Posté le : 25 mars 2025 à 20:30:21
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L'espace maritime est une zone particulièrement importante pour la fédération de Stérus. Tirant parti de sa multinationale, l'ANTS, le pays mise énormément sur l'extraction de ses ressources fossiles mais également sur la pêche. Il existe d'ailleurs un accord sur la pêche entre l'Akaltie et la fédération de Stérus, indiquant que des navires de commerce et de pêche se rendent quotidiennement dans les eaux akaltiennes, sécurisés par les forces armées de la fédération. L'espace marin est donc, à Stérus comme dans beaucoup d'États, une véritable extension de la souveraineté et un enjeu majeur de stabilité.
Ainsi, la fédération était pour le moment très satisfaite de la tournure de cette rencontre. L'Alguarena s'était montrée très investie dans les inquiétudes stérusiennes et particulièrement prête à s'engager aux côtés de la fédération pour la préservation de la paix en Aleucie. Car c'était là la volonté la plus pure de la fédération de Stérus depuis des mois. La preuve en est que la fédération réclame à chaque État de faire preuve de neutralité. Elle ne demande nullement de prendre parti, mais simplement de rester neutre. Là où les adversaires adoptent des volontés belliqueuses pour faire payer à la fédération ses décisions.
Sachez que nous comprenons et sommes tout à fait d'accord avec ce que vous dites, Madame la Présidente. Il va de soi que la principale garantie du maintien de la paix en Aleucie passe par la possession d'une fédération de Stérus militairement forte. Nous avons déjà, et plus d'une fois, démontré que nous sommes parmi les rares en Aleucie à privilégier le dialogue plutôt que la force brute. L'exemple le plus concret est la récente crise en Oskallie, lorsque la fédération a préféré un contact diplomatique avec ce pays, cherchant à discuter d'un retour à la paix plutôt que d'envoyer des blindés, comme d'autres l'ont fait. La crise de l'Osno en était également un très bon exemple : la fédération était la seule nation de l'ASEA à s'opposer à une intervention militaire dans ce pays, défendant fermement la souveraineté de l'Osno et affirmant qu'il n'appartenait pas à l'ASEA de décider des régimes politiques par la force militaire. Elle a préféré une approche diplomatique, dépourvue d'intentions belliqueuses.
Ainsi, ma voix, ce que certains à Stérus appellent la "voix pandorienne," est sans doute l'une des plus fortes d'Aleucie. Il suffit de se pencher sur la réputation des Stérusiens. Permettez-moi un peu de vulgarité en disant que nous avons une "grande gueule." C'est un fait, mais pour autant, nous sommes, et de loin, parmi les plus pacifiques et les plus axés sur le développement de liens plutôt que sur les conflits. Une preuve en est que la fédération n'a jamais eu d'ambitions d'étendre son influence aux frontières lermandiennes ou westaliennes pour imposer sa puissance, là où la Westalia est allée jusqu'à vendre son système capitaliste pour obtenir une marine lui permettant d'opérer jusque dans les eaux frontalières.
Concernant vos inquiétudes légitimes sur le développement du socialisme et du communisme, nous ne pouvons qu'appuyer vos propos. Fut un temps, nous aurions pu considérer l'Aleucie comme un véritable cocon de sécurité pour les États capitalistes et libéraux, mais aujourd'hui, force est de constater que nous ne pouvons plus garantir la pérennité de ce continent. L'heure est à l'inquiétude, surtout lorsque, comme vous l'avez dit, le Grand Kah mène une politique dangereuse d'expansion de ses idéaux. Il est légitime de s'en inquiéter. D'autant que nous connaissons les pratiques de l'extrême gauche, qui consistent d'abord à tenter de convaincre par la fourberie, puis à imposer militairement leurs volontés aux États qui ne les partagent pas.
Ainsi, votre volonté de restructurer une alliance internationale est tout à fait une initiative à laquelle nous serions prêts à nous engager aux côtés de l'Alguarena. Cependant, je dois avouer que notre dernière expérience avec l'ASEA nous a laissé un goût amer quant à ce que peut devenir une alliance mal conçue et gangrenée par des personnes qui n'ont pas les épaules pour assumer leur rôle.
Cela dit, vous n'êtes pas sans savoir que nous avons récemment demandé une réunion à Barba, un sommet rassemblant les États sud-aleuciens dans un but d'accord commun. Je dois vous avouer qu'initialement, nous ne souhaitions pas que cette entente aboutisse à une organisation, mais plutôt à un traité commun respecté grâce à la création d'institutions internationales. Bien évidemment, certains articles de ce traité ne conviendraient pas forcément à ce que vous envisagez lorsque vous parlez d'une alliance. Mais je vous propose de vous présenter ici ce que nous proposerons lors du sommet de Barba, afin de voir si, dans une forme élargie et renégociée, cela pourrait vous convenir.
Centre de recherche et de coopération économique Stérusien a écrit :Traité de coopération sud-Aleucien
Le traité de coopération sud-Aleucien est un accord d'engagement entre l'ensemble des États signataires. Ces États, conscients de l'importance d'une coopération accrue en matière de commerce, de culture, de science et de sécurité, s'engagent à respecter et à appliquer les différentes prérogatives dudit traité. Ils s'engagent, par la voie de la diplomatie, à prioriser les voisins sud-Aleuciens dans leurs échanges et dans leurs demandes de coopération locale.
Commerce sud-Aleucien
Article 1 : La Banque d'Investissement Sud-Aleucienne (BISA) est une banque sud-Aleucienne régie par les règles et articles du présent traité.
Article 1-002 : La Banque d'investissement Sud-Aleucienne (BISA) n'est sous la possession juridique ou morale d'aucune nation du monde. Elle ne répond qu'aux intérêts de l'ensemble des nations signataires.
Article 1-003 : La BISA (Banque d'investissement Sud-Aleucienne) détermine la valeur des taux directeurs des banques qui y sont rattachées.
Article 1-004 : La BISA est responsable devant les institutions judiciaires nationales pour veiller au respect des droits et des valeurs du commerce international de manière équitable, sans discrimination de quelque nature que ce soit.
Article 1-005 : La BISA est chargée de rendre des rapports semestriels sur les économies de chaque nation afin de leur proposer des plans d’amélioration, de les prévenir en cas de risque de récession et de formuler des plans d’investissements à long terme pour augmenter la productivité et/ou l’attractivité.
Article 1-006 : La banque centrale peut accorder des prêts à taux zéro en cas de risque de récession sévère, de conflits armés ou de besoin impérieux.
Article 1-006.2 : La banque centrale peut accorder des prêts aux États signataires avec un taux d’intérêt ne pouvant excéder 3 % ou être inférieur à 0,5 %, sauf dans le cas de l’Article 1-006.
Article 1-006.3 : Il appartient à la banque centrale de veiller à la bonne régularisation des intérêts sans porter préjudice aux autres États signataires.
Article 1-007 : La BISA est une institution indépendante capable de négocier de manière autonome avec chaque nation et/ou entreprise internationale.
Article 1-008 : La BISA a la compétence pour trancher les litiges impliquant un recours à ce traité entre deux États ou deux entreprises ne provenant pas du même pays.
Article 1-008.2 : La BISA peut être sollicitée pour rendre des rapports et/ou documents attestant des manquements aux lois et règlements, mais elle ne peut pas prendre de décision juridique.
Article 1-008.3 : Tout manquement au respect du présent traité et/ou des règles du commerce international doit être dénoncé à la BISA de manière objective et documentée.
Article 1-008.4 : La BISA dispose de la compétence d’investigation et d’enquête pour mener à bien ses rapports et délibérations.
Article 1-008.4.2 : La BISA ne peut, dans le cadre de ses investigations et/ou enquêtes, outrepasser les lois et règlements locaux.
Article 1-009 : La BISA est dirigée par un directeur qui, avec ses équipes, pilote la gestion de l’institution.
Article 1-009.2 : Le directeur de la BISA est nommé et peut être destitué par un vote à l’unanimité des membres du conseil d’administration (les États signataires).
Article 1-009.3 : Le directeur de la BISA doit suivre une politique de neutralité axée sur le respect du droit du commerce et le développement économique.
Article 1-009.4 : Le directeur de la BISA est le contact privilégié de chaque nation signataire.
Article 1-009.4.2 : En vertu de l’article 1-009.4, le directeur de la BISA peut être sollicité sans préavis et à tout moment pour un entretien privé avec le chef d’État de n’importe quel État signataire.
Article 1-009.5 : Le directeur de la BISA possède, dans le cadre de ses fonctions, un passeport diplomatique sous bannière de la BISA, passeport sous juridiction exceptionnelle valide dans l’ensemble des États signataires.
Article 1-009.6 : Le directeur de la BISA est soumis à une stricte confidentialité allant au-delà des lois et règles internationales.
Article 1-009.6.2 : En cas de non-respect de l’article 1-009.6, le directeur de la BISA peut être poursuivi dans l’ensemble des États signataires pour haute trahison et mise en danger de la sécurité de l’État.
Article 1-009.7 : Le directeur de la BISA doit obligatoirement être de nationalité d’un des États membres mais ne peut avoir exercé un mandat politique au cours de sa vie.
Article 1-009.7.2 : L’article 1-009.7 peut être temporairement annulé si le conseil d’administration vote à l’unanimité en ce sens.
Article 1-009.8 : Le directeur de la BISA ne peut exercer un rôle d’enquête ou d’investigation ; il n’agit qu’en tant que gestionnaire, manager ou décideur, mais commande ses rapports à un service dédié et autonome.
Article 1-009.9 : C’est le directeur de la BISA qui négocie les taux d’intérêt, les prêts et toute autre décision avec les chefs d’États et/ou chefs d’entreprises.
Article 2 : Les États signataires s'engagent à respecter les règles du commerce international.
Article 2-002 : Les États signataires reconnaissent en la qualité de ce traité une véracité absolue.
Article 2-003 : Les États signataires s’engagent à toujours respecter l’entraide et la coopération entre les nations sud-Aleuciennes.
Article 2-004 : Les lois et règlements relatifs au commerce de chaque nation doivent être respectés par chaque État souhaitant commercer ou transiter par ces territoires.
Article 2-005 : Les États signataires conviennent que les droits de douane doivent être abolis, car ils ne respectent pas les valeurs libérales et interconnectées du commerce international.
Article 2-005.2 : Les États signataires peuvent appliquer des contrôles douaniers à leurs frontières de manière ponctuelle et aléatoire pour contrôler les risques de contrebande et/ou de passage clandestin de produits illégaux.
Article 2-005.3 : Il est possible pour un État signataire d’appliquer des mesures de barrières douanières en ciblant certaines entreprises, produits ou pays pour des raisons de danger ou de non-conformité de produit.
Article 2-005.4 : Ces mesures restrictives ne peuvent dépasser 6 mois sans préavis.
Article 2-005.4.2 : Au bout des 6 mois, la nation appliquant les tarifs douaniers doit fournir à la BISA des preuves concrètes et documentées des raisons ayant motivé cette décision.
Article 2-005.5 : Si les documents sont considérés comme recevables, les contrôles douaniers sont régularisés et la BISA lance une enquête sur le pays accusé et/ou l’entreprise restreinte.
Article 2-005.6 : Un pays ou une entreprise subissant une restriction douanière peut porter réclamation auprès de la BISA afin que celle-ci mène des investigations et établisse un rapport sur la raison de cette restriction et son intérêt réel.
Article 2-005.6.2 : La BISA ne peut obliger un État à rouvrir ses barrières douanières par simple décision unilatérale.
Article 2-006.7 : En revanche, tout État fermant définitivement ses barrières douanières à un autre, de manière irraisonnée et injustifiée, se place en infraction de ce traité.
Article 2-007 : Les États signataires conviennent qu’il est nécessaire que les entreprises sud-Aleuciennes soient valorisées et obtiennent des facilités d’installation dans l’ensemble de l’espace.
Article 3 : Les États signataires siègent au conseil d’administration de la BISA.
Article 3-002 : Les États signataires possèdent le pouvoir absolu par un vote à l’unanimité ou à la majorité en fonction des décisions.
Article 3-003 : Tout État souhaitant convoquer un conseil d’administration peut le faire en envoyant un simple courrier au directeur de la BISA pour qu’il l’organise.
Article 3-004 : Tout État signataire peut proposer des idées ou des mesures au conseil d’administration ou au directeur.
Article 3-004.1 : Les États signataires possèdent tous la même part équitable de la BISA.
Article 3-004.2 : Cette part sera toujours divisée entre l’ensemble des États membres et ne peut ni être rachetée ni cédée.
Article 3-004.2.1 : Si un État retire sa signature du traité, alors sa part sera également répartie entre l’ensemble des autres nations.
Article 3-004.3 : Si un nouvel État signe son entrée, alors l’ensemble des parts est revu afin que chaque État possède exactement le même poids.
Charte culturelle
Article 4 : Les États conviennent que le développement de la culture, quelle que soit sa provenance, est un droit inaliénable.
Article 4-002 : Ils conviennent que les échanges interculturels doivent être encouragés entre tous les États signataires.
Article 4-003 : Ils conviennent cependant que tout État voulant imposer sa culture aux autres se met en infraction avec le présent traité.
Article 5 : Les États signataires, conscients de l’importance des études pour le développement des institutions, acceptent la création d’un programme d’échange universitaire commun entre tous les États signataires.
Article 5-002 : Ils s’engagent à fournir à l’ensemble des étudiants, sans distinction de race, de nationalité ou de religion, les mêmes droits qu’aux autres.
Article 5-003 : Ils s’engagent à permettre aux universités des États signataires de créer des diplômes conjoints avec d’autres États signataires.
Article 5-004 : Les États s’engagent à la création de programmes de recherche universitaire communs.
Coopération sécuritaire
Article 6 : Les États signataires s’engagent à assurer la sécurité de l’ensemble des ressortissants de chaque nation sur l’ensemble de leur territoire.
Article 7 : Les États signataires s’accordent sur la création d’une instance de coordination des services de renseignement et de police.
Article 7-002 : Les États signataires s’engagent à ne pas héberger, en toute connaissance de cause, des individus recherchés par d’autres nations signataires.
Article 7-003 : Les États signataires s’engagent à ne pas utiliser l’instance de renseignement pour espionner d’autres États signataires.
Article 8 : Les États signataires s’engagent à assurer la sécurité des routes terrestres, maritimes et aériennes dans la mesure de leurs capacités.
Article 8-002 : Les États signataires s’engagent à ne pas faire appel à des puissances extérieures au traité pour assurer la sécurité des routes maritimes, terrestres ou aériennes.
Article 8-003.2 : L’article 8-002 vise à garantir la souveraineté de l’ensemble des États signataires et à prévenir toute ingérence étrangère susceptible d’impacter les États membres. Toute violation constitue une infraction au traité.
Article 8-004 : Pour la sécurisation des voies maritimes, l’ensemble des nations acceptent de mettre leur flotte militaire à disposition pour assurer la sécurité de ces routes.
Article 8-004.2 : Chaque nation peut, bien entendu, utiliser sa marine pour d’autres missions selon sa volonté.
Article 8-005 : Aucune force militaire extérieure, étatique ou non, ne peut obtenir la permission de naviguer de manière continue dans les eaux des États signataires, car cela représente un danger pour la libre circulation des navires.
Article 8-006 : L’article 8-005 est annulé en cas d’exercice militaire.
Article 8-007 : La BISA allouera des financements en unités monétaires internationales aux États signataires respectant le traité, pour le développement de leurs forces maritimes.
Article 8-007.2 : Ce financement sera annuel ou mensuel et calculé par la BISA. Il ne pourra être inférieur à 500 unités monétaires internationales, garantissant ainsi que tous les États respectant le présent traité puissent en bénéficier.
Article 8-007.3 : La BISA peut refuser d’accorder un financement à un État signataire ne respectant pas le traité.
Article 8-007.4 : Toute nation signataire peut demander un financement plus large, sans accord de la BISA, par un vote à l’unanimité du conseil d’administration.
Article 9 : La BISA garantit la sécurité et la sûreté économique et commerciale des nations membres respectant le traité.
Article 10 : Un État peut adhérer au présent traité par simple signature et ainsi bénéficier de ses avantages, à condition d’en respecter les engagements.
Article 11 : L’espionnage de la BISA par des États signataires constitue une atteinte grave aux intérêts de l’ensemble des signataires.
Article 12 : Toute société privée ou collectivité publique peut adresser des demandes de toute nature à la BISA.
Article 13 : Les entreprises appartenant à des pays non signataires peuvent également solliciter des prêts auprès de la BISA.
Article 13-002 : Toute entreprise étrangère à la BISA ne pourra bénéficier des avantages des signataires ni de leur protection juridique ou physique.
Article 14 : Toute entreprise étrangère aux États signataires peut modifier ce statut en demandant à être domiciliée auprès de la BISA.
Article 14-002 : Toute entreprise étrangère domiciliée à la BISA devra payer ses impôts à cette dernière. Ces recettes seront ensuite réparties entre les États signataires, s’ajoutant aux financements mensuels ou annuels.
Article 15 : En cas de crise majeure (guerre, épidémie, désastre climatique apocalyptique…), la BISA peut prendre les mesures nécessaires pour limiter les dégâts économiques sur les autres États signataires.
Article 15-002 : Les États signataires conservent leur liberté de mener leur propre politique économique, militaire et diplomatique, à condition que celle-ci n’entre pas en contradiction avec le présent traité.
Coopération scientifique
Article 16 : Les États signataires s’engagent à respecter la qualité juridique et la valeur des brevets déposés par les entreprises étrangères.
Article 16-002.1 : Ainsi, toute entreprise utilisant une invention brevetée par une autre sans consentement devra répondre devant un tribunal.
Article 16-003 : La BISA allouera un fonds annuel pour le financement de programmes de recherche et de programmes universitaires.
Article 16-003.2 : Le financement des programmes sera déterminé après étude des dossiers déposés par les universités et/ou centres de recherche.
Article 17 : Les États signataires s’engagent à respecter les lois et codes moraux dans leur usage des technologies et/ou avancées scientifiques.
Article 18 : La BISA s’engage à la création d’une commission mixte scientifique réunissant les meilleurs inventeurs des États signataires pour favoriser le dialogue et la coopération.
Article 18-002 : La commission mixte scientifique rendra des rapports annuels et des recommandations pour les centres universitaires et/ou centres de recherche.
Article 18-003 : Chaque année, la commission mixte scientifique remettra un prix Nobel de physique, un prix Nobel de chimie, un prix Nobel de littérature, un prix Nobel de la paix, et un prix Nobel de médecine.
Article 18-003.2 : Chaque prix Nobel recevra, en unité monétaire internationale, une récompense de 10k.
Je dois vous avouer que c'est sûrement l'un des traités de coopération les plus longs que la fédération a eu à rédiger un jour. Mais nous estimons que plus un texte est complet et explicite, moins les risques de débordement sont conséquents. Bien évidemment, comme nous l'avons déjà dit, ce texte n'a initialement pas vocation à devenir une alliance, mais il pourrait servir de base à la création d'une instance commune et puissante. La "BISA" représenterait ainsi non seulement la stabilité économique et le soutien économique, mais aussi la sécurité, la paix et l'arbitrage dans les conflits.
En ce qui concerne votre délai de livraison pour la commande, il nous convient parfaitement. Il s'avère que notre gouvernement choisira en priorité d'ajouter les destroyers de nouvelle génération plutôt que les sous-marins d'attaque. Nous comprenons qu'il vous faut du temps pour produire, et nous respectons cela. Cela nous permettra également d'avoir le temps de réunir les fonds nécessaires et de vous les transférer aussi rapidement que possible.