Quelle communauté contrôle ses moyens de productions et ses infrastructures essentielles ?
Posté le : 18 mars 2025 à 19:45:26
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Dans ce topic, nous allons recenser les moyens de productions et les infrastructures présentes au sein des Quatre Vallées, puis nous allons dévoiler à quelles communautés ils appartiennent.
Posté le : 11 avr. 2025 à 20:47:20
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Infrastructures de transports
Légende Légende a écrit :
Voies ferrer
Routes
Aéroport
Routes et ponts : Les routes sont assez rare au sein du pays. Elles servent essentiellement à transporter des marchandises plus facilement. Les trois routes goudronné du pays sont géré par des communautés puissantes. Les autres routes et ponts (très largement des chemins de terres, sauf dans les villes) sont géré par les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades (une par vallée) ou par les communautés contrôlant les zones urbaines. Les premiers sont en lien étroit avec le code communautaire et la communauté pour l'endiguement de l'étalement urbain et de l'étalement agricole. Les seconds n'ont aucun liens avec le code communautaire pour la gestion de ses routes et ponts. Il existe un code de la route unique pour les Quatre Vallées, mais très peu de gens le connaissent.
La route située dans la vallée du Nvart, au sud du pays, est contrôlé par la Communauté des nomades saisonniers arméniens de la vallée du Nvart .
La route située dans la vallée du Yucesoy, au nord-ouest du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois, par la Communauté nomade matrilinéaire persane, la Communauté des nomades saisonniers turciques de la vallée du Yucesoy et la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées .
La route située dans la vallée de l'Alasania, au centre du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois, par la Communauté des nomades saisonniers géorgiens de la vallée de l'Alasania et la Communauté des prolétaires des Quatre Vallées .
Chemins de fer : Les chemins de fer sont très rare dans le pays. Ils servent essentiellement à transporter des marchandises plus facilement et il est rare qu'ils transportent des passagers. Le code communautaire n'a aucun pouvoir sur ses infrastructures qui gérer par des communautés puissantes.
Le chemin de fer située dans la vallée du Yucesoy , au nord-ouest du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par l'Armée des libertaires des Quatre Vallées, la Communauté des chiites persans et la Communauté des sunnites turciques.
Le chemin de fer située dans la vallée de l'Alasania, au centre du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par la Communauté des orthodoxes géorgiens , la Communauté des agriculteurs saisonniers géorgiens , la Communauté des prolétaires des Quatre Vallées et la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées .
Le chemin de fer située dans la vallée du Nvart, au sud du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par la Communauté des plus hauts dignitaires orthodoxes des Quatre Vallées, la Communauté des plus hauts dignitaires catholiques apostoliques arméniens des Quatre Vallées, l' Armée de libération communiste , la Communauté des ouvriers arméniens et la Communauté des nomades arméniens de la vallée du Nvart.
Aéroport : Il existe un seul aéroport international dans le pays et il se trouve à Dzyun Tovli. Celui-ci est cogéré par la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées , la Communauté des nomades saisonniers des villes , la Communauté des nomades saisonniers géorgiens de la vallée de l'Alasania et la Communauté des douanes et des passeports des Quatre Vallées.
Transport fluvial : Le transport fluvial est strictement limité au transport sur les grands fleuves des Quatre Vallées du fait que le pays est enclavé et donc n'a accès à aucune mer. Cependant, et contre intuitivement, ce mode de transport est très rependu. Bien plus que la voiture, les camions ou autres véhicules terrestres motorisé. La production des bateaux et des infrastructures nécessaires est géré par des ateliers. Quasiment chaque communauté en possède au moins un. Ses productions sont faibles, produite par des ateliers et non par des usines, ce qui veut dire qu'il existe assez peu de véhicules motoriser (quelques vedettes), mais essentiellement des bateau à voile ou à rame. Il n'existe pas vraiment de règles concernant cette activité, pas de code maritime à respecter.
Transports nomade : Les nomades et les nomades saisonniers utilisent plusieurs moyens de transports. Les modes de transports les plus courants reste le cheval et la marche à pied. Il existe dans quelques Ziareba (ზიარება), des véhicules motorisés, mais il restent très rare, compliqué à exploiter et réservé en cas d'urgences graves. Des élevages de chevaux existent un peu partout dans le pays, chaque communauté, chaque Ziareba (ზიარება) en possède plus ou moins, si bien qu'il n'existe, pas encore, de monopoles ou de communautés qui contrôle largement ce besoin. Enfin, ils sont, en partie, dépendants des routes et des ponts gérer par les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades. Mais également et surtout dépendants des péages présents un peu partout sur les routes accaparées par des communautés, et cela, par ce que les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades sont très peu puissantes.
Infrastructures liés aux hydrocarbures
Raffinerie pétrole + oléoduc
Gazoduc
Infrastructures électriques
Barrage hydroélectrique
Centrale à charbon
Infrastructures agricoles
Réseau d'eau
Infrastructures communication
Stricts moyens de productions
Usines de transformation du minerai (pyrométallurgie)
Usines textiles
Ateliers
Universités, réseau d'éducation - d'émancipation
Voies ferrer
Routes
Aéroport
Routes et ponts : Les routes sont assez rare au sein du pays. Elles servent essentiellement à transporter des marchandises plus facilement. Les trois routes goudronné du pays sont géré par des communautés puissantes. Les autres routes et ponts (très largement des chemins de terres, sauf dans les villes) sont géré par les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades (une par vallée) ou par les communautés contrôlant les zones urbaines. Les premiers sont en lien étroit avec le code communautaire et la communauté pour l'endiguement de l'étalement urbain et de l'étalement agricole. Les seconds n'ont aucun liens avec le code communautaire pour la gestion de ses routes et ponts. Il existe un code de la route unique pour les Quatre Vallées, mais très peu de gens le connaissent.
La route située dans la vallée du Nvart, au sud du pays, est contrôlé par la Communauté des nomades saisonniers arméniens de la vallée du Nvart .
La route située dans la vallée du Yucesoy, au nord-ouest du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois, par la Communauté nomade matrilinéaire persane, la Communauté des nomades saisonniers turciques de la vallée du Yucesoy et la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées .
La route située dans la vallée de l'Alasania, au centre du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois, par la Communauté des nomades saisonniers géorgiens de la vallée de l'Alasania et la Communauté des prolétaires des Quatre Vallées .
Chemins de fer : Les chemins de fer sont très rare dans le pays. Ils servent essentiellement à transporter des marchandises plus facilement et il est rare qu'ils transportent des passagers. Le code communautaire n'a aucun pouvoir sur ses infrastructures qui gérer par des communautés puissantes.
Le chemin de fer située dans la vallée du Yucesoy , au nord-ouest du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par l'Armée des libertaires des Quatre Vallées, la Communauté des chiites persans et la Communauté des sunnites turciques.
Le chemin de fer située dans la vallée de l'Alasania, au centre du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par la Communauté des orthodoxes géorgiens , la Communauté des agriculteurs saisonniers géorgiens , la Communauté des prolétaires des Quatre Vallées et la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées .
Le chemin de fer située dans la vallée du Nvart, au sud du pays, est contrôlé, en coopération et en concurrence à la fois par la Communauté des plus hauts dignitaires orthodoxes des Quatre Vallées, la Communauté des plus hauts dignitaires catholiques apostoliques arméniens des Quatre Vallées, l' Armée de libération communiste , la Communauté des ouvriers arméniens et la Communauté des nomades arméniens de la vallée du Nvart.
Aéroport : Il existe un seul aéroport international dans le pays et il se trouve à Dzyun Tovli. Celui-ci est cogéré par la Communauté des propriétaires des Quatre Vallées , la Communauté des nomades saisonniers des villes , la Communauté des nomades saisonniers géorgiens de la vallée de l'Alasania et la Communauté des douanes et des passeports des Quatre Vallées.
Transport fluvial : Le transport fluvial est strictement limité au transport sur les grands fleuves des Quatre Vallées du fait que le pays est enclavé et donc n'a accès à aucune mer. Cependant, et contre intuitivement, ce mode de transport est très rependu. Bien plus que la voiture, les camions ou autres véhicules terrestres motorisé. La production des bateaux et des infrastructures nécessaires est géré par des ateliers. Quasiment chaque communauté en possède au moins un. Ses productions sont faibles, produite par des ateliers et non par des usines, ce qui veut dire qu'il existe assez peu de véhicules motoriser (quelques vedettes), mais essentiellement des bateau à voile ou à rame. Il n'existe pas vraiment de règles concernant cette activité, pas de code maritime à respecter.
Transports nomade : Les nomades et les nomades saisonniers utilisent plusieurs moyens de transports. Les modes de transports les plus courants reste le cheval et la marche à pied. Il existe dans quelques Ziareba (ზიარება), des véhicules motorisés, mais il restent très rare, compliqué à exploiter et réservé en cas d'urgences graves. Des élevages de chevaux existent un peu partout dans le pays, chaque communauté, chaque Ziareba (ზიარება) en possède plus ou moins, si bien qu'il n'existe, pas encore, de monopoles ou de communautés qui contrôle largement ce besoin. Enfin, ils sont, en partie, dépendants des routes et des ponts gérer par les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades. Mais également et surtout dépendants des péages présents un peu partout sur les routes accaparées par des communautés, et cela, par ce que les communautés pour l'entretien et le développement des chemins nomades sont très peu puissantes.
Infrastructures liés aux hydrocarbures
Raffinerie pétrole + oléoduc
Gazoduc
Infrastructures électriques
Barrage hydroélectrique
Centrale à charbon
Infrastructures agricoles
Réseau d'eau
Infrastructures communication
Stricts moyens de productions
Usines de transformation du minerai (pyrométallurgie)
Usines textiles
Ateliers
Universités, réseau d'éducation - d'émancipation
