Rencontre Altrechto-Kartienne

Rencontre Altrechto-Kartienne :

Image du Palais Impérial

Image du Palais Impérial

Le chancelier Kartien arriva à l'aéroport national de la capital, il fut surpris par la non activité du lieu, il semble que très peu de passage se font dans cette aéroport qui semble trop grand pour sont utilité. Il fut accueillit à la sorti de l'avion par Katrin Jonke une jeune femme altrechtoise en costard venu s'occupé de la bonne arrivé du chancelier ( ainsi que de le surveiller ). En effet elle lui expliqua durant le trajet qui mena le chancelier directement au Palais Impérial les règles suivante :

Il est interdit de visité le pays, ce n'est pas une visite touristique.
Si vous souhaiter rester une journée de plus afin de vous reposé, l'Hotel "Gross" vous est ouvert sans possibilité de quitter se dernier durant votre séjour.
Vous ne devez pas addressez la parol à qui que ce soit qui ne soit pas validé par nos service.
Entre autre si le Kaiser ou un Haut responsable passe il ne vous sera pas possible de leur parler.
Aucune provocation ne sera toléré avant et après votre rencontre avec le Haut diplomate Wilhelm Hersh.
Aucune violence ne sera toléré durant votre séjour.
Votre équipe sera également tenu de respecter les même règles.

Une fois les règles comprise, la voiture ( une espèce de grosse berline noir, avec les vitres teinté et quatres drapeau Altrechtois accroché à l'avant et à l'arrière du véhicule ) s'arrêta devant le palais. Katrin Jonke sorti et fit sortir le chancelier ( et son équipe ), ils furent entièrement fouiller par la Garde Impérial ( des soldats d'élites orthodoxes sélectionné pour leur fanatisme envers le Kaiser ), une fois la fouille passé, ils firent un tour de la cour du palais afin de présenter celui-ci et d'attendre le Haut diplomate Wilhelm Hersh. Celui-ci arrivant, seul, il accompagna le chancelier vers un bureau insonorisé du Palais Impérial. Ils se retrouva seul face au chancelier ( et son équipe si il y a ), la porte du bureau fermé avec deux Garde Impériaux devant la porte armée jusqu'au dent. Katrin Jonke se tenais également en fasse de la porte, devant les gardes, attendant le chancelier pour le raccompagner sois vers son avion, sois vers l'hôtel avant son départ.

Image des Gardes Impériaux
Images des tenues des gardes impériaux altrechtois (Il n'ont qu'une arme sur eux)

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,
Le jet Kartien fendait les cieux à vive allure, avec pour seul passager le Chancelier du Saint Empire de Karty. En outre, une rencontre avec Altrecht avait été conclue, au plus grand étonnement du gouvernement impérial. Pays en apparence très fermé, il a tout de même accepté une rencontre avec l'état Kartien. Yaromir n'était pas confiant pour cette entrevue, de part la prise de décisions assez drastiques. Yaromir n'avait pas prit son téléphone sur lui, de peur qu'il soit confisqué sous un tel régime. Il n'avait même pas prit son habituelle mallette où étaient entreposés ses documents, cela dans le but d'éviter des fouilles qui prendraient un temps gigantesque ainsi que des questions indiscrètes. Pour être exact, hormis un stylo, un carnet et un téléphone de fonction, Yaromir était venu les mains vides. Cela allait jusqu'au fait que le Kantsler était seul et sans aucun garde, la nature du régime empêcherait la présence de gardes Kartiens sans aucun doute.
Malgré ses quelques inquiétudes, Yaromir restait un grand diplomate du monde Kartien, il était l'un des meilleurs dans son domaine. Il ne laisserait ainsi nullement ressentir ses émotions, laissant son habituel sourire diplomatique et sa mine froide. Lorsqu'il descendit de son aéronef, une dame du nom de Katrin Jonke l'attendait patiemment. Ernaï fut surpris par l'accueil Altrechtois, aucune salutation, aucune parole si ce n'est des menaces et des règles d'une bêtise assez soulignable. Katrin déclara même "aucune violence ne sera tolérée durant vôtre séjour", Yaromir eut la soudaine envie de rire à vive voix, ce qu'il ne fit point évidemment. "Il est assez évident que je ne dois pas mettre un crochet du droit à mon interlocuteur" se dit-il intérieurement. Le Chancelier se demanda tout de même s'il avait bien fait de venir seul, enfin il était trop tard. Ces quelques explications d'une évidence enfantine passées, Yaromir eut le droit à sa fouille évidemment, c'en était humiliant. A l'accoutumée, Yaromir regarderait l'architecture des bâtisses qui lui étaient offertes, nonobstant ce n'était pas le cas. Le Kantsler remarqua qu'il n'y avait pas grand monde, hormis des gardes au visage masqué. Il était clair que toutes ces choses mal cachées n'étaient là que pour un seul but, surveiller le Kartien. L'état Altrechtois devait être d'une paranoïa assez remarquable, plus que la Loduarie à vrai dire. Cela se confirma à la vue des gardes impériaux, tous armés de fusils d'assauts lourds à la main. Un tel armement était ridicule et réduisait même la performance du militaire, il faut ajouter que tous étaient drapés d'un accoutrement noir les couvrant entièrement. Ces soldats s'apparentaient plus à des robots que des êtres humains se dit Yaromir. Se trouvant finalement devant Wilhelm Hersh, Yaromir réfléchit quelques secondes et annonça:


Chancelier Yaromir Ernaï: Je vous souhaite bien le bonjour vôtre Excellence Wilhelm Hersh, c'est un plaisir d'être reçu sur vos terres. Bien que l'ouverture diplomatique vous soit assez récente, il est réjouissant de voir que vous acceptez de traiter avec le Saint Empire de Karty.

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Mes salutations, je ne suis pas Son Excellence, ce titre est réservé à la famille impériale, cependant étant membre du clergé, appelez-moi Père Wilhelm Hersh. Bien, ces quelques ajustements faits nous pouvons passer aux choses sérieuses, vous nous avez communiqué que vous souhaitiez organiser une rencontre afin de discuter économie et militaire, alors soit, dites-moi l'objet de vos dires ?

Wilhelm Hersh était surpris que Katrin Jonke ne lui avait pas expliqué son rang, il la sanctionnera plus tard, se dit-il. Il était agacé de la présence du chancelier. Une puissance étrangère qui nous contacte pour parler militaire et économie, ça ne vaut rien de bon, se dit-il dans sa tête. Wilhelm Hersh était habillé d'une tenue de prêtre orthodoxe classique, une tenue qui est utilisée pour distinguer des prêtres orthodoxes dits "archaïques" qui possèdent des tenues très colorées, car étant dans la sphère du pouvoir, les prêtres de ce cercle portaient eux des tenues orthodoxes noires très classiques à l'étranger mais qui ici étaient un symbole d'appartenance au Haut-État en plus du clergé.

Portrait de Wilhelm Hersh
Portrait de Wilhelm Hersh

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,
Le Chancelier fut assez déconcerté face à son interlocuteur, s'adresser à un membre du culte pour une rencontre diplomatique est peu courant. "Altrecht est une monarchie absolue où le culte sert de propagande malheureusement" se dit-il intérieurement. La surprise de Yaromir ne touchait pas à sa fin et bien au contraire, il fallait appeler son interlocuteur "père" en signe de reconnaissance religieuse. Il ne pouvait se résoudre à cela, Yaromir ne reconnaissait que le Patriarche Kartien et personne d'autre hormis Dieu le père, le vrai. Yaromir devrait donc utiliser son langage pour ne jamais prononcer le titre de son interlocuteur.


Chancelier Yaromir Ernaï: Mes excuses pour ce léger faux pas, il n'était pas voulu évidemment, là sont les premiers pas des contacts Altrecht-Karty. Je vais tout d'abord vous communiquer les sujets économiques que le Saint Empire de Karty souhaiterait traiter. L'économie est la base d'un état, il est donc nécessaire de traiter avec les états du monde pour garantir cette dernière. Nous ne voulons pas rendre dépendant vôtre patrie sous des échanges économiques, la souveraineté nationale est un des nombreux principes que nous partageons avec vous et que nous voulons conserver. Afin de ne pas se rendre dépendant, la solution est de diversifier ses échanges de sorte à ne pas dépendre donc. Pour cela, il faut tout de même commencer quelque part, ce que nous voulons entreprendre.
Karty cherche à diversifier ses échanges économiques depuis nôtre grande "diplomatisation", je vais donc vous communiquer nos ressources et domaines d'expertises. Quant au domaine primaire, nous possédons des ressources minières comme le cuivre, le plomb et le zinc. Pour ce qui est de l'agriculture, nous avons blé, orge et huile de tournesol en abondance. Pour les domaines secondaires et tertiaires, l'industrie lourde via l'automobile et les secteurs navals et aériens. Nos besoins se résument vulgairement à l'énergie nucléaire afin d'alimenter nos centrales, ainsi que des minerais liés à l'armement, le kevlar et le tungstène par exemple.

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Bien, commençons donc par le commerce. Il est vrai que nous cherchons à importer et exporter plusieurs biens et ressources diverses. Merci pour votre leçon de gestion de notre économie, mais nous existons depuis des siècles sans. Je vous prie de garder ce genre de leçon pour vos disciples. Voici nos documents officiels de demande d’importation et nos exportations.

Les documents en question

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Maintenant, concernant vos propositions, avez-vous apporté des documents similaires afin de voir la totalité de vos exportations ?

Wilhelm Hersh se demandait si le chancelier le provoquait en lui donnant une leçon d'économie. Cette puissance eurysienne se croit peut-être intellectuellement supérieure à nous ? se dit-il. Ce n'est pas une manière de communiquer, je ne suis pas un enfant, se faisant la réflexion interne de ces paroles. J'espère qu'il n'est pas venu sans document précis, cela montrerait une certaine incompétence des services kartiens.

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,
Yaromir vit clairement qu'il avait vexé son interlocuteur avec sa "leçon" d'économie. En réalité ce n'était pas son intention, cependant son interlocuteur avait signalé "Altrecht se débrouille seul depuis des centaines d'années", réflexion assez stupide. La mondialisation a pour effet de créer la demande et la dépendance entre chaque état, un pays qui ne commerce pas est voué à l'échec. Il ignora nonobstant les dires de son interlocuteur et changea assez rapidement le sujet. Après avoir étudié les documents qu'il lui avaient été donné, il annonça enfin.


Chancelier Yaromir Ernaï: J'ai en effet en ma possession des documents précisant mes dires. Après avoir analysé les vôtres, je peux conclure que Karty pourrait vous fournir vos matières agricoles en échange de minerais. Comme je l'ai dit nous possédons blé et orge, suffisamment pour couvrir la moitié de ces deux ressources (500 000 tonnes de chaque en résumé). Quant à l'huile, c'est le premier secteur agricole Kartien, avec comme vous le voyez 15.7 millions de tonnes produites par année. Nous pourrions également couvrir la moitié de cette demande, 2 700 000 000 de litres en somme.
Concernant nos demandes, nous serions principalement intéressés par l'or, l'argent et le fer (on pourrait dire 30 tonnes d'or, 150 tonnes d'argent). Nous possédons une certaine expertise dans l'acier, nonobstant nous ne couvrons seulement le charbon et non le fer nécessaire. J'envisagerais une importation à hauteur de 10 000 000 de tonnes, il est à souligner que les chiffres évoqués sont des propositions.

Pendant ses explications, Yaromir sortit de sa large veste son carnet. Il sortit de ce dernier une feuille soigneusement pliée en deux, qu'il donna à son interlocuteur. Il rangea par la suite son carnet aux deux pages singulièrement noires au même endroit où il l'avait retiré.

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Très bien, maintenant passons au propre de cet accord si vous le voulez bien.

Contrat économique Altrechto-Kartien : a écrit :Le Haut-Etat d'Altrecht s'engage à importer de l'Empire de Karty chaque année :

• 800 000 tonnes de blé par an
• 800 000 tonnes d'orge par an
• 2 760 000 tonnes d'huile de tournesol par an ( ce qui fait 3 000 000 000 de Litres )

L'Empire de Karty s'engage à importer du Haut-Etat d'Altrecht chaque année :

• 30 tonnes d'or par an
• 150 tonnes d'argent par an
• 10 000 000 tonnes de fer par an

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Voilà nous vous proposons ce contrat si, si celui-ci vous convient nous sommes prêts à écouter vos autres propositions. En ce qui concerne ce contrat, nous vous proposons des chiffres d'import et d'export, dites-nous si vous souhaitez autre chose.

Laissant un silence pendant que le chancelier lit la feuille faite sur une tablette numérique au brouillon par Wilhelm. Une tablette à pied qui permet de pouvoir écrire au style dessus de manière numérique durant un accord, elle est facilement maniable et corrige la plupart des erreurs automatiquement via un logiciel privé du palais. Le Haut-diplomate se détendit un peu après les chiffres exprimés par le chancelier, il se sentait soulagé d'avoir pu servir son pays et ne pas avoir perdu bêtement son temps dans une rencontre. Cependant il attend de savoir la suite de la discussion.

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,
Aussi étonnant que cela puisse paraître, le Saint Empire de Karty et le Haut Etat d'Altrecht entrent dans une ère de collaboration. Yaromir en fut assez surpris, positivement puisque des accords économiques venaient de voir le jour. Le Chancelier examina brièvement ce "traité" proposé, qui était tellement court qu'on se demandait légitiment si c'en était un.


Chancelier Yaromir Ernaï: Ma foi je n'ai rien à ajouter sur ces accords, c'est avec joie que le Saint Empire de Karty composera avec le Haut Etat d'Altrecht. Je souligne la qualité et la rapidité remarquable à laquelle ce traité a été trouvé, cela me semble prometteur.
J'en viens au second point, assez flou je vous l'accorde aux abords de ma missive, le sujet militaire. Certains états s'accordent à dire que le militarisme, la volonté de fonder une armée puissante, n'est que le résultat d'une volonté belliqueuse couronnée d'une incompétence probante. Nonobstant il n'en est rien, il est tout à fait logique de vouloir acquérir son auto-défense. Sur ces points, Altrecht et Karty sont assez semblables, nous optons pour une politique militariste, nous vous encourageons réellement à continuer cette volonté. Ainsi, il est naturel que de part nos valeurs similaires, nous prenons contact à ce sujet. Nous pourrions même établir des accords, par exemple la KWC (Kartian Weapon Company) serait ravie de vous fournir de l'armement. J'entends par là également que des entraînements militaires conjoints pourraient s'effectuer.

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Comme vous le soulignez, le militarisme est une doctrine officielle de notre Haut-Etat. Une doctrine qui ne nous a jamais quitté et qui nous a sans doute permis d'éviter de nombreux problèmes. Concernant votre proposition d'accord avec votre compagnie d'armement la "KWC", nous pourrions envisager un contrat. Nous attendons une proposition de votre part sur le sujet. Maintenant concernant le sujet d'entraînement militaire, nous n'y voyons pas d'inconvénient à organiser des simulations de guerre avec votre armée afin de renforcer nos deux armées dans des stratégies et tactiques modernes. En bref des événements conjoints pourraient nous intéresser.

Wilhelm Hersh semblait dubitatif quant à la proposition d'accord avec la compagnie Kartienne mais semblait intéresser afin de faire des simulations de combat entre l'armée kartienne et la Reichwatch altrechtoise.

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,

Chancelier Yaromir Ernaï: La KWC, de son nom la Kartian Weapon Company, est une entreprise semi-nationale. Elle est le garant de nôtre militarisation, j'entends semi-nationale puisque c'est la compagnie d'armement du Saint Empire de Karty, nous possédons la technologie des armements. Elle n'est pas entièrement nationale puisqu'elle a l'autorisation de vendre sa marchandise à l'étranger hormis si nous exprimons une réserve. C'est ce cas qui nous intéresse ici, certes vôtre production militaire nationale vous confère une armée de qualité, combiner cette production avec un achat d'armement, comprenez-vous mes dires ? Le Saint Empire de Karty a par exemple acheté nombres aéronefs aux industries Teylaises pendant que nôtre armée de terre s'agrandissait avec la production nationale. J'en viens donc au cœur du sujet, la KWC est à la recherche de clients, vôtre état pourrait l'être, il va de soi que des réductions vous seront offertes, bien évidemment ce n'est qu'une proposition.
Quant aux entraînements militaires, je ne suis pas le Ministre de la Défense Alexander Jükov, je peux vous assurer cependant que cela sera accepté. La volonté de ces événements est apparue, c'est le principal. Nous pourrons continuer plus amplement ces propositions par missive ou bien directement via une autre entrevue, le Saint Empire pourrait vous accueillir cette fois en signe d'amitié, cela reste à vôtre convenance.

Le Haut-diplomate Wilhelm Hersh : Parfait, nous verrons si nos besoins en armement seront à combler, nous envisagerons donc de commander chez votre compagnie, en échange de réductions évidemment. Quant au reste, vous avez effectivement raison, nous continuerons d'élaborer ces projets via missive ou par une nouvelle entrevue. Avez-vous d'autre chose à dire monsieur le chancelier ?

Wilhelm était pressé de finir l'entrevue car il avait bien des choses à faire beaucoup plus importantes que discuter avec un diplomate étranger. Attendant la réponse du chancelier pour se lever, lui serrer la main et le remettre dans les mains de Katrin Jonke pour le raccompagner jusque chez lui hors de ce magnifique pays.

24/11/2015, Haut-Etat d'Altrecht,
Le Chancelier remarqua que son interlocuteur semblait assez pressé de le quitter. "S'ils sont tous pris par le temps, engagez des diplomates dédiés à la diplomatie" se dit-il intérieurement d'un amusement assez certain. Nonobstant, Yaromir n'avait guère du temps à perdre lui aussi, les élections annuelles du Conseil des Elus approchaient à grand pas. Bien que l'Union Nationale semble garder son habituelle majorité presque absolue, voir même gagner quelques sièges, il fallait s'attarder sur le conflit entre le Parti Reconquête Royale et le Front Populaire Kartien qui semblait s'amorcer. Ernaï déclara assez rapidement, en serrant la main de son interlocuteur.


Chancelier Yaromir Ernaï: Je n'ai rien à ajouter si ce n'est des salutations, ce fut un plaisir de fouler le sol Altrechtois en d'en humer les doux vents d'hiver. Je vous dis au revoir et à bientôt, peut être sur le sol du Saint Empire de Karty.

Le Kantsler avait sortit la phrase typiquement Kartienne du "je vous dis au revoir et à bientôt", un symbole assez récurent de politesse. Il sortit donc de la salle où il était, retrouvant pour l'occasion Katrin Jonke et les soldats robotiques Altrechtois. Le cadre était toujours aussi oppressant, le Kartien avait hâte de rentrer chez lui. Il fut donc raccompagner comme il était venu, dans le même véhicule digne d'une propagande omniprésente avec ses quatre drapeaux aux couleurs du pays dans lequel il était. Enfin, le Chancelier entra dans l'aéronef de manufacture Kartienne, il prit place et quitta le sol Altrechtois direction sa terre natale.