La gauche Ëdangoise:
Parti communiste radicale Ëdangois

Le Parti communiste radical Ëdangois est un parti politique créé un an après l’indépendance de la République anterienne côtière d’Ëdango, en 1992. Ce parti cherche à redistribuer les terres agricoles du pays, notamment celles appartenant à des groupes religieux (en particulier les Juifs), aux Blancs (principalement les Eurysiens et les Aleuciens), ainsi qu’aux Anteriens, afin de les attribuer à des Ëdangois. Il prône également la suppression de toutes les représentations religieuses dans le pays, telles que les synagogues, les églises, les mosquées, et autres lieux de culte. Par ailleurs, il souhaite nationaliser les entreprises anteriennes implantées sur le sol Ëdangois, comme O.Petrol. Lors des dernières élections législatives, le Parti communiste radical Ëdangois a obtenu un score suffisant pour remporter 6 sièges à l'Assemblée nationale. Ce parti est très impopulaire chez les jeunes et les agriculteurs. Le Parti communiste radical Ëdangois est régulièrement au cœur de polémiques pour ses positions antisémites et son soutien à des régimes autoritaires et impérialistes communistes, tels que la Nation communiste de Loduarie.
Le journal du parti, nommé Journal communautaire, est régulièrement visé par des enquêtes pour apologie du terrorisme, notamment en lien avec des attaques contre des lieux de culte. Le président de ce parti est Felix M-Peloza à annoncé se présenté au élections présidentielle de 2016.
Parti socialiste Ëdangois

Le Parti socialiste Ëdangois est l’un des premiers partis politiques du pays, apparu en 1991. Il a fait partie des trois premiers partis fondés après l’indépendance. Le Parti socialiste Ëdangois a réussi à remporter l’élection présidentielle de 2002. Chaal Cantarah est ainsi devenu le premier président de gauche du pays, en poste de 2002 à 2006, et, à ce jour (en 2016), le dernier à avoir occupé cette fonction. Le Parti socialiste Ëdangois défend l’émancipation individuelle, la redistribution des richesses, la non-exploitation des ressources naturelles, la souveraineté démocratique, ainsi que la conquête de nouveaux droits en matière de liberté d’expression. Lors des dernières élections législatives, le Parti socialiste Ëdangois a obtenu un score suffisant pour remporter 31 sièges à l'Assemblée nationale.
L’actuelle présidente du parti, Sina Gongal, a annoncé comme lors de l’élection présidentielle de 2010 sa candidature pour les présidentielles de 2016.
Parti des peuples Aklafien

Le Parti des Peuples Aklafiens (PPA) est un parti créé par le Mouvement Indépendantiste Aklaf (MIA). Ce mouvement indépendantiste, jugé terroriste par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, est au centre de nombreuses controverses. Après une répression violente et discrète menée par les autorités anteriennes, et en l'absence de tout soutien international, les hauts dirigeants du Mouvement Indépendantiste Aklaf ont fui leur ancien bastion situé sur le territoire fédéral d'Anto-Amythie, dans la ville de Koubom. En 2010, ils se sont établis en République Anterienne Côtière d'Ëdango, dans la ville proche de la frontière de Youma. En 2011, un an après leur arrivée, le Mouvement Indépendantiste Aklaf a fondé l'Institution Politique des Peuples Aklafiens, qui a rapidement évolué pour devenir plusieurs partis politiques. Lors des élections législatives de cette même année, le PPA a obtenu un score suffisant pour remporter 14 sièges à l'Assemblée. Ce nombre est resté inchangé lors des élections de 2013. Ce succès électoral est en grande partie attribué à une loi de la République d’Ëdango autorisant les immigrés anteriens à voter. En conséquence, de nombreux Aklafiens, ayant fui la répression de la Fédération, se sont installés en Ëdango, augmentant ainsi le soutien électoral au Parti des Peuples Aklafiens. Le gouvernement anterien a dénoncé cette situation, qualifiant ces résultats de "fraude électorale" et critiquant la présence d'un parti politique considéré comme terroriste au sein de la République Anterienne Côtière d’Ëdango. Toutefois, cette présence reste légale au regard des lois de la République, ce qui limite les actions possibles des autorités anteriennes. Il existe d'autre parti pour l'indépendance d'un territoire Aklaf mais il reste très divisé entre eux.
Union des peuples Aklafien

L'Union des peuples Aklafien est un parti créé par le Mouvement Indépendantiste Aklaf. Ce mouvement indépendantiste, jugé terroriste par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, est au centre de nombreuses controverses. Après une répression violente et discrète menée par les autorités anteriennes, et en l'absence de tout soutien international, les hauts dirigeants du Mouvement Indépendantiste Aklaf ont fui leur ancien bastion situé sur le territoire fédéral d'Anto-Amythie, dans la ville de Koubom. En 2010, ils se sont établis en République Anterienne Côtière d'Ëdango, dans la ville proche de la frontière de Youma. En 2011, un an après leur arrivée, le Mouvement Indépendantiste Aklaf a fondé l'Institution Politique des Peuples Aklafiens, qui a rapidement évolué pour devenir plusieurs partis politiques.
Lors des élections législatives de cette même année, l'Union des peuples Aklafien a obtenu un score suffisant pour remporter 9 sièges à l'Assemblée. Ce succès électoral est en grande partie attribué à une loi de la République d’Ëdango autorisant les immigrés anteriens à voter. En conséquence, de nombreux Aklafiens, ayant fui la répression de la Fédération, se sont installés en Ëdango, augmentant ainsi le soutien électoral à l'Union des peuples Aklafien. Le gouvernement anterien a dénoncé cette situation, qualifiant ces résultats de "fraude électorale" et critiquant la présence d'un parti politique considéré comme terroriste au sein de la République Anterienne Côtière d’Ëdango. Toutefois, cette présence reste légale au regard des lois de la République, ce qui limite les actions possibles des autorités anteriennes. Il existe d'autre parti pour l'indépendance d'un territoire Aklaf mais il reste très divisé entre eux.
Parti indépendantiste islamique Aklafien

Le Parti indépendantiste islamique Aklafien est un parti créé par le Mouvement Indépendantiste Aklaf (MIA). Ce mouvement indépendantiste, jugé terroriste par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, est au centre de nombreuses controverses. Après une répression violente et discrète menée par les autorités anteriennes, et en l'absence de tout soutien international, les hauts dirigeants du Mouvement Indépendantiste Aklaf ont fui leur ancien bastion situé sur le territoire fédéral d'Anto-Amythie, dans la ville de Koubom. En 2010, ils se sont établis en République Anterienne Côtière d'Ëdango, dans la ville proche de la frontière de Youma. En 2011, un an après leur arrivée, le Mouvement Indépendantiste Aklaf a fondé l'Institution Politique des Peuples Aklafiens, qui a rapidement évolué pour devenir plusieurs partis politiques. Lors des élections législatives de cette même année, le Parti indépendantiste islamique Aklafien a obtenu un score suffisant pour remporter 9 sièges à l'Assemblée. Ce succès électoral est en grande partie attribué à une loi de la République d’Ëdango autorisant les immigrés anteriens à voter. En conséquence, de nombreux Aklafiens, ayant fui la répression de la Fédération, se sont installés en Ëdango, augmentant ainsi le soutien électoral au Parti indépendantiste islamique Aklafien. Le gouvernement anterien a dénoncé cette situation, qualifiant ces résultats de "fraude électorale" et critiquant la présence d'un parti politique considéré comme terroriste au sein de la République Anterienne Côtière d’Ëdango. Toutefois, cette présence reste légale au regard des lois de la République, ce qui limite les actions possibles des autorités anteriennes. Il existe d'autre parti pour l'indépendance d'un territoire Aklaf mais il reste très divisé entre eux.
Parti Al-Saba
Le Parti Al-Saba est un parti créé en 2009, à la suite de la guerre civile au Dolland. Ce parti milite pour l’indépendance de la région du Dolland et entretient des liens très étroits avec le Groupe armé pour la Libération du Dolland. Il s’inscrit dans une idéologie socialo-communiste. Le président de ce parti est Kachal Moudon Al-Saba, un homme ayant participé à la guerre civile de 2008, et considéré comme une figure majeure par les Dollandais. Le parti porte d’ailleurs son nom.
Lors des élections législatives, le Parti Al-Saba a obtenu un score suffisant pour remporter 15 sièges à l’Assemblée nationale. Ce succès électoral s’explique par la forte volonté d’indépendance des Dollandais, qui possèdent une culture propre. Peu de Dollandais se sentent Ëdangois, car ils ont été intégrés de force à la République d’Ëdango en 1981.
La droite Ëdangoise:
Parti Ante
Union démocrate
Unions des peuples Afaréen
Parti de la libération islamique d'Arahlata Aromewni
Front Islamique