11/05/2017
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Occasion, recyclage et trafics - une étude des flux de marchandises atypiques du Tahoku

Institut d'observation indépendante du Tahoku (IOIT)

Brève présentation : L'IOIT est un institut de recherche sociologique, historique, statistique et scientifique indépendant cherchant à mieux comprendre le Tahoku. Pays reclu et connu pour sa censure médiatique importante, il ne renvoie à l'international qu'une image floue et peu exploitable au profit de sa population. La mission de l'Institut est donc de mettre en lumière les non-dits, de récupérer les informations manquantes et d'effectuer un état des lieux honnête à même d'aider les associations humanitaires et autres ONG en faveur de l'amélioration des conditions de vie de la population locale. Mené par une équipe internationale d'experts de divers domaines de prédilection, l'IOIT publie ses rapports dans la presse internationale libre grâce aux généreux dons de ses adhérents.

Étude des échanges de marchandises 《alternatifs》du Tahoku

Il est de notoriété publique que le niveau de vie au Tahoku est bien trop faible pour avoir recours à l'achat régulier de matériel neuf, d'autant plus que la majorité du matériel de l'industrie lourde (automobile par exemple) et de précision (électronique) est importée, entraînant des surcoûts dûs aux taxes. Les Tahokais ont donc très souvent recours à l'occasion et au matériel obsolète importé de l'étranger pour s'équiper. C'est ainsi que très souvent, les vieilles machines à laver des quatre coins du globle finissent leur vie dans l'Empire Suprême.
Ce phénomène n'épargne pas le matériel et les voitures volées, importées en masse par les groupes criminels tahokais ou parfois même des officiels suite à de juteux contrats avec des contacts à travers le monde.
Il est d'importance primordiale de comprendre et de répertorier ces flux afin d'endiguer le crime certes, mais également de protéger le mieux possible les utilisateurs de ces outils et transports personnels qui peuvent poser de graves problèmes de sécurité et de pollution. D'un autre côté, la mise en place de pratiques plus sûres et plus durables pourra être envisageable sitôt la situation éclaircie.
Une autre problématique doit également être traitée, celle de la prise en charge des déchets de pays étrangers par les centres de tri du Tahoku. En effet, le pays offre aux pays du monde entier d'accueillir des volumes importants de déchets triés en échange d'une compensation financière, déchets qui sont ensuite recyclés et utilisés par le tissu industriel tahokais. Dans cette même optique, il convient de rendre compte de la durabilité sociale, économique, politique et environnementale de ces pratiques.

L'IOIT appelle donc les autorités des pays, régions ou territoires concernés ainsi que toute organisation informée à ce sujet à partager ses rapports et données à l'IOIT afin que celui-ci puisse travailler sur une compilation de ces dernières.

Nom de l'organisme :
Matériel / transports / déchets concernés :
Volumes concernés par voie (estimation) : revente / prise en charge / trafic illégal
Informations générales (pour développer votre propos) :
Nom de l'organisme : Union Commerciale et Industrielle des Corvidés - UCIC (Empire du Nord)

Matériel / transports / déchets concernés : Micro-ondes et fours électriques ; Voitures d’occasion et pièces détachées de camions et de bus ; Canapés et fauteuils défraîchis ; Jouets d’occasion pour enfants

Volumes concernés par voie (estimation) : revente / prise en charge / trafic illégal

[les chiffres sont par an]

Micro-ondes : ~20'000 d'unités pour la revente / ~40'000 unités pour la prise en charge / ~8'000 unités par trafic illégal
Fours électriques : ~9'000 d'unités pour la revente / ~21'000 unités pour la prise en charge / ~5'000 unités par trafic illégal
Voitures d’occasion : ~15'000 d'unités pour la revente / ~10'000 unités pour la prise en charge / ~25'000 unités par trafic illégal
Pièces détachées de camions et de bus : ~120'000 tonnes pour la revente / ~100'000 tonnes pour la prise en charge / ~100'000 tonnes par trafic illégal
Canapés : ~25'000 d'unités pour la revente / ~190'000 unités pour la prise en charge / ~15'000 unités par trafic illégal
Fauteuils : ~19'000 d'unités pour la revente / ~130'000 unités pour la prise en charge / ~12'000 unités par trafic illégal
Jouets d’occasion pour enfants : ~800'000 d'unités pour la revente / ~1'250'000 unités pour la prise en charge / ~200'000 unités par trafic illégal

Informations générales (pour développer votre propos) :

L'Union Commerciale et Industrielle des Corvidés - ou UCIC - est une multinationale tentaculaire employant des centaines de milliers de personnes à travers tout le globe et produisant des quantités titanesques de biens de toutes sortes. Beaucoup sont écoulés vers des marchés plus pauvres comme certaines zones du Nazum et de l'Afarée, et dans ces régions, les produits sont de qualités moindres qu'en Aleucie, en Eurysie ou au Paltoterra.

Il n'est pas rare que des biens de mauvaise qualité soient rendus à l'entreprise qui, peu regardante sur beaucoup de normes et sur l'éthique, déverse ces produits de mauvaise facture vers des pays comme le Tahoku pour des prix cassés. Le flux est très important et la population importante du pays ainsi que sa situation relative au pouvoir d'achat de ses habitants arrange beaucoup les responsables de l'UCIC. L'entreprise poursuit de plus depuis quelques années un développement important et s'intéresse de plus en plus au marché tahokais qui voit déjà beaucoup de biens nordistes arriver vers lui par le biais de cette entreprise.
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