11/05/2017
23:13:06
Index du forum Continents Aleucie Maximus

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Nom officiel : Fédération maximiliane
Nom courant : Maximus

Gentilé : Maximilien et Maximilienne


Inspirations culturelles :Brésil bolivie Argentine venezuela

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : portugais, zartu(Langue indigène).

Autre(s) langue(s) reconnue(s) : autre langue indigène)

Drapeau :
https://geokratos.com/?action=viewMap&s=33398;33202;33400;33204;34383;34187;34384;34385;34189;32416;32811;32812;33010;33207;33404;33405;33602;33799;33995;33996;34192;34389;34388;34585;34781;34978;35175;35174;37361;37164;37165;36968;36772;36970;36774;36972;36776;36973;37170;37368;37367;37565;37564;37761;37760;37759;37758;37561;37365;38351;38153;38152;38151;38347;38544;38545;38742;38743;38547;38548;39533;39336;39335;39334;39136;39332;39529;39530;39728;39729;39532;40122;40121;40120;40119;40316;40513;40123;40320;40711;40515;47361;47165;47363;47364;47365;47560;47757;47755;47756;47758;47759;48150;48348;48152;48349;48547;48546;48743;48742;48741;49135;49136;49137;49335;49334;49531;49728;49924;49726;49926;49729;49730;49731;49336;49337;6746;6943;7141;7338;7535;7534;7339;7340;7144;6947;7734;7733;7929;8126;8323;7931;7932;8129;7538;7539;7540;7737;7934;7343;9112;8915;8916;8719;8523;8721;8918;8919;9116;9117;8921;8724;8527;8330;7139;6941;7137;6745;6744;6940;6942;7730;7729;7925;7728;7532;7533;48744;48350;49139;49928;
Le vert est censé représenter la flore et la faune florissante du pays ainsi que l’avenir le banc est censé représenter la paix dont jouit le pays et le travail que demande le pays pour avancer vers un avenir prospère le noir est censé représenter le passé troublé du pays ainsi que les idées rétrograde comme le racisme le symbole aux milieux est un symbole qui vient des indigènes qui était un symbole de la chance et du bonheur renforçant le thème d'unités multiethnique que maximus est censé représenter sur le continent aleucien.

Devise officielle :somos livres e assim permaneceremos (nous somme Libre et nous le resterons)
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Somoni (1 somoni = 0,75 €)
Capitale : oras
Population : 53 millions d’habitant


histoire :

colonisation et la réforme :
Les tout premiers colons listonien
En 1487, des colons listoniens sont arrivés dans ce qu'ils ont nommé O Novo Mundo (le Nouveau Monde). Le continent aléucien était encore relativement inconnu pour eux, mais ils avaient croisé des populations civilisées dans une partie de l'Aléucie du Nord qui, aujourd'hui, est estimée être quelque part dans le royaume de Xartez. Ces populations leur ont appris que des peuplades natives habitaient le territoire qui compose aujourd'hui la Fédération maximilienne. Après avoir établi une ville à Yamor, la colonie de Maximus, nommée d'après un général des légendes listoniennes, a été fondée.Cette colonie était initialement peuplée de réfugiés politiques, de prisonniers et de personnes à la « mauvaise morale » qui ont été envoyés par l'empire pour, premièrement, les éloigner du territoire national listonien et les réformer. Dans ce cadre, l'un des moments les plus regrettés de l'histoire maximilienne a été commis : l'hipocrisia Mortal, ou l'Hypocrisie mortelle. Après un massacre dans un village de colons, la population a été informée et une véritable croisade a commencé. Pendant trois ans, de 1567 à 1570, une colonisation agressive a eu lieu dans tout le nord du pays. L'Église, qui prônait la coopération avec les indigènes, était soudainement en train de commanditer leur massacre.
Mais en 1575, un courant de réforme a traversé la colonie. Des penseurs tels que Mateo Ravich et Principo Taverna ont contribué à promouvoir un idéal multiethnique en appelant les citoyens de la colonie, qui pour la vaste majorité n'ont pas participé au massacre, mais l'ont soutenu, à prendre conscience de la misère des natifs. L'Église, encore très conservatrice, a ordonné l'arrestation et la mort de ces deux philosophes. Leur mort a embrasé la colonie, ce qui a conduit à la révolte des 10 000. Une révolte de paysans et de mercenaires indigènes a mené à la bataille d'Amaur, où l'évêque de la ville accablée a exigé la reddition de la ville. Au cours de cette guerre, plusieurs événements importants se sont produits. En raison du comportement exemplaire des troupes indigènes envers les civils, les messages racistes et pro-coloniaux ont perdu en popularité.
Une réunion des réformistes
C'est alors que Seremao Larma (ancêtre de Jaytar Larma) a décidé de déclarer la colonie comme un État multiculturel et que les régions du sud, qui étaient alors vides, serviraient de refuge pour tout peuple natif du continent. Après que le message a traversé l'Aléucie, plusieurs centaines de milliers de natifs ont commencé le processus qui sera connu comme la Noble Marche, une migration de plusieurs groupes natifs, tribus, nations, etc., venus à Maximus en quête de refuge face à d'autres puissances coloniales qui les maltraitaient, c'est d'ailleurs d’ici que vient le zartu un mélange de toutes les langues indigènes qui ont participé à cette migration.
Mais contrairement à ce que Seremao espérait, après sa mort, le gouvernement a adopté une vision critique de ces réfugiés. Pour beaucoup, ils étaient venus dans un tout nouveau pays avec un climat très différent de celui d'où ils étaient originaires, ce qui a entraîné une immense pauvreté au sein des classes natives, aggravée par la politique de laisser-faire du gouvernement colonial.
Mais tous ces problèmes deviendront des problèmes d'arrière-plan lors de l'éruption du volcan Krakatoa. Son éruption a dévasté l'économie locale, de nombreuses plantations ont été détruites et pendant plusieurs jours, le Sénat local a débattu non pas de demander de l'aide aux colonies voisines, mais d'abandonner Maximus tout entier. C'est alors qu'un politicien prometteur du nom de Fabio Castro Braz a pris en charge la colonie. Grâce à son talent naturel pour la diplomatie, il a négocié une aide alimentaire de la part de l'empire colonial de Teyla, de la colonie voisine de Newbrownia, et est parvenu à mettre en place un système d'aide sociale qui sera la base de celui utilisé à Maximus à ce jour.


L'indépendance
Manifestation pour l'indépendance
Pour la vaste majorité de son histoire maximus était une colonie assez distante de l’empire le seul obstacle entre maximus et l’indépendance était un statut de colonie dans l’empire qui techniquement rendait les parlements Maximilien aussi bien coloniaux que natif illégale, ce qui changea.
En 1912 a maritone lors d’un jour assez ennuyeux, un soldat listonien décide violer et de tuer une commerçante indigène cette action scandalise la population locale qui demande à l'administration locale de punir ce soldat, mais le gouverneur qui portait du préjudice contre les indigènes refuse, cela lancera un lynchage d'un soldat de la base ou le soldat coupable était stationnée après qu’un autre vendeur avait dit que ce soldat particulier était les responsables du viol cela a fait monter les tensions entre l’administrateur de la région et la population locale ce qui mène au gouverneur à demander l’envoie de troupe pour écraser ce qui n’était qu’au départ qu'une demande des locaux pour de la justice et pour obtenir ces troupes le gouverneur décidera de mentir en disant que la région toute entière nord comme sud était en rébellion ouverte et demandera l’aide in extremis de la legio mortis ce qui fut une erreur fatale croyant que la rébellion était sur le point de gagner la legio à décider de lancer des bombardements indiscriminés contre les centres de population civile tout ça sans même se renseigner sur la situation dans la région cette erreur incroyablement stupide coutera la vie au gouverneur et au chef des opérations de la legio mortis qui seront condamnés à mort comme avoir détruit la confiance du public dans le gouvernement listonien

Mais cette erreur meurtrière va profiter à un groupe, les nationalistes Maximilien
Un homme du nom de jartisa fabrias correa fonde le mouvement Maximilien
Utilisant le deuil de la province les nationaliste le mouvement encourage des manifestations pour plus d’autonomie, après des pressions internationale et interne l’empire cède donnant à la colonie un statut de nation dans l’empire, se statue de nation dans l’empire ne durât pas, car il ne fallait qu’un an pour qu’an en 1934 que la république fédérale de maximus soit déclarer.


Une période mouvementée
Un bâtiment détruit par les combats
l’état catastrophique des finances l’aissé par les listonien ont fait sombrer la république dans un marasme économique et politique avec plusieurs parties qui seront élues et n’arriveront pas à résoudre la crise en 1943 une grève des ouvriers d’une usine de voiture a ariples va évoluer en une rébellion communiste cette rébellion causé par les faibles droits des travailleurs sera écrasée par les forces armées la rébellion fut un événement déstabilisateur pour la république qui subira plusieurs autres rébellions (pour la plupart à petit échèle) et assassinat politique ces échecs causeront la chute de la république quant un coup militaire en 1950 mené par le général sertiani samir renverse le gouvernement déclare la loi martiale et annonce le début de la “révolution correctrice” qui par ces propres mots visait “les politiciens corrompue le judéo-bolchevisme le progressisme à tout-va et le communisme” cette “révolution correctrice”
Était composé de massacre d’opposant politique et de répression de toute forme d’expression libérale dans les premières années cette dictature était instable avec plusieurs manifestations grève et rébellion particulièrement dans les régions natif dans ce contexte il gagnera le support de l’église en passant des lois rendant l’église plus puissante, discriminant contre les religions indigènes passant une réforme qui transformera le pays en une monarchie absolue tout en se déclarant régent à vie, malgré les brutalités de son régime qui a causé plus de 134 milles mort ou "disparu" notamment contre les juifs les communiste les indigènes et les quelques minorités anglophones qui se sont installé dans le pays pour des opportunités économiques, il obtient le soutien d’une majorité de la population blanche grâce a son “plan de 10 ans” qui a relié le pays avec des chemins de fer, industrialisé le nord et l’ouest et cause une période de boom économique, mais tout changera en 1974 la guerre du patra sera une défaite catastrophique pour samir en moins de quatre ans les force étrangères détruisent l'armée Maximilienne Le traiter de paix a forcé samir à accepter une “paix avec honneur” cette paix détruira la réputation de samir qui a tenté de se faire connaitre comme un homme fort qui ne pouvait pas être renversé cette défaite prouva au opposant politique de la dictature et aux populations indigènes que le régime pouvait être vaincu, couplé à l’inflation et la crise économique qui suivit, des rébellions dans les territoires indigènes et côtière auront raison de samir qui en 1989 après l’effondrement de l’économie et des désertions gigantesques l'armée l’abandonne et la garde royale se retourne contre lui après qu’un groupe 60 soldat entoure le palais présidentielle il sera renversé juger et exécuter en moins d’un mois des négociations auront lieu entre les différents groupe qui servira comme fondation pour la fédération maximilliane
Le traiter de pasario résultera en la démobilisation des forces rebelle la fondation d’une monarchie fédérale démocratique et libérale l’autonomie pour les indigènes et la destruction de l'influence samirienne dans les institutions de l’État avec un licenciement massif des partisans de samir dans les forces armées et le gouvernement des élections générale organisé en 1991.
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hrp: Je vais développer les événements majeurs des différentes périodes de l'histoire maximilianne
Dans le futur, ceci n'est que la première partie.
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entrées en détailsla fin de la dictature:
convoie de la deuxièmes division blindées se dirigeant vers yamor

Pour comprendre l'histoire de la fin de la dictature, il faut retourner aux jours de la guerre Lermando-Maximilienne. Pour défendre le territoire national contre une invasion lermandienne, trois cent mille personnes ont été enrôlées dans les "milices populaires". Bien que des pensions aient été promises aux vétérans de ces milices, l'état des finances et la corruption endémique du régime furent tels qu'aucun paiement ne fut versé suivant la guerre.

Cette exaction du régime poussa un groupe de vétérans à commencer des manifestations à Yamor. Ces manifestations, bien que pacifiques au début, se transformèrent en émeutes après que des officiers des Forças de Segurança (force de sécurité), la police secrète du régime, eurent tenté d'interpeller les manifestants. Les émeutiers, épuisés par l'inaction du régime face aux souffrances de la population, alors que l'inflation et la crise économique ravageait la classe moyenne (base de soutien traditionnelle du régime), prirent d'assaut la station radio locale pour faire part de leur contestation au pays tout entier.

Malgré les tentatives de censure du régime, de nombreuses manifestations éclatèrent à travers l'ensemble du pays. Cela poussa le gouvernement à durcir sa posture face aux manifestations. Dans la nuit du 21 au 22 mai, l'armée ouvre le feu sur les manifestants à Aros. Le jour suivant, cela se répéta à Aripelas, et le jour d'après, c'était au tour de Yamor.

À Yamor, entre-temps, les manifestants s'étaient organisés en communautés d'autodéfense pour se préparer à la répression de l'armée. Mais à leur grande surprise, ils ne firent pas face à la garnison locale, mais à des éléments de l'armée de l'air et à l'intégralité de la désormais défunte Deuxième Division Blindée. En quelques jours de combat de rue, la ville tomba face aux forces loyalistes. La répression fut terrible : viols, meurtres, pillages, enlèvements contre rançon et passages à tabac étaient monnaie courante parmi les forces du régime durant les exactions une explosion a été ressentie dans le port de la ville selon les témoignages de l’époque un char croyant qu’un pétrolier ravitailleurs était en réalité un navire plein d'opposant politique ouvra le feu déclenchant une gigantesque explosion qui détruira le port ce que le régime ne réparera jamais même dans les temps ou cela était nécessaire pour la survie du régime. Cela, loin de dissuader les ennemis du dictateur, radicalisa les vétérans de la guerre du Patras qui, avec l'aide des services secrets lermandiens, lancèrent des rébellions partout à travers le pays. L'une des principales régions concernées par la révolte fut le Sud, avec pas moins de 70% du territoire sudiste tombé aux mains des rebelles. Pour la majorité des historiens modernes, la chute si rapide du Sud fut causée par plusieurs facteurs, notamment l'impopularité chronique du dictateur dans le Sud en raison de sa politique discriminatoire envers les natifs du pays. Le moral faible des garnisons présentes dans cette partie du pays fut également un facteur
déterminant, car les conditions de vie exécrables et la solde misérable des soldats poussèrent un grand nombre d'entre eux à se rendre au insurger quand l'occasion se présentait, et ce, quand ils ne désertaient pas pour devenir les insurgés eux-mêmes. Une nouvelle fois, la répression fut terrible. L'utilisation d'armes chimiques et les bombardements indiscriminés furent des événements récurrents durant cette guerre. Malheureusement pour le régime, le bombardement de civils n'arrêta pas les rébellions qui, dans le même temps, se soudèrent sous le Front de libération de Maximus. Ce front regroupa une grande variété de groupes politiques tels que :
  • Le Front de Libération Populaire (les communistes)
  • L'Action nationale (les nationalistes opposés au régime)
  • Mouvement du 25 janvier (les libéraux)
  • Le Rassemblement national démocratique (les catholiques pro-monarchie)
Pour comprendre comment un rassemblement de groupuscules et de partis aussi différents les uns des autres peut s'unir contre un seul ennemi, il faut connaître les raisons d'être des différents groupes politiques. En premier lieu : les nationalistes, qui, contrairement aux libéraux et aux communistes, constituaient pourtant une des bases de soutien principales du régime. Il faut savoir que la corruption endémique du régime et la disparition de l'idéologie nationaliste au profit d'un culte de la personnalité en faveur de Samir avaient aliéné bon nombre de nationalistes au sein du parti au pouvoir (le Front national fasciste ou le FNF). Les politiques impopulaires du régime, ainsi que la répression à Yamor, qui avaient toutes deux détruit toute confiance accordée au régime par la population, forcèrent de nombreux modérés du parti à une réalisation : il valait mieux avoir un sentiment nationaliste acceptable dans un Maximus démocratique que de suivre le régime dans sa chute et être ostracisé par le reste de la population. Le Front de Libération Populaire, quant à lui, avait toujours été une organisation clandestine depuis les années 50 en raison de la répression du régime. Cependant, ils avaient toujours une certaine influence dans les syndicats ouvriers, particulièrement ceux engagés dans les usines de production d'armes, ce qui leur permit d'être bien mieux et plus armés que la majorité des autres groupes organisés au début de la guerre civile. Le Mouvement du 25 Janvier, nommé d'après le 25 janvier 1951 où les troupes de Samir organisèrent un raid et éliminèrent les têtes du parti libéral de l'époque. Au début de la guerre, sa base de soutien majeure était la classe moyenne, particulièrement dans les régions côtières. Le Rassemblement national démocratique (RND) : pour comprendre le RND, il faut retourner à l'indépendance. Un fait peu connu et discuté de l'histoire de l'époque était le sort de nombreux loyalistes listoniens encore présents dans le pays. Ces derniers, pour la majorité profondément religieux et pro-monarchiques, souhaitant remettre le roi listonien sur le trône et visant une potentielle réunification avec la métropole, décidèrent de fonder le Parti national chrétien. Initialement l'un des plus ardents défenseurs du coup d'État de Samir, ils le forcèrent à établir une monarchie. Mais désillusionnés par la corruption endémique du régime, l'effacement du caractère chrétien du pays au profit d'un culte de la personnalité et son refus de placer un membre de la famille royale ou au moins un membre de la noblesse listonienne sur le trone, força les membre du parti à l'abandonner c'est avec cette décision que, mois après mois, plusieurs figures importantes du régime quittèrent le pays ou rejoignirent l'opposition, déstabilisant le régime de plus en plus, qui, à la fin des années 70, avait l'air d'un navire en plein naufrage. Mais cela ne suffit pas pour expliquer la chute du régime. En effet, Samir possédait toujours la supériorité numérique (200 000 soldats du régime face à 185 000 insurgés mal équipés), aérienne (57 avions tout type confondu possédés par le régime contre zéro avion insurgé) et la loyauté de la majorité des forces de sécurité et de la police secrète qui faisaient régner la terreur dans les territoires toujours contrôlés par le gouvernement. Pour le savoir, il faut aller en 1984, année où le célèbre auteur Jorgio Orvel publie son livre 1948, mais aussi l'année de la chute d'Aripelas. La garnison locale, frustrée par le manque de moyens alloués, décida de manifester en refusant d'appliquer les ordres de loi martiale donnés par le régime. Mais quand, confronté à des bombardements aériens au lieu de négociations, le commandant local Julio Arguedas décida de faire sécession et convainquit la police locale ainsi que d'autres brigades de l'armée présentes dans la ville de le rejoindre.Les conséquences de la sécession de la ville sont catastrophiques pour le budget déjà au bord du gouffre du régime. L'économie, basée à 60% sur la vente des ressources naturelles, s'effondra, et le régime fut forcé d'emprunter des quantités folles d'argent à des intérêts élevés, de produire et de vendre divers produits illégaux aux Nebrownia voisins, notamment la méthamphétamine et la cocaïne, et de mettre de plus en plus de billets en circulation pour soutenir l'effort de guerre. Mais comme je l'ai dit à maintes reprises à travers ce document, malheureusement pour le régime, leur échec à capturer la ville aux mains des déserteurs ainsi que les politiques économiques catastrophiques que j'ai détaillées plus tôt firent exploser le peu d'économie officielle restante. Cela se manifesta par un PIB catastrophique de 57 millions d'unités internationales en 1987. Bien sûr, la majorité de l'économie était passée au marché noir à ce moment-là. Tout pays avec un PIB si bas se serait effondré presque immédiatement, mais ceci servit de signe à la population ainsi qu'aux pays étrangers : un signe que le régime s'affaiblissait de jour en jour. Chaque province, chaque agglomération, chaque quartier perdu aux insurgés n'était jamais repris. Alors, vous pourriez vous demander : "Attends, tu n'as pas dit qu'il n'y avait que 185 000 insurgés MAL équipés ?" Et à cela, je vous dirais oui, mais en 1987, les rôles s'étaient largement inversés. Des troupes entraînées au combat conventionnel par des agents étrangers faisaient leur apparition parmi les forces rebelles. Avec elles, une nouvelle tactique vit le jour : l'encerclement. Alors, vous me direz que cette tactique n'est pas nouvelle du tout, mais dans le conflit qui faisait rage dans le pays, pour capturer une ville, les insurgés utilisaient traditionnellement des infiltrés dans la ville pour donner des renseignements et potentiellement agir comme partisans lorsqu'un assaut était lancé. Cette stratégie était nouvelle. L'un des moyens principaux des insurgés était d'utiliser à leur avantage la forêt du pays pour attaquer, voire couper les axes de communication principaux du régime, puis envoyer leurs unités d'élite dans la ville pour la capturer en utilisant les renseignements obtenus des infiltrés, tout cela accompagné par des demandes de reddition régulières afin d'éroder le moral des troupes du régime qui savaient de toute façon que tout était perdu. Cette stratégie a bien sûr résulté en la mort de milliers de civils, soit morts de faim, de maladie ou des combats, mais permettait aux insurgés de capturer les villes bien plus rapidement que précédemment. C'est avec cette stratégie en main, ainsi que tous les problèmes décrits plus tôt, que les forces rebelles lancèrent la Marche du Nord en 1989, où des offensives généralisées furent lancées. En temps normal, la supériorité aérienne du régime aurait atténué les dégâts causés par l'attaque. Mais le manque de carburant causé par la perte des ports et la situation financière du régime cloua la majorité des avions au sol, alors que les troupes gouvernementales étaient en pleine déroute, accompagnées par des taux de désertion lunaires de 70% dans certaines unités. Devant une défaite certaine à l'horizon, Samir subit une crise cardiaque qui le laissera paralysé. C'est alors que le général Lucius Garcia, avec l'aide du reste des autres généraux du commandement suprême des forces armées, décida de signer un acte de reddition inconditionnelle et plaça un Samir affaibli sous résidence forcée : il sera jugé et exécuté en moins d’un mois. La victoire en main, les rebelles, contre toute attente de la majorité des experts internationaux, décidèrent de se réunir à la Conférence de Yamor où ils établirent l'Acte d'Union. Cet acte établit quatre points principaux : Selon les termes de cet acte, Maximus devra être une monarchie fédérale démocratique avec une liberté d'expression garantie indépendamment d’opinion politique par la constitution, des droits de grève, la protection des droits des travailleurs, et des régulations poussées à l'encontre des corporations et grandes entreprises.
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entrées en détailsLa Guerre du Patras:
En suivant le sens des aiguilles d'une montre, nous pouvons voir une photo de Sertiani Samir lors de sa déclaration de guerre un barrage d'artillerie sur albeville un véhicule de transport blindé Lermandien à aripelas et un char Lermandian dépassant un véhicule de transport détruit alors qu'il se dirigeait vers ariples
La Guerre du Patras
La guerre du Patras fut un conflit dévastateur entre le Royaume de Maximus, sous l'égide de Sertiani Samir, et la République de Lermandie, menée par M. Boulot. La Nebrownia et la Westalia furent également impliquées en tant qu'alliés de la Lermandie. Le conflit se solda par une défaite catastrophique pour le royaume, jetant ainsi les bases de la révolution à venir. Pour en comprendre les racines, il faut revenir en 1950. À peine les putschistes menés par Sertiani avaient-ils pris le pouvoir qu'ils formèrent une coalition avec plusieurs partis de droite et d'extrême-droite pour créer le Front National Démocratique. Au sein de cette coalition, de nombreux nationalistes maximiliens préconisaient la réalisation du "verdadeiro destino," un projet qui visait à incorporer l'Antomont et la ville de Lokglaz à Maximus. C'est dans ce contexte qu'une condamnation diplomatique lermandienne parvint au bureau du tout nouveau ministre des Affaires étrangères, Molicio Simoes Alencar. Initialement, cette condamnation était purement cérémonielle ; le gouvernement d'Edgar Le Tonnelier ne souhaitait pas envahir Maximus, mais ne pouvait rester silencieux face au récent putsch. Cependant, Fabiano Braga avait un autre avis. Chef de la première division durant le coup d'État et second au pouvoir juste derrière Sertiani, Braga était d'une nature paranoïaque et mégalomane. Il était convaincu que Maximus était sous la menace d'une invasion lermandienne imminente. Après une séance houleuse, il obtint ce qu'il voulait : un déploiement des forces armées à la frontière lermando-maximilienne. Pour l'heure, il était clair pour le reste de l'état-major, y compris Sertiani, que les inquiétudes de Fabiano étaient infondées et relevaient davantage de la paranoïa que de la réalité.

mais,ces inquiétudes furent renforcées par l'incident de Desligar, au cours duquel une unité de l'armée maximilienne s'engagea dans une escarmouche avec des gardes-frontières lermandiens. Les détails de l'événements précis demeurent flous, mais il semblerait qu'une unité de reconnaissance de la Troisième Division ait affronté une unité de la 58e division d’infanterie de l'armée lermandienne, causant une vingtaine de morts de chaque côté. En manipulant l'histoire, Braga réussit à faire passer cet événement malheureux pour une attaque surprise visant à tester les forces armées. Combiné à son bellicisme quasi fanatique et à des rapports falsifiés indiquant une faiblesse de l'armée lermandienne, l'état-major décida de donner l'ordre de mobiliser les forces armées.


Le Début de la Fin
Le 21 juin 1974, à exactement 4h30, les troupes des forces armées maximiliennes franchirent la frontière lermando-maximilienne. Les bombardements d'artillerie initiaux firent des ravages dans les unités lermandiennes. En moins de deux semaines de combat, les forces maximiliennes réussirent à conquérir la ville d'Albeville. Cependant, cette Blitzkrieg, aussi incroyable que cela puisse paraître, ne dura pas.
L'incompétence de l'armée, causé à cause de la promotion des officiers basée sur leur loyauté au régime plutôt que sur leur compétence, l'étirement des lignes logistiques, ainsi que l'effondrement de la discipline des troupes au profit de pillages généralisés, freinèrent l'avancée. Selon le plan originel de l'état-major, si une percée du front comme celle-ci avait été réalisée, des unités créées pour l'occasion auraient dû profiter de cette opportunité pour lancer une offensive à travers les montagnes de la frontière avec l'aide des forces viétiques. Malheureusement pour cette alliance de circonstance, les forces du Général d’armée Frank Dutertre de la 3e Armée de l’Armée de Terre lermandienne étaient bien mieux équipées et préparées contre une potentielle attaque que les forces au nord. Bénéficiant d'une supériorité en entraînement et en ravitaillement , tout en disposant de l'avantage défensif des hauteurs, ils parvinrent à repousser les diverses attaques lancées par les forces combinées maximiliano-viétiques. Ce secteur du pays resta solidement sous le contrôle total des forces lermandiennes malgré les sept batailles qui s'y déroulèrent.
Dans le secteur nord, la situation tourna à la défaite pour les forces maximiliennes. En effet, aussi surprenant que cela puisse paraître, piller un magasin au lieu de construire une tranchée ne contribue pas à l'effort de guerre. La désorganisation provoquée par les pillages généralisés permit aux forces lermandiennes de se regrouper et de se réorganiser sous le commandement de Général Dutertre . L'arrivée de la 11e Division Blindée, sous le commandement du Général de division Charles Cuvillier, lança une contre-attaque qui écrasa les forces maximiliennes présentes dans la ville. Même si une grande partie d'entre elles réussit à se replier derrière le Béseau, protégeant encore la majorité de leurs gains, des milliers de soldats maximiliens furent capturés par les Lermandiens et, pour la plupart, exécutés sur-le-champ. Pour de nombreux historiens et amateurs d'histoire alternative, ce moment précis fut celui où la défaite devint inévitable pour Samir.
La Lermandie était en effet plus peuplée, plus riche, plus industrialisée et bien moins corrompue que Maximus et la Viétie. Sans même parler de l'état catastrophique des armées viétiques depuis la fin de la guerre de 1958, due à l'occupation de Maireport et Evran par les forces westaliennes, qui leur permit de détruire une économie viétique déjà affaiblie lorsque celle-ci refusait leurs demandes. En somme, la Lermandie pouvait se permettre de mener une guerre d'attrition, ce que Maximus et ses alliés ne pouvaient pas.
Plusieurs événements notables de cette période se produisirent, notamment la mise en place d'un blocus naval par la Lermandie sur le port d'Ariples et le renvoi de Ministre de la Guerre Dimitri Allaire, chef du Ministère de la Guerre de la République de de Lermandie, pour corruption, ainsi que l'explosion de la fabrique d'armes d'Aros, où des sympathisants lermandiens avaient posé une bombe dans l'espoir d'assassiner Sertiani. Cette tentative d'assassinat échoua et galvanisa même l'effort de guerre lorsqu'il fut découvert que l'enfant d'un des travailleurs fut tué lors de sa visite dans l'usine. Le front, quant à lui, stagna durant deux ans, marqué par des barrages d'artillerie et des frappes aériennes.
En Viétie, la situation changea rapidement. Le blocus naval imposé par la flottille lermandienne, qui, bien que faible, n'avait que deux vedettes comme opposition, détruisit le restant de la "marine" viétique. La Viétie devint de plus en plus dépendante de l'industrie de guerre maximilienne pour des produits essentiels comme la nourriture et le coton, fatiguant ainsi une industrie déjà en surchauffe.


Le Tournant et la Chute
En 1976, le moment tant attendu arriva : les lignes de défense maximiliennes le long du Béseau furent compromises. Dans la nuit des unités de sapeurs purent infiltrer la partie sud de la ligne grâce à la couverture fournie par les bombardements de la marine et de l'armée de l'air, et parvinrent à faire franchir des quelques unités mécanisées à travers le fleuve. L'armée de l'air maximilienne, qui à ce point se retrouvait incapable de protéger le territoire national, ne put empêcher des opérations aéroportées derrière les lignes maximiliennes. La retraite dura trois mois, durant lesquelles toutes les installations construites par l'occupant, comme les chemins de fer, les centres de distribution logistique et les sites de défense antiaérienne (AA), furent soit abandonnées soit complètement détruites. L'armée en déroute parvint toutefois à regagner Ariples et put commencer à renforcer les défenses de la ville.
Pour pouvoir défendre le territoire national dans une guerre que Sertiani réalisait être perdue, il décida de prendre trois mesures : premièrement, la création d'une milice qui mènerait des actions de guérilla à mesure que les Lermandiens progressaient sur le territoire ; deuxièmement, d'affecter immédiatement toutes les divisions et brigades d'élite de l'armée vers le front pour stopper l'avancée lermandienne ; et troisièmement, d'abandonner la Viétie à son sort.
Tout au long de la guerre, même si les armées viétiques s'étaient montrées capables grâce à leur matériel et leur expérience, des tensions commencèrent à apparaître entre l'état-major maximilien et viétique. Les Maximiliens accusaient la Viétie de parasitisme en raison de leur refus de suivre les "recommandations" proposées par l'armée maximilienne. Les Viétiques répliquaient en accusant les Maximiliens de vouloir prendre le contrôle de leur armée, sans même parler des problèmes liés au fait que Maximus, à cette époque, était un État fasciste d'inspiration royaliste et conservatrice, alors que la Viétie était une république laïque et profondément ancrée dans le marxisme-léninisme.
Le 7 janvier 1977, le corps expéditionnaire maximilien en Viétie se retira, même s'il laissa sur place tout son équipement, ses munitions et son ravitaillement. Le manque de soutien de l'industrie maximilienne provoqua aussitôt une panique parmi le haut commandement viétique qui tenta de se rendre, mais fut soudoyé par l'offre d'un soutien logistique qui, malheureusement, rencontra de nombreux "problèmes techniques". Le manque de soutien maximilien entraîna assez rapidement un manque de... tout, en fait. Malgré l'excellent matériel de l'armée viétique, le manque de munitions, de rations, de carburant, de transport (hormis les chevaux) et même de vêtements provoqua une capitulation inconditionnelle de la part du gouvernement civil qui, face à une situation militaire catastrophique, ne reçut aucune opposition de la part de l'armée.
Pendant cet épisode, l'armée maximilienne renforça ses positions parmi les montagnes à la frontière. Le reste de l'année resta mouvementé, car l'on assista notamment au retrait des forces aériennes maximiliennes. En effet, les avions commencèrent à manquer de carburant, les réserves de pétrole au nord du pays étant estimées comme bien moindres qu'aujourd'hui. Le gouvernement cessa les frappes aériennes régulières effectuées sur les lignes ennemies.
L'année 1978 fut une catastrophe pour l'armée maximilienne. Entre le débarquement sur les plages d'Ariples et la destruction de la quasi-totalité des appareils de l'armée de l'air, ainsi que l'échec apparent des milices populaires, la situation se dégrada significativement. Abordons d'abord le débarquement sur Ariples. À cause du blocus naval lermandien, beaucoup au sein de l'état-major savaient déjà qu'une invasion par la mer serait inévitable. En anticipation, plusieurs sites sol-air et sol-mer furent installés le long de la côte ouest du pays. Même si la portée de ces missiles était bien inférieure à la distance dans laquelle la marine lermandienne opérait, ils servirent de dissuasion contre toute tentative d'invasion par la mer.
Malgré ces préparatifs, l'armée lermandienne parvint à infiltrer un commando à travers le front. Ce commando, même s'il fut annihilé lors de sa mission, parvint à neutraliser plusieurs sites de commandement et de communication, semant le chaos parmi la défense antiaérienne. Quinze heures après la destruction du commando par les garnisons locales, plusieurs frappes aériennes furent opérées par l'armée de l'air lermandienne, bombardant parfois des habitations civiles. C'est alors que la 1er flotte de la Marine Républicaine lermandienne arriva avec près de 150 navires de guerre et 10 000 hommes. Le débarquement accabla les unités locales qui furent forcées de se retirer pour éviter un encerclement. Ariples tomba rapidement aux mains des Lermandiens, mais Aripelas tint bon. Avec le reste des unités d'élite que possédait l'armée, ils parvinrent à organiser une défense pour protéger la ville face aux attaques lermandiennes.
Même si plus de la moitié de la ville tomba en 1979, la situation était claire pour toutes les parties présentes : l'armée maximilienne était dans une position intenable. Le meilleur entraînement et la coordination des troupes lermandiennes renforçaient une armée lermandienne qui devait faire face à une armée minée par des luttes intestines et la corruption.

La Fin du Conflit et ses Conséquences
(Cependant, en Lermandie, la situation pour la population civile s'aggravait de jour en jour. Le gouvernement, insistant sur une victoire gagnée par la Lermandie seule, refusa d'importer les produits alimentaires dont la population avait cruellement besoin. C'est alors qu'au milieu de 1979, des manifestations massives éclatèrent dans les villes majeures du pays. Initialement déclenchées par un scandale anticorruption, la situation s'intensifia rapidement et se transforma en un mouvement anti-guerre, marqué par des grèves et manifestations généralisées.)
Le gouvernement fut forcé de déclarer un cessez-le-feu avec le régime maximilien, et en janvier 1980, un traité de paix fut signé entre la Lermandie et Maximus.
Le bilan de la guerre fut horrifiant : Ariples et Aripelas subirent des destructions majeures (30% et 50% respectivement). Le régime maximilien fut fragilisé par la défaite et serait finalement déposé lors de la guerre à venir. En Lermandie, la légitimité du gouvernement fut également fragilisée en raison de sa conduite durant la guerre, avec des accusations de corruption et d'abus de pouvoir.

note:le dernier paragraphe peut être considérées comme du révisionnisme maximilien
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