11/05/2017
16:21:09
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🏛️​ Parlement | Le Parlement National Altrechtois

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Ce topic sera dédié aux discussions, débats et votes de notre parlement national.


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[u][b]Contexte :[/b][/u]


[u][b]Phase de débat et discussion :[/b][/u]

[u][b]Conclusion du vote :[/b][/u]

Sur les 300 parlementaires : [color=#920000]X contre[/color], [color=#929292]X neutre[/color], [color=#025F06]X pour.[/color]
Proposition accepter/rejeter par le parlement.

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Budget de l'Etat :
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Contexte :

Le sujet du débat du jour est porté sur l'ouverture du pays au tourisme. C'est un sujet historique qui a déjà était débattu mais qui à était relancé par le centre citoyen qui propose d'ouvrir notre nation à l'accueil de touriste étranger. C'est une proposition qui sera débattu sur plusieurs jours mais qui est déjà controversé dans les plus hautes sphères de l'Etat altrechtois. Cependant l'argument économique à un poids conséquent.

Phase de débat et discussion :

Lennart Heinsohn : Nous remercions monsieur l'Allier de m'avoir donné la parole.

Je viens à vous chers collègues afin de vous proposez l'ajout d'une loi permettant l'accueil au sein de notre pays de touristes étrangers.
Bruit de huage des autres parlementaires.
Mes chers collègues je comprend que le sujet vous semble débattu chaque années, mais il est important pour notre groupe de relancer le débat afin de faire avancer notre magnifique nation dans la bonne direction et c'est, sachez le, la meilleur chose à faire pour l'intérêt du pays.
Un parlementaire militaire cri à l'autre bout du parlement : Traitre à la patrie, démission !
Indépendamment de vos insultes futiles, nous proposons donc dans une première phase, l'ouverture volontaire aux compagnies aériennes étrangères, à notre pays et en particulier à notre seul aéroport, celui de notre capital Ehrenstadt. Nous proposons par ailleurs un cota de VISA touristique maximum à 25 000 dans un premier temp.

Nous redonnons la parole Ă  monsieur l'Allier merci.

Monsieur l'Allier : Nous proposons deux points d'informations Ă  cette proposition.
L'Allier regarde monsieur Lennart Heinsohn qui fait signe qu'il accepte.
Très bien, qui souhaite prendre la parole pour demander un point d'information ?

Vinzenz Viermetz : Merci monsieur l'allier pour m'avoir donné la parole.
Nous nous interrogeons sur les plu values de votre proposition, pouvez vous nous donnez vos chiffres précis de se que vous avancer avant que de contre-arguments vous sois fait ?
Je vous donne la parole.

Les parlementaires relativement silencieux attendent la réponse de Lennart Heinsohn.

Lennart Heinsohn : Merci monsieur Vinzenz Viermetz.
Nous estimons que cela rajouterait près de 12 millions d'altmarks chaque années dans notre économie, ce chiffre est à prendre avec des pincettes car le pays n'a jamais expérimenté la venu de touristes étrangers et leurs bénéfices à courts, moyens et longs termes. Nous avons fait cette estimation au rabais.

Je redonne la parole Ă  monsieur l'Allier.

Georg Birnbaum : Merci de m'avoir donné la parole.
Nous nous interrogeons sur les risques d'espionnages et de sécurités qu'encoure le pays, avez-vous déjà pensez à une solution afin de garantir notre sécurité et souveraineté ?


Lennart Heinsohn : Merci de votre question pertinente monsieur Birnbaum, l'aéroport sera le centre de notre protection, nous pensons devoir investir près de 4 millions d'altmarks à l'ajout d'équipements spécialisés dans la lutte contre le trafic et de détection. Cependant nous ne serons pas indéfiniment à l'abri de nouvelles technologies qui pourrait passer nos systèmes à long terme.

Monsieur l'Allier : Très bien, les deux points d'informations sont terminé, nous allons passer au vote de cette proposition de loi.

Conclusion du vote :

Sur les 300 parlementaires : 198 contre, 22 neutre, 80 pour.
Proposition rejeter par le parlement.

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Contexte :

Le débat porté en ce jour au parlement national altrechtois concerne la création d'une loi protégeant l'héritage national historique. Cette proposition de loi est initiée par le parlementaire issu du clergé, monsieur Ralph Reichenbach. Un parlementaire connu pour son attrait aux questions d'histoire et de patrimoine, il est une sorte de référent spécialiste de la question depuis plus de 13 ans en tant que parlementaire.

Phase de débat et discussion :

Ralph Reichenbach : Je remercie notre humble Allier de m'avoir octroyé la parole et de m'avoir permis d’exprimer ma proposition.
Je souhaite tout d'abord saluer ce parlement, y compris notre opposition, qui pourrait tomber d'accord avec ma proposition.

Le parlement écouta très silencieusement le vieux parlementaire.
Je propose l'instauration d'un budget à des fins de préservation de notre splendide patrimoine, gorgé d'histoire, et qui, malheureusement, sera amené tôt ou tard à sa destruction de manière naturelle, voire par la faute humaine. Je propose donc un budget qui viserait à protéger ces sites historiques et immatériels, ainsi qu'un budget afin de remettre en état des édifices historiques, des lieux naturels ou tout autre bien matériel qui se doivent d'être préservés. Le tout via un expert qui estimera au centime près le montant à déverser.

Je redonne la parole Ă  notre Allier.

Monsieur l'Allier : Très bien, monsieur Ralph Reichenbach, apprécié et estimé au sein de ce parlement.
Nous proposons un point d'information pour éclaircir éventuellement la proposition.

L'Allier eut l'autorisation implicite de monsieur Ralph Reichenbach et continua.
Très bien, je vous remercie, monsieur Reichenbach. Est-ce que quelqu'un souhaite prendre la parole ?

Quelques secondes passèrent et un silence régna. Les parlementaires se regardaient pour voir si quelqu'un allait prendre la parole. L'Allier allait annoncer la fin du point d'information et passer au vote quand un parlementaire se leva et demanda la parole.

Marcus Baader : Je vous remercie, monsieur l'Allier, de m'avoir permis de prendre la parole.
Je remercie également notre apprécié monsieur Reichenbach Ralph qui nous a extrêmement bien présenté sa proposition, qui est de mon point de vue une bonne chose dans le fond. Cependant, je m'interroge sur une question d'ordre sécuritaire.

La salle du parlement, pourtant bruyante Ă  son habitude, resta muette. Ce parlementaire prenait des risques en utilisant son point d'information contre un parlementaire aussi prestigieux que Ralph Reichenbach.
Comme vous le savez tous, mes chers collègues, le pays est en proie à de vives violences de la part d'une certaine jeunesse issue des minorités autochtones du nord (il parle de la minorité Suurévène, aussi dite finnoise, qui peuple les régions nord en grande minorité, due à leurs génocides répétés). Cette dernière s'agite de plus en plus contre l'État et fait tout pour nuire à notre régime. Je me pose donc la question :
Mettre un budget sur la préservation du patrimoine historique n'enclenchera-t-il pas une vague de destruction de cet héritage par ces minorités incontrôlées ?


La salle fut stupéfaite. Les parlementaires du peuple crièrent au scandale tandis que les militaires répliquèrent en prenant sa défense. Le clergé resta muet malgré quelques parlementaires penchant pour un avis plus qu'un autre. Cependant, en Altrecht, la question ethnique n'est pas un tabou et est régulièrement remise sur la table.

Ralph Reichenbach : Messieurs, s'il vous plaît, un peu de calme, je vous prie !
Hurla Ralph Reichenbach dans son micro pour prendre la parole.
Nous ne sommes pas dans un zoo Ă  ce que je sache. Bon, je vous remercie pour ce calme, messieurs.

La question posée par monsieur Marcus Baader est légitime. Il est vrai que nous pouvons inclure, pour certains lieux essentiels à la conservation de notre patrimoine, des agents chargés de surveiller ces lieux. Nous proposons donc que des unités de police soient attribuées à ces fins. Nous savons déjà que les effectifs de police sont équipés, entraînés et disponibles immédiatement. Je propose donc que ceci soit intégré au budget et appliqué partout en Altrecht sans discrimination territoriale. Nos détracteurs ne se contentent pas que des régions nord.

Je redonne la parole Ă  l'Allier.


Monsieur l'Allier : Très bien, passons au vote désormais !

Conclusion du vote :

Sur les 300 parlementaires : 36 contre, 70 neutres, 194 pour.
Proposition acceptée par le parlement.

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Contexte :

Dans un monde de plus en plus ambitieux et capitaliste, le parlement national altrechtois voit Claus Paasche, un parlementaire du tiers de l'armée, proposer une réforme importante. Éminent parlementaire depuis son élection il y a 12 ans, Claus Paasche a souvent adopté des positions en faveur du capitalisme et de la protection des intérêts économiques altrechtois. La proposition de loi qu’il porte devant cette assemblée concerne l'établissement officiel d'une ZEE, zone économique exclusive, à hauteur d’environ 150 km des côtes altrechtoises, avec un plan précis de la zone demandé.

Image de la ZEE :
Zone économique exclusive d’environ 150 km des côtes altrechtoises

Phase de débat et discussion :

Claus Paasche : Je remercie notre éminent allié de m'avoir donné la parole.

Je viens à vous, chers collègues, afin de vous présenter un projet de loi établissant une ZEE, zone économique exclusive, autour de nos côtes, qui s’élèvera, selon les possibilités, à environ 150 km de ces dernières.

Huées d’une partie des parlementaires, y compris du tiers de l'armée.
Je vous prie, mes chers collègues, de bien vouloir taire vos huées le temps que je termine mes explications.
Les huées continuent, mais certains autres parlementaires répliquent en insultant les premiers. Le parlement se transforme en cacophonie générale.

Monsieur l'Allié : En vertu des pouvoirs qui me sont conférés, j'impose une suspension de séance d'une demi-heure afin de faire redescendre les esprits et de sanctionner certains parlementaires.
La suspension terminée, l'Allié annonce les parlementaires exclus du vote : six parlementaires opposés à la réforme, principalement issus du tiers populaire, et deux favorables provenant également du tiers du peuple.
Je vous en prie, continuez, monsieur Claus Paasche.

Claus Paasche : Je vous remercie, monsieur l'Allié.

Alors, je disais donc que cette ZEE permettrait à notre pays une croissance économique à hauteur de 1,7 % et pourrait même faire exploser notre croissance si nous trouvons du pétrole offshore dans cette zone. De plus, cela permettrait à notre police maritime d’expulser légalement, aux yeux de notre loi, les pêcheurs mal avisés qui viendraient voler notre zone qui, je le dis sans crainte, est une zone raisonnable.

Le parlement était silencieux, mais quelques bruits de couloirs se firent entendre.
Je redonne la parole à monsieur l'Allié et vous remercie de me l'avoir octroyée.

Monsieur l'Allié : Très bien, monsieur Claus Paasche, je vous remercie et vous propose deux points d'informations pour éclaircir votre proposition. Cela vous va-t-il ?
Claus Paasche acquiesce.
Très bien, qui voudrait prendre la parole ?

Ben Esser : Je vous remercie, monsieur l'Allié.

Monsieur Claus Paasche, comment pensez-vous pouvoir faire appliquer notre futur nouveau droit à cette ZEE avec une marine inexistante ? Nous ne pourrons la garantir si une nation disposant d'une marine teste notre défense.


Claus Paasche : Très intéressante et pertinente question, monsieur Esser. Sur ce sujet, ce projet propose pour le moment d’utiliser la police maritime afin d’arrêter les navires s’incrustant dans notre future ZEE. Cependant, à terme, nous espérons développer une marine fiable, capable de mener des actions militaires pour défendre cette zone. De plus, nous élaborons des missiles de croisière sol-mer afin de pouvoir, en cas d'incursion d'une marine étrangère, riposter depuis la côte et lancer un signal de détresse à nos alliés disposant d'une flotte.

Elmar Tisch : Je vous remercie. Je me pose la question suivante : cela ne créera-t-il pas d’énormes tensions avec les puissances maritimes alentour ?

Claus Paasche : Oui, en effet, cela créera obligatoirement des tensions. Cependant, nous inviterons ces nations à trouver un accord avec notre gouvernement pour éventuellement moduler notre ZEE sans jamais annuler cette dernière. De toute manière, l'Altrecht est une nation assez forte pour pouvoir imposer certaines conditions.
Les bruits de couloirs continuent d’un seul coup, augmentant petit à petit le volume sonore. L'Allié met un terme au "blablatage".

Monsieur l'Allié : Je vous remercie, chers collègues parlementaires, pour vos questions pertinentes. Cependant, place au vote !

Conclusion du vote :

Sur les 292 parlementaires : 102 contre, 53 neutres, 137 pour.
Proposition acceptée par le parlement.

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Contexte :

Aujourd'hui est débattue la proposition de loi visant à accueillir plus d'immigration en provenance de pays, cultures, voire continents compatibles avec l'Altrecht dans une liste précise des nations ayant pour leurs citoyens la possibilité de demander un VISA à objectif d'immigration et d'assimilation en Altrecht. Le sujet est lancé par un parlementaire du clergé. Le débat est houleux, il fait énormément couler d'encre et de salive.

Phase de débat et discussion :

Henry Spener : Mon groupe remercie monsieur l'Allier pour nous avoir donné la parole sur un sujet pour le moins houleux.
Certains chuchotements se font déjà entendre, certains se doutent de la proposition de Henry Spener.

Je viens à vous afin de mettre le fameux sujet de l'immigration au cœur de nos débats...
Des parlementaires se lèvent huant le clergé et Henry Spener, dont certains de leur propre tiers, des insultes sont lancées et un boucan s’installe progressivement.
Malgré, malgré... Enfin messieurs laissez-moi finir ! Monsieur l'Allier s'il vous plaît.

Monsieur l'Allier : Les agissements au sein de ce parlement sont très graves et montrent que nous ne savons pas nous tenir aux règles. Nous refusons que cette image soit retransmise à l'international comme une nation qui ne sait pas se parler.
Les huées continuèrent, voire s’intensifièrent. Des insultes se retournèrent contre l'Allier. Dans un moment d'énervement et de fermeté, l'Allier demanda aux Inquisiteurs d'intervenir et de rétablir l'ordre, cela, "Au nom de l'Empereur !"

À cet ordre, le chef de groupe ordonna l'entrée dans le parlement de ses hommes, tirant au sol trois coups de feu. Ce faisant, le parlement baissa en volume mais certains, notamment du tiers de l'armée, refusèrent de se taire huant leur propre homme et descendant poing levé afin d'en découdre. Les Inquisiteurs, dans une scène de violence rarissime, usèrent de la force en matraquant les 8 parlementaires descendus pour en découdre. Ces parlementaires furent, une fois la ratonnade terminée, envoyés à l'hôpital de la capitale et le calme fut rétabli lorsque le chef de l'escouade chargée de la protection du parlement menaça de l’exécution toute nouvelle tentative de se soustraire à l'autorité de l'Empereur, sortant par la suite de la salle et laissant la parole à l'Allier.


Monsieur l'Allier : Très bien, merci messieurs, reprenons donc nos discussions dans le calme après une demi-heure de pause, la séance est levée !
Les parlementaires se lèvent et sortent de la salle.

Henry Spener : Merci à tous pour votre écoute attentive.
Un silence lourd pesa sur le parlement après le retour aux débats.

Nous proposons donc concrètement la mise en place de VISA à but d'immigration et d'assimilation à notre magnifique Altrecht. Rajoutant en plus de cela une liste de nations pouvant avoir la permission pour leurs citoyens de faire une demande auprès de notre État afin d'obtenir ce fameux VISA.
Un silence prit place, coupé par Henry Spener qui continua.

Nous mettrons dans cette liste les nations culturellement proches de notre régime, enlevant définitivement toutes les nations communistes et les nations des continents Afaréen, Nazumi et Paltoterrein sauf exception rare discutée dans cette assemblée.
Laissant la parole Ă  l'Allier.

Monsieur l'Allier : 1 point d'information accordé, quelqu'un a une question.
Aucune main ne se leva, les parlementaires semblaient tremblants à l'idée de fâcher l'Allier.

Parfait si aucune information n'est demandée, nous pouvons passer au vote, merci pour ce débat rapide et surtout dans le calme.
Affichant un sourire satisfait

Conclusion du vote :

Sur les 292 parlementaires : 13 contre, 221 neutres, 58 pour.
Proposition acceptée par le parlement.

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