13/04/2016
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Bonjour, vous êtes bien au

Ministère des Relations Internationales
de la République de Poëtoscovie

SECTION DES DÉCLARATIONS DIPLOMATIQUES & COMMUNIQUÉS DE PRESSE

Vous retrouverez ici l'ensemble des déclarations officielles à destinations des ambassadeurs à Hernani-centre ainsi que des communiqués de presse officiels et destinés aux journaux internationaux.
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Déclaration diplomatique


Le présent Communiqué officiel est à destination de l'ensemble des Ambassadeurs présents à Hernani-centre.


Mesdames, Messieurs,

Estimés diplomates du monde entier,

La Poëtoscovie, vous le savez, s'est livrée à des essais de missiles, lesquels se sont principalement montrés concluants. Plus largement, Monsieur le Président de la République a pris mon décision, en tant que Chef des armées, de s'assurer de la souveraineté des eaux territoriales de la Poëtoscovie ainsi que de sa zone économique exclusive. Aussi me dois-je de vous annoncer qu'il sera désormais possible pour tout navire passant au large des côtes Poëtoscoviennes, ou entre la Poëtoscovie Continentale et la Poëtoscovie Insulaire, d'être contrôlé par la Marine de Poëtoscovie.

Ces contrôles ne doivent pas être perçus comme agressifs. Ils n'interviendront que de manière ponctuelle ou dans le cadre d'enquête sur les narco-trafics, car nous savons que parmi la marchandise importée au Nazum, un grand nombre passe par les océans du Nord (lorsqu'ils ne sont pas gelés), la présence militaire de grandes puissances y étant moins fortes qu'en Eurysie, ou, bien évidemment, dans le détroit entre l'Eurysie et le Nazum. Si vous n'êtes pas l'un de ces États-voyoux qui vous enrichissez sur le dos d'autres Nations grace à des trafics implantés, ces mesures ne sauraient alors que vous être bénéfiques.

Par ailleurs, la pêche sur la zone économique exclusive (ZEE) de la Poëtoscovie est dès lors interdite, comme l'extraction de toute ressource naturelle. Seuls les bâteaux sous les registres Poëtoscoviens seront désormais autorités à l'exploitation de la ZEE. Sans considération de nationnalité, les navires ne respectant pas les règles Poëtoscoviennes seront saisis, et leurs équipages placés en rétention jusqu'à un jugement en Poëtoscovie ou, sur demande de leur État d'origine, une extradition à l'étranger.

Enfin, concernant le fait que la Poëtoscovie puisse d'ores-et-déjà être considérée comme une puissance ayant un capacité d'action immédiate intercontinentale via frappe balistique a fait l'objet de déclarations publiques pour le moins inappropriées de la part d'homologues. J'aimerais rappelé à chacun que tout État est libre de faire ce qu'il souhaite dans le respect des principes internationaux fondamentaux. Dans la continuité de cette politique de maîtrise de notre territoire maritime, et plus largement dans le cadre de la modernisation de notre armée, la Poëtoscovie a massivement investi dans le domaine militaire dernièrement. En outre, je souhaite réaffirmer ici que nous aspirons à la paix. Certains semblent en douter, je l'entends, mais nos armes n'ont-elle jamais eu d'autre utilité que la dissuasion ? Est-ce vraiment à la Poëtoscovie que l'on pense, lorsqu'il s'agit d'hostilité ? Je ne le crois pas, car toujours nous avons préféré le dialogue, cela ne changera pas, et aussi parce qu'il me semble que notre histoire dément cette réputation de violence que certains chercheraient à nous imposer.

Il est bien simple de nous accuser de mille maux, mais nul ne saurait, je suis tout à fait persuadé, me citer une fois où la position de la Poëtoscovie n'a pas été celle de la mesure.

Car je suis certain que la plupart d'entre vous, chers représentants, comprendrez mon propos, je vous prie de rammener auprès de votre supérieur direct, mon homologue, voire de vos Chefs d'État, mes amitiés les plus sincères.

La Poëtoscovie sera toujours enclin a construire avec quiconque un grand avenir pour le monde, et quoi que puissent en dire certains États dont on ne sait plus s'ils sont voyoux ou jaloux, soyez assuré de notre indeffectible soutien dans toute entreprise qui aurait pour objectif premier la stabilité.

Avec tout le respect de que vous dois.

Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.


Signé à Hernani-centre, le 16 novembre 2015.
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Discours
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CONFÉRENCE DES AMBASSADRICES ET AMBASSADEURS


Dans le cadre du Hall des Ambassadeurs, l'ensemble des Ambassadeurs présents à Hernani-centre ont été conviés au Palais des Peuples - siège du pouvoir exécutif.


Retrouvez ci-dessous la retranscription des discours prononcés par le Ministre des Relations Internationales, Monsieur Piotr Vassia.


Mesdames, Messieurs,

Estimés ambassadrices et ambassadeurs,

Estimés diplomates en vos titres et fonctions,

J'espère que vous vous plaisez à Hernani-centre, et que quoique le froid rende ici la vie plus difficile que dans certains autres pays, vous appréciez de manière générale la manière de vivre en Poëtoscovie.

Pour la première fois, j'ai souhaité en tant que Ministre des Relations Internationales que nous nous réunissions tous ici, et ai donc convoqué le "Conférence des Ambassadrices et Ambassadeurs". À cette occasion, j'espère pouvoir vous expliquer la politique internationale de la Poëtoscovie dans les années à venir. Comme on vous l'a sans doute déjà expliqué en arrivant, à la suite de ce discours nous nous retrouverons en salle de conférence afin d'échanger, et je m'engage alors à répondre à chacune de vos questions dans le temps qui nous est donné.

Dans un premier temps, alors que nombre de conflits voient le jour partout autour du globe, en particulier en Afarée, je souhaitais avoir une pensée pour l'ensemble des victimes, civiles et militaires, que cela a engendré. La Poëtoscovie a toujours et sera toujours partisane d'auto-détermination des peuples. Tout État ne doit fonder sa légitimité que dans la volonté des populations de faire Nation, afin qu'il soit pleinement libre, indépendant et souverain. Aussi est-ce en ce sens que la Poëtoscovie s'est employée à lutter contre des ingérences sur différents territoires, notamment en Antegrad où, forts de posséder les services de renseigment les plus performents au monde, nous avons su aider un État partenaire.

Sur la scène internationale, il serait vain de faire comme si la Poëtoscovie avait une place banale. Nous avons pu commettre quelques impairs diplomatiques, dont nous nous excusons, lesquels nous ont valus une forme d'autarcie de toute relation internationale, du moins pour un temps. C'est justement afin de clôre ce chapitre de la diplomatie Poëtoscovienne que je souhaite aujourd'hui procéder autrement. Aussi prioriserons-nous désormais le multilatéralisme dans les prises de décisions de la Poëtoscovie en terme de politique internationale, car nous considérons que la concertation est essentielle afin de pouvoir bâtir un monde juste.

Dans cette optique, la Poëtoscovie a tout d'abord souhaité s'ouvrir au reste du monde. Avec 38 ambassades de Poëtoscovie dans le monde, nous pouvons d'ores-et-déjà considérer que ce processus a été amorcé, mais il me semble qu'il faudrait aller encore plus loin dans cette démarche et réussir à mettre en relation tous les acteurs internationaux majeurs autour d'une même table. Certaines tensions existent, il est vrai, et la Poëtoscovie n'y échappe pas, mais nos pensons que s'ignorer mutuellement n'es pas le meilleur moyen de résoudre les problèmes continentaux ou intercontinentaux qui se présentent à nous. Vélèsie, Jashuria, Osno : voici autant d'États avec lesquels la Nation Littéraire a parfois eu des différends, mais nous restons évidemment prêts à travailler ensemble dans des intérêts communs et des convictions qui nous sont propres à chacuns.

Vous l'aurez compris, se réunir ensemble pour parler des grands sujets nous semble indispensable. En tant qu'Ambassadrices et Ambassadeurs, je ne puis que vous encourager à pousser les Ministres auxquels vous êtes rattachés à participer aux délibérations du Tribunal International, aussi déisgné sous les initiales TI, lequel a besoin d'un investissement de l'ensemble des acteurs internationaux si nous voulons oeuvrer pour un monde avec une justice dont l'exercice va au-delà des frontières. Pour rappel, parce que cela avait donné lieu à de nombreuses polémiques dès la création du TI, ce dernier est une juridiction internationale dont la valeur n'est pas contraignante pour les États, et qui doit permettre de condamner les auteurs de crimes de guerre et crimes contre l'Humanité dans des pays souhaitant s'en remettre à une instance internationale apartisane, par volonté de mutlilatéralisme quant au jugement des pries crime, comme dans le cas du Wazackstan, ou par incapacité soi-même de juger correctement les accusés, par exemple dans le cas des responsables des crimes perpétrés au Diambée.

Je me dois également de faire un point sur les activités militaires de la Poëtoscovie, lesquelles ont suscité chez beaucoup de mes homologues des réactions témoignant d'une incompréhension que je ne puis que comprendre. La République de Poëtoscovie est souveraine, et peut tout à fait sur son propre territoire procéder notamment à essais de missiles. Nous ne sommes pas les premiers à le faire, et nous l'avons toujours fait dans le respect des volontés des puissances étrangères, notamment des pays limitrophes de la Poëtoscovie qui n'ont jamais émis à quelque commentaire ou témoigné de quelque réticence. Concernant maintenant les bases militaires Poëtoscoviennes à l'étranger, la Poëtoscovie a en effet procédé à l'établissement de deux bases militaires sur un sol étranger : la première, navale, en Chandekolza ; la seconde, aérienne, dans le désert où la Cité du Désert est souveraine. Dans ces deux cas, nous avons respecté nos engagements, tant vis-à-vis de nos hôtes que des puissances qui en sont proches. Quelques rumeurs prétendraient toutefois que nous souhaiterions installer des édifices, silos ou rampes de lacements, qui puissent envoyer des missiles balistiques. Sachez qu'il n'a jamais été question pour la Poëtoscovie l'installer de type d'infrastructure.

Par ailleurs, à la suite de la constroverse qu'à suscité le fait que la Marine Poëtoscovienne soit déployée entre deux territoires Poëtoscoviens - la Poëtoscovie Continentale et la Poëtoscovie Insulaire - notamment auprès de l'Association pour la Libre Circulation sur les Océans (ALCO), je souhaite rappeler que les navires étrangers et Poëtoscoviens ne s'aventurent près du littéroal où s'effectuent les contrôels dans cet espace maritime généralement que pour y atteindre nos côtes, et que certains d'être eux y délivrent des marchandises illégales, telles que des drogues dures, ou encore s'affranchissent de toute taxe douanière. Bien évidemment, la part de navires contrôle est immensément faible, et cela ne survient que sur des embarcations au comportement suspect. Comme preuve de notre préoccupation du multilatéralisme concernant les décisions opérées sur un bien commun, tel que l'océan - bien que cela ait lieu sur notre ZEE -, la Marine Poëtoscovie est tout à fait disposée à accueillir des observateurs internationaux de l'ALCO, et nous pouvons même, sur la demande de l'organisation s'ils éprouvent une quelque crainte à l'égard de notre régime, leur délivrer une immunité diplomatique qui leur permettrait une objectivité inébranlable.

En outre, la coopération internationale entre les acteurs étatiques devant nécessairement avoir lieu pour être à la hauteur des grands enjeux contemporains, la Poëtoscovie ne saurait qu'appuyer la décision de former différentes organisations. Il nous paraitrait pertinent que les États de l'Arctique se regroupent car si nous sommes loin dans une projection de mercator, nous sommes en réalité bien plus proches l'un des autres que nous ne le pensons, et il devient alors intéressant de se concerter afin d'ouvrir une discussion, quoique cela ne signifie en rien abandonner, pour chaque État, ses convictions personnelles. Sur le même schéma, le Nazum a encore beaucoup à faire pour affronter ensemble les défis que lui présentent l'avenir, et l'idéal évident de la Poëtoscovie resterait l'élaboration d'une organisation internationale où tous se retrouveraient et qui permettraient à tous les acteurs internationaux - États, organisations internationales, organisations non-gouvernementales - de construire le monde de demain dans le dialogue.

Mesdames, Messieurs, j'espère de tout coeur avoir été conforme à vos attentes, et attends avec une impatience que j'ai peine à dissimuler toutes vos questions.
Monsieur Piotr Vassia,
Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.


À Hernani-centre, le 18 décembre 2015.
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Déclaration officielle
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ATTENTATS À VOJVOGRAD


À la suite des attentats touchant le Morakhan, le Ministre des Relations Internationales s'exprime face à la presse.


Retrouvez ci-dessous la retranscription des discours prononcés par le Ministre des Relations Internationales, Monsieur Piotr Vassia.


Mesdames, Messieurs,

Estimés frères du Morakhan,

Estimées familles des victimes,

J'ai appris, il y a quelques instants et avec une certaine stupeur - que je ne saurais vous dissimuler - quels actes ont touché le Morakhan. Quatre terroristes, au moyen d'un avion, ont donné la mort à près de trois milliers de civils innocents.

J'aimerais alors, en tant que responsable de la politique internationale menée par la Poëtoscovie, exprimer mes sincères condoléances à tout le peuple Mor qui, j'en suis sûr, est meurtri de ces actes barbares, et plus partulièrement aux familles des victimes.

Bien évidemment, les autorités Poëtoscoviennes sont prêtes à coopérer avec tout autre État dans l'objectif de se protéger contre un terrorisme dont, dès à présent, la lutte doit figurer au coeur de nos priorités. La Poëtoscovie elle-même avait été touchée, il environ un an. Aussi puis-je parler ici en connaissance de cause. Nous connaissons les répercussions sociales et politiques de tels crimes, et c'est pourquoi j'affirme, au nomdu gouvernement Poëtoscovien, tout le soutien de la Nation à nos frères et soeurs du Morakhan.

L'objectif de tels actes me parait être d'une transparence éclatante : déstabiliser l'ordre établir tout au moins dans une région du monde. C'est pourquoi la Poëtoscovie annonce que dans l'éventualité de tels agissements sur son sol, ou à la suite de faits analogues ouvrant des discussions à ce sujet, elle ne cédera rien, ni la paix, ni les droits des peuples. L'on voudrait rendre inconciliables sécurité et liberté, et il est vrai qu'il est parfois - pour ne pas dire souvent - difficile de faire rimer l'un avec l'autre, mais c'est justement de cela qu'il retourne, et ces enjeux devront demeurer au coeur des préoccupations internationales, de sinon devenir l'un des grands pilliers d'une coopération inter-étatique.

Toutefois, je ne pense pas qu'il soit souhaitable de mener, par revanche voire vengeance, de guerres sans véritable but sinon celui d'anéantir médiatiquement l'ennemi. Aucune justification ne saurait être apportée à une quelque "destruction" évoquée par le pouvoir Mor, car il est incontestable que trop de sang a déjà coulé.

Recevez, frères et soeurs Mors, l'expression de toute l'affection venue de la Nation Littéraire.
Monsieur Piotr Vassia,
Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.


À Hernani-centre, le 5 janvier 2016.
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Communiqué de presse
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DÉMISSION DE L'AMBASSADEUR DE POËTOSCOVIE AU NOVYAVIK


Communiqué de presse transféré aux autorités du Novyavik.


Mesdames, Messieurs,
Il est vrai que le Novyavik n'a pas inscrit la Poëtoscovie parmi les invités à ce sommet, quoiqu'il la concernait pleinement étant donné le sujet à l'ordre du jour, du moins ne l'était-elle pas moins que d'autres États présents, tels que la Vélèsie.

Dans ce contexte-là, l'Ambassadeur de Poëtoscovie au Novyavik s'est expliqué auprès du pouvoir en place pour exprimer l'intérêt du Ministère des Relations Internationales Poëtoscovien. Il y a été entendu, et je transmets, de la part du Gouvernement, nos sincères remerciements pour cet acte témoignant de leur volonté d'établir des relations stables et courtoises entre nos deux Nations.

Toutefois, n'ayant pas obtenu de réponse claire et précise de la part du pouvoir Novais, l'Ambassadeur de Poëtoscovie, sans ordre donné par la hiérarchie, a cru bon ou du moins utile de se présenter au Sommet qui avait lieu. N'étant, à aucun moment, arrêté par le dispositif de surveillance du lieu, il s'est positionné en observateur du Sommet ce qui a, le Gouvernement Poëtoscovien en a conscience, suscité certaines interogations. L'ambassadeur en question, agissant sans contact direct ou indirect avec Monsieur le Ministre des Relations Intérnationales, a pris le parti de rester sur place et ne répondre à aucune invective.

Le Ministère des Relations Internationales rappelle, avec la plus grande fermeté, que de tels agissements ne sont en rien conformes aux procédures diplomatiques de la Poëtoscovie, et qu'un tel comportement ne doit en aucun cas être reproduit, de peur d'affecter la crédibilité du corps des diplomates Poëtoscoviens sur la scène internationale.

À la suite d'une demande, formulée par la dictature de Vélèsie, le Novyavik a éconduit l'Ambassadeur, lequel s'y est plié. Ce n'était pas une erreur : c'était une faute. Monsieur le Ministre des Relations Internationales en a pleinement conscience et s'engage à avoir une discussion avec le pouvoir Novais si celui-ci le demande. Toutefois il parait important de souligner de caractère inquiétant de l'obéissance de l'État du Novyavik à un État tel que la Vélèsie qui, nous le savons, n'est pas irréprochable sur le plan diplomatique. Nous parlons évidemment de l'exécution du personnel d'ambassade Poëtoscovien par le régime Vélèsien, laquelle n'a jamais été remise en cause par quiconque, mais qui, apparemment, n'a jamais porté atteinte non plus à la réputation de la Vélèsie puisqu'elle siège encore à des sommets internationaux dans lesquels la Poëtoscovie n'a pas été invitée.

Comprenant avoir commis un fait grave sur le plan diplomatique, l'Ambassadeur de Poëtoscovie s'est rendu à Hernani-centre auprès de Monsieur le Ministre des Relations Internationales pour lui présenter sa démission, lequel l'a accepté. Un nouvel Ambassadeur, sauf demande contraire de l'État du Novyavik, sera nommé sous peu pour assurer le poste qui, d'ici-là, est exercé par l'adjoint de l'Ambassadeur de Poëtoscovie démissionnaire au Novyavik.

Merci pour votre attention.
Porte-parole ministériel,
Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.


À Hernani-centre, le 8 janvier 2016.
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Déclaration commune
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LE CONFLIT AU GONDO


Reprise de ce poste dont la République de Poëtoscovie est signataire.


Nous, dirigeants du

Le Royaume de Teyla, les Syndicats-Unis de Zélandia, le Royaume-Uni de Caratrad, la Principauté de Saint-Alban, le Saint-Empire Menkelt, le Saint-Empire de Karty, l'Empire du Nord, la M.I.C.E. du Valinor, le Monastère de Bergrun, la République d'Hotsaline, le Royaume Constitutionnel du Valkoïnenland, la République Translavique, l'Etat communiste de Themiasme, la Troisième République de Jashuria, le Grand Beylicat Aykhanide, la République de Poëtoscovie, le Califat constitutionnel d'Azur, la République de Banairah, le Tamurt N'Althaj, l'Union d'Afarée du Sud, la République Fédérale du Bulistan, la Fédération Centrale d'Antegrad, la R.A.C. d'Ëdango, la République de Sainte-Marquise, la R.A. de Port-Hafen, la Grande République de Westalia, la République de Lermandie, le Royaume de Xartez, la Fédération de Yukanaslavie, la Fédération maximiliane et le Duché de Sylva

réaffirmons notre engagement indéfectible à l’égard de l’objectif d'un cessez-le-feu et de la paix au Gondo. La situation actuelle des reprises des combats après les accords d'Icemlet s'est rendue intolérable. Cette situation menace la stabilité régionale ainsi que les populations civiles qui en subiront les conséquences. Les actions illégales menées, amenant à la rupture des accords d'Icemlet par les belligérants, constituent une menace pour la paix et la sécurité internationales, une violation flagrante des accords d'Icemlet.

Nous rappelons que les accords d'Icemlet ont posé les bases d’un échange nécessaire entre les parties en conflit et qu'un retour à la table des négociations de toutes les parties reste un élément essentiel pour le retour de la paix au Gondo. Le gouvernement de la République Libre et Démocratique du Gondo, ses alliés et son Président Didier Flavier-Bolwou, les forces rebelles de l'Armée Démocratique et leur général Yannick Sangaré, et les forces rebelles du Mouvement de Libération Likra et leur leader Patience Anihilé-Sangwa, devraient instaurer une trêve et se réunir en compagnie d'Etats internationaux garants des débats, pour enfin discuter sur un accord de paix durable. En ce sens, nous appelons à un cessez-le-feu dans les plus brefs délais et à une entente cordiale autour d'un retour aux accords d'Icemlet ou autour d'un nouveau format de discussion avec l'accord de chacune des parties.

L'ouverture des discussions doit reprendre dans les meilleurs délais afin que le conflit n'entraîne pas plus de morts et un appauvrissement toujours plus conséquent du Gondo et de ses habitants. Nous demandons aux parties de faire preuve de responsabilité et de recul face à la situation et de s'engager dans un processus aboutissant à un accord de cessez-le-feu pour parvenir à une paix durable, au nom de l'intérêt supérieur de la nation gondolaise, et de ceux qui, victimes de la guerre, sont auprès de Dieu le Tout-Puissant, qu'Il leur fasse miséricorde.

Nous, Le Royaume de Teyla, les Syndicats-Unis de Zélandia, le Royaume-Uni de Caratrad, la Principauté de Saint-Alban, le Saint-Empire Menkelt, le Saint-Empire de Karty, l'Empire du Nord, la M.I.C.E. du Valinor, le Monastère de Bergrun, la République d'Hotsaline, le Royaume Constitutionnel du Valkoïnenland, la République Translavique, l'Etat communiste de Themiasme, la Troisième République de Jashuria, le Grand Beylicat Aykhanide, la République de Poëtoscovie, le Califat constitutionnel d'Azur, la République de Banairah, le Tamurt N'Althaj, l'Union d'Afarée du Sud, la République Fédérale du Bulistan, la Fédération Centrale d'Antegrad, la R.A.C. d'Ëdango, la République de Sainte-Marquise, la R.A. de Port-Hafen, la Grande République de Westalia, la République de Lermandie, le Royaume de Xartez, la Fédération de Yukanaslavie, la Fédération maximiliane et le Duché de Sylva

rappelons notre attachement à des négociations sincères et équitables, conformes seulement aux intérêts du peuple gondolais. Une solution durable ne peut être convenue que si les préoccupations légitimes de chacune des parties sont entendues et respectées par les accords d'Icemlet. Nous refusons toute ingérence dans cette discussion, pour laquelle nous ne serions que des facilitateurs ; cette discussion appartient aux Gondolais.


À Hernani-centre, le 8 janvier 2016.
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Communiqué de presse
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RETRAIT DES MISSILES POËTOSCOVIENS AU CHANDEKOLZA


Communiqué de presse émis par le département interministériel sur la politique militaire extérieure de la République de Poëtoscovie, sous le contrôle de Monsieur le Ministre des Relations Internationales et Monsieur le Ministre de la Défense.

Le présent communiqué a été transmis aux autorités du Chandekolza et à celles du Jashuria.


Mesdames, Messieurs,
Les tensions internationales, sur l'ensemble du globe, trahissent ou du moins présagent un avenir sombre quant à l'avenir de la diplomatie. La Poëtoscovie, quoique renforçant considérablement son arsenal notamment balistique pour des raisons de défense nationale, rappelle son engagement quant à l'établissement d'un dialogue avec les différents acteurs internationaux dans l'objectif de lâcher le fusil pour la plume. Toutefois, une telle volonté ne doit pas être celle d'un État, mais bien celle d'un fragment conséquent de la communauté internationale. De nombreux États priorisent aujourd'hui les négociations sur l'intimidation, et la République de Poëtoscovie continuera de travailler en ce sens comme elle a pu le faire avec différents partenaires internationaux tels que l'Azur, la Cité du Désert ou encore Karty.

Concernant le Nazum, la Poëtoscovie s'est également retrouvée au cœur d'un large processus de diffamation quant à son implication humaniste sur la scène internationale par certains États voisins. La République de Poëtoscovie tient officiellement à rappeler que cela n'est pas acceptable et qu'elle a toujours été ouverte à la discussion si certains actes commis en termes de politique extérieure contrevenaient à l'idée que certains États se faisaient de l'aide humanitaire internationale. Nous invitons donc l'ensemble des États étrangers, dans un souci d'apaisement des différentes tensions préexistentes et d'une amélioration des conditions d'intervention humanitaire, à ne pas relayer des allégations trompeuses ayant pour objectif de jeter le discrédit sur la République de Poëtoscovie.

En outre, la République de Poëtoscovie a pu observer la cessation de toute tentative d'intimidation diplomatique ou militaire de la part du Jashuria et au sujet du Chandekolza. Au nom du Gouvernement, j'exprime ici notre soulagement, notre satisfaction et nos plus sincères remerciements à nos voisins. Nous avons conscience que la présence de missiles mer-sol entreposés sur une base maritime non loin de vos côtes puisse vous interroger quant à la garantie de la sécurité jusque sur votre territoire national. Toutefois, il est important de rappeler que la base concernée ne possède aucun moyen de lancement de ces missiles, qui, je le rappelle, sont uniquement entreposés ici et ne peuvent être tirés que depuis les eaux. Les premiers messages envoyés par les autorités jashuriennes relatifs à la conception d'un compromis ont été agressifs et menaçants. Nous regrettons sincèrement que nos rapports aient dû en arriver là. Dans ce contexte, il était impossible pour la République de Poëtoscovie de céder, car nulle puissance étrangère ne saurait exercer sur nous une forme d'emprise à base de chantage et d'hostilité manifeste.

Cependant, le retrait du Jashuria dans les activités de la Poëtoscovie tend à faire reconsidérer la question du Jashuria et de ses demandes. Considérant que le Jashuria a, comme demandé, cessé de menacer ou de se présenter comme hostile à la Poëtoscovie, considérant le stockage de missiles mer-sol comme n'étant pas nécessaire sur la base Sandro et considérant qu'un apaisement diplomatique ne saurait qu'être bénéfique au Nazum, auquel nous tenons et souhaitons rappeler notre attachement, Monsieur le Ministre des Relations Internationales et Monsieur le Ministre de la Défense ont pris la décision de faire se retirer de l'île l'ensemble des missiles qui s'y trouvaient. Ce retrait a été effectué dans la nuit du 7 avril au 8 avril 2016, et les produits concernés ont regagné la Poëtoscovie Continentale selon des modalités conservées secret-défense.

Le Gouvernement espère que cette main tendue au Jashuria lui permettra de reconsidérer à son tour le point de vue adopté à l'égard de la Nation Littéraire en vue notamment de potentiels projets continentaux.

D'autre part, la Poëtoscovie s'engage dès à présent dans une démarche d'aide humanitaire soutenue au Chandekolza sur les plans sanitaires, dont alimentaires, et culturels, dont éducatif. L'objectif clairement affiché est de permettre une autonomie à la région en la dotant d'infrastructures nécessaires à la satisfaction des besoins de la population par l'État qui en a la charge. Nous espérons que les différents États impliqués dans la région sauront également contribuer en partenariat avec les acteurs déjà engagés sur la zone.

Nous rappelons la tenue d'une conférence de presse à ce sujet et au sein de laquelle les différentes délégations journalistiques étrangères sont les bienvenues.

Merci.
Porte-parole interministériel,
Ministère des Relations Internationales,
Ministère de la Défense,
République de Poëtoscovie.


À Hernani-centre, le 10 avril 2016.
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