Pour faire passer de nouveaux décrets, le Tsar doit d'abord les faires valider par le Sénat National. Cependant, il peut toujours le faire valider de force selon l'article 1 de la constitution : "Le Tsar possède tout les pouvoirs[...]". Nonobstant, en utilisant cet article, il se risque à une motion de censure faisant revoter le texte de loi. Si la majorité positive l'emporte, le texte de loi est validé sinon il ne l'est pas. Si la majorité n'est pas atteinte pour le partie ayant demandé la motion de censure, alors les places de ce partie sont remis à votées dans des élections par le peuple.
Sénat National (DISSOUT)
Posté le : 15 mars 2025 à 11:24:37
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Pour faire passer de nouveaux décrets, le Tsar doit d'abord les faires valider par le Sénat National. Cependant, il peut toujours le faire valider de force selon l'article 1 de la constitution : "Le Tsar possède tout les pouvoirs[...]". Nonobstant, en utilisant cet article, il se risque à une motion de censure faisant revoter le texte de loi. Si la majorité positive l'emporte, le texte de loi est validé sinon il ne l'est pas. Si la majorité n'est pas atteinte pour le partie ayant demandé la motion de censure, alors les places de ce partie sont remis à votées dans des élections par le peuple.
Posté le : 16 mars 2025 à 22:43:40
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Ce décret instituait l'interdiction à l'avortement dans tout le pays. Le partie repose son décret sur l'abolition de ce péché. Les sénateurs ont votés et ce décret à donc été validé, 353 vote à 104.
De ce fait, à compté du 30 janvier 2016, l'interruption volontaire de grossesse (IVG) est interdit dans le Grand Tsarat Orthodoxe de Pravoslavnyy.
Toute personne utilisant ou vendant se traitement risquera donc un jugement allant de 15 000 prav d'amende et 2 ans de prison à une Obligation de Quitter le Territoire Pravoslave (OQTP) en cas de récidive.
Posté le : 22 mars 2025 à 18:47:48
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Aujourd'hui avait lieu le débat et le vote des sénateurs au sujets de l'augmentation du salaire minimun actuellement de 1200prav par mois. Cette proposition du partie général des travailleurs demande de passer le salaire minimum à 1600prav par mois. Jusque là, seulement les parties du Tsar, du Rassemblement Pravoslave et du partie Nationaliste-Conservateur s'y sont fermement opposé et ont déjà annoncés voter contre cette proposition.
Lors de la première heure, les discutions était monotones et les seuls moment où tout le beau monde s'éveillait était lors d'insulte déplacées entre le Partie général des Travailleurs et le Partie Nationaliste-Conservateur. Il fallut attendre 1 heure et 12minutes pour que le vrai débat prenne place.
Le président du Partie Générales des travailleurs, Nikolai Orlov, se lève.
Un sénateur du Nationaliste-Conservateur : Retourne t'assoir !
Il l'ignore, continue sa route et monte sur le "balcon".
Nikolai Orlov : Je ne suis pas, messieurs, de ceux qui croient qu'on peut supprimer la souffrance en ce monde ; la souffrance est une loi divine ; mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu'on peut détruire la misère. Remarquez-le bien, messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. Les autres sénateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n'est pas fait, le devoir n'est pas rempli. La misère, messieurs, j'aborde ici le vif de la question, voulez-vous savoir jusqu'où elle est, la misère ? Voulez-vous savoir jusqu'où elle peut aller, jusqu'où elle va, je ne dis pas en un trou perdu, je ne dis pas à la Période noire, je dis en Pravoslavnyy, je dis à Stevograd, et au temps où nous vivons ? Voulez-vous des faits ? Il y a dans Stevograd, dans ces faubourgs de Stevograd que le vent de l'émeute soulevait naguère si aisément, il y a des rues, des maisons, des cloaques, où des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes, femmes, jeunes filles, enfants, n'ayant pour lits, n'ayant pour couvertures, j'ai presque dit pour vêtement, que des monceaux infects de chiffons en fermentation, ramassés dans la fange du coin des bornes, espèce de fumier des villes, où des créatures s'enfouissent toutes vivantes pour échapper au froid de l'hiver. Voilà un fait. En voulez-vous d'autres ? Ces jours-ci, un homme, mon Dieu, un malheureux homme de lettres, car la misère n'épargne pas plus les professions libérales que les professions manuelles, un malheureux homme est mort de faim, mort de faim à la lettre, et l'on a constaté, après sa mort, qu'il n'avait pas mangé depuis six jours. Eh bien, messieurs, je dis que ce sont là des choses qui ne doivent pas être ; je dis que la société doit dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté, pour que de telles choses ne soient pas ! Je dis que de tels faits, dans un pays civilisé, engagent la conscience de la société tout entière ; que je m'en sens, moi qui parle, complice et solidaire, et que de tels faits ne sont pas seulement des torts envers l'homme, que ce sont des crimes envers Dieu ! Vous n'avez rien fait ! Rien fait !
Des voix mécontentes se firent entendre mais aussi des applaudissements. Il reprit
Nikolai Orlov : Vous n'avez jamais rien fait pour ce pays, j'insiste sur ce point, tant que l'ordre matériel raffermi n'a point pour base l'ordre moral consolidé !
Des insultes et mécontentements résonnaient dans la salle avec pour fond des applaudissements de certains sénateurs. Le débat avait commencé il y a 1h et 52 minutes. La symphonie mixant haine et joie dura encore 8 longues minutes.
Président du Sénat : Du calme ! Du calme s'il vous plait ! Nous allons procéder au vote.
Le vote eu lieu dans le calme. Le président se retira avec l'urne et revint en déployant le tableau projecteur. Le résultat s'afficha :
La proposition était validée ! C'était officielle , le salaire minimum passait de 1200prav par mois à 1600prav par mois. La symphonie mêlant joie et haine reprit.
