Création de pays : République Anterienne côtière d'Ëdango
Généralités :
Nom officiel : République Anterienne côtière d'Ëdango
Nom courant : Ëdango ou RACE
Gentilé : Ëdangois, Ëdangoise
Inspirations culturelles : Tchad, Soudan, Kurdistan, Somaliland
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Antegrain
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : L'Hébreu, l'Arabe, le Français et autre dialecte locale.
Drapeau :

Devise officielle : Démocratie et patrie
Hymne officiel :
Capitale : Dokatar
Villes majeurs : Dokatar, Port Ëdango, Wanzi, Liam Ville.
Population : 10 230 000 habitants
Photo du dirigeant:

Aperçu du pays :
Présentation du pays :
La République Antérienne côtière d'Ëdango est un petit pays d'Afarée, très récent, fondé en 1991. Le pays est une république présidentielle depuis sa création. Son président actuel, Dima Contolo, est sur le point de terminer son mandat. Le pays est composé à 70 % de savane et à 5 % de désert, ce qui offre une grande diversité animale. On y trouve des zèbres, des girafes, des lions, et surtout une espèce unique de crocodile propre au pays : le crocodile de l'Anagon, qui tire son nom du fleuve Anagon, très célèbre dans la région. L'économie nationale repose principalement sur l'extraction de pétrole, l'agriculture, les activité minière et la pêche bien que certain de ces secteurs soient largement dominés par des entreprises étrangères, notamment antériennes, comme O.Petrol. La population se compose de deux principales ethnies : les Antes, qui représentent 75 % de la population, et les Aklafs, qui constituent les 25 % restants.
La République Antérienne côtière d'Ëdango possède comme allié principal la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad. Leur alliance est basée sur le traité de Paradise-Cliffs, qui consiste en la baisse des taxes sur les exportations et importations entre les deux pays et la libre circulation des citoyens antériens et ëdangois entre les deux pays, le pacte militaire d'Hejo, qui consiste en la défense totale de la République Antérienne côtière d'Ëdango par les forces antériennes en échange de quatre bases militaires antériennes sur le sol ëdangois, et le traité de Dokatar, qui a permis à la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad d'avoir la priorité sur l'achat de gaz à la République.
Actuellement, la République Antérienne côtière d'Ëdango traverse une période de fragilité politique. Les différents groupes indépendantistes, comme les Aklafien et les Dollandais, commencent à se renforcer, déstabilisant ainsi le pouvoir en place. Les élections pourraient changer l'avenir du pays. L'économie repose beaucoup trop sur des secteurs fragiles. L'extraction minière et pétrolière permet au pays de se développer, mais cette situation n'est pas durable à long terme. Le pays doit donc diversifier ses revenus. Par ailleurs, la ville portuaire majeure, Port Ëdango, est le port traitant le plus de marchandises du pays, devançant de loin la capitale, Dokatar ce qui le rend très important et très stratégique.
Histoire:
Le territoire actuel de la République Anterienne côtière d'Ëdango avait un statut flou et était resté non revendiqué pendant plusieurs années. Seules des communautés musulmanes et des ethnies martyrisé au quatre coins du monde y vivaient, ce qui en faisait un refuge idéal pour des groupes terroristes, des criminels, et des personnalités politiques recherchées, qui pouvaient s’y abriter en toute sécurité ce qui refroidissez les différentes nations à prendre se territoire.
En 1981, la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad lance l'opération Diamants Verts. Son objectif : capturer le territoire afin de démanteler d’éventuelles infrastructures terroristes et, également, en secret, détruire des lieux pouvant éventuellement abriter des personnalités politiques du mouvement indépendantiste Aklaf. L'opération Diamants Verts est un succès, et la Fédération occupe alors le territoire en attendant de décider de son avenir.
En 1990, l'occupation du territoire devient très impopulaire auprès de la population locale et anterienne, en plus d’imposer un coût exorbitant à la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad. En effet, de nombreuses infrastructures devaient être construites, mais en raison de problèmes internes, la Fédération n’était pas en mesure de s’en occuper. Face à cette situation, elle décide d’entamer des discussions sur l’avenir du territoire. Un an plus tard, en 1991, la République Antérienne Côtière d’Ëdango est fondée. Un drapeau, conçu par Ismael Mohamed Radar, est adopté, et un gouvernement provisoire est mis en place temporairement par la Fédération afin de garantir la stabilité politique. La nouvelle république introduit également une monnaie, le Liam, en fin 1991 du nom de premier président à la fin du gouvernement provisoire nommé Adil Liam qui est vu comme un libérateur dans le pays. Par ailleurs, Antegrad et Ëdango concluent un accord selon lequel la Fédération encouragera les investisseurs à soutenir le développement économique d’Ëdango en échange d’un accès total aux ressources pétrolières de la région de Bumbo pendant une période de cinq ans. Dans un premier temps, la République cherche à établir des relations étroites avec des puissances eurysiennes et aleuciennes, telles que le Royaume de Teyla et l’Union des Cités d’Akalties. Cependant, ces puissances ignorent les appels de la République, qui décide alors de se tourner vers la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad. En 1999, le traité de Dokatar est signé, suivi en 2001 par le traité de Paradise-Cliffs. Afin de renforcer ses capacités militaires et de répondre aux tensions internes liées aux indépendantistes de la région du Dolland, la République Antérienne Côtière d’Ëdango passe commande auprès de la Société de Fabrication d’Armes Fédérale, une entreprise appartenant à la Fédération. Ces accords militaires et économiques solidifient les relations entre les deux nations, souvent perçues comme des "nations sœurs". Ainsi, la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad reste le principal allié de la République Antérienne Côtière d’Ëdango, et réciproquement, Ëdango est l’un des plus fidèles partenaires de la Fédération.
En 2004, Antegrad cède certains territoires revendiqués par la République Antérienne côtière d'Ëdango, annexés après l'opération Diamant Vert (voir les provinces 35001 et 35002). En échange, la République accorde à la Fédération d'Antegrad une petite bande de terre sur la côte, nommée la bande de Kanza (prononcée Kaneza).
En 2005, une attaque terroriste frappe la tour de Cataïja, un bâtiment de l’entreprise antérienne O.Petrol situé dans la capitale de la République Antérienne côtière d'Ëdango, Dokatar. L’attentat fait 211 morts et plus de 300 blessés. L’attaque est revendiquée par l’organisation terroriste islamiste Nagar, ce qui conduit à la signature, en 2006, du traité de Digadonga, un accord de coopération contre le terrorisme.
En 2006, un groupe putschiste communiste nommé l'Armée populaire d'Ëdango tente un coup d'État dans la matinée du 25 octobre et réussit à s'introduire dans le palais présidentiel. Ils font prisonnier le président Chaal Cantarah ainsi que quelques membres de son gouvernement. Le premier ministre, Mohamed Al-Sir, qui, ce jour-là, était à Port Ëdango pour discuter de la gestion du port, est mis au courant de la situation et décide de faire appel à des mercenaires pour reprendre le contrôle. Ces mercenaires, anciens militaires Ëdangois anti-communistes et pan-Afaréanistes, ne trouvant pas de travail, forment alors le groupe "Organisation de l'Armée des Aigles d'Ëdango", abrégé en OAAE. Ceux-ci parviennent à pénétrer dans le palais présidentiel, réussissent à libérer les prisonniers, et arrêtent ou tuent les putschistes. Du côté présidentiel, seul le ministre de l'Industrie ainsi que trois mercenaires ont été tuées.
En 2008, une manifestation indépendantiste éclate dans la région du Dolland et se transforme rapidement en révolte. Le groupe Armée pour la Libération du Dolland en profite pour attaquer des infrastructures militaires de l'armée Ëdangoise. En réponse, le gouvernement envoie l'armée pour mater la révolte, qui se transforme en guerre interne. La République Antérienne côtière d'Ëdango refuse l’aide proposée par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, souhaitant gérer la situation seule. Les rebelles prennent la ville de Wanzi le 18 juin et avancent jusqu’à 30 kilomètres de la plus grande ville portuaire du pays, Port Ëdango. Cependant, une vaste contre-offensive les repousse aux portes de Wanzi. Un tir d’obus tue le chef du groupe Armée pour la Libération du Dolland, provoquant le désordre au sein des rebelles et des divisions parmi les chefs de guerre pour sa succession. L'armée Ëdangoise en profite pour lancer l'opération Savane, qui s’avère être un succès. Le groupe rebelle perd tous ses territoires, se réfugie dans les montagnes à l'est et devient plus discret.
En 2010, le président nouvellement élu, Dima Contolo, met en place, comme promis dans son programme, le Service National Ëdangois (SNE). Ce service consiste en une obligation militaire dès l’âge de la majorité (17 ans), dont la durée varie selon les individus, allant de 5 mois à 60 ans. Un individu sans casier judiciaire, ayant commencé à travailler tôt, effectuera un service national de 5 à 10 mois à sa majorité. Une personne sans casier judiciaire, mais sans expérience professionnelle précoce, réalisera un service de 11 mois à 1 an et demi. Ceux ayant un casier judiciaire léger ou lourd devront accomplir un service allant de 2 ans à 60 ans.
Ce dispositif vise à réduire la criminalité chez les mineurs, la crainte d’un long service national incitant les jeunes à poursuivre des études ou à entrer rapidement sur le marché du travail. Certaines ONG dans le pays accusent le Service National Ëdangois de priver les jeunes de leur liberté et de constituer un moyen de contrôle sur la jeunesse, bien que ce service reste très populaire, notamment auprès des personnes âgées.
Président de la République Anterienne côtière d'Ëdango de 1991 à 2015:
1991-1995: Adil Liam, premier président de la république.
1995-1998: Adil Liam, unique président ayant exercé deux mandats
1998-2002: John Catala, premier président blanc de la république.
2002-2006: Chaal Cantarah
2006-2010: Mohamed Al-Sir, qui à connus une guerre civile.
2010-2015: Dima Contolo, premier président ayant restais 5 ans au pouvoir.
Mentalité de la population :
La République antérienne côtière d'Ëdango est marquée par une forte division entre deux ethnies principales : les Antes, majoritaires, et les Aklafs. Cette répartition ethnique accentue les tensions sociales, avec un racisme profondément enraciné. Les Aklafs revendiquent la création d’un État qui reflète leur identité et leurs aspirations. En 2011, un discours prononcé par une figure politique aklaf, déclarant : "Les Aklafs sont sur leur terre, les Antes doivent rentrer chez eux", a déclenché de violentes manifestations anti-Aklafs. Ces événements ont été accompagnés de nombreuses violences, aggravant les fractures sociales. Il y à également les Dollans qui souhaite également l'indépendance.
Par ailleurs, des tensions religieuses existent également, notamment avec la minorité juive installée dans l'ouest du pays. Cette communauté, qui formule aussi des revendications indépendantistes, est issue d’une importante vague d’immigration en provenance de l’Eurysie, consécutive à de violentes persécutions antisémites. Cette situation a ajouté une dimension religieuse aux tensions déjà existantes, exacerbant les conflits entre les différentes communautés.
En conclusion, la République antérienne côtière d'Ëdango est une société fracturée, traversée par des tensions ethniques et religieuses complexes. Ces divisions poussent parfois le gouvernement à déployer l’armée pour tenter de rétablir l’ordre.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion officielle du pays est l'Islam sunnite (comme à Antegrad), qui représente 57,5 % de la population. Environ 13,5 % sont chiites, 10% son de la religion de la Cité du Désert, 10% sont juif et le reste de la population est chrétien ou athée. La population est très attachée à sa religion mais reste également très ouverte d'esprit même si des tensions religieuse apparaisse parfois entre communauté musulmans et juives.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Créé en 1992, un an après son indépendance, le parlement ëdangois est la principale institution politique du pays. Celui-ci est composé de 202 députés et de douze partis politiques : le Parti communiste radical ëdangois d'extrême gauche, le Parti socialiste ëdangois de gauche, le Parti des peuples aklafiens de gauche et indépendantiste, l'Union des peuples aklafiens de gauche, le Parti indépendantiste islamique aklafien de gauche et indépendantiste, le Parti social afaréen ëdangois de centre gauche, le Parti Al-Saba de centre gauche et indépendantiste (pour le Dolland), le Parti Ante de centre-droit, l'Union démocrate de droite, l'Union des peuples afaréens de droite et panafaréen, le Parti de la libération islamique d'Arahlata Aromewni d'extrême droite et le Front islamique d'extrême droite. Les députés sont élus par leur parti selon le pourcentage de voix obtenu aux élections législatives. Le président est le chef de parti : si son parti remporte le plus de sièges à l'assemblée lors des élections présidentielles, il devient président de la République. Les élections législatives se déroulent presque en même temps que les élections présidentielles (sans dissolution de l'assemblée). La majorité absolue est 102. Le président reste 5 ans au pouvoir (auparavant il resté 4 ans).
Le Parti des Peuples Aklafiens (PPA) est un parti créé par le Mouvement Indépendantiste Aklaf (MIA). Ce mouvement indépendantiste, jugé terroriste par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, est au centre de nombreuses controverses. Après une répression violente et discrète menée par les autorités anteriennes, et en l'absence de tout soutien international, les hauts dirigeants du Mouvement Indépendantiste Aklaf ont fui leur ancien bastion situé sur le territoire fédéral d'Anto-Amythie, dans la ville de Koubom. En 2010, ils se sont établis en République Anterienne Côtière d'Ëdango, dans la ville proche de la frontière de Youma. En 2011, un an après leur arrivée, le Mouvement Indépendantiste Aklaf a fondé l'Institution Politique des Peuples Aklafiens, qui a rapidement évolué pour devenir un parti politique. Lors des élections législatives de cette même année, le PPA a obtenu un score suffisant pour remporter 14 sièges à l'Assemblée. Ce nombre est resté inchangé lors des élections de 2013. Ce succès électoral est en grande partie attribué à une loi de la République d’Ëdango autorisant les immigrés anteriens à voter. En conséquence, de nombreux Aklafiens, ayant fui la répression de la Fédération, se sont installés en Ëdango, augmentant ainsi le soutien électoral au Parti des Peuples Aklafiens. Le gouvernement anterien a dénoncé cette situation, qualifiant ces résultats de "fraude électorale" et critiquant la présence d'un parti politique considéré comme terroriste au sein de la République Anterienne Côtière d’Ëdango. Toutefois, cette présence reste légale au regard des lois de la République, ce qui limite les actions possibles des autorités anteriennes. Il existe d'autre parti pour l'indépendance d'un territoire Aklaf mais il reste très divisé entre eux.
Principaux personnages :
-Dima Contolo, le président de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Jay Padra, premier ministre de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Jima Fredon, ministère des affaires étrangères de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Gwen Bomgou la ministère de l'armées et de la défense de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Ludovic Hamri le ministère de des finances de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Mohamed Chris Adil le ministère de l'éducation de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Karim Lacours le ministère des ressources naturels de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Joackim Belgrin le ministère de la cultures et des sport de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Yacoun Youd le ministère de l'agriculture de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Zanzi Walli le ministère de l'industrie de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Walid Hinch le ministère du travail de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Mohamed Ho le ministère du des eaux et des zones économique exclusive de la République Anterienne côtière d'Ëdango
-Nissan Walid le ministère des airs et des sols de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Fatima Cako la ministre de l'interieur de la République Anterienne côtière d'Ëdango.
-Mamadou Achel, représentant de la fédération centrale démocratique d'Antegrad en République Anterienne côtière d'Ëdango.
Politique internationale :
La République Antérienne côtière d'Ëdango est un pays très isolé sur la scène internationale. Elle ne fait partie d'aucune organisation et ne possède qu'un seul allié. Sa politique anticolonialiste et pan-Afaréaniste, qui ne fait pas l'unanimité, renforce encore son isolement. L’objectif de cette politique est de soutenir les mouvements indépendantistes dans les colonies des puissances colonisatrices eurysiennes et aleuciennes, en ciblant principalement la République des Trois Nations.
La République Antérienne côtière d'Ëdango accuse également l'Empire Anticolonial Akaltien d'être une simple façade servant à exploiter les ressources de ses territoires sans en faire profiter sa population. Elle vise particulièrement le Chandekolza, qui, d'après Dokatar, est exploité ouvertement par l'Akaltie et la Ligue Anticoloniale à des fins personnelles, au mépris total des Chandekolzais et Chandekolzaines. En 2014, le président Dima Contolo a prononcé ce discours :
"À tous les peuples martyrisés sous la domination d'un État voleur qui prétend être leur sauveur, moi, Dima Contolo, président de la petite République Antérienne côtière d'Ëdango, je condamne vos occupants. Ceux-ci vous font croire, par une propagande discrète et un jeu d'influence, que votre vie est meilleure qu'avant, alors que rien ne change. Ils vous font croire que votre terre est déjà indépendante pour éviter les révoltes, tout en plaçant à la tête de votre terre un homme qui vit dans la richesse sans se soucier de vous. Ils vous exploitent, vous et vos terres, dont les ressources sont envoyées aux quatre coins du monde. Pourtant, ils doivent vendre des bases militaires à des pays colonisateurs et impérialistes pour vous nourrir ! C'est absurde ! (...)"
Ce discours de Dima Contolo accuse clairement le pouvoir en Chandekolza et explique pourquoi la Ligue Anticoloniale est une vaste supercherie, n'étant qu'une façade dans un projet d'influence.
Carte et autre :
Carte topographique :

Le pays est composé à 70 % de savane et à 5 % de désert. Le désert se situe au sud-est du pays. À l'est, une chaîne de montagnes abrite le point culminant du pays, la montagne de Boumoka, qui s'élève à 3 400 mètres d'altitude.
Carte des régions et de la ZEE :

Carte des ressources naturelles exploitées :

Information sur les groupes rebelles indépendantistes :
Mouvement Indépendantiste Aklaf en Ëdango(MIAE) :
Drapeau:

Territoire revendiqué :
Capitale revendiqué: Paradise-Cliff (En Antegrad) (Appelé par les Aklafiens Kachar Ville)
Moyen utilisé: Attaque terroriste, politique, prise des armes.
Représentation politique: Parti des Peuples Aklafiens.
Dirigeant: Mounda Dallas
Effectif armées: Environs 250 soldats professionnels (Compté parmi les soldats du pays)
Soutient: Aucun
Idéologie: Islamisme.
Groupe Armée pour la Libération du Dolland (GALD):
Drapeau:

Situation géographique :
Capitale revendiqué: Wanzi
Moyen utilisé: Attaque terroriste, politique, prise des armes.
Représentation politique: Parti Al-Saba.
Dirigeant: Kachal Moudon Al-Saba
Effectif armées: Environs 900 soldats professionnels(Compté parmi les soldats du pays)
Soutient: Aucun
Idéologie: Socialo-Communiste
Nation Juive d'Ëdango(NJE) :
Drapeau:

Territoire revendiqué :
Capitale revendiqué: Liam Ville (Appelé par les juifs Liamem)
Moyen utilisé: Diplomatie, organisation de communauté.
Représentation politique: Aucun
Dirigeant: Jacob Anicol
Effectif armées: Environs 150 soldats professionnels(Compté parmi les soldats du pays)
Soutient: Aucun
Idéologie: Inconnu