22/01/2016
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ALCO - Association pour la libre circulation sur les océans

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logotype de l'ALCO
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Association pour la libre circulation sur les océans

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𝑸𝒖𝒊 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔-𝒏𝒐𝒖𝒔 ?

L'Association pour la libre circulation sur les océans (ALCO) est une organisation non-gouvernementale à but non-lucratif qui promeut l'ouverture de l'espace maritime à tous. Créée en 1856 sur le continent eurysien, elle s'organise autour d'une Charte, d'une présidence, et de réunions semestrielles. Ses locaux sont situés au 26, Heechstrjitte, à Blankenvoorde.

L'ALCO est composée de personnes morales soucieuses de défendre les valeurs du doux commerce maritime. L'association compte surtout des membres à titre individuel et des entreprises qui concourent à son financement. En fonction de la cotisation versée à l'association, chaque membre se voit définir une quote-part plus ou moins importante, qui lui donne un droit de vote plus ou moins important lors des prises de décision. L'association compte aussi des partenaires, qui souhaitent s'associer à son action, dont des États.

En 2015, le président de l'association est Henri Cassenta, directeur-général de la CGTM.

𝑵𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆

L'ALCO a été fondée le 31 août 1856 à la capitainerie du port de Blankenvoorde, par Klaus Jansen et Jacques Nièvre-Jouart, le premier étant le directeur de la Société de commerce d'outre-mer de Zélandie (SKO) et le second, intendant de l'Organisation gallèsante des comptoirs (OGC). Elle porte à l'origine de le nom de SKO-OGC. À partir de de décembre 1856 et la signature de la Charte pour une navigation libre par la SKO, l'OGC et l'ensemble des États qui constituent aujourd'hui la Confédération zélandienne, elle prend le nom d'Association pour la libre circulation sur les océans, qu'elle a conservé jusqu'à lors.

La Charte signée Valteuse proclame la liberté de circuler et de commercer sur l'intégralités des mers, océans et bassins fluviaux de la planète, connus et inconnus. Elle dit aussi militer contre la traite négrière et lui privilégier le « doux commerce ». Elle défend enfin l'ouverture de comptoirs et justifie ainsi, à l'époque, les entreprises coloniales qui conduisent à la création de zones franches. L'ALCO est aujourd'hui attaché à la liberté des peuples et défend l'établissement de zones franches sans l'usage de la force.

L'Histoire de l'ALCO est marquée par de grands succès.

𝑳𝒆𝒔 𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝑨𝑳𝑪𝑶

Les missions de l'ALCO consistent principalement dans la coordination des actions d'influence visant à promouvoir les valeurs du doux commerce par la voie maritime auprès des pouvoirs publics. Il s'agit également de promouvoir le libéralisme dans la sphère médiatique. Enfin, l'ALCO coordonne les actions des entreprises souhaitant faire face à des aléas entravant la libre circulation des mers. L'union fait la force !

L'ALCO œuvre activement pour défendre la perception de la liberté maritime établie dans sa Charte pour une navigation libre de 1856. Cela inclut :

  • Interventions auprès des pouvoirs publics en faveur de l'abaissement des droits de mouillage et des droits de péage : la libre navigation, cela veut aussi dire pouvoir bénéficier des installation portuaires et des canaux en toute liberté. Il ne s'agit pas de priver les organismes chargé d'administrer ces infrastructures de bénéfices largement mérités, mais d'éviter qu'elles soient instrumentalisées par les États dans le cadre de luttes commerciales ou par simple avidité.

  • Interventions auprès des pouvoirs publiques pour encourager la lutte contre la piraterie : la piraterie est fléau de l'humanité. Bandits de grand chemin en prison, pirates en liberté ?

  • Promotion d'une mer ouverte à tous : l'ALCO se bat pour que prédomine, dans les esprits et chez les pouvoirs publics, la vision selon laquelle la mer est un bien commun. Nous militons pour que soient abolies toutes revendications sur les espaces maritimes qui tendent à en faire des territoires. La circulation doit être garantie sur l'ensemble des mers, des océans, ainsi que sur les fleuves. La mer n'appartient pas aux États !

  • Promotion du libre commerce : nous nous engageons pour que la mer et les espaces fluviaux soient des zones de libre commerce, ou les droits de douane sont le plus bas possible. Nous militons auprès des pouvoirs publics et nous négocions, finançons et facilitons l'établissement de zones franches portuaires.

  • Organisations de sommets, pour que se rencontrent les entrepreneurs du secteur maritime et les dirigeants des pouvoirs publics, mettant en valeur les bienfaits du libre commerce.

  • Mise en relation des acteurs de l'industrie portuaire et du transport maritime, fluvial et multimodal.

𝑷𝒓𝒊𝒐𝒓𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒎𝒂𝒏𝒅𝒂𝒕 2015-2025

L'ALCO, pour le mandat 2015-2025, a accédé à un budget de 10 millions de chèques carnavalais. Ces finances saines permettent d'envisager des actions ambitieuses sur la période, tout en restant ouvert à une augmentation du budget par la diversification des quote-parts.

Sur la communication de l'association elle-même, il s'agit de refondre le site internet et de multiplier la portée des déclaration publiques et faisant notamment appel à un service de presse.

Du point de vue des actions concrètes, l'ALCO agira pour mettre un terme à la folie d'espaces maritimes exclusifs, souvent qualifiés insidieusement de « zones économiques » alors qu'elles empêchent la circulation des bâtiments civiles, marchands et militaires.
L'ALCO a ciblé trois principaux blocus à abattre en 2015 : le blocus de la marine loduarienne dans le Golfe de Francie (Espérance Nord), le blocus des marines kah-tanaise et clovanienne au large du Gondo (Espérance Sud) et le barrage de la marine guadamos dans le détroit de Cerbesse (Leucytalée).

𝑴𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒆𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔

membres
La Seelânske Kompanjy foar Oersee-Hannel (Société de commerce d'outre-mer de Zélandie) ou S.K.O, parfois orthographié S.K.O-H., est fondée en 1599 par le rachat de la Seelânske Seelânske Westlik-Nazum Kompanjy par la Seelânske Estlik-Nazum Kompanjy et leur fusion. Elle est la première et principale compagnie de commerce Zélandienne parmi la multitude de compagnies qui existent, avec des investissement de “l’État” Zélandien par le biais de son Secrétariat au Commerce Extérieur, maintenant Commissariat. Sa principale activité reste le transport de frais.

La Companie gallëseante deul transbahut su la mér (Compagnie gallèsante de transport maritime), plus couramment la CGTM, est la principale compagnie de transport maritime du Duché de Gallouèse. Ses activités sont mondiales, aujourd'hui présentes sur tous les continents. Elle est issue directement de la compagnie gallèsante des comptoirs, fondatrice de l'ALCO, dont elle a repris l'activité portuaire et maritime.

La Empresa de Mineração Jemaro (Société minière Jemaro) est une compagnie spécialisée dans l’import-export de diamants et de charbon, basée au Maximus.

Novokrat Ore est une entreprise dont l’activité étendue repose sur l’import-export, basée à Novyavik.

partenaires
Syndicats-Unis de Zélandia, Ville Libre et Hanséatique d'Amstergraaf, Nij-Noordcroen, Union Khālati, République de la Costa Dourada, Union d'Afarée du Sud, Sultanats-Unis de Wanminésie, Bakufu de Sakurajima, Duché de Gallouèse, Commonwealth du Virginlân, Syndicats-Unis du Súdliklân, République Fédérale du Bulistan, Communes Kalanoui, Syndicats-Combinés de Noardlân, Troisième République du Jashuria, République de Poëtoscovie.
Peuvent être postés à la suite les déclarations publiques de l'ALCO

N'impore quel joueur jouant un membre de l'ALCO est libre de disposer de ce topic comme il l'entend, et si besoin d'utiliser la plume du président de l'association.


Une espace dédié à l'inscription d'entreprises (rétrospectivement ou non) est disponible en Appel d'offres
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