09/07/2016
18:17:06
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Candidature République Picolatine (En attente d'acceptation)

Création de pays :République démocratique du Picolastan


Généralités :



Nom officiel : République démocratique du Picolastan
Nom courant : Picolastan
Gentilé : picolastien/ picolastienne

Inspirations culturelles : Cham(peuple marin),France(5ème république), Espagne et Portugal(empire colonial), Grèce antique(thalassocratie)
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : [Français]
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Russe, espagnol, portuguais

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Commercer et échanger, pour la liberté
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Argor(1 euro) cuival (1 centilme)

Capitale : Ganibourg

Population : 30 240 180 d'habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Naissance du Picolastan et la monarchie


Les premières traces du Picolastan remontent au début du XVIe siècle. Selon les légendes, des colons et des réfugiés, chassés de leurs terres d'origine, furent envoyés par bateau, en espérant leur mort, vers des territoires inconnus. Lorsque ils arrivèrent, les indigènes, le peuple des An'toch, les accueillirent avec bienveillance et un peu de crainte ces étrangers venus de la mer. Au début, la cohabitation se passait bien, les peuples se mélangeaient, et les couples métisses ne furent pas rares. Cependant, les colons avaient apporter des maladies nouvelles, qui se propagèrent parmi la population indigène. Certains se révoltèrent car ils croyaient que les colons étaient derrière cette histoire, et attaquèrent les villages des colons. Cependant, ces derniers étant mieux équipés (arme à feu), tuèrent les indigènes furieux. C'est ainsi que les An'toch disparurent, et l'on entendit plus parler d'eux, jusqu'à la découverte de temples lors de fouilles en 1982. Ensuite, les colons fondèrent les premières villes et ports sous la direction de leur chef Jean Pico. Désireux d’un nouveau départ, ils instaurèrent une démocratie, et Jean Pico devint leur premier dirigeant sous le titre de général stratège. C’est en son honneur que le pays prit son nom.
À sa mort, le 6 novembre 1558, ses principaux conseillers et amis, avides de pouvoir, plongèrent le Picolastan dans une guerre civile qui dura 65 ans. Ce conflit ne prit fin qu’avec l’avènement de Ganiel Pico, arrière-petit-fils de Jean Pico, qui, soutenu par le peuple, s’empara du pouvoir. Pour éviter qu’un tel chaos ne se reproduise, il se proclama Roi des Picolastiens, mettant ainsi un terme au système démocratique initial.
Conscient de l’état de ruine dans lequel la guerre civile avait plongé son pays, il ordonna la construction d’une puissante flotte pour relancer le commerce et pallier les pénuries. Il encouragea également l’immigration, une politique qui ne fit pas l’unanimité parmi ses sujets. À sa mort, en hommage à son règne stabilisateur, la capitale fut rebaptisée Ganibourg.
Pendant près de 300 ans, le Picolastan prospéra et renforça ses liens avec les peuples voisins. L’un des souverains les plus marquants de cette époque fut Eramiel Ier, qui mena plusieurs guerres d’expansion et agrandit le territoire national. C’est sous son règne que fut découvert l’archipel d’Hespérion, composé de trois îles : Auramar, Sylvéris et Lythoria.
Cependant, le Picolastan étant devenu une terre d’accueil pour de nombreux exilés, certains nationalistes commencèrent à contester cette ouverture. Un mouvement radical, les Puristes, apparut, prônant une stricte préférence nationale et exigeant que seuls les Picolastiens d'origine puissent accéder aux hautes institutions du pays. Ce groupe mena des attentats contre les bourgeois étrangers résidant sur le territoire. Pour apaiser ces tensions, le roi décida de restreindre les lois favorisant l'immigration et de fermer l’accès à la nationalité pour les nouveaux arrivants.

L’ère industrielle et l’expansion coloniale
Au XIXe siècle, le Picolastan connut un essor industriel marqué par l'avènement de la machine à vapeur. Les Picolastiens maîtrisèrent rapidement la navigation à vapeur, ce qui leur permit d’étendre leur commerce à des nations plus lointaines. Des colons furent envoyés aux quatre coins du monde et fondèrent plusieurs colonies.
Cependant, cette expansion eut un revers : le pays devint de plus en plus dépendant des ressources étrangères, faute d’une économie autosuffisante. Cette fragilité économique permit au royaume voisin et rival, Fortuna, qui contrôlait une part importante du commerce régional, d’exercer une domination indirecte sur le Picolastan. Cette situation entraîna des famines et des pénuries, provoquant un mécontentement croissant au sein de la population.
Dans le même temps, les habitants d’Hespérion, victimes de discriminations, commencèrent à se soulever. Le Front de Libération d’Hespérion (FLH) organisa des manifestations réclamant l’égalité des droits, mais celles-ci furent souvent réprimées avec violence.
Manifestation
Parallèlement, les activistes luttant pour l'égalité étaient régulièrement attaqués par des membres des Puristes, ce qui accentua les tensions internes.
La Grande Réforme et la fin de la monarchie
Les conflits sociaux et les crises économiques atteignirent leur apogée en 1940, marquant le début de la Grande Réforme. Des manifestations monstres rassemblant plus de 200 000 personnes secouèrent le pays, forçant le dernier monarque, Léon III, à abdiquer.
En 1948, une nouvelle Constitution fut rédigée, instaurant un régime démocratique. Le premier président élu, Francisco Perrot, leader du mouvement pour l’égalité, marqua le début d’une nouvelle ère pour le Picolastan.
élection président
Un accord avec le FLH fut signé, accordant à l’archipel d’Hespérion une autonomie accrue, notamment dans les domaines de l’éducation et de l’administration locale. Certains extrémistes refusèrent cet accord, mais étant minoritaires, leur opposition ne fut pas prise en compte.
Dans les décennies qui suivirent, une ouverture partielle à l’immigration provoqua une forte augmentation de la population. Cependant, cet afflux massif de personnes entraîna la formation de bidonvilles, en raison d’un manque de logements et d’emplois. Face à cette crise sociale, les présidents successifs encouragèrent le développement des industries locales, notamment l’exploitation des ressources sous-marines, comme le fer et le pétrole. Cette politique suscita le mécontentement des organisations écologistes, mais aussi celui des agriculteurs, qui réclamaient un soutien accru pour éviter de nouvelles pénuries alimentaires.

Le Picolastan aujourd’hui
Aujourd’hui, le pays est gouverné par le parti de gauche Terre-Chaleureuse (TC), bien que le président actuel, Juan Dupont, appartienne au parti opposé Patrie Souveraine (PS). Cette cohabitation politique crée une instabilité gouvernementale, les deux camps peinant à s’accorder sur les grandes réformes.
Certains groupes extrémistes, tels que les Puristes et le FLH, continuent de semer le trouble à l’intérieur du pays et de commettre des attentats. On estime le nombre d’adhérents et de sympathisants de ces deux mouvements à environ 10 000 personnes.
Par ailleurs, d’autres courants politiques, bien que minoritaires, continuent d’exister, notamment les royalistes et les écologistes, qui tentent d’influencer le débat national sans parvenir à réellement peser sur les décisions du gouvernement.


Mentalité de la population :
La population est divisée entre le parti de TC et de PS. C'est un peuple qui travaille majoritairement dans le commerce, des personnes se lancent dans l'industrie et l'agriculture. Le peuple est plutôt tolérant et pacifiste. Les populations des colonies ne s'opposent pas à la domination picolatine, sauf certains habitants de l'archipel de Hespérion qui veulent l'indépendance.

Place de la religion dans l'État et la société :
Le peuple étant cosmopolite, il y a énormémément de religions différentes et depuis un traité signé en 1410, l'Etats est dissocié et ne s'intéresse pas à la religion. La population se montre tolérante vis-à-vis des autres religions.

Politique et institutions :



Institutions politiques :
Organigramme du gouvernement
fonctionnement gouvernement<br>
Le président actuel est Juan Dupont, du parti PS, tandis que sa première ministre Josefa Rakmatraqua fait partie de TC. Ainsi, le gouvernement est mitigé sans parti strictement dominant. Dans hémicycle de l'assemblée, les sièges sont réparties anis: TC 240, PS 220, Écologistes 45, FLH 15, Puristes 15, Royalistes 10 et 5 indépendants.
A gauche, nous retrouvons les écologistes et le TC, au centre, les indécis, poursuivant leurs objectifs, le FLH et les indépendants, et enfin, à droite, le PS, les Royalistes et les Puristes.


Le président est élu au suffrage universel direct, tandis que pour les députés, le peuple vote pour un parti qui ensuite, en fonction du nombre de voix et du pourcentage, peut nommer un certain nombre de députés.
Président Juan Dupont
président
Première ministre Josefa Rakmatraqua
1ere ministre
Leader du TC: Emilien Lorréa
Emilien Lorrea
Leader du PS: Hugues Varnet
Hugues Varnet
Leader du parti écologiste: Clara Verdier
Clara Verdier
Leader du FLH: Lian Moris
Lian Moris
Leader des Royalistes: Balthazar de Saint-Clair
Balthazard
Leader des Puristes: Lucien Garin
Lucien Garin
Politique internationale :
Le Picolastan entretient des relations cordiales avec tout les pays du monde, qui représentent des clients potentiels. En cas de guerre, il n'hésitera pas à vendre des armes, même au 2 camps. Le business passe souvent devant l'éthique ou la morale. Cependant, il rêve de pouvoir concurrencer Fortuna qui possède également des territoires dans le monde entiers.
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Je voulais juste prévenir que ma candidature peut-être étudiée, et si il y a des remarques à faire, je suis ouvert à la critique
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Bonjour ! Merci de l'intérêt porté à Géokratos.
Globalement, le pays est pas mal développé, il en faudra pas beaucoup plus je pense pour qu'il puisse être validé. En fait, deux choses.

La colonisation ici est datée du XIIème siècle, alors que dans notre monde, la colonisation européenne avec des bateaux qui peuvent traverser l'océan, c'est plutôt à partir du XVIème siècle. Peut-être qu'il faudrait revoir la chronologie.

L'autre question, c'est les autochtones. On est sur une terre colonisée, présentée comme telle, donc deux possibilités : soit il y avait des autochtones et on veut savoir ce qu'ils deviennent ou ce qui leur est arrivé, soit il n'y en avait pas, et se pose la question de savoir pourquoi il n'y avait pas d'autochtones sur ces terres alors qu'il y en avait partout autour (et comment les colons ont réussi à s'installer sur une terre tellement peu accueillante que les autochtones ne l'on pas fait).

Voilà, n'hésites pas à répondre à la suite une fois que tu considère la fiche prête, ou si tu as des trucs à dire ou demander.
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Merci d'avoir prit du temps pour lire ma fiche. J'ai pris en compte vos remarques et j'ai apporté les modifications nécessaire. Ma fiche est maintenant prête à être étudiée de nouveau.
La relecture est faite, le pays me semble bon, je l'installe ! Bienvenue sur Géokratos et bon jeu !
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