Création de pays : Fédération Unie de Saguaro
Généralités :
Nom officiel : Fédération Unie de Saguaro
Nom courant : Saguaro
Gentilé : Saguaro, Saguara
Inspirations culturelles : Etats-Unis, Mexique, Amérique Latine.
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Anglais, Espagnol.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Français, Latin, Evera/Everia
Drapeau :

Devise officielle : « Le Soleil guidera nos pas »
Hymne officiel :
Capitale : Las Venturas
Population : 18 000 000 d'habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
1. L'ère précoloniale (Antiquité - XVème siècle)
L'histoire du pays démarre il y a des millénaires, avec l'apparition des premières tribus de la région, mais il faut surtout s'intéresser à l'Antiquité et au Moyen-Âge pour observer le développement de ces dernières pour qu'elles se regroupent finalement autour de quatres groupes principaux, tous descendants de la même ethnie, se répartissant sur un territoire ressemblant plus ou moins à celui indiqué sur cette carte :
(carte à faire)
Les deux tribus locales principales étaient les Akechetas (à l'Ouest) et les Anaspearo (au sud-est, près de la côte). Sur le reste du territoire se trouvaient des plus grandes communautés natives ne s'étendant pas qu'au Saguaro actuel, comme les Hamajaks (au Nord-Est et au Nord-Ouest), mais aussi des Chumashs et Chinooks (au Sud et sur la côte Ouest, ayant plus ou moins un pouvoir de souverain sur les Akechetas).
Les tribus des Hamajaks et des Chumashs avaient tout de même une bien plus grande influence sur le territoire que les tribus locales, moins étendues, moins riches et surtout moins puissantes, mais qui ont quand même laissé un héritage important sur la culture native du pays, car elles sont la fierté locale, étant donné qu'encore aujourd'hui, des descendants de ces tribus subsistent et les Anaspearo ont même laissé leur nom à un des états du pays, au Sud-Est. Mais ces tribus n'ont que peu d'incidence sur l'histoire du pays, car tous ce qu'elles ont apportées et inventées, sera détruit et ravagé par la colonisation.
2. Colonisation et exploitation du territoire (XVème - fin XVIIIème)
Très vite, lors de la colonisation, au XVème siècle, les premiers colons mirent le pied à terre sur le territoire actuelle de l'état de Newland, au Nord-Est, d'où le nom qu'il possède, donné par les colons anglophones qui ont nommé le territoire "Newland", soit "Nouvelle-Terre", car il s'agissait d'un territoire totalement inconnue car caché derrières les montagnes et les terres arides du sud de Westalia. Très vite, le territoire fit l'objet d'une concurrence rude entre deux puissances coloniales : une anglophone et le Guadaires, qui ont chacun marqué le territoire, car bien que la partie Guadaros était plus grande et étendue, elle possédait moins de ressource exploitable car il s'agissait principalement de régions arides et/ou montagneuses, avec des ressources inexploitables à l'époque, tandis que sur les côtes, les exploitations agricoles fleurirent, grâce à la présence de pluies abondantes grâce au climat tropical de la région et de ses plantes jusqu'alors inconnues ou seulement exploitables en Aleucie comme la canne à sucre, tandis que de l'autre côté de nombreuses ressources minières comme l'Or et l'Argent présents en abondance dans les régions montagneuses.
Très vite ces colonies se sont enrichies, et ont échangé, que ça soit des échanges économiques, territoriaux, pour aller jusqu'aux échanges de violence par plusieurs guerres et batailles ayant eu lieu tout au long de la période où les colonies existaient, dû à des rivalités économique et territoriales, massacrant toujours plus les autochtones et la flore locale par la violence des affrontements, mais très peu de batailles sont vraiment notables car quasiment aucune d'entre elles n'a abouti à de vrais changements quels qu'ils soient. Pour observer des quelconques signes de rébellions significatives et importantes, et de vrais volontés d'indépendance, il faut attendre le XIXème siècle.
3. Révoltes, tensions, et indépendance (XIXème siècle)
Pour observer les premiers mouvements indépendantistes, il faut attendre le début du XIXème siècle pour observer les premiers mouvements d'indépendance réellement impactants et importants, principalement lancé par les propriétaires anglophones, excédés des taxes et de la trop grande importance des exportations, ainsi que des tensions avec les autres puissances coloniales, qu'ils trouvaient trop influents et agressifs, envers eux, car les uns les autres se rejetaient la faute de qui a démarré les conflits. Ils utilisaient la cause des natifs et se dressaient en défendeurs de la liberté pour réclamer une indépendance, peu importe les moyens, alors qu'en vérité ils restaient des propriétaires de plantations comme les autres. Au final, aucun conflit n'a eu lieu et la métropole a cédé au bout de plusieurs longs mois où ils ont immobilisé les plantations et cessé les exportations, déclarant officiellement l'indépendance de l'Etat d'Eastalia. Au final, on se rendit bien compte que rien n'avait changé, et que le territoire n'était qu'un territoire satellite de la métropole, sous grande influence, sans liberté, et sans aucun changement, si ce n'est celui de pouvoir dire "nous sommes indépendants". Alors, vers la moitié du XVème siècle, pour montrer "l'exemple" et exposer aux Eastaliens leur puissance et leur capacité à être indépendants, les autres colonies se sont réunies pour obtenir leur indépendance et créer un semblant de démocratie, toujours mieux que le modèle colonial d'Eastalia, montrant leur souveraineté. Le territoire resta scindé en deux durant des décennies, avec des batailles anodines régulières n'aboutissant jamais à rien. Alors que la fin du XIXème siècle approchait à grand pas, les représentants respectifs des deux nations se rendirent à l'évidence que cette situation tumultueuse ne pouvait pas durer, et des accords furent signer en 1889 et le pays fut enfin unifier en un seul territoire : il s'agissait de la première forme de la République de Saguaro.
4. Histoire moderne (1889-Maintenant)
Très vite, une sorte de "scission" eut lieu, entre d'un côté, les hispanophones, revendiquant l'héritage colonial Guadamos, vivant de l'exploitation des ressources minières, relativement pauvres, mais se revendiquant comme les vrais Saguaros car fondateurs de la paix et du modèle démocratique, tandis que les anglophones eux, vivent majoritairement sur la côte et les plaines, dans de meilleures conditions. Encore aujourd'hui, cette fracture est très présente et encore visible de nos jours, avec une forte discrimination, des tendances politiques très différentes en fonctions des régions et de leur appartenance aux hispanophones ou aux anglophones, montrant encore aujourd'hui la cassure, exposant que le Saguaro n'est qu'une couverture pour cacher la division puissante entre les deux parties. Entre temps, grâce à la découverte de nouvelles ressources minières et des énergies fossiles dans les canyons, montagnes et déserts, majoritairement hispanophone. Aujourd'hui exploitées, ces ressources ont grandement contribué à l'enrichissement du pays, et à renforcer l'opinion des hispanophones qu'ils sont supérieurs. En résumé, le Saguaro est d'apparence un pays uni et démocratique, mais en réalité, il s'agit d'une nation remplie de divisions, de discriminations, et surtout, de corruption dans la politique, bien qu'aucune affaire n'ait encore éclaté grâce aux étouffements successifs des affaires, qui n'ont été ébruités que durant quelques jours avant de tomber dans l'oubli, témoignant encore plus de la difficulté du pays pour instaurer une vraie démocratie et une vrai identité nationale.
Mentalité de la population :
La population a une mentalité très différente en fonction des endroits, avec énormément de contrastes : sur la côte, la population est assez ouverte d'esprit et accepte facilement tout le monde sans grande discrimination, d'où la forte diversité culturelle là-bas, tandis que dans les immenses villes minières, pétrolières, et industrielles du désert, la population se revendique de l'héritage colonial et présente tout l'inverse : une hostilité à l'égard des autres religions, ainsi que des autres ethnies et cultures : ils sont là pour rester traditionnels et respecter l'héritage colonial.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion n'est étonnamment pas si présente que ça dans la société Saguara : seuls 19 % de la population est croyante, une majorité tournée vers le christianisme malgré la présence de populations, musulmanes et protestantes en grande quantité, et aussi orthodoxes et juives en plus petite part. L'état quant à lui est totalement laïque : il respecte toutes les religions, et n'en discrimine aucune (en tout cas officiellement, car officieusement, une grande discrimination envers les populations musulmanes et protestantes qui sont défavorisées et discriminées assez souvent par les partis de droite et d'extrême droite)
Politique et institutions :
Institutions politiques :
La Fédération est divisée en Etats Fédérés, au nombre de 15, dont voici une carte :

Chaque état est dirigé par un gouverneur qui est une sorte de "président" qui ne prend des décisions qu'à l'échelle locale. Il est lui-même entouré d'une sorte d'assemblée dont le nombre de députés varie en fonction de la population des états : plus un état est peuplé, plus il aura de députés, et grâce à ces assemblées locales ; il y a déjà des prises de décisions à l'échelle des états, sachant que ces assemblées elles-mêmes se réunissent une semaine par mois, pour prendre des décisions à échelle nationale.
Principaux personnages :


Politique internationale :
Le pays est globalement assez ouvert et ne refuse aucune rencontre / aucun lien diplomatique, sauf avec des pays sans libertés ou des pays trop extrêmes sur certains bords politiques.