaines de prédilections respectifs, ne purent faire le poids et l’annexion des trois provinces se fît en quelques années.
Traités comme des êtres inférieures dû à leurs retards technologique et culturelles (traditions jugées barbares et guerrière). Les habitants des Provinces servirent de mains d’œuvre abordables et furent soumises aux impôts ordonnés par l’Empire, finançant indirectement les nouvelles expansions de ce dernier.
Leurs cultes furent interdits, remplacés par le culte Impériale, ainsi que la langue de l’Empire dans les écoles.
De nombreux chantiers furent effectués au sein du territoires :
Développements de routes, améliorations des transports, développement de la culture moderne et abrogation de traditions barbares… Malgré l’annexion, le territoire connaissait une véritable expansion économique et démographique, mêlant les habitants des Provences et formant même quelques couples malgré des tensions ethniques toujours présentes dans la population autochtone.
A travers les décennies, les traditions pré-Impériales continuèrent à se transmettre de génération en génération malgré l’interdiction. Jusqu’à l’année 1860 où naissait un Boreadènes qui changera le visage du territoire pour les siècles prochains.
Jakub Marek, un fils d’agriculteur grandis dans sa province en assistant aux diverses répressions, punition en réponses aux manquements des quotas de productions agricoles. Son père, chef d’une équipe de journalier servit d’exemple : emmené par les autorités, personne n’eu de nouvelle depuis, un autre chef le remplaça, un homme issu d’une famille de l’Empire. Jakub travaillait de son mieux pour subvenir aux besoins de sa mère, seule restante de sa famille, à l’année de ses 25ans, il fut pris à partis lui et des collègues journaliers par un membre de la sécurité de l’Empire, les lourds cotas n’étants pas atteint une fois de plus. Cependant le jeune Jakub avait bien grandi, les années de travail lui ayant forgés un corps puissant et un esprit indestructible.
Se saisissant d’une fourche, il se jeta sur le garde et l’empala. Prenant conscience de son acte, il sentit quelque chose s’éveiller en lui, comme une révélation, une étincelle… Il venait de poser le premier pavé du chemin vers la rébellion et peut être la liberté. Il se réunisse avec les autres journaliers et ensemble furent les premiers rebelles, menant à la reprise de l’exploitation agricole. Leurs actes inspirèrent le reste de la province, s’adonnant à la guérilla, se saisissant de plusieurs caches d’armes et repoussants l’Empire de plusieurs endroits, comme les usines, les bâtiments officiels et postes de décisions.
La province des Boreadènes avais retrouvé un semblant de liberté contre l’Empire, cependant si la l’indépendances totale voulais être retrouvée, il allait falloir faire plus…
Afin de rallier les trois ethnies, Jakub proclama un discours unitaire contre l’oppresseurs, allant au-delà des rivalités historiques. « C’est ensemble que Boreadènes, Karnobogues et Velgaris retrouveront leurs libertés arrachées ! » à-t-il dit !
Peu à peu, son discours et ses appels se diffusent partout dans les autres provinces, et les peuples le rejoignirent dans sa quête.
Ville après ville, l’Empire fut repoussé et épuisé par les guérillas imposées par les rebelles, des soldats connaissant leurs terrains par cœur. Menant en 1905 à la chute de l’Empire et à l’indépendance des Trois Provinces Unies : Le nom provisoire choisis par Jakub pour la nouvelle nation.
Alors âgés de 45ans, il fut nommé Président de la nouvelle République des Trois Provinces Unies.
Réformes économiques, sociales et créations d’une Constitution marquèrent les premières années de la jeune République.
C’est à sa mort en 1940 et suite à une guerre de succession entre les habitants des trois Provinces, entraînant famines, maladies et de nombreux morts, qu’une seconde République fut fondés en 1948 : La République Nationale de Kubala.
Ce nouveau nom intégrant Kubala provient des anciennes langues slave : Kuba étant un diminutif de Jakub et -Ala, une terminaison signifiant « Le descendant de » ou « Le fils de » signifiant alors « Les fils de Jakub » l’homme qui avais repoussés l’envahisseur et unifié les Trois Provinces.
Une nouvelle Constituion fut rédigé, comprenand l’unification des Provinces sous un seul et même territoire, un seul drapeau, une seule grande population.
Place de la religion dans l'État et la société :
Catholicisme important pour le peuple (80% de croyants, 40% de pratiquants) mais non liés à l’Etat. Les représentants et fonctionnaire de l'Etat ont le droit d'être religieux, y compris le Président, mais il n'y a pas de pouvoir cléricale, ni religion d'Etat.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
République nationaliste
Gouvernement composé d'un Président ainsi que de son premier ministre disposant des pouvoirs exécutifs, une Assemblé Nationale rassemblent 40 députés soit 1 par département (représenté par 1 case de territoire). A noter que autour du Président, nous avons un Conseil des Anciens, ce dernier comme son nom l'indique rassemble des vétérans et représentants des divers secteurs importants (ceux des ministères), ces derniers assistent le Président dans la prise de décision et le ministre du domaine associés dans le déploiement de la décision, cependant, il ne disposent pas de pouvoir de décision direct, contrairement au ministre.
En terme de gestion de l'armée, chaque armée (Terre, Air, Mer) est dirigés par un général et ce dernier est au ordres direct du Président (les grades plus bas suivent ceux de l'Armée Française).
Principaux personnages :
Tybalt Kowalski : Président de la République nationale de Kubala
Noemi Jablonski : Première Ministre
Composition du gouvernement :
Ministre des Affaires étrangères : Krzysztof Nowak
Ministre de la Défense : Anna Kowalska
Ministre de l'Économie : Marek Zieliński
Ministre de l'Agriculture : Elżbieta Wojciechowska
Ministre de la Culture et de l'Éducation : Paweł Jankowski
Ministre de la Santé : Katarzyna Lis
Ministre de la Justice : Łukasz Szymański
Ministre de l'Energie et de l'Industrie : Dorota Dąbrowska
Ministre de l'Intérieur : Wojciech Zawisza
Ministre des Transports : Tomasz Piotrowski
Ministre de l'Environnement : Beata Wróblewska
Ministre des Finances : Jakub Lewandowski
Ministre de l'Education : Agata Malinowska
Ministre de la Science et de la Technologie : Kamil Kowalczyk
Politique internationale :
Nationalisme économique et culturel : Le Kubala centre ses efforts économiques et sociaux à ses propres habitants, limitant le commerce international et l’export/import culturel. Cependant le Kubala entretiens des relation diplomatique stable avec les autres pays, ne cherchant pas le conflit.
