08/07/2016
02:43:39
Index du forum Continents Eurysie Teyla

Index des entités administratives du Royaume

Voir fiche pays Voir sur la carte
484
INDEX DES ENTITÉS ADMINISTRATIVES DU ROYAUME DE TEYLA


Ce salon a pour vocation de dresser le portrait politique des régions du Royaume de Teyla. Vous y retrouverez les compositions des Assemblées régionales et l'histoire des négociations des coalitions au pouvoir ainsi que leur programme. Ce salon permet aux joueurs d'avoir les informations essentielles sur l'évolution du rapport de force politique au sein du Royaume de Teyla, avec lequel ils seront amenés à RP.


B COMME...

Bourssonnne.

C COMME...

Courvoiselle.

Calcaris.

Cielochâteau.

M COMME...

Manticore.

V COMME...

Valdorée.

4090
<<< Retour à la table des matières


Région de Manticore


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Manticore.
Nom court : Manticore.
Ville accueillant le Parlement régional : Manticore.
Date de construction du Parlement : 1899.
Président(e) de Région : Arber Gaillou - Mouvement Royaliste et d'Union.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 351.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 176.
Composition de la majorité actuelle : Mouvement Royaliste et d'Union (111), Divers Gauche (24), Parti Démocratique Centriste (23), Divers Droite (28).
Répartition des sièges :




Histoire

L'Assemblée régionale Manticorienne est l'Assemblée législative de la Région de Manticore. Actuellement, la région est dirigée par une alliance allant de la gauche social-démocrate, libérale au centre droit. Après les élections survenues en deux mille onze, il revenait à la tête de liste arrivée en tête, Arber Gaillou, d'entamer des discussions avec les forces politiques représentées à l'Assemblée régionale pour constituer une coalition permettant de gouverner la région et d'avoir une majorité stable. Un débat s'est installé au sein du Mouvement Royaliste et d'Union après les victoires en deux mille onze dans quatre des six régions. Le parti devait-il gouverner avec l'extrême gauche et des partis politiques foncièrement anti-royalistes et favorables à une république comme Gauche Républicaine et Avenir du Peuple ?

Pour Rosalie Chabs, cheffe du parti et Maire de Manticore, ouvrir la porte à une alliance avec l'extrême droite, c'était donner des arguments à la droite traditionnelle pour qu'elle se jette dans les bras de l'extrême-droite, une chose impossible pour elle. De plus, si la droite se jette dans les bras de l'extrême-droite tant au niveau national que régional et local, alors la gauche n'aura plus aucune influence sur les coalitions de droite. En outre, le rejet de l'extrême-gauche et de l'extrême-droite oblige la coalition en place à discuter avec la droite ou la gauche en fonction de sa couleur politique. Alors, de fait, Arber Gaillou alla négocier une alliance avec les partis centristes, comme le Parti Centriste Démocratique, ce qui arrangea bien le parti de centre gauche et de gauche, que le centre soit aussi fort durant cette élection dans la capitale. Une négociation qui a eu lieu avec l'accord total des instances du parti et de Rosalie Chabas. Il était évident que la présidente du parti et la maire d'une des villes les plus importantes de la région ait un droit de regard sur ce qu'il se passe dans la région la plus importante politiquement du pays, selon les observateurs politiques.

Après deux semaines de négociations plutôt calmes, Arber ressort avec un accord de coalition ambitieux pour la région, sur tous les plans. Parmi les priorités de l'exécutif régional figurent l’investissement dans les infrastructures et la modernisation des transports publics. Un plan ambitieux est annoncé en grande pompe en deux mille quatorze dans le but d'accompagner le plan municipal-état central de Manticore, la ville. Ce plan doit accompagner financièrement et technologiquement le projet ambitieux. En outre, la région doit permettre la création de start-up pouvant être nécessaires pour l'avènement du projet. Étant donné qu'il s'agit de la région la plus dynamique du pays, il est évident que la région doit participer pour financer le projet Manticore 2030. La coalition s'est rapidement mise d'accord sur cet aspect, permettant une intégration dans toutes les sphères du projet.

La gestion d'Arber de sa coalition est présentée par les médias comme un modèle à suivre. En effet, Arber met l'accent sur la discussion et l'écoute des partenaires, ce qui en fait un élément stabilisateur et important de la coalition. Cependant, malgré cette image de stabilité projetée par Arber Gaillou et son équipe, certaines tensions émergent au sein de la coalition. Si les centristes et la gauche modérée s’accordent sur de nombreux points importants, les tensions existent et sont nombreuses avec les divers députés de droite. En outre, alors que le Royaume de Teyla subit une profonde transformation de son économie, la droite souhaite des mesures de soutien aux domaines en difficulté quand la gauche et le centre veulent supporter financièrement les entreprises d'avenir, pour augmenter la part de l'industrie en pourcentage dans le produit intérieur brut. Pour rappel, c'est un objectif du gouvernement d'Angel Rojas, jusqu'ici réussi grâce à diverses coopérations dont celle avec le Drovolski.

Il convient que pour le Mouvement Royaliste et d'Union et ses instances, Arber Gaillou est le candidat parfait pour sa réélection en deux mille dix-sept. Jusqu'ici, Arber Gaillou ne s'est pas prononcé sur une prochaine candidature.


<<< Retour à la table des matières
5063
<<< Retour à la table des matières


Région de Courvoiselle


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Courvoiselle.
Nom court : Courvoiselle.
Ville accueillant le Parlement régional : Val-De-Lys.
Date de construction du Parlement : 1986.
Président(e) de Région : Thomas Brault - Mouvement Royaliste et d'Union.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 279.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 140.
Composition de la majorité actuelle : Mouvement Royaliste et d'Union (69), Divers Gauche (8), Parti Centriste Démocratique (16), Les Royalistes (60).
Répartition des sièges :




Histoire

L'Assemblée régionale de Courvoiselle est l'Assemblée législative de la Région de Courvoiselle. Actuellement, la région est dirigée par une alliance allant de la gauche à la droite en passant par le centre. En outre, on retrouve une coalition avec les deux partis majeurs de la vie politique teylaise, à savoir le Mouvement Royaliste et d'Union et Les Royalistes. C'est une configuration qui arrive très souvent dans les alliances aux niveaux régional et local au sein du Royaume de Teyla. En effet, les deux principaux partis politiques et les partis qui gravitent autour refusent d'organiser des coalitions avec des partis républicains et/ou extrêmes comme le Parti Républicain. Jusqu'ici, les consignes venant des instances nationales furent toujours respectées, et si ce n'est pas le cas, la personne en question est immédiatement exclue.

C'est donc tout naturellement que Thomas Brault, en regardant la composition du Parlement, alla vers Les Royalistes et le centre pour composer sa coalition afin de gouverner la région. En raison du passé de Thomas Brault, qui avait déjà travaillé avec Les Royalistes en tant que secrétaire d'État sous un ancien gouvernement de centre gauche, il était en bons termes avec les représentants du parti de droite au niveau régional. C'est sans souci que les deux partis se sont tapés dans la main. Les négociations furent tout aussi rapides et simples avec les élus du centre. Au final, un accord de coalition fut trouvé au bout de trois semaines de négociations, faisant de cet accord régional le deuxième plus rapide de ces élections de deux mille onze.

L'une des particularités politiques de la région est la puissance du Parti Paysan d'Union Sociale, un parti de droite sociale en faveur des fermiers, qu'ils aient des petites, moyennes ou grandes fermes ou élevages. En outre, comme sa région voisine, l'agriculture représente une très grande partie de l'économie régionale. La région compte comme la première région en nombre d'ouvriers travaillant dans le secteur agricole et de l'agroalimentaire. Cela explique en partie les quarante-quatre députés élus sous l'étiquette du Parti Paysan d'Union Sociale. En raison des polémiques concernant la tête de liste locale, le parti Les Royalistes, et encore moins le Mouvement Royaliste et d'Union, veulent faire une coalition avec ce parti tant que la tête de liste ne sera pas exclue. En outre, Julien Marti, tête de liste pour le Parti Paysan, a déclaré : "Si les formations politiques veulent nous exclure des discussions, alors qu'ils s'attendent à la pression des agriculteurs. Nous représentons un groupe de population important, notre voix doit être entendue, qu'importe si Rosalie Chabas dit l'inverse à ses troupes. Les seuls moutons que j'aime, ce sont ceux dans ma grange."

Le programme de coalition est un programme qui soutient bien évidemment les agriculteurs et l'industrie agroalimentaire, qui est un véritable lobby tant à l'échelle nationale que régionale. La majorité des aides aux entreprises régionales, qui n'ont pas un montant total élevé, revient dans les comptes en banque des fermiers et des entreprises agroalimentaires régionales. En outre, une bonne partie de ces mêmes aides revient aux entreprises Fujiwanes et Melsovardiennes qui s'installent dans la région depuis deux mille onze. Ces aides s'ajoutent à des aides pour la formation dans les métiers agricoles et de l'agroalimentaire. Afin d'accélérer le développement économique régional, la région finance énormément la construction des différentes lignes de chemin de fer en partenariat avec l'État teylais. Étant donné que la région est avant tout une région rurale, la région met l'accent sur le financement des opérateurs télécoms pour une modernisation des équipements et que les populations aient toutes accès à la fibre optique, ADSL, etc. Un investissement qui se fait conjointement avec les opérateurs télécoms, qui permet à la région d'avoir un pourcentage de couverture en net augmentation d'année en année.

La gestion de la coalition par Thomas Brault est marquée par la convocation chaque mois d'une activité commune à leurs propres frais, bien entendu. Cela permet, selon Thomas : "De maintenir l'esprit d'amitié qui nous lie tous, afin de gouverner ensemble et du mieux que possible pour le bien des habitants. Je crois que la politique, c'est avant tout de l'humain et des relations humaines. Je m'entends avec chacun des membres de ma coalition, c'est une chance que nous devons saisir pour le bien de la région. Nous faisons des choses, des grandes choses pour cette région chaque année, j'espère que ça sera encore le cas dans deux ans." Contrairement à la région de Manticore, il n'existe pas de tension remarquable entre le dirigeant de gauche et la droite, pour l'instant. Le ton peut très bien monter à l'approche des élections et durant la prochaine campagne électorale. Malgré tout, Thomas Brault est confiant publiquement quant à l'avenir de sa coalition, qui sera reconduite quoi qu'il arrive d'après lui.

Thomas Brault a déjà annoncé qu'il sera candidat à sa propre succession lors des élections régionales de deux mille dix-sept. Hélène Urion, tête de liste pour Les Royalistes en deux mille onze, a annoncé aussi être la prochaine tête de liste pour la liste Les Royalistes en deux mille dix-sept.


<<< Retour à la table des matières
5136
<<< Retour à la table des matières


Région de Bourssonnne


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Bourssonnne.
Nom court : Bourssonnne.
Ville accueillant le Parlement régional : Saint-De-Tour.
Date de construction du Parlement : 1957.
Président(e) de Région : Ophelia Bizier - Les Royalistes.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 279.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 140.
Composition de la majorité actuelle :
Répartition des sièges : Les Royalistes (68), Divers Droite (30), Mouvement Royaliste et d'Union (54).




Histoire

L'Assemblée régionale de Bourssonne est l'Assemblée législative de la Région de Bourssonne. Actuellement, la région est dirigée par une alliance allant de la droite à la gauche, sans passer par les partis centristes, une petite anomalie dans ces coalitions qui ressortent des régionales de deux mille onze. La création de cette coalition a vu de nombreux débats chez Les Royalistes sur l'opportunité d'une coalition menée par Les Royalistes, mais avec comme partenaires le Parti Paysan d'Union Sociale, Divers Droite et Divers Centre, une coalition qui ferait un total de cent quarante-trois députés. Toutefois, les discussions se sont très mal passées avec le Parti Paysan d'Union Sociale qui réclamait de trop grosses concessions, selon Ophelia Bizier qui a arrêté les discussions avec le Parti Paysan au bout d'un mois. Bien que des députés régionaux souhaitaient voir une coalition naître avec le Parti Royaliste et l'Avenir Teylais, Ophelia Bizier balaya d'un revers de main les sirènes de l'Extrême-droite, malgré de très fortes critiques venant de ce camp, après son refus.

C'est donc après plusieurs échecs avec le Parti Paysan d'Union Sociale que la tête de liste Les Royalistes se tourna vers le partenaire de gauche ordinaire, à savoir le Mouvement Royaliste et d'Union. Une source sûre, comme l'aime à dire Ophelia Bizier, depuis la conclusion de la coalition. En effet, c'est bel et bien une coalition avec le Mouvement Royaliste et d'Union qui aboutira après six mois d'élections. Pourquoi un tel délai ? Parce que les blocages furent nombreux. L'un des premiers points de friction fut la question des finances régionales. Le Mouvement Royaliste et d'Union souhaitait augmenter les investissements et réduire les aides aux entreprises, quant aux Royalistes, c'était tout l'inverse qui voulait continuer d'avoir le soutien d'une partie des agriculteurs et des patrons des grands groupes de l'agroalimentaire. La répartition des postes fut aussi l'un des points de friction majeurs. Bien que la gauche était minoritaire dans la coalition, elle voulait plusieurs postes clés, dont deux vice-présidences à l'Assemblée régionale.

Tout comme la région de Courvoiselle, la région de Bourssonne est une région dont l'agriculture et l'industrie agroalimentaire participent en grande partie à l'économie. Cependant, contrairement à la région voisine de Courvoiselle, la région de Bourssonne a une économie bien plus diversifiée, notamment parce qu'elle est tournée vers l'extraction de matières premières, comme l'uranium ou encore le charbon. Alors, l'accord de coalition trouvé fut une réduction des aides régionales tournées vers les entreprises d'extraction minière, pour une augmentation minime des aides vers les agriculteurs et l'agroalimentaire, mais avec la mise en place de critères écologiques, assez soft, pour pouvoir prétendre aux aides. Une avancée, quand on sait qu'il n'y avait aucun critère écologique au niveau régional pour recevoir ces aides auparavant. Concernant les postes clés, le Mouvement Royaliste et d'Union a finalement cédé et Les Royalistes ont obtenu la majorité des postes clés à l'Assemblée régionale, permettant la création de cette coalition.

Tout comme la région de Courvoiselle, la région de Bourssonne appuie l'élan national redonné aux chemins de fer, par un financement accru aux différentes lignes en construction dans la région. En outre, en plus d'une ligne à grande vitesse, la région financera à hauteur de quatre-vingts pour cent, durant ces six années de mandat, trois lignes régionales, faisant de la région la région avec le plus de lignes prévues et la plus proactive sur le sujet du ferroviaire. Le financement des lignes par la région est fait avec des augmentations d'impôts régionaux. Toutefois, pour rappel, le nombre d'impôts régionaux est très faible au Royaume de Teyla, parce qu'il s'agit d'un État centralisé avant toute chose.

La gestion de la coalition par Ophelia Bizier attire les critiques au niveau national. En outre, selon des témoignages d'anonymes, la présidente de région aurait beaucoup de mal avec la culture du compromis et en ferait baver à ses partenaires de coalition lors des négociations des textes de loi et du budget régional. Le chef de file du Mouvement Royaliste et d'Union au niveau régional, selon la presse, se serait plaint en privé de nombreuses fois de la mauvaise foi et du manque de concessions d'Ophelia, jusqu'à remettre en cause la coalition. Heureusement, face à la situation périlleuse pour elle et Les Royalistes, Ophelia donna de nombreux gages à la gauche. Un événement vu comme une défaite en interne chez Les Royalistes, alors que la droite est majoritaire dans la coalition. Sans son incapacité à faire des concessions, la droite régionale n'aurait pas eu à faire d'autres concessions supplémentaires en cours du mandat de la Présidente.

Ophelia Bizier n'a annoncé aucune intention concernant les élections de deux mille dix-sept pour le moment. Mais les instances du parti Les Royalistes auront une décision à prendre sur la reconduction ou non d'Ophelia à cause d'une pratique du pouvoir différente de bien des hommes et des femmes politiques teylais. D'autant plus avec le Parti Monarchique pour la Liberté et le Progrès, un parti de centre droit, qui participera aux élections régionales. Malgré tout, la région ne basculera sans doute pas à gauche, en raison de la puissance de la droite. Mais attention aux surprises !


<<< Retour à la table des matières
4067
<<< Retour à la table des matières


Région de Valdorée


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Valdorée.
Nom court : Valdorée.
Ville accueillant le Parlement régional : Gèvre.
Date de construction du Parlement : 1988.
Président(e) de Région : Kari Bisaillon - Les Royalistes.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 231.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 116.
Composition de la majorité actuelle : Les Royalistes (75), Divers Droite (11), Divers Centre (8), Divers Gauche (18), Parti Démocratique Centriste (7).
Répartition des sièges :




Histoire

L'Assemblée régionale de Valdorée est l'Assemblée législative de la Région de Valdorée. Actuellement, la région est dirigée par une alliance allant de la droite au centre gauche, en passant par le centre. Une alliance pas traditionnelle, notamment pour la droite. Kari Bisaillon, président de la région, avait eu pour idée de négocier avec la gauche immédiatement au regard des effectifs du Mouvement Royaliste et d'Union, ce qui aurait fait une coalition à deux partis. Mais suite à des pressions venant des députés régionaux de son propre parti, Kari Bisaillon alla négocier en premier avec le centre, la droite et les députés Divers Gauche. La rigueur budgétaire fut un indispensable pour les députés du Divers Centre, contrairement aux Royalistes qui veulent augmenter les dépenses, sans forcément augmenter les recettes, pour permettre un boom économique de la région et que les infrastructures soient adaptées à la menace de la Loduarie Communiste. En outre, la région accentue les investissements dans les abris destinés à la population, une première pour le Royaume de Teyla au niveau régional. Ces investissements sont le résultat d'un accord entre l'État central et la région.

La proximité avec la Loduarie Communiste explique la présence d'une extrême-droite plus forte que la moyenne régionale. En deux mille onze, alors que les actes hostiles du régime envers le Royaume commençaient, cela faisait des années que l'Extrême-droite avait ciblé la Loduarie Communiste et son régime communiste. En outre, elle explique qu'il s'agit d'un régime barbare qui n'attend que la chute du Royaume de Teyla pour lui rouler dessus et faire planer la menace des chars loduariens roulant sur les avenues de Manticore. Une menace qui ne prenait pas auprès de la population tant que le régime loduarien ne bougeait pas. Mais les différentes provocations de la Loduarie Communiste envers le Royaume et ses interventions à l'étranger ont permis de crédibiliser le discours de l'extrême-droite auprès d'une partie de la population. Alors qu'en deux mille onze, l'extrême-droite n'était pas une force majeure dans la région, si on en croit les sondages actuels, elle est sur le point de le devenir, pour le plus grand malheur de tout le spectre politique teylais.

Sur le plan programmatique, la région est très proactive autour du train et du chemin de fer. En outre, Les Royalistes locaux estiment qu'il n'y a pas de meilleur moyen que le train pour relier la région à la capitale, il s'agit de la région la plus éloignée de la capitale Manticore. Un élément essentiel pour recevoir le soutien rapidement de toutes les troupes militaires teylaises, si la Loduarie Communiste finit par envahir le territoire teylais. Lors du contrat de gouvernement régional, les forces politiques se sont mises d'accord pour un financement de la région à cent pour cent. Malgré tout, l'endettement de la région sur cette question est à relativiser, en raison du faible nombre de lignes prévues, outre une ligne à grande vitesse entre Gèvre et Manticore. Outre ces considérations, la coalition garde le statu quo actuel sur l'attribution des aides aux entreprises, bien que ces aides soient peu nombreuses.

La gestion d'Arber de sa coalition est considérée comme l'une des meilleures actuellement par les membres de son parti politique comme chez ses partenaires de coalition.

Kari Bisaillon ne s'est pas encore prononcée sur la suite de sa carrière politique. En interne, tant sur le plan régional que national, les cadres du parti sont pour l'instant satisfaits de ses résultats et de sa manière de gérer une coalition éparse. Julia Roberta, la cheffe par intérim des Royalistes, trouve un certain talent et une certaine intuition à Kari Bisaillon. Concernant le Mouvement Royaliste et d'Union, il est fort probable que l'actuelle tête de liste change pour les élections en deux mille dix-sept, au regard de l'écart des résultats en deux mille onze, alors que les partis étaient proches en nombre de voix sur le plan national. Le parti de gauche proposerait en ce même des accords avec certains députés Divers gauche pour qu'ils intègrent le Mouvement Royaliste et d'Union. Une affaire palpitante à suivre.




<<< Retour à la table des matières
5010
<<< Retour à la table des matières


Région de Calcaris


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Calcaris.
Nom court : Calcaris.
Ville accueillant le Parlement régional : Bellepierre.
Date de construction du Parlement : 1967.
Président(e) de Région : Maurice Gosselin - Mouvement Royaliste et d'Union.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 231.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 116.
Composition de la majorité actuelle : Mouvement Royaliste et d'Union (63), Les Royalistes (56).
Répartition des sièges :




Histoire

L'Assemblée régionale de Calcaris est l'Assemblée législative de la Région de Calcaris. Actuellement, la région est dirigée par une alliance du parti de gauche traditionnelle et du parti de la droite traditionnelle au Royaume de Teyla. Comme dans de nombreuses régions et par le passé, cette alliance est l'une des alliances les plus courantes au niveau local et régional. Ainsi, c'est presque naturellement que Maurice Gosselin s'est tourné vers Les Royalistes pour former une coalition permettant de gouverner la région. Malgré tout et l'évidence de la coalition aux premiers abords, la construction de la coalition s'est faite avec de grandes difficultés. En outre, en raison du faible écart de sièges entre les deux formations politiques et la quasi-impossibilité d'une autre coalition, Les Royalistes ont eu des demandes très élevées.

Ainsi, Les Royalistes ont réclamé beaucoup de postes régionaux et des postes clés à l'Assemblée régionale. Le parti a notamment insisté pour obtenir plusieurs postes de présidence de plusieurs commissions de l'Assemblée. De plus, ils ont exigé plusieurs vice-présidences, ce qui a contraint Maurice Gosselin à d'importantes concessions sur ces sujets d'importance pour sécuriser la majorité. Cette situation a contribué à alimenter de nombreuses tensions lors des négociations. Une partie de la gauche traditionnelle, bien que favorable à la coalition sur le principe, a jugé les revendications des Royalistes excessives et a exprimé son mécontentement face aux concessions faites par Gosselin. Mais Maurice Gosselin préférait une coalition à deux partis qu'avec quatre groupes parlementaires, considérée comme infernale à gérer en interne.

Sur le plan programmatique, la coalition suit la tendance gouvernementale axant les financements des aides aux entreprises vers les industries pour qu'elles s'installent et puissent prospérer au sein de la région. Toutefois, le total des aides aux entreprises reste très faible dans leur totalité, notamment comparé aux voisins eurysiens ou à la moyenne mondiale. Le libéralisme économique, sans aide économique, reste majoritaire au sein de la coalition gouvernementale. Maurice Gosselin estime toutefois pragmatique d'émettre des aides. Bien évidemment, l'opposition de gauche estime que ces aides sont mal ciblées parce qu'elles doivent être prioritairement envers les travailleurs et ceux qui ne peuvent pas travailler. En outre, l'opposition a proposé un plan social régional, sans que la coalition au pouvoir daigne prendre en compte le plan.

L'alliance avec Les Royalistes empêche le Mouvement Royaliste et d'Union d'engager des réformes profondes sur l'état de la région et même au niveau social et économique. Les réformes sont toujours systématiquement freinées par Les Royalistes sauf si celles-ci s'engagent dans une direction conforme à leurs propres priorités politiques. Ainsi, toute tentative du Mouvement Royaliste et d'Union visant à renforcer les politiques sociales ou à instaurer une régulation plus stricte de certains secteurs économiques se heurte systématiquement à l’opposition des Royalistes. Il en va de même pour mettre des conditions plus strictes sur certaines aides économiques, bien que des changements ont été possibles sur ce sujet, mais pas assez selon les associations.

La gestion de la coalition par Maurice Gosselin attire les critiques au sein de son propre camp. En outre, plusieurs cadres nationaux du parti estiment que Maurice Gosselin n'est pas assez bon négociateur. En effet, les négociations sur les différents projets portés par le Mouvement Royaliste et d'Union se sont retrouvées vidées de leur substance en règle générale, laissant un goût amer au niveau national en interne. Bien que Rosalie Chabas reste favorable à Maurice en public, en privé la réalité est tout autre, avec des critiques très dures envers Gosselin. Gosselin, lui, juge que les critiques sont infondées et met en avant les avancées sur les aides économiques et rappelle qu'une autre coalition avec d'autres partis est impossible en substance. Une vision pas partagée par tous, y compris au sein de sa majorité. Sans grande surprise, Les Royalistes s'estiment heureux dans la coalition et considèrent Maurice Gosselin comme un "excellent président de région, qui est pragmatique et sait écouter la droite. Ce qui n'est pas une qualité qu'on retrouve partout au Mouvement Royaliste et d'Union", déclare la tête de liste des Royalistes en deux mille quatorze. Si les Royalistes ne venaient pas à reconquérir la région, il est fort à parier qu'ils souhaitent renouveler le partenariat avec Maurice Gosselin.

Maurice Gosselin a déjà annoncé qu'il serait candidat pour le Mouvement Royaliste et d'Union dans un contexte bien différent, avec une montée de l'extrême-droite. Les Royalistes n'ont toujours pas annoncé de décision quant au Parti Royaliste. Martin Huges, le Président du parti, est pressenti pour être tête de liste. Un signe qui tend à montrer la percée de l'extrême-droite au niveau régional à cause d'un discours anti-loduarisme très mis en avant et très extrême. Malgré la poussée de l'extrême-droite anticipée par les sondages, Les Royalistes ne semblent pas enclins à envisager un contrat de gouvernement local avec eux.


<<< Retour à la table des matières
5023
<<< Retour à la table des matières


Région de Cielochâteau


FICHE D'IDENTITÉ

Nom long : Région de Cielochâteau.
Nom court : Cielochâteau.
Ville accueillant le Parlement régional : Étoile-Sur-Seine.
Date de construction du Parlement : 2002.
Président(e) de Région : Ronald Nelson - Mouvement Royaliste et d'Union.


Composition du Parlement :

Nombre total de sièges : 155.
Nombre de sièges requis pour la majorité absolue : 78.
Composition de la majorité actuelle : Mouvement Royaliste et d'Union (48), Les Royalistes (41).
Répartition des sièges :




Histoire

L'Assemblée régionale de Cielochâteau est l'Assemblée législative de la Région de Cielochâteau. Actuellement, la région est dirigée par une alliance du parti de gauche traditionnelle et du parti de la droite traditionnelle au Royaume de Teyla. Le rejet de l'extrême gauche, de l'extrême-droite et des partis républicains par les différents partis royalistes, dont le Mouvement Royaliste et d'Union et Les Royalistes, fait que cette alliance entre les deux principaux partis de la vie politique teylaise reste l'alliance de base au niveau local et régional. Avant d'aller vers Les Royalistes, Ronald Nelson est allé chercher une coalition auprès des partis centristes, tentant de ramener huit élus de Divers Droite. Les discussions se sont très bien passées avec les partis de centre. Cependant, les discussions avec les élus de Divers Droite ont rapidement tourné au fiasco. Malgré une ouverture initiale, ces derniers ont posé des conditions jugées inacceptables par Ronald Nelson et ses députés. Parmi les demandes jugées inacceptables figurait une réforme fiscale visant à supprimer entièrement les impôts locaux sur les grandes surfaces et les entreprises, notamment en abolissant la taxe régionale basée sur la surface commerciale et industrielle.

Bien qu'ouvert à des compromis pour trouver une majorité, Nelson ne voulait pas céder sur ce point-là, estimant les demandes contraires à l'esprit de la gauche teylaise et représenté par le Mouvement Royaliste et d'Union dont il est membre. Après plus de trois semaines infructueuses, Nelson rompit les négociations et se tourna vers Les Royalistes pour une coalition gauche-droite, une coalition déjà faite dans la région précédemment. Les discussions avec Les Royalistes se sont avérées complexes dès le départ, bien que les deux partis aient déjà collaboré par le passé. En outre, Les Royalistes avaient conscience de l'échec de Ronald Nelson dans ses précédentes tentatives de négociations, ce qui laissait uniquement Les Royalistes comme interlocuteur possible à Ronald. Il n'avait plus ce moyen de pression face aux Royalistes. Après plusieurs semaines de négociation, un accord aboutit finalement. Le Mouvement Royaliste fit plusieurs concessions au niveau des postes régionaux et au sein de l'Assemblée régionale, en contrepartie le programme est majoritairement celui de la gauche portée lors des élections.

Comme préalablement énoncé, le programme est avant tout celui du Mouvement Royaliste et d'Union, bien qu'il subisse des ajouts ou des corrections après l'accord trouvé avec Les Royalistes. En outre, les aides accordées aux entreprises, qui sont déjà en dessous de la moyenne eurysienne, sont maintenant accordées seulement si des objectifs de condition au travail sont respectés par les employeurs comme "X semaines de congés payés ou autre". Un changement majeur qui a vu plusieurs figures du patronat bondir de leur chaise et des coups de gueule dans la presse, mais la coalition n'a pas changé son programme et les conditions ont bel et bien été votées. La région est aussi très active auprès des entreprises qui construisent des data centers, ce qui en fait la région pionnière dans le domaine des data centers, avec pour l'instant trente-cinq pour cent des data centers au sein du Royaume de Teyla construits dans la région de Cielochâteau. Tout comme les autres régions, la région finance en grande partie les lignes à grande vitesse qui passeront dans la région. Il s'agit de l'une des régions les plus industrialisées du Royaume de Teyla et la coalition souhaite maintenir ce fait-là. Pour cela, la région pratique des taux bas sur les taxes régionales concernant les entreprises.

La gestion de la coalition par Ronald Nelson est jugée comme crédible par le Mouvement Royaliste et d'Union et ses cadres internes tant au niveau local que régional. Les Royalistes, bien que satisfaits de la coalition et de la gestion par Ronald Nelson, aimeraient voir une autre tête de liste sur la liste de gauche, afin d'éviter des négociations trop complexes lors de la prochaine formation d'un gouvernement régional de coalition. Toutefois, ils négocieront volontiers avec la Gauche et Ronald si ce dernier se représente et si la droite n'est pas la première liste à arriver en tête. Ronald Nelson s'est exprimé pour voir la coalition actuelle reconduite lors des élections de deux mille dix-sept, fermant la porte à une alliance avec les partis centristes afin de rassurer ses partenaires de la coalition.

Ronald Nelson n'a pas annoncé ses intentions pour les élections qui arriveront en deux mille dix-sept. Mais plusieurs personnalités du Mouvement Royaliste et d'Union ont déclaré être intéressées pour diriger la liste régionale en deux mille dix-sept, si Nelson n'y retournait pas. Des déclarations de candidature qui indiquent un bras de fer en interne ? Possiblement, cela reste à surveiller. Côté Les Royalistes, la tête de liste actuelle, âgée de plus de soixante-dix ans, a indiqué prendre sa retraite, ce qui entraînera un processus de primaire pour la tête de liste en deux mille dix-sept, ont déjà annoncé les instances du parti. Les sondages n'indiquent pour l'heure aucun changement brusque dans le rapport de force politique. La victoire devrait se jouer durant la campagne électorale.


<<< Retour à la table des matières
Haut de page