
Ce bâtiment moderne est la représentation des ambitions de la Seconde Union. Construite sur ordre du Président emblématique De Villiers dans les années 90, elle épouse parfaitement la skyline de Montclair, et remplace l'ancien palais rustique où siégeait les représentants de la Nation. Elle est la seule et unique chambre législative de la Seconde Union, censée représenter les intérêts de tous les Transveldiens, où qu'ils se trouvent. Bien que symboliquement forte, la Grand National Assembly reste dans les faits soumises au Président de l'Union, qui exerce une pression forte sur cette institution.
Depuis la création de la Seconde Union, le seul parti ayant obtenu la majorité à chaque élection est le National United Party, seul parti également qui gagne les élections présidentielles.
Les députés sont élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour pour un mandat de quatre ans, pour être en cohérence avec le mandat présidentiel. Beaucoup critiquent le mode de scrutin utilisé, car il n'est pas assez représentatif de la réalité de l'opinion public. Le mécanisme politique est bien huilé pour conserver les mêmes au pouvoir...
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Forces politiques actuelles au Transveld (Informations qui peuvent être actualisée au fil du temps.)

Le National United Party est le parti majoritaire de l’Union du Transveld et le pilier du gouvernement en place. Se revendiquant comme le garant de la stabilité et de l’identité nationale, il prône une vision conservatrice et traditionaliste du pays. Attaché à la préservation des valeurs héritées des premiers colons et à une gouvernance centralisée, le National United Party rejette toute remise en cause de l’ordre établi. Il se revendique comme étant le successeur légitime de la National League, et de la pensée de De Villiers.
Contrairement à un capitalisme totalement libéral, le National United Party défend une économie libérale-corporatiste, où l’État agit comme un arbitre garantissant la coopération entre les grandes entreprises, les syndicats et les institutions étatiques.
Sur le plan sociétal, le National United Party adopte une ligne rigide en matière de réformes. Il défend une destinée manifeste centrée sur la population coloniale, affirmant que la prospérité du Transveld repose avant tout sur la continuité de son héritage historique. Si le parti rejette officiellement les politiques de ségrégation passées, il n’en demeure pas moins sceptique face aux revendications égalitaires des populations indigènes, préférant une intégration lente et contrôlée sous l’égide des institutions dominées par les colons.
Fervent partisan d’un État unitaire fort, le National United Party s’oppose catégoriquement aux tendances fédéralistes, qu’il perçoit comme une menace à l’autorité de l’Union. Dans le domaine diplomatique, il défend une politique de fermeté, privilégiant les alliances avec des nations partageant ses valeurs et rejetant toute ingérence étrangère dans les affaires internes du pays.





Le National Progressive Party est le principal parti d'opposition dans l'Union du Transveld. Se définissant comme un mouvement de centre-gauche à gauche modérée, il incarne une alternative réformiste au conservatisme du National United Party. Issu d'une scission des travaillistes et progressistes de la National League, le NPP défend une vision plus inclusive et moderne de la nation transveldienne.
Idéologiquement, le parti se positionne comme un travaillisme corporatiste, acceptant un certain interventionnisme de l'État dans l'économie tout en plaidant pour une meilleure répartition des richesses et une amélioration des conditions de travail. Contrairement au National United Party, qui instrumentalise le corporatisme pour asseoir son autorité, le National Progressive Party cherche à en faire un levier de justice sociale, en renforçant le rôle des syndicats et en soutenant les classes laborieuses.
Sur le plan institutionnel, le National Progressive Party est un fervent défenseur de l’État unitaire, considérant qu’une centralisation du pouvoir est nécessaire pour assurer l’égalité entre les citoyens et éviter des divisions internes. Toutefois, il s’oppose à l’autoritarisme du gouvernement en place et milite pour une démocratisation des institutions, une plus grande liberté d’expression et une réhabilitation des contre-pouvoirs affaiblis par le National United Party.
L’un des points de rupture majeurs entre le National Progressive Party et le parti au pouvoir réside dans la question de la destinée manifeste. Si les Progressives reconnaissent l’héritage colonial de l’Union du Transveld, ils prônent une version plus inclusive de cette idéologie, considérant que la prospérité nationale doit reposer sur une collaboration entre colons et populations indigènes. À ce titre, le parti soutient une intégration progressive des indigènes dans les sphères économiques et politiques, sans pour autant prôner une rupture totale avec l'ordre établi.
Malgré son opposition frontale au National United Party, le National Progressive Party sait que toute tentative de réforme brutale pourrait provoquer une crise politique majeure. Il adopte donc une stratégie pragmatique, cherchant à négocier des avancées sociales et institutionnelles tout en évitant une confrontation directe avec le pouvoir exécutif.



Together for the Union est un parti politique de centre à centre-droit qui incarne une alternative à la fois au conservatisme autoritaire du National United Party (NUP) et au progressisme interventionniste du National Progressive Party (NPP). Né d’une scission entre des libéraux modérés du NUP et des progressistes économiques du NPP, Together for the Union se positionne comme une force réformiste prônant l’équilibre entre traditions et modernité.
Son idéologie repose sur un libéralisme économique et politique, plaidant pour une réduction du rôle de l’État dans l’économie et une ouverture aux capitaux privés. Contrairement au NUP, qui favorise un corporatisme étroitement contrôlé par le pouvoir, Together for the Union défend un modèle plus compétitif où les entreprises et les individus bénéficient d’une plus grande autonomie. Sur le plan social, le parti se montre favorable aux réformes progressistes, notamment en matière de libertés publiques et de participation politique, mais il cherche à éviter toute rupture brutale avec le système en place.
L’un des piliers fondamentaux de Together for the Union est son engagement en faveur du fédéralisme. Contrairement aux deux grands partis, qui prônent un État unitaire, Together for the Union considère que les districts de l’Union du Transveld devraient disposer d’une plus grande autonomie administrative et économique.
Sur la question de la destinée manifeste, Together for the Union adopte une approche inclusive proche de celle du NPP. Le parti estime que l’Union du Transveld ne peut prospérer qu’en intégrant progressivement les populations indigènes dans l’appareil économique et politique, mais sans imposer de réformes trop radicales qui risqueraient de déstabiliser le pays. Cette position lui permet d’attirer une frange modérée de l’électorat colonial tout en établissant des ponts avec certaines élites indigènes favorables à une transition en douceur.


Cette coalition regroupe plusieurs mouvements et figures politiques indigènes qui militent pour une plus grande reconnaissance des droits des populations autochtones et une intégration progressive au sein des institutions nationales. Opposée à l’idéologie de la destinée manifeste prônée par les deux grands partis, elle plaide pour un changement du statut des populations indigènes, une autonomie régionale accrue, ainsi qu’une participation plus équitable aux décisions économiques et politiques du pays.
Si la coalition se divise entre des modérés, prêts à négocier avec le NPP, et des radicaux, qui dénoncent fermement le régime en place, son influence reste limitée. Elle est composée de 6 députés indépendants.
Le CNA n'est, pour l'instant, pas un parti politique reconnu.



Le Comité du 23 Janvier, en référence à l'épisode sanglant pré-Bush War où un village de la Côte d’ébène non-loin de l'Upemba fut massacré par des rebelles indigènes, est une formation ultra-conservatrice et nationaliste qui estime que le NUP est trop modéré dans la défense des intérêts des colons. Opposée à toute forme de réforme ou d’inclusion des indigènes dans l’appareil d’État, elle prône une politique encore plus autoritaire et une centralisation totale du pouvoir. Certains de ses membres remettent en cause la nécessité d’un parlement et défendent une gouvernance présidentielle plus directe.
Malgré son faible poids en termes de sièges, le C23M exerce une pression idéologique importante sur le NUP, le poussant à maintenir une ligne dure sur les questions identitaires et économiques. Elle soutient sans réserve le régime en place, mais critique parfois sa gestion jugée "trop complaisante" envers certains éléments progressistes du pays.
Elle est composée de 4 députés.

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Vous trouverez ici les débats et les propositions de lois de la Grand National Assembly. Ceci est indispensable pour comprendre la politique dans l'Union du Transveld et d'identifier les différentes enjeux dans la société transveldienne.