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Rencontre officielle - Jozor et Banairah à Imate

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Rencontre officielle entre le Jozor et le Banairah à Imate

08/05/2005


Encore une fois, c'est au siège du ministère des affaires étrangères, à Imate, capitale du Jozor, que se déroulera la rencontre prévue entre le ministre Dahmane Moubarak et les représentants diplomatiques invités, en l'occurrence, les représentants du Banairah .

Comme le veux la coutume, devant la place d'Afarée, le ministre attend les représentants du Banairah debout devant le tapis rouge attendant leur arrivée pour les accompagner jusqu'à la salle Bakri, créée pour l'occasion, en passant par les soldats de l'armée de terre en garde à vous brandissant les drapeaux de l'armée nationale populaire et ceux du Jozor et du Banairah. Avant leur entrée, les représentants des deux pays entendront leur hymne national puis entameront leurs discussions à l'intérieur du bâtiment.

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Siriam Amza, Ministre des Affaires Extérieures au Banairah
Siriam Amza, Ministre des Affaires Extérieures au Banairah

Er Narogah, ministre de l'Économie et des Transports au Banairah
Er Narogah, ministre de l'Économie et des Transports au Banairah

Le ciel était d'un bleu éclatant, comme à l'accoutumée en cette latitude en Afarée, lorsque le jet de l'Ambē atterrit à l'aéroport.
Siriam Amza, ministre des Affaires Extérieures, Er Narogah, ministre de l'Économie et des Transports, ainsi qu'un délégué ministériel chargé de représenter les ministres absents mais concernés par l'événement, comme par exemple le ministre de l'Éducation et celui de la Culture, sortirent de l'appareil et prirent la route vers le lieu de rencontre. Il n'était pas rare qu'en l'impossibilité d'envoyer tous les ministres en rencontre diplomatique, et ces derniers ayant horreur de déléguer, préférant de loin présenter d'eux-mêmes les projets de leur Ministère, que le Ministère de l'Économie et des Transports soit privilégié. Car autant le Banairah aimait nouer des liens d'amitié avec des nations étrangères, il aimait également en tirer du profit, et malgré les protestations de la frange protectionniste du pays, ce dernier restait capitaliste, avec tous les travers que cela peut supposer. C'était ainsi que le ministre de la Culture était amené à se contenter de transmettre ses volontés à un suppléant, soupirant à propos de sa fonction sous-estimée et pourtant déterminante et cruciale qu'est celle de la protection et de l'expansion de la culturr banairaise. L'hymne national jozor était à présent joué, suivi de l'hymne national du Banairah. Er Narogah aurait préféré que celui-ci soit plus enthousiasmant, il était amoureux de son pays et ne pouvait souffrir que ce dernier se contente d'un chant aussi plat, dernière pensée qu'il gardait pour lui-même. On l'aurait hurlé dessus s'il osait critiquer l'hymne, héritage même de la 1ère République Directe, symbole de la résistance banairaise face à l'envahisseur tataro-mongol au XVème siècle.
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Dahmane Moubarak : Bonjour à tous et bienvenue chez nous. Nous vous avons invité pour discuter d'un sujet très important pour la sécurité de notre pays et de notre grand continent. Notre pays est très proche de l'Eurysie et possède un accès facile et stratégique vers le Megacifique mais pas assez de pays ne veulent négocier un contrat économique avec notre pays, surtout parce qu'il est musulman. Etant né il y a moins de 50 ans, le Jozor n'est pas très développé au niveau militaire et a besoin de ses frères a afaréens pour se développer. Nous vous proposons alors de signer un accord commercial en compagnie du Président de la République, ainsi, si vous le voulez bien, vous négocierez les termes du contrat d'achat de matériels militaires du Banairah demain matin au palais présidentiel.

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Er Narogah : Bonjour, chers camarades afaréens ! Nous voudrions d'abord vous remercier de votre accueil en vos terres. Vous nous voyez ravis de pouvoir vous rencontrer. Ne vous inquiétez pas de l'isolement géopolitique de votre pays, le Banairah sera enthousiaste de vous aider dans votre ouverture à l'international, notamment via la signature d'accords commerciaux. Concernant l'achat de matériel banairais, le Ministère de la Défense est ouvert à l'idée mais est actuellement en situation de vigilance au vu de la situation politique délicate de la Damanie. Nous serions donc intéressés de vous entendre plus longuement sur le sujet afin d'évaluer la faisabilité du projet.
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Dahmane Moubarak : Bien ! Tout d'abord, les armements qui seront vendus auront un but de défense contre les attaques terroristes et éventuelles attaques étrangères, si vous avez peur que nous utilisions ces armes sans raisons nous serons prêts à signer pour cela, cependant, les détails de ce dossier sont classés SD et votre discussion avec le président vous apportera beaucoup sur le sujet.

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Siriam Amza :Fort bien ! La défense des attaques terroristes est effectivement une priorité, il est de notre devoir de vous aider. Nous pourrions d'ailleurs discuter avec Monsieur le Président d'accords entre nos départements de police afin de faciliter la recherche de criminels et leur arrestation. Ces organisations profitent de la mondialisation pour agrandir leur réseau à travers le monde.
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Siriam Amza :
L'établissement d'ambassades en effet constitue un très bon premier pas dans nos relations, je me dois donc d'accepter au nom du Banairah. En revanche, le contrat que vous me proposez me semble peu profitable étant donné que notre industrie a l'obligation de répondre en premier aux directives ministérielles et aux besoins de la nation. Voici donc ce que je vous propose : 10% de réduction et droit de regard comme vous l'avez proposé. Cette légère modification nous permettra de satisfaire nos deux exigences et de financer la construction de nouvelles usines de production.
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Siriam Amza : Cela me paraît bien. Il est peut-être encore trop tôt pour y penser, mais le jumellage de nos villes est envisageable si vous le souhaitez. Cela nous permettrait par exemple de faciliter les échanges linguistiques entre nos deux pays et renforcerait l'amitié jozor-banaraise. Je vous propose également de discuter des dispositions que vous accepteriez de mettre en place en faveur de l'implantation éventuelle d'entreprises banairaises sur votre territoire : seriez-vous d'accord, pour commencer, d'accueillir nos entreprises, et sous quelles conditions ?
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