11/05/2017
22:33:39
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale

[Apex Energy - Guadaires] - Rencontre pour du pétrole et du nucléaire

aa
Felipe Sáenz, secrétaire d'État chargé des affaires Extérieures

Felipe Sáenz et ses associés s'étaient rendus à l'aéroport de Guadaires pour accueillir les dirigeants de la société Raskenoise Apex Energy. Cette rencontre qui ne devrait pas être trop longue, car elle n'est qu'une réunion formelle, elle est pourtant cruciale pour Guadaires, puisque la simple signature de l'accord avec l'entreprise permettra au pays de résoudre en grande partie la crise sur les prix du pétrole. Les discussions se feraient dans une salle de réunion du Secrétariat d'État des Affaires Étrangères dans le centre de Guadaires.

Les journalistes se fessaient nombreux dans le Hall de l'aéroport, en effet chacun à Guadaires savait l'importance de cet accord.
Finalement, le jet d'Apex Energy se posa sur le tarmac à 12 h 30, et les représentants de la firme, en sortirent. Felipe Sáenz salua chaleureusement l'ensemble de ces invités et les dirigea assez rapidement — pour éviter un maximum le flash des photographes — vers les deux berlines qui les attendaient pour les acheminer au Secrétariat d'État afin de commencer les discussions.
Depuis le début de sa stratégie à l’international, initiée en 2011, Apex s’était implantée dans un certain nombre de pays : Sylva, Valkoïnenland, la Confédération Miloise, Novyavik et, dernièrement, la Yukanaslavie. Cependant, pour quasiment tous ces pays, l’implantation d’Apex était liée aux hydrocarbures, seule Sylva faisant exception avec l’installation de quatre réacteurs nucléaires. C’était maintenant à Guadaires que l’entreprise allait s’implanter. Depuis quelque temps, le pays traversait une grave crise énergétique, en raison d’une pénurie de pétrole se traduisant par des prix élevés. Afin d’endiguer cette crise, le pays avait fait appel à Rasken, grand producteur de pétrole d’Eurysie. À cet appel, le gouvernement raskenois avait répondu favorablement en déstockant, avec effet immédiat, 10 millions de barils directement depuis ses réserves stratégiques. En plus de cela, le gouvernement mit en communication Guadaires avec l’entreprise Apex Energy afin de trouver un accord permettant de satisfaire les deux parties.

La proposition d’Apex était simple : une réduction sur le prix du baril exporté par l’entreprise en direction de Guadaires. Cependant, celle-ci ne s’arrêtait pas là. Une réduction des prix du baril se traduisant nécessairement par une baisse des bénéfices, l’entreprise proposa de s’implanter dans le pays en construisant, par exemple, une ou plusieurs centrales nucléaires. Cette proposition n’étant pas anodine, il fut décidé d’organiser une rencontre afin d’en discuter les détails.

Il était 9h40 sur l’aéroport de la capitale raskenoise, et les membres de la délégation d’Apex Energy montaient dans l’avion les uns après les autres. Une fois à bord, ils s’installèrent confortablement pour le voyage de 2h30 qui les mènerait à Guadaires. À leur arrivée, les journalistes présents sur place purent admirer le jet supersonique raskenois se poser dans un bruit, certes plus fort qu’un avion de ligne standard, mais bien moins important que celui des jets de première génération.

En descendant de l’avion, Falko Mayer et les autres membres de l’entreprise furent accueillis par le secrétaire d'État chargé des Affaires Extérieures de Guadaires, Felipe Sáenz. Une fois les formalités terminées, ils montèrent tous dans les berlines qui les attendaient pour les acheminer au Secrétariat d'État, où les discussions allaient commencer.
Les participants furent amenés dans une grande salle du Secrétariat à l'étage de l'aile gauche du bâtiment, c'était une grande pièce du XVIIIe siècle richement décorée de boiseries et de tableaux. On pouvait voir le Détroit de Cerbesse de ses trois grandes fenêtres grâce à la position en hauteur du bâtiment. Les invités et leurs hôtes s'installèrent autour d'une grande table, visiblement prévue pour des événements réunissant un très grand nombre de convives. La différence entre la taille de la pièce et le nombre de participants à la réunion finalement assez réduit pouvait prêter à rire, mais elle témoignait en tout cas de l'importance de la rencontre aux yeux des Guadamos.

Felipe Sáenz prit la parole : "Je voulais tout d'abord réitérer, mes remerciements le plus sincère pour l'importance avec laquelle vous traitez le problème que rencontre Guadaires et pour l'aide précieuse que vous nous fournissez. Notre pays, comme vous le savez bien maintenant, rencontre une grave crise du prix du pétrole sur son territoire qui paralyse certains secteurs économiques nécessaires à notre développement et vide le porte-monnaie de nos concitoyens. Le moyen le plus sûr de résoudre cette crise est l'obtention d'un partenaire commercial fiable et un pétrole à prix plus réduit. L'aide du Rasken a été très importante pour notre économie, mais nous devons présentement nous accorder avec votre société Apex Energy pour stabiliser et résorber notre situation. Vous nous avez proposé une remise de 20% sur le pris du baril vendu par votre entreprise, une aide très importante qui bien sûr ne se fera pas sans contrepartie.
L'installation de votre entreprise sur notre territoire par la construction d'une centrale nucléaire nous convient parfaitement. Cependant, Guadaires n'a encore jamais abrité de Centrale Nucléaire sur son territoire et cela pose plusieurs problèmes techniques. Premièrement, en l'absence de normes sur cette forme de production, nous pensons qu'il est nécessaire de mettre en place une cellule spéciale chargée de la rédaction de ces dernières. Pour que ces normes ne soient pas nuisibles ni à votre société, ni à notre population, ni à l'État de Guadaires, nous souhaiterions qu'elle soit dirigée par des scientifiques et des professionnels d'Apex Energy à 50% le reste des postes seront occupés par des professionnels engagés par le gouvernement Guadamos. Cette situation restera jusqu'à l'élaboration et la mise en place des normes sur le nucléaire.
Dans un second temps, il nous paraît important de savoir la localisation des centrales nucléaires, ou au moins de la première construite par Apex Energy. Nous pensons qu'il peut être intéressant d'installer cette centrale dans la région de La Santora au nord de Guadaires. Il s'agit d'une région particulièrement peuplée disposant de peu d'usines électriques et avec une hydrographie et un climat adapté à l'installation d'une centrale nucléaire. Bien sûr, si vous envisagiez une autre position, je vous prie de nous là communiquer."


ee

Sur un écran la carte de la région de la Santora s'affiche.

"Il s'agit de nos deux principales préoccupations, bien entendu si vous aviez des questionnement nous sommes tout à fit apte à les entendre nous aussi."

Falko Mayer – Nul besoin de nous remercier. Les affaires sont les affaires, comme on dit, mais là où, dans la majorité des cas, il y a un gagnant et un perdant, nous nous efforçons d’obtenir une situation gagnant-gagnant à la fin.

Concernant l’implantation d’une centrale nucléaire sur votre sol, si vous n’y êtes pas favorable, nous pouvons très bien nous orienter vers d’autres moyens de production. Apex dispose d’une forte expérience sur un large éventail de solutions énergétiques, que ce soit par exemple les barrages ou la biomasse. Nous sommes même à la pointe de la technologie sur les centrales à gaz. Ainsi, comme vous pouvez le voir, si vous ne souhaitez pas de nucléaire, nous pouvons tout à fait investir dans un autre secteur.

Maintenant, concernant votre questionnement sur les normes, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Quel que soit le pays, Apex applique les normes les plus strictes qui lui sont imposées. Actuellement, le pays dans lequel Apex est implanté et qui dispose des normes les plus élevées est Rasken. Si nous construisons un réacteur nucléaire dans votre pays, celui-ci sera donc conçu selon les standards et normes raskenoises. Par exemple, nous avons l’obligation de ne pas libérer dans l’environnement une eau trop réchauffée, c’est pourquoi la totalité de nos centrales disposent de tours aéroréfrigérantes. Les normes de sécurité ne sont pas en reste et nos travailleurs bénéficient de la meilleure qualité de travail que nous sommes en capacité de leur offrir.

Pour ce qui est de l’implantation de la première centrale, nous avons commencé à nous renseigner sur les emplacements potentiels, mais étant donné qu’aucun contrat n’a encore été signé, nous ne pouvions pas envoyer des équipes sur place afin d’effectuer des relevés. Si vous estimez que la région de La Santora, au nord de Guadaires, est adaptée, alors dès la signature du contrat, nos équipes se rendront sur place afin d’effectuer les analyses nécessaires. Nous devrons notamment réaliser des relevés sur la stabilité sismique, la nature du sol et du sous-sol ainsi que l’absence de failles tectoniques actives. Une fois tout cela confirmé, nous pourrons entamer les démarches visant la construction de la centrale. Celle-ci ne sera bien évidemment pas collée aux zones habitées ; en règle générale, nous établissons un périmètre de sécurité de 2 km autour de la centrale, qui agit comme une zone d’exclusion.

J’aurais tout de même quelques questions à vous poser. Premièrement, quelle est la consommation actuelle d’électricité de Guadaires ainsi que les prévisions d’augmentation de cette consommation ? Deuxièmement, une fois la centrale construite et générant ses premiers kWh, comment seront répartis les bénéfices ? À titre personnel, Apex ne demandera jamais plus de 50 %, car nous estimons que la majorité des bénéfices doivent revenir au pays dans lequel se trouve la centrale. Quelle est votre position à ce sujet ?
Felipe Sáenz reprit la parole : "Nous pensons que les centrales à Charbon et à Gaz de Guadaires doivent être petit à petit remplacées par d'autres types de centrales, plus efficaces et plus accessibles. Un scénario semblable à la crise du pétrole pour le charbon ou le gaz est tout à fait plausible et l'électricité du pays ne peut pas exclusivement reposer sur ces deux sources d'énergies. L'idée de l'installation de centrale nucléaire n'est pas récente, mais elle n'avait jamais abouti en raison des coûts et du manque de savoir-faire. Cependant, elle reste selon l'État l'énergie à privilégier. Bien entendu, l'énergie solaire ou hydraulique sont toutes les deux très intéressantes et Apex Energy pourra une fois implanté sur notre territoire ouvrir de nouvelles centrales de ce type sous le mandat du Secrétariat chargé de l'Énergie et de l'exploitation des ressources. Pour ce qui est des normes de sécurité, nous ne doutons bien sûr pas de votre savoir-faire en la matière, bien au contraire, nous pensons qu'il est important de créer des normes fixes et spécifiques à Guadaires et les connaissances d'Apex Energy sont importantes pour y parvenir. De plus, nous pensons qu'il reste nécessaire que Guadaires puisse mettre en vigueur des règles spécifiques à notre territoire si cela apparait comme indispensable.
Nous pensons par ailleurs qu'il peut vous être utile d'avoir un plan hydrographique de la région (celle contenue dans les limites plus foncées).
Hydro


Pour répondre à votre seconde question, la consommation annuelle d'électricité était de 408 milliards de kWh sur l'année passée. La consommation connait une augmentation de l'ordre de 2,4% par an en moyenne, elle pourrait atteindre les 500 milliards de kWh par an d'ici à 2024. Nous pratiquons en règle générale un ratio de 40% pour le producteur et 60% pour l'État et les différentes entités publiques. Ces 60% sont divisés entre la région, la métropole et le gouvernement national ainsi qu'avec les gestionnaires du réseau.

Falko Mayer – Votre raisonnement est logique et louable. Les centrales à combustible fossile sont vouées à disparaître, et si ce n’est pas pour des causes de prix, ce sera pour des raisons de disponibilité de la ressource ou de pollution. Pour le charbon, en tout cas, notre raisonnement est le même que le vôtre. C’est d’ailleurs pour ces raisons que nous fermons toutes nos centrales à charbon raskenoises d’ici quelques années.

Cependant, nous avons une vision plus nuancée sur le gaz. En effet, en plus d’être moins polluant que le charbon, le gaz présente de nombreux avantages qu’on ne peut lui retirer. Le gaz est, pour ainsi dire, l’une des meilleures énergies pour réguler le réseau. À titre d’exemple, nos centrales à gaz de dernière génération Superphénix peuvent atteindre leur puissance maximale en seulement 25 minutes.

Concernant le solaire, Apex a très peu investi dans cette source d’énergie en raison de son intermittence. Le seul projet mené par Apex sur le solaire est une centrale solaire à concentration, mais il ne s’agit que d’un prototype, pas encore opérationnel.Pour ce qui est de l’hydraulique, je tiens à vous rassurer : c’est une technologie parfaitement maîtrisée par notre entreprise, en témoignent nos ouvrages de forte puissance et notre STEP.

Après cela, Felipe Sáenz tendit une carte hydrographique de la région à Falko Mayer, puis répondit à la question du Raskenois sur la consommation électrique du pays. Pendant que Sáenz parlait, le Raskenois réfléchissait.

Falko Mayer – 500 TWh à l’horizon 2024 ? Je vois. Ce sera environ deux fois plus que la consommation raskenoise à la même période. Je comprends donc votre volonté de remplacer au plus vite les moyens de production fossiles. À vue de nez, cela représentera entre 250 et 400 millions de tonnes de CO₂ émises chaque année si la production électrique reste basée sur le charbon et le gaz.

Même si je ne connais pas en détail les débits des différents fleuves, je pense sincèrement qu’un mix électrique 65 % nucléaire, 30 % hydroélectrique et 5 % gaz serait totalement envisageable pour votre pays.

Si vous vous posez la question de pourquoi garder du gaz, c’est, comme je l’ai dit un peu plus tôt, grâce à sa capacité à monter rapidement en puissance, ce qui permet d’encaisser les pics de consommation, comme par exemple le soir, lorsque les habitants rentrent du travail.

Cependant, cela ne se fera pas en deux ans. Actuellement, nous sommes en capacité de construire un réacteur RPR de 1600 MW en cinq ans, et nous pouvons lancer le chantier de deux réacteurs environ tous les ans. Ainsi, si nous commençons les travaux de construction l’année prochaine, nous pourrions livrer la première paire de réacteurs d’ici 2021, et huit réacteurs seraient opérationnels d’ici 2024 produisant quasiment 90 TWH

Concernant la répartition des bénéfices, cela nous convient parfaitement.
Felipe Sáenz : ⁣ Je suis en effet tout à fait d'accord avec vous sur le sujet du fossile, mais nos réserves de gaz sont peu importantes et faiblement exploitées. De fait, nous craignons une pénurie et une montée des prix de ce dernier. Mais l'utilisation des centrales à Gaz dans un but de régulation est tout à fait envisageable. Cependant, notre gouvernement n'a toujours pas trouvé d'accord quant à la part de chaque source d'énergie pour la production électrique du pays dans le cadre de la transition énergétique.
Je vous rejoins aussi au sujet des énergies renouvelables, si Guadaires est un pays très ensoleillé, il est vrai que nos spécialistes ont toujours privilégié la production hydroélectrique, plus puissante, constante et bien adaptée au débit de nos fleuves.
Les délais avant l'inauguration des réacteurs sont pris en compte dans le cadre du renouveau énergétique Guadamos et les centrales actuelles peuvent encore tenir à minima jusqu'en 2030, ce qui laisse une marge de manœuvre importante en cas de retard ou de problème du genre.

De notre côté, il semble qu'il n'y ait plus d'interrogation, si vous vouliez que nous vous éclairions sur un sujet que nous n'aurions pas pensé à aborder, nous sommes à votre écoute. Nous vous présentons un premier jet de l'accord que vous pourrez modifier si un élément vous perturbe bien évidemment.

auteur a écrit :
Accord commercial entre Apex Energy et Guadaires


Article 1a :
Apex Energy s'engage à effectuer une remise de 20% sur l'ensemble des barils de pétrole vendus à l'État de Guadaires

Article 1b :
L'État de Guadaires permet à l'entreprise Raskenoise Apex Energy de s'installer sur son territoire, de participer à la production d'électricité du pays, ainsi que de construire et exploiter la première centrale nucléaire à Guadaires.

Article 2 :
Alinéa 1. L'État de Guadaires met en place une Cellule Gouvernementale chargée du Contrôle du Nucléaire, celle-ci ouvrera pour la mise en place de norme encadrant l'énergie nucléaire dans le pays.
Alinéa 2. Cette cellule sera constituée de 50 chercheurs spécialisés, dont la moitié proviendront de l'entreprise Apex Energy et l'autre moitié de l'État de Guadaires, cela durant toute la durée de la rédaction des normes et jusqu'à l'instauration de ces dernières.

Article 3 :
Selon la procédure habituelle, la société Apex Energy obtiendra un siège au Conseil Énergétique regroupant l'ensemble des producteurs d'électricité à Guadaires. Ce conseil lui permettra de participer à la mise en place de la transition énergétique dans le pays.

Article 4 :
Apex Energy s'engage à respecter les normes et les lois en vigueur à Guadaires sur la production électrique et à protéger la population, la faune et la flore des territoires sur lesquels elle s'implante.

Il ne s'agit ici que d'une ébauche et tout ajout ou reformulation est bienvenue de votre part.

Falko Mayer – Je pense qu’il serait bien de rajouter dans l’article 1b le nombre de réacteurs nucléaires qui seraient construits dans le cadre de cet accord commercial. De plus, rajouter une ligne sur la répartition des bénéfices me semble judicieux. En dehors de ça, l’accord nous convient parfaitement et nous n’avons pas d’autres interrogations.
Guadaires a écrit :
Accord commercial entre Apex Energy et Guadaires


Article 1a :
Apex Energy s'engage à effectuer une remise de 20% sur l'ensemble des barils de pétrole vendus à l'État de Guadaires

Article 1b :
L'État de Guadaires permet à l'entreprise Raskenoise Apex Energy de s'installer sur son territoire, de participer à la production d'électricité du pays, ainsi que de construire et d'exploiter au total huit centrales nucléaires d'ici à 2024.

Article 2 :
Alinéa 1. L'État de Guadaires met en place une Cellule Gouvernementale chargée du Contrôle du Nucléaire, celle-ci ouvrera pour la mise en place de norme encadrant l'énergie nucléaire dans le pays.
Alinéa 2. Cette cellule sera constituée de 50 chercheurs spécialisés, dont la moitié proviendront de l'entreprise Apex Energy et l'autre moitié de l'État de Guadaires, cela durant toute la durée de la rédaction des normes et jusqu'à l'instauration de ces dernières.

Article 3 :
Selon la procédure habituelle, la société Apex Energy obtiendra un siège au Conseil Énergétique regroupant l'ensemble des producteurs d'électricité à Guadaires. Ce conseil lui permettra de participer à la mise en place de la transition énergétique dans le pays.

Article 4 :
Apex Energy s'engage à respecter les normes et les lois en vigueur à Guadaires sur la production électrique et à protéger la population, la faune et la flore des territoires sur lesquels elle s'implante.

Article 5 :
Le bénéfice des centrales électriques sera partagé entre l'État de Guadaires à hauteur de 60% et la compagnie Apex Energy à hauteur de 40% des bénéfices totaux.

Voici donc l'accord final qui prendra effet après avoir été signer par les deux partis concernés.
Haut de page