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Jeu de simulation géopolitique
16/03/2017
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Nozrix
📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
20 fév. 2025 à 01:54:05
69
Base d'un article :
[quote=Presse nationale]Txt[/quote]
[hr]
[center][img=https://i.postimg.cc/KjMVTq04/Press.png]Image typique du journal[/img][/center]
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
27 fév. 2025 à 11:28:07
1623
Presse nationale
a écrit :
La Grande Presse Nationale :
Meurtre du plus grand fournisseur de viande bovine de l'Altrecht :
Résumé des faits :
En la belle journée du huit décembre deux mille quinze, un cadavre a été retrouvé dans les rues de la grande ville de Waldstein. Il semblerait d'après les premiers éléments récoltés par nos journalistes via des témoins ayant prévenu l'Inquisition que la victime soit Viktor Albrecht, le plus puissant dirigeant de la filière bovine du pays. Il semblerait avoir été assassiné de trois coups de poignard, un coup derrière le dos au niveau du cœur, un autre coup cette fois au niveau de la gorge par l'arrière du cou et enfin un dernier coup au niveau du haut du crâne. Cet acte a été commis dans une ruelle enneigée de la ville, durant la nuit. Il n'a été retrouvé que dans les alentours de 7 heures 04 du matin. D'après les citoyens de la ville, cette zone de la ville était malfamée et destinée aux voyous les plus vils. C'est donc une surprise de le voir dans cet endroit, lui, un homme d'honneur et fidèle de la couronne.
Théorie :
Après l'analyse de nos experts, il semblerait non seulement que la police refuse de communiquer des informations sur l'affaire. Nous préciserons donc que notre théorie est à prendre avec des pincettes pour le moment. Nous pensons que monsieur Viktor Albrecht était en fait un agent à la solde d'un réseau criminel qui se serait débarrassé de lui quand ce dernier se serait plaint de l'autorisation du gouvernement à laisser une filière étrangère de viande bovine s'installer en Altrecht. Nous supposons donc que cette filière est en lien avec des malfaiteurs et qu'afin de couvrir leurs agissements, ils l'auraient éliminé afin d'éviter toute menace de ce dernier. Maintenant, la question qui se pose est : qui sont ces malfaiteurs qui ont fait les actes cités plus haut ? Quelle sera la réaction du gouvernement sur cette affaire ? Et est-ce la bonne théorie ?
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
04 mars 2025 Ă 14:53:17
2216
Presse nationale
a écrit :
Le danger des entreprises étrangères :
L'enquête de police progressant sur la dernière affaire scandaleuse de meurtre, les enquêteurs ont, dans le but de poursuivre cette dernière, pris l'initiative d’interroger le responsable altrechtois du complexe récemment établi par la société TomaTo Corp. Soucieux d’un travail rigoureux, le commissariat a dépêché l'unité d'élite des forces de gendarmerie, les célèbres Inquisiteurs. Cette unité prestigieuse, s’étant rendue sur place sans encombre, a procédé à l'inspection du complexe, à la saisie de documents ainsi qu’à la mise en garde à vue du responsable pour une durée de 24 à 96 heures dans le cadre de l’interrogatoire.
Une procédure standard, menée sans violence, a permis de faire avancer l'enquête tout en s'assurant de la conformité du complexe avec le traité signé avec l'entreprise TomaTo Corp Wanmiri. Cependant, les rapports émis par l'Inquisition ont conduit à l'arrêt total du complexe en attendant la décision du tribunal national. En effet, ces rapports indiquent qu’un réacteur nucléaire était dissimulé dans le complexe, une machine destinée à accroître le rendement de la production de produits dérivés de viande bovine altrechtoise. Ce réacteur nucléaire était en réalité camouflé dans le traité sous l’appellation "Beno-10", sans aucune précision quant à sa nature.
Une faute grave a ainsi été commise par l'entreprise TomaTo Corp, mais également une trahison de haute importance par le diplomate en charge de la rédaction de l’accord. Une faute qui ne sera pas pardonnée par Son Excellence le Kaiser, qui a ordonné son arrestation dans l'attente d'un jugement pour haute trahison et faute grave.
Le gouvernement se veut cependant rassurant quant à la situation, qui sera réglée dans les prochains jours. Néanmoins, le complexe a été isolé des civils non habilités afin de protéger la population en cas d’incident. Dès les premières observations, le gouvernement a mobilisé des policiers spécialisés dans la lutte contre les menaces nucléaires, une unité rarissime possédant les compétences nécessaires pour contrôler tout type de machine ou d'objet nucléaire.
D'après les premiers rapports diplomatiques, le gouvernement a entamé des pourparlers avec l'entreprise TomaTo Corp, qui restent pour l’instant sans réponse. "Nous soupçonnons là une tentative de déstabilisation du pouvoir central avec l'installation illégale d'une 'bombe à retardement'", a déclaré la Voix de l'Empereur dans un discours officiel.
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
12 mars 2025 Ă 17:07:05
2426
Presse nationale
a écrit :
L'opération "Schwarzer Löwe" :
L'Altrecht, dans une politique de plus en plus ouverte à l'international, se retrouve face à des blocs constitués et difficilement franchissables de différentes parts. C'est dans cette politique d'ouverture que l'effet inverse se produisit : l'Altrecht se retrouve de nouveau isolé sur la scène internationale. Cependant, le récent échange diplomatique avec différentes nations amies montre une tendance qui pousse à s'inverser une nouvelle fois. C'est dans cette situation que l'Altrecht et son gouvernement ont décidé de lancer l'opération "Schwarzer Löwe" ou "Lion noir", une opération nationale visant à s'entraîner en cas de guerre totale contre un autre État ou des États voisins hostiles. Cette opération prouve la capacité de l'Altrecht à gérer et organiser une défense en cas de guerre, dans une dynamique d'infériorité militaire.
Approfondissement du sujet :
L'opération a débuté le quinze janvier deux mille seize à minuit pile. Dans un premier temps, chaque citoyen altrechtois reçut un message d'alerte audio et écrit par téléphone. Le pays tout entier coupa la majorité de l'électricité le temps de 2 heures afin de simuler une attaque, provoquant des situations très différentes pour différents services publics comme les hôpitaux et leur personnel soignant, qui ont été prévenus seulement une heure à l'avance de cet exercice imprévu. En parallèle de cela, l'armée prit position dans les zones sensibles du pays, notamment côtières et à certaines frontières possiblement menacées. La gendarmerie et la police patrouillèrent dans les rues, faisant respecter un couvre-feu organisé de 21 heures à 7 heures du matin, sauf dérogation spéciale autorisée en préalable via le site du gouvernement.
Des combats ont également été organisés de manière fictive avec des équipes de soldats volontaires censées briser le bouclier militaire afin de désorganiser l'armée. Des scènes de guerre ont été simulées directement à l'intérieur de certaines villes, notamment Waldstein et Sankt Arndt, afin de tester les capacités des forces altrechtoises. Le seize janvier à midi vingt-six, les autorités ont fait sonner les sirènes d'alerte de toutes les villes du pays, signifiant pour la population, entraînée depuis son plus jeune âge, de se rendre dans les bunkers sécurisés de l'État, dans les métros, ou encore les sous-sols abrités de tout type, en suivant les procédures de survie en cas de bombardement.
Concrètement, en quelques chiffres :
Mobilisation de l'ensemble des troupes altrechtoises disponibles (c'est-Ă -dire 10 000 soldats)
Mobilisation de l'ensemble des forces de l'ordre disponibles (environ 38 000 policiers mobilisés)
Coût total : 29 000 000 de dollars soit 31 610 000 d'Altmark
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
17 avr. 2025 Ă 16:27:40
3333
Presse nationale
a écrit :
Fin de la crise de Beno-10 :
Suite à un accord passé avec la société TomaTo corp, un réacteur nucléaire fut installé en Altrecht. Une chose pourtant interdite de par la constitution altrechtoise, et le cas du Beno-10 renforce cette décision politique de condamner l'utilisation d'infrastructures nucléaires. En effet, la société TomaTo corp a utilisé le contrat signé avec le Haut-Etat d'Altrecht comme garantie pour installer cette infrastructure formellement interdite par la constitution, mais aussi par ledit traité où il était très clairement écrit que ce dernier était soumis aux lois altrechtoises. Cependant, un meurtre chamboula le pays : le patron de la plus grande entreprise altrechtoise de viande bovine assassiné de nuit en pleine rue. L'enquête se déroulant, les regards de l'inquisition se tournèrent alors vers la société TomaTo corp, qui aurait pu l’avoir assassiné pour faire couler l'entreprise familiale. Cependant, après l'arrestation du directeur du complexe de TomaTo corp, le bilan fut que ce dernier ne savait rien de ce qui se tramait, malgré les méthodes d'interrogatoire douteuses utilisées par l'inquisition altrechtoise, connue pour sa violence physique et psychologique. À la suite de cette garde à vue, le directeur fut relâché en l'espace de 24 heures. Cependant, durant ce laps de temps, l'inquisition a pu légalement pénétrer le complexe afin d’en inspecter les lieux. Le complexe fut fouillé, des documents saisis pour analyse (qui ne donneront rien de concluant à leur sujet), et c'est alors que l'inquisition fit une terrible découverte. La société TomaTo corp cachait dans son complexe un réacteur nucléaire, pourtant illégal sur le territoire. Alors, le gouvernement se saisit de l'affaire et le complexe fut mis à l'arrêt le temps d’éclaircir la situation.
Cependant, la perfide société TomaTo corp lança le mode irradiation du réacteur, un mode de fonctionnement déclenché en cas d'attaque terroriste et étant utilisé afin de continuer à fonctionner malgré les accusations lancées par le gouvernement altrechtois à l'encontre de la société TomaTo corp et de son gouvernement la soutenant. C'est alors qu'une équipe de spécialistes du nucléaire de la police impériale se rendit sur place afin de mettre à l'arrêt le réacteur de force. Après de longues heures puis jours d'acharnement, il est désormais officiel : le réacteur est à l'arrêt total. Cependant, les conséquences néfastes se font déjà entendre. D'après les analystes de l'équipe de police, des fuites de vapeur radioactive se sont échappées du réacteur durant l'opération délicate. On estime alors comme bilan la contamination du sol sur plusieurs kilomètres, la contamination de la nappe phréatique B12-a, ainsi que trois agents contaminés et irradiés.
Le gouvernement, face à l'ampleur de cette crise, a décrété la non-exploitation des terres agricoles autour du réacteur nucléaire à hauteur de quinze kilomètres, la fermeture de la nappe phréatique B12-a, ainsi que la mise en hospitalisation et en décontamination du personnel irradié. Pour le moment, l'on estime que les dégâts liés à la contamination du personnel sont gérés et que le pronostic vital n'est pas engagé. Une indemnisation leur a été attribuée afin de dédommager les dommages subis ainsi que de récompenser leur bravoure.
Quant aux réactions face à cette crise et à l'ingérence étrangère subie en Altrecht par la société TomaTo corp et le gouvernement du Drovolski, l'Altrecht annonce la suspension du contrat signé avec la société et le Drovolski jusqu'à la renégociation du contrat. Le gouvernement accuse directement la société TomaTo corp, soutenue par le gouvernement du Drovolski. Face à l'actualité chargée, le gouvernement altrechtois se veut rassurant sur l'avenir du pays. Le pays peut compter sur une alliance solide et sur une armée efficace.
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
22 mai 2025 Ă 17:09:29
8129
Presse nationale
a écrit :
Opération "Soleil - Rouge"
Les informations que vous trouverez ici sont énormément détaillées par rapport à ce que la population va recevoir dans leur journal. De plus, le journal n'est pas disponible à l'international.
Ehrenstadt, une heure et demie du matin, les policiers de la brigade anti-communisme du commissariat central viennent de revenir au sein du bâtiment avec deux personnes placées en garde à vue. Racontant à leurs collègues la raison de leur présence en cellule, ces derniers réussirent à lier les deux personnes à des activités criminelles d'ordre de la propagande rouge au sein de la capitale, sévissant depuis des années en secret, taguant des slogans anti-impériaux et anti-capitalistes. Les deux hommes furent alors soupçonnés d'être des membres du groupe recherché depuis des années.
En effet, les policiers en patrouille ce soir-là étaient partis en groupe de quatre afin d'assurer une patrouille continue dans les rues avec deux autres équipes de policiers patrouillant en même temps dans l'enceinte de la ville, une procédure basique pour cette heure-là , plutôt calme. C'est alors que la patrouille P1 s'arrêta devant un hangar à l'extrémité du centre-ville. Un hangar ouvert, sans lumière, avec du matériel d'imprimerie plutôt précieux. Alors, les policiers, soucieux de la sécurité du matériel, s'arrêtèrent afin de prévenir les citoyens altrechtois présents que leur butin courait un grand danger. Cependant, les policiers, en rentrant à l'intérieur du hangar, tombèrent sur du matériel suspect, notamment des bombes de peinture, des tags qu'ils avaient déjà vus auparavant ainsi que ce qui semblait être des barres de fer, des lances bricolées avec du scotch ainsi qu'un pistolet type "Accalmie", une arme de poing militaire non autorisée à la population ou aux militaires en civil. C'est ainsi que, mutuellement, les agents de sûreté publique dégainèrent leurs armes en direction de la porte arrière du hangar qui semblait reliée à une maison. La porte était légèrement illuminée en dessous, et un dialogue était légèrement audible.
Voici une retranscription de la scène :
Policier 1 : Voyons voir l'intérieur de ce hangar...
Les policiers rentrant et découvrant la scène sous leurs yeux dans un mélange d'incompréhension et de stress.
Policier 3, chef du groupe : Dégainer, allons voir par là , il semble y avoir de la lumière.
Le groupe se rapprochant, le chef du groupe lève le poing, signe à son équipe de ne plus faire de bruit et de se mettre en alerte.
Rapprochant son oreille de la porte, il put entendre la conversation des deux individus.
Individu 1 : Marco, mais qu'est-ce que tu branles, je t'ai dit de foutre sa tĂŞte en haut, pas en bas.
Individu 2 : Ah mince, fait chier, faut que je me retape tout...
Ni une ni deux, le chef de groupe de policiers se rendit compte qu'il avait affaire à des potentiels coupables de meurtre barbare. Il se répétait en boucle : "sa tête... mais qu'est-ce qu'ils foutent avec sa tête ? Ils ont dû tuer quelqu’un !"
Policier 3, chef du groupe : Nous devons intervenir, tasez-les dès que possible, pas d'hésitation messieurs.
Dit-il en chuchotant. Le groupe d'agents se mit alors en colonne d'assaut avec le policier 1 devant.
Après une petite tape sur l'épaule du chef de groupe, le policier 1 enfonça à coups de pied la porte vieillissante, laissant voir la scène aux agents qui entrèrent en tasant les deux hommes sans retenue ni faiblesse.
Individu 1 : Mais ! Heuuu quoi ! Comment Tzzz Tzzz ! blogzzt !
S'effondrant dur sur le sol accompagné de l'autre individu.
Policier 3, chef du groupe : Parfait, fouillez la zone et aidez la victime !
Les agents s'exécutèrent sans ménagement, fouillant toute la zone mais ne trouvant aucune victime ni marque de sang.
Le chef de groupe commença alors à s'intéresser à ce que faisaient les deux hommes, c'est-à -dire des affiches à caractère politique.
On pouvait voir la tête de l'Empereur sur une pancarte à l'envers, couverte de fausses taches de sang et un début de phrase qui n’a pas pu être terminé : "Courte vie à l’Em..."
C'est ainsi que les deux hommes furent embarqués dans la voiture des policiers et transportés vers le commissariat central de la capitale.
Ainsi troussés, nos policiers, fiers de leur prise, en parlèrent à leurs collègues de l'anti-communisme exceptionnellement de veille ce soir-là .
Policier 3 : Tu devineras jamais notre prise du jour.
Policier 2 de l'anti-communisme : Des chats noirs courant les rues, à moitié bourrés comme à ton habitude ?
Il semblait être amusé de son collègue habituellement moins respecté pour ses prises peu glorieuses.
Policier 3 : Bah tu te fourres le doigt dans l'œil mon gars ! Deux gars qui faisaient des affiches contre l'Empereur en flagrant délit !
Il semblait fier de lui et montrait qu'il avait prouvé sa valeur plus que ses collègues des autres sections.
Policier 2 : Pfff, si c'est encore une blague tu peux aller te faire voir...
Policier 3 : C'est véridique, descends par toi-même aux cellules et vois toi-même les gars et le rapport que j'ai écrit à la direction !
Policier 2 : Tu commences à m'intéresser.
Le policier fit donc la lecture du rapport et vit les deux prisonniers dans la garde Ă vue. Il sauta de joie.
Policier 2 : Magnifique prise camarade, j'ai toujours su que je pouvais compter sur toi !
Rigolant de la scène.
Policier 3 : Ah ah très drôle, bon ça donne quoi alors ?
Dit-il d'un ton blasé.
Policier 2 : Alors, si j'arrive à les relier aux chefs d'accusation, ils vont prendre cher et on va peut-être même aller chercher leurs copains. Appelle l'Inquisition, j’aurai besoin d’eux.
Le chef de groupe s'en alla appeler l'Inquisition en leur expliquant la situation en détail.
Quelques heures passèrent durant toute l'action quand l'Inquisition arriva à grands pas vers trois heures quarante-cinq du matin. Elle ordonna de déplacer les détenus séparément dans deux cellules du sous-sol (faisant alors référence aux salles de torture utilisées dans un secret certain, voire tabou, n'empêchant pas que le mythe de ces salles de torture tourne au sein de la population qui ne s’y oppose pas directement, jugeant cela d’utilité publique si cela était avéré). Alors les agents de police prirent de force les deux détenus, conscients de leur sort et se débattant pour résister le plus possible, obligeant les agents à matraquer ces derniers puis à les taser pour les ramener en bas du commissariat. Arrivant finalement à les installer sur une table à renverse, ils furent attachés dans des cellules différentes et sans possibilité de se voir, communiquer ou se rassurer. L’ensemble de la salle était fait pour traumatiser les individus à l’intérieur, entre l’humidité et le froid glacial à l’intérieur, rien n’était confortable. Alors que les policiers s’en allèrent de la pièce, les individus furent laissés seuls dans la pièce, bâillonnés et enchaînés à la table durant près de 15 minutes. Tout d’un coup, alors que le sommeil commençait à s’installer, les portes grinçantes de la salle résonnèrent à leur ouverture, réveillant les individus qu’on pouvait déjà entendre crier. Face à eux, la porte rouillée s’ouvrit, laissant face aux individus un soldat de l’Inquisition habillé tout en noir avec un masque dissimulant leur visage, laissant simplement entendre une respiration de plaisir s’entendre.
Afin de ne pas choquer nos plus jeunes lecteurs, nous survolerons la scène de torture.
Nul ne sait réellement ce qu’il s’est passé à l’intérieur de la salle, mais des cris pouvaient être entendus jusqu’à l’accueil du commissariat ainsi que dans les cellules de garde à vue. Après plus de deux heures pour l’individu le plus solide, l’Inquisition fit son rapport à l’officier de l’anti-communisme, qui avait alors réuni une petite équipe pour planifier une réponse.
Les deux hommes avaient révélé des informations croustillantes aux enquêteurs de l’Inquisition. Ils faisaient partie du groupe d’ultra-gauche révolutionnaire "NOT", accusé de tags à l’effigie de la révolution populaire, d’incitation à la guerre civile, de tentative de meurtre sur agent dépositaire de la force étatique, de vol, de vol avec violence et de terrorisme. En effet, le groupe avait déjà entamé plusieurs actions hostiles envers l’Altrecht et son régime. Entre l’explosion de bâtiments publics, vol d’armes sur des militaires, et les nombreuses affiches de propagande retrouvables dans les rues, l’Inquisition découvrit alors un large réseau d’une trentaine d’individus actifs et d’une centaine de collaborateurs complices, le tout réparti dans les quatre coins de la ville dans des planques. Le hangar était une des imprimeries des affiches de propagande, et la surprise de voir des policiers avait réussi à enfin percer à jour certaines informations. En effet, les individus avaient reçu l’ordre de se suicider et d’éliminer les preuves afin de ne rien laisser à la police. Cependant, ces derniers n’avaient pas eu le temps ni le courage de le faire. C’est ainsi que, dans la nuit, de multiples opérations de l’Inquisition et de la Gendarmerie d’élite furent organisées vers sept heures et demie du matin. Ainsi, dans cette matinée, environ une quinzaine de membres du groupe "NOT" furent arrêtés, dont certains avec violence. Le commissaire a donc annoncé que de futures opérations de débusquage et d’anéantissement du groupe seront menées. Il a annoncé par ailleurs que cette opération massive est une grande réussite pour l’Altrecht dans sa lutte contre les groupuscules d’ultra-gauche, communistes. De plus, le commissaire s’excuse envers la population pour le dérangement occasionné par l’intervention de ses forces de lutte à une heure si matinale et qui a pu effrayer certaines personnes parmi la population, notamment les plus jeunes.
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
24 juin 2025 Ă 12:46:51
0
Presse nationale
a écrit :
Le défilé de l'armée Altrechtoise :
Image du groupe de soldat altrechtois
Afin de célébrer la création des nouveaux régiments militaires de l'armée altrechtoise, le gouvernement avec l'appui de l'Empereur ont organisé en cette journée du 23 novembre 2016 un défilé de l'armée Altrechtoise. Pour l'occasion, près de 20 000 soldats se sont réunis aux alentours de la capitale afin de préparer l'évènement. Logés dans les rudes campagnes de l'Altrecht, nos journalistes ont pu être surpris par leur logement. On nous rapporte que des milliers de tentes spécialement adaptées pour l'hiver rude de l'Altrecht ont été placées sur un champ réquisitionné pour l'occasion, un champ dont le propriétaire a été dédommagé bien évidemment. C'est donc dans cette étendue large de plusieurs kilomètres de tentes que se trouvent les responsables des opérations du défilé, ainsi que les militaires se préparant à la parade. Un grand espace vide a notamment attiré notre attention, un espace dédié à la reconstitution de la rue traversant la ville du palais Impérial, passant par de nombreux monuments historiques notamment la statue de la victoire contre les barbares païens des premiers siècles de l'Altrecht, passant par des parcs typiquement altrechtois ou encore des hôtels luxueux et l'ancienne forteresse de la capitale. Un trajet long de plusieurs kilomètres, qui en attendant les festivités, a été entièrement entouré de sièges spectateurs ainsi que de barrières de protection là où des sièges ne peuvent être installés. Les autorités estiment aujourd'hui le chiffre de potentiels spectateurs à environ 1 million voire plus si l'on compte les immeubles résidentiels et les toits louables pour l'évènement.
Depuis des semaines, les 20 000 soldats, tous des nouvelles recrues de l'armée qui finiront au moment de la parade par officiellement intégrer l'armée à la fin de celle-ci avec le traditionnel jeté de béret blanc, symbolisant le militaire en cours de recrutement et de formation, au couronnement du militaire par son officier de régiment du fameux béret noir symbolisant lui, le militaire devenant officiellement membre des forces armées de l'Altrecht. De plus, c'est à ce moment précis que leur insigne de régiment va leur être donné afin de porter fièrement leurs unités et leurs corps d'armée.
C'est ainsi troussés que ces 20 000 soldats se préparent, répétant jour après jour depuis quelques semaines les mises en scène grandeur nature de la parade. Entre les figures acrobatiques avec leur fusil d'assaut, les saluts à la population, les musiques des musiciens, les démonstrations de force et les techniques des différentes spécialités dans des situations fictives, le défilé a été prévu comme un spectacle à ciel ouvert sur toute la capitale.
En plus des soldats terrestres, des centaines de véhicules de différents types feront leur apparition afin de montrer les nouveaux engins dont dispose l'armée altrechtoise. Ainsi nous verrons les unités motorisées en action avec leurs véhicules afin de prouver au monde le savoir-faire militaire altrechtois. En parallèle à cela, la présence confirmée des derniers avions de chasse de l'armée altrechtoise fera leur apparition dans le ciel d'Ehrenstadt, notre capitale, brisant les imposants nuages gris de la capitale pour laisser place à un show aérien devant les yeux de la population invitée gratuitement à l'évènement.
Selon nos experts des tensions géopolitiques, cette décision de faire cette parade militaire en plein milieu de notre capitale, centre politique, économique, culturel et militaire, pourrait être une réponse au DIN qui pointe du doigt le réarmement du Haut-État d'Altrecht, notamment dans la politique altrechtoise de dotation de missiles balistiques puissants. Pour rappel, ces missiles balistiques sont fabriqués par l'Altrecht et pour le moment à unique destination de l'Altrecht. Une politique nationale que le gouvernement altrechtois soutient tandis qu'il est pointé du doigt par des organismes étrangers n'ayant aucun rapport diplomatique avec l'Altrecht. Le gouvernement dénonce une attitude dominatrice vis-à -vis de l'Altrecht et renvoie ses inquiétudes émises par certains organismes sur les États hôtes qui selon le gouvernement, de par leur implication certes distante pour le moment vis-à -vis de l'Altrecht, restent dans une dynamique de domination et d'impérialisme, chose qui est dénoncée par le gouvernement du pays. Ainsi l'Altrecht demande de cesser de "s'inquiéter" pour le pays et par cette parade, le gouvernement toujours en accord avec l'Empereur, envoie une image d'un pays fort qui se réarme certes, mais qui compte bien rester indépendant et autonome dans ses choix politiques. Enfin, le gouvernement rappelle que le Haut-État d'Altrecht fait partie du BNE, le Bloc Nationaliste Eurysien, une organisation militaro-politique qui est le garant pour ses membres dont fait partie l'Altrecht, de leur sécurité.
Nozrix
Re : 📽️ Press. | Presse contrôlé par l'Etat
Posté le :
10 jui. 2025 Ă 10:34:45
1830
Presse nationale
a écrit :
Blasphème !
Le 10 janvier 2017, la Voix de l'Empereur, s'étant rendue en Karty afin de discuter diplomatie, fut insultée par une diplomate kartienne. L'objectif simple de cette visite était de renforcer les liens diplomatiques entre l'Altrecht et l'Empire de Karty, notamment sur la question d'un exercice militaire conjoint ou d'une potentielle parade militaire en grande pompe. Cependant, les coutumes altrechtoises déplurent à la diplomate kartienne. En effet, comme le veut la tradition, des duels sont lancés entre plusieurs soldats qui souhaiteraient se démarquer devant l'Empereur-Dieu, s'assurant ainsi une place dans le monde béni de sa personne. Une tradition millénaire se résolvant par la victoire grâce à l'abandon de l'adversaire, par une perte de conscience temporaire de celui-ci ou, pour certains cas, par la mort de l'autre. Des traditions aujourd'hui assouplies qui permettent de s'illustrer devant la foule et devant la représentation de Dieu sur Terre, l'Empereur.
Aujourd'hui, cette tradition a été foulée au pied par les blasphémateurs de Karty, jugeant nos traditions comme barbares et moyenâgeuses. Tandis que des militaires armés entouraient notre glorieuse Voix, celui-ci serait reparti sans un mot à l'égard des Kartiens, dignement, prouvant qu'il n'est pas bon pour un Altrechtois de sortir du pays. Ceci explique les interdictions pour notre bienheureuse population de sortir sans autorisation de notre sol, pour leur sécurité !
Karty s'élance dans le mur de la honte et du piétinement des traditions ancestrales d'une nation millénaire. Une honte que partagera désormais toute leur population. Le gouvernement annonce qu'aucune répercussion ne sera prise envers les réfugiés de cet empire corrompu, qu'ils restent les bienvenus sur notre territoire. Cependant, le gouvernement insiste sur la non-mise en lumière de leur origine afin d'éviter un drame populaire, qui ne serait pas de leur faute.
Concernant les relations entre l'Empire de Karty et le Haut-État d'Altrecht, elles sont désormais caduques, inexistantes, les diplomates altrechtois ayant quitté le sol kartien et les diplomates kartiens ayant été renvoyés de notre sol.