Activités étrangères au Belkrav
Posté le : 10 mars 2025 à 08:53:23
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Posté le : 18 mars 2025 à 16:05:26
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Barman : Du coup, ton travail ?
Client : Mmh c'est triste, après un si beau parcoure, On a bossé comme des dingues sur cette fusée… et après l’explosion, ils nous ont dit qu’ils allaient "restructurer". Traduction : au chômage. Ce petit échec alors que le lanceur était dépassé m'a couté mon boulot.
Barman : Ouais, après, c'est pas tellement dur de retrouver du boulot ces derniers temps. Donc je ne pense pas que c'est le bon choix de sombrer dans l'alcool, au vu du manque de main d’œuvre, tu aurai pas mal de choix....
Lorsque il a prononcé "sombrer dans l'alcool", le Barman jette un long et insistant regard sur le client.
Client : évidemment, mais trouver un boulot aussi bien payé, sécurisé et honorifique qu'ingénieur aérospatial pour le projet de fusée novaises, je doute que je retrouve ça. Je pense surtout finir dans l'industrie lourde.
Le client était tout à fait d'accord avec cela, il n'avait rien à redire.
Client : En parlant d'armée, tu crois que c'est toujours nécessaire tout ces soldats à la frontière ? Tient, ressert moi un verre.
Il parle en regardant discrètement un militaire conscrit en service à la frontière qui enchaine les cul sec de vodka.
Barman : Pff ! très franchement, je ne crois pas en la réconciliation. Enfin bon, je ne suis ni président ni ministre des affaires étrangères, mais ni l'histoire ni la politique ni les intérêts ne nous rapprochent. Pourquoi tenter cela ?
Client : C'est vrai, les anarchistes seront toujours une menace, que ce soit pour la grande Union entrepreneurial ou le Saint-Empire de Slaviensk. Mais, nous avons aussi des intérêts tout comme eux à une coopération, je pense franchement que la paix est la meilleure des voies et que des accords peuvent être trouvés, admettons, une coopération économique ? Bien que cela soit compliqué en raison de leur modèle économique de type communiste.
Barman : C'est vrai. Et du coup, qu'est-ce que tu pense de se jolie voisinage ?
[justify]La discussion continua ainsi, sur des échanges de banalités que beaucoup de novais pensais, mais qui n'était malgré tout pas l'opinion affichée officiellement par le gouvernement. Malgré tout, le client était soul à la fin de la journée et avait dépensé l'équivalent d'une journée de travail en alcool.
Posté le : 24 mars 2025 à 23:15:30
1988
-Poste de surveillance à la frontière de la Fédération Anarchiste d’Eurysie
Un avant-poste militaire du Navgroka-Sovonograd, posté le long de la frontière avec la Fédération Anarchiste.
Une poignée de soldats est en faction, observant les terres ennemies à travers des jumelles et échangeant des remarques sarcastiques sur leurs voisins anarchistes.
(Nikolai Vortzschanov) : soupire en ajustant son fusil "Franchement, j’comprends même pas pourquoi on nous fait surveiller ces clowns. Ils sont même pas foutus d’avoir une vraie armée. Juste des gars avec des fusils rouillés et des idées bancales."
(Friedrich Dornhaupt) : ricane "T'as vu leurs barricades ? Même un vent un peu fort pourrait les faire tomber. J’crois qu’ils pensent qu’un mur de pneus et deux slogans suffisent à arrêter une armée bien équipée."
(Dmitry Mrozchevsky-Kraüsser) : prend une gorgée de sa flasque "Ouais, c’est sûr qu’ils sont doués pour écrire des poèmes sur la liberté... mais on verra bien si leurs grandes idées leur tiendront chaud quand il faudra se battre pour de vrai."
(Nikolai Vortzschanov) : ironique "Oh mais attends, ils ont sûrement prévu un grand débat populaire pour décider de leur stratégie de défense ! J’les imagine déjà en train de voter pour savoir qui prendra un fusil et qui jouera du tambour."
(Wzschneibelov Blitznev-Drzchebnyav) : plisse les yeux à travers ses jumelles "Regardez-les... Ils sont là, en train de discuter, sans discipline, sans commandement clair. J’me demande s’ils comprennent seulement qu’on pourrait traverser cette frontière en une nuit et qu’ils n’auraient même pas le temps de se mettre d’accord sur une réponse avant d’être écrasés."
(Dmitry Mrozchevsky-Kraüsser) : hoche la tête "Bah... Tant qu’on nous dit de rien faire, on attend. Mais honnêtement, ces terres seraient bien mieux sous notre contrôle. Plutôt que d’être laissées à ces rêveurs qui ne savent même pas comment gérer un pays."
(Friedrich Dornhaupt) : sourire en coin "Le Rühr aura le dernier mot. En attendant, nous, on surveille... et on attend le bon moment."
Le vent souffle sur le poste frontière, emportant avec lui le rire sec des soldats, tandis qu’ils continuent d’observer la Fédération Anarchiste avec une patience carnassière.
Un avant-poste militaire du Navgroka-Sovonograd, posté le long de la frontière avec la Fédération Anarchiste.
Une poignée de soldats est en faction, observant les terres ennemies à travers des jumelles et échangeant des remarques sarcastiques sur leurs voisins anarchistes.
(Nikolai Vortzschanov) : soupire en ajustant son fusil "Franchement, j’comprends même pas pourquoi on nous fait surveiller ces clowns. Ils sont même pas foutus d’avoir une vraie armée. Juste des gars avec des fusils rouillés et des idées bancales."
(Friedrich Dornhaupt) : ricane "T'as vu leurs barricades ? Même un vent un peu fort pourrait les faire tomber. J’crois qu’ils pensent qu’un mur de pneus et deux slogans suffisent à arrêter une armée bien équipée."
(Dmitry Mrozchevsky-Kraüsser) : prend une gorgée de sa flasque "Ouais, c’est sûr qu’ils sont doués pour écrire des poèmes sur la liberté... mais on verra bien si leurs grandes idées leur tiendront chaud quand il faudra se battre pour de vrai."
(Nikolai Vortzschanov) : ironique "Oh mais attends, ils ont sûrement prévu un grand débat populaire pour décider de leur stratégie de défense ! J’les imagine déjà en train de voter pour savoir qui prendra un fusil et qui jouera du tambour."
(Wzschneibelov Blitznev-Drzchebnyav) : plisse les yeux à travers ses jumelles "Regardez-les... Ils sont là, en train de discuter, sans discipline, sans commandement clair. J’me demande s’ils comprennent seulement qu’on pourrait traverser cette frontière en une nuit et qu’ils n’auraient même pas le temps de se mettre d’accord sur une réponse avant d’être écrasés."
(Dmitry Mrozchevsky-Kraüsser) : hoche la tête "Bah... Tant qu’on nous dit de rien faire, on attend. Mais honnêtement, ces terres seraient bien mieux sous notre contrôle. Plutôt que d’être laissées à ces rêveurs qui ne savent même pas comment gérer un pays."
(Friedrich Dornhaupt) : sourire en coin "Le Rühr aura le dernier mot. En attendant, nous, on surveille... et on attend le bon moment."
Le vent souffle sur le poste frontière, emportant avec lui le rire sec des soldats, tandis qu’ils continuent d’observer la Fédération Anarchiste avec une patience carnassière.
