09/07/2016
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Création de pays : Némédie


Généralités :



Nom officiel : Némédie
Nom courant : La/Le Némédie
Gentilé : Les Némédiens
Inspirations culturelles : Grecque, Levantine, slave (région de Velika-Drevna)
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Le Némédique
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Grecque

Drapeau :
Drapeau


Devise officielle : Ενότητα, Δύναμη, Αλληλεγγύη (Unité, Force, Solidarité)
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Halegion (Hommage aux premiers fondateurs de la Némédie)

Capitale : Epidion

Population : 110 millions d'habitant pour 810 709 km² soit 136 habitants par km²


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

La Némédie est un pays du continent d'Afarée plus précisément du nord (+ région de Velika-Drevna en Eurysie), ayant un climat méditerranéen (hivers doux et pluvieux, étés secs et chauds) et un relief essentiellement montagnard au centre. La Némédie est une monarchie, où le roi, appartenant à une lignée royale millénaire, gouverne avec l’Assemblée des Cités. La Némédie est un pays culturel vivant, riche de patrimoine architectural, de philosophie et d’art.

La ville d’Epidion, qui est sa capitale, fait la gloire de ses forums antiques que viennent fréquenter marchands et philosophes sous les ombres des colonnes de marbre. Son monument le plus fameux est son Grand Temple d’Hélios, sanctuaire monumental du dieu solaire, dont le fronton orné de sculptures et les fresques de ses murs intérieurs racontent la mythologie et l’histoire du royaume. Tout près, le Palais Royal d’architecture classique et médiévale surplombe la ville depuis son promontoire rocheux et permet d’admirer le paysage.

À l’extérieur de la capitale, les remparts gigantesque d’Amphissia, faits de blocs de pierre de taille titanesque, sont les vestiges des anciennes cités-États guerrières. Plus au Nord, la ville portuaire de Thermikon, dotée d’un des plus grands théâtres antiques de tout le pays, n’en finit pas d’accueillir des tragédies ou concours oratoires. Le gradin superbement sculpté dans la colline peut contenir plusieurs milliers de spectateurs, et son acoustique, unique, en fait un superbe chef d’œuvre d’ingéniosité. Mais encore, situé dans les montagnes centrales au bord d'une falaise, le Monastère de Xanthéon qui a plus de mille ans, était à la fois un lieu de culte pour les rois némédiens, mais aujourd'hui ses fresques, restaurées, sont considérées comme un des trésors de l’art orthodoxe.

Plus à l'ouest, Pellisos est une ville abandonnée par la suite du tremblement de terre du moyen âge, maintenant lieu de fouilles archéologiques. La ville propose encore d'admirer ses ruines de marbre, les restes de thermes en ruine et de mosaïques enfouies dans la terre, l’archéologie aide à faire résonner au fond de notre esprit des souvenirs d’une vie d’autrefois. Tous les ans, des historiens et des archéologues mettent à jour la richesse du patrimoine archéologique du pays, activant ici la mémoire du bon roi, le glorieux royaume.

Enfin, la route des Rois qui a été le chemin ancien pavé qui relie Epidion aux grandes cités du royaume reste bordée des statues colossales des rois némédiens, certains intactes, d'autre dégradé.

Cependant derrière ces splendides patrimoines et cette beauté millénaire se cache la plus triste des réalités, car environ 7% de la population vit sous le seuil de pauvreté, beaucoup plus dans certaines régions rurales du sud (comme Olythos) et encore. On peut même dire que ce déséquilibre social est l’un des plus grands enjeux du roi et de l’Assemblée des cités, qui veulent redorer l’image du pays, non seulement par l’aspect des monuments, mais aussi par celle des hommes.


histoire:


L’Âge des Origines (de -11 000 à -1200) Les premières manifestations de la civilisation dans la Némédie apparaissent durant l’Âge des Origines, où de petites communautés maritimes se forment le long des côtes et des îles, elles développent la navigation, l’artisanat et des structures politiques tribales embryonnaires ; ces populations organisées en clans, croyaient en des dieux de la mer, de la terre et des cieux.

L’Arrivée et la Croissance des Cités-États (-1200 à -500) Dès -1200, nombre de cités s’établirent au sein de l'actuelle Némédie. D’abord de simples pôles fortifiés, celles-ci reçurent une impulsion nouvelle grâce à l’artisanat et au commerce. En hauteur ou à proximité de ports naturels, elles attirèrent de plus en plus de citoyens, organisés selon le modèle des sociétés autour des marchés, des temples, des places publiques.

Au fil des siècles, les cités-Etat se développèrent. Les Remparts s’élevèrent, la population fut protégée des pillages et invasions. Les routes pavées sont multipliées, et la communication des différentes cités, ainsi que la circulation des biens et des idées, se trouve ainsi facilitée. Les dieux avaient leurs temples monumentaux qui constituaient des centres spirituels, mais aussi culturels.

Les progrès agricoles ont permis d’alimenter des cités dont la population était en déclins, une partie des hommes pouvait se tourner vers une autre occupation que l’agriculture, contribuant ainsi à la naissance d’une classe d’artisans et de marchands.

Les cités, à mesure qu’elles se développaient, cherchaient à accroître leur territoire et leur influence. Loin d’être des hommes d’affaires ordinaires, les rois des différentes cités multiplièrent les alliances et les expéditions militaires destinées à contrôler les routes commerciales et les ressources stratégiques. Les ports, transformant certaines cités en puissances maritimes, leur donnèrent les moyens de rivaliser avec des civilisations voisines. Les armées, composées de soldats de métier, furent peu à peu mieux formées, mieux équipées et armées de matériels de plus en plus perfectionnés.

Dans cet ensemble de cités puissantes, Epidion, Korion et Myrida se détachent comme cités majeures, rayonnant fortement par leur puissance militaire, leur force économique ou la qualité de leur culture.

Mais vers -500, la montée en puissance générale entraîna des tensions entre les cités, des rivalités qui se transforment en guerres ouvertes : chaque cité cherchant à faire prévaloir sa domination sur ses voisines. Les coalitions se forment et se défont, les conflits se succèdent et les territoires devient un champ de bataille où seules les cités les plus puissantes prétendent exister et prospérer.

Les Guerres Communautaires (-500 à -300) La richesse, la puissance et les volontés politiques se disputent l’hégémonie dans une série de guerres internes, mêlant ces villes des oppositions entre coalitions rivales ou ligues du commerce cherchant à monopoliser les routes commerciales. Epidion et Myrida s’affrontent dans une guerre pour la mainmise sur la mer, Korion devenue une puissance terrestre grâce à des armées disciplinées. Ce climat de guerre forge la culture militaire du futur royaume de Némédie et pousse à l’innovation, tant dans l’organisation des phalanges que dans l’aménagement des fortifications des cités. Cependant d'autres cités se mettent en guerre, cherchant elles aussi à s’implanter davantage au détriment de leurs voisins, avec Thyrène et Myrrhène, deux puissantes cités de l'ouest, proches géographiquement, qui sont en guerre pour le contrôle des riches plaines agricoles donnant accès à des routes terrestres. Ou encore à l’est, opposée à Epidion en expansion, l’alliance neutraliste instable de Helike et Ephedra, aboutit à une guerre de trahison, qui affaiblira durablement les deux cités.

La Ligue Némédienne (-300 à -150) A la faveur de conflits intercommunautaires à n’en plus finir, le roi d’Epidion, Alexion réussit à faire adhérer les cités les plus puissantes (Epidion ,Korion, Myrida, Olythos ,Ephedra ,Naucratis ,Erephos, Argéos ,Phaidonia, Myrrhene, Helike, Thyrène) sous une ligue de caractère sacré nommé Némédie, promouvant un gouvernement fédéré, laissant à chaque cité le soin de ses affaires internes, mais en associant l’arbitrage des affaires communes (Guerre, Justice...). Cette Ligue permet de tourner son attention vers la relance économique et les échanges culturels au service de l’exportation de ses arts et de son modèle politique à travers le continent et l’océan.

l’Âge d’Or (-150 à 200) La Ligue Némédienne atteint alors son niveau de développement maximal : des philosophes influents, des infrastructures modernes, une marine puissante. Les cités, toujours concurrentes, prospèrent dans une paix relative, alternant compétitions culturelles et jeux sportifs plutôt que conflits. C’est le moment des temples et théâtres monumentaux qui attirent encore aujourd’hui les visiteurs.

L’Ère de l’Unification Royale (200 - 450) À l’époque où la ligue Némédienne brillait de toutes ses forces, l’anticipation réaliste des guerres entre cités-États refaisait son apparition. Certes, la prospérité du pays s’étais révélée à travers des succès diversifiés autant dans le secteur économique que dans le domaine culturel, mais les vieilles rivalités n’avaient jamais complètement disparu. Epidion, Myrida et Korion, tous membres de la même ligue, s’employaient à s’élever dans le grand concert des cités-États et cherchaient à s’imposer aux autres notamment en se livrant à des manigances politiques ou à une course à l’économie. Les uns s’adonnant à la militarisation de leur cité, les autres s’appuyant sur des alliances secrètes. Tous ces soubresauts suscitaient une forme d’inquiétude chez le descendant d’Alexion, Halegion qui n’estimait plus suffisante l’idée d’un fragile équilibre entre les différentes puissances pour garantir la paix dans l'alliance de Némédie. Plutôt que d’établir sa propre autorité par la force, Halegion eut l’idée sidérante pour son époque de faire du devenir même de la patrie l’affaire du peuple. En l’an 225, il convoqua le Premier Référendum de l’Histoire, demandant à chaque citoyen des différentes cités s’il votait pour conserver le modèle fédéral qui favorisait la concurrence et l’autonomie ou pour fonder un Royaume Unique, centralisé sous un monarque garant de la paix. L’idée même d’un vote était inédite et passionnait les philosophes : certains y voyaient une trahison des traditions locales, d’autres estimaient qu’elle consti­tuait une continuité de la civilisation de ligue Némédienne. Le référendum, qui se déroula pendant toute une année pour permettre à chaque cité de voter, finit par donner un résultat en faveur de l’unification. Ainsi, en l’an 226, Halegion fut proclamé Premier Roi de la Némédie Unifiée, et la fragmentation politique séculaire tira sa révérence.

L’Âge du Royaume Némédien (450-1300) L’unification de la Némédie marqua une période de prospérité où le pouvoir royal s’efforça de concilier traditions locales et crainte d’un retour à l’autoritarisme. Ce fut aussi une époque de grandes réformes : Création d’un système judiciaire unifié garantissant l’égalité de l’application du droit dans tout le royaume. Développement d’un réseau de voies et de routes maritimes facilitant le commerce et la communication entre les cités. Fondation de l’Académie Royale les rassemblant les meilleurs penseurs, philosophes et scientifiques du pays. Mais la centralisation du pouvoir suscita aussi des tensions entre anciennes élites des cités et monarchie : si certaines acceptaient l’autorité du roi, d’autres complotaient pour restaurer l’indépendance des cités.

L’Ère Moderne (1300 - Présent) Après des siècles marqués par un certain nombre d’évolutions politiques, plus les années passe, plus la Némédie trouve peu à peu un équilibre entre le système monarchique et l’expression démocratique, ce qui en fait un pays original. Si le pouvoir est peu à peu partagé entre le roi et des institutions représentatives, le roi reste néanmoins au sommet d’une hiérarchie qui ne se laisse pas oublier. Fait exceptionnel, tous les souverains némédiens depuis plus de 1700 ans sont issus d’une même et seule maison royale depuis Halegion, ce qui en fait la plus ancienne dynastie régnante ininterrompue au monde. Ce caractère de pérennité monarchique du pays éclaire quant à lui la fierté des némédiens et d’un marquage de la continuité de son histoire. Aujourd’hui, la Némédie est une monarchie constitutionnelle dont le roi est le centre du pouvoir. Il conserve de larges prérogatives, notamment en matière de politique étrangère, force armée et unité nationale, même si, de fait, le pays semble avoir fait le choix du modernisme, dont le symbole est le passage vers une forme politique plus moderne et démocratique du pays.

Durant l’Ère Moderne, il n’y a eu qu’un seul véritable conflit important pour la Némédie, la Guerre de Velika (1523-1527), qui l’opposait aux forces slaves de la Ligue Drevène, une coalition de principautés qui luttaient contre l’expansion de l’influence némédienne sur leurs territoires. À cette période, la Némédie, forte de sa puissance économique et culturelle, avait des projets d’ouverture sur l’Eurysie, avec la mise en place de comptoirs commerciaux et d’une influence hégémonique sur cette région stratégique. Mais l’expansion némédienne butait sur la détermination des principautés slaves soucieuses de préserver la protection assurée par la puissance de leur royaume et leur souhait d’autonomie de facto, bien qu’il fût vain. Après une série de combats sanglants, la Némédie remporta la victoire sur la Ligue Drevène et maintint son autorité sur le territoire disputé. Néanmoins, pour éviter de nouvelles tensions, la région de Velika-Drevna (Ligue Drevène renommé) obtint un statut d’autonomie renforcée, qui lui permettait de conserver ses spécificités culturelles et administratives sans qu’elle ne perde pour autant sa souveraineté, ce qui est toujours le cas aujourd'hui.

Voici les grandes dates de l'ère moderne

1234 Cadre de Réforme du Service Commun : le roi Euphemios III centralise le service commun en posant les bases des premières institutions étatiques modernes qui devraient permettre une gestion unifiée des cités et des territoires.

1374 Codification des Lois Royales : Le roi Ptolemaios II donne ordre de la rédaction d’un Corpus Législatif Royal, homogénéisant les lois entre cités et jetant les bases d’une justice mieux proportionnée.

1410 Grande Peste de Némédie : Une épidémie frappe plusieurs régions du pays et entraîne de profondes réformes sanitaires et la création par Euryklès III des premiers hôpitaux .

1523-1527 La Guerre de Velika

1498 Décret d’Unification Culturelle : Sous Lysandros II, le royaume se dote d’une langue officielle mise au standard dans un souci d’unifier les différentes cités et dialectes du territoire tout en autorisant la poursuite des particularismes régionaux.

1601 Mise en place de l’Assemblée des Cités : Le roi Helikon I met en place un organe représentatif où chaque régions (dénommée d’après la première cité antique qui s’y est trouvée) est représentée par des délégués pour débattre des lois et conseiller le roi.

1711 Fin des Privilèges Féodaux : Le roi Philoktès IV supprime les dernières traces du féodalisme, garantissant une égalité des droits pour tous les citoyens du royaume.

1846 Neutralité Officielle : La Némédie proclame sa neutralité à l’égard des conflits internationaux en mettant au point une doctrine de diplomatie équilibrée et d’autodéfense sous le roi Phax I.

1881 Modernisation du Royaume : Le roi Andronikos III met en place un vaste programme d’industrialisation et de modernisation des infrastructures tout en sauvegardant les traditions culturelles du pays.

1957 Nouvelle Constitution : Tout en conservant un pouvoir fort, la monarchie évolue vers un régime aux attributions plus larges pour l’Assemblée des Cités dans l’élaboration des lois.

2008 Renforcement de la Neutralité : La Némédie de Andronikos IV réaffirme son statut de pays neutre, se refusant à toute alliance militaire et s’affirmant en médiation diplomatique sur la scène internationale

2014 Changement de nom du royaume : le roi Andronikos IV déclare que le pays ne sera plus appelé officiellement le Royaume de Némédie, mais tout simplement Némédie. Le nom doit aussi permettre d’unir davantage le peuple autour d’un nom commun et d’affirmer une vision d’un État moderne, ancré dans la tradition tout en étant tourné vers le futur.

Aujourd'hui, le pouvoir législatif se retrouve exercé par l’assemblée des cités, un parlement dont le nom s’enracine dans l’histoire du pays ; il réunit des délégations des 12 grandes régions (Les douze cités qui acceptèrent la Ligue de Némédie sont devenues les douze principales régions du pays et portent pour chacune l’ancien nom de la cité ou elles se trouvaient) sauf pour la region Velika-Drevna qui à un statut particulier. Cette assemblée vote les lois et débat les grandes orientations du pays dans un mouvement tendant vers plus de démocratie et d’inclusivité dans le cadre du gouvernement. Pour gouverner, le roi dispose 5 ministres d’Etat. Les cinq ministres, désignés directement par le roi, constituent avec lui, de facto, le Conseil Royal qui gouverne en collaborant désormais avec l’Assemblée des Cités.


Mentalité de la population :

Profondément influencé par un héritage historique et culturel, le peuple des Némédiens, héritiers des anciennes cités-États, conserve un esprit de compétition extrême, aussi bien dans le sport, les arts, le monde des affaires ou en politique. L’intense rivalité entre cités, qui perdure depuis des siècles, a forgé en eux une culture où le dépassement de soi et la recherche de l’excellence sont des principes cardinaux. Chaque Némédien cherche à se distinguer, à montrer sa valeur, à honorer sa regions, son pays, tout en continuant une tradition du respect d’un code de loyauté et d’honneur profondément ancrée dans la société. Pour autant, les Némédiens ont également un sens de l’accueil et de l’hospitalité reconnu. La xénia, ou l’art d’accueillir les étrangers, reste encore aujourd’hui une tradition millénaire. Les visiteurs étrangers sont souvent accueillis et traités avec générosité et curiosité


Place de la religion dans l'État et la société :

La Némédie est un pays chrétien, où la plupart de la population est orthodoxe. L’orthodoxie s’inscrit dans l’ADN même du Némédien, elle est au cœur des valeurs, des traditions et des valeurs sociales des Némédiens. Depuis des siècles, l’Église orthodoxe a non seulement formé la spiritualité des Némédiens, mais elle a également contribué à forger leur identité culturelle. Les grandes fêtes religieuses et les rites, la Pâque et la Nativité sont célébrés avec un respect des traditions, lors de joies familiales et communautaires, de rassemblements dans les monastères ou dans les églises, du pays. La religion est donc importante pour les Némédiens car cela a put permettre à l’époque d’unir tout le monde dans une absence de rivalité et encore aujourd’hui.


Politique et institutions :



Institutions politiques :


Le pouvoir législatif est exercé par l’Assemblée des Cités, dont le nom évoque l’histoire des anciennes cités-États némédiennes. Elle est composée de 492 sièges attribués également entre les 12 grandes régions. Les douze cités qui acceptèrent la Ligue de Némédie sont devenues les douze principales régions du pays et portent pour chacune l’ancien nom de la cité ou elles si trouvaient afin de garder la mémoire historique dans le pays et leur place fondatrice dans le processus d’unification (Epidion, Korion, Myrida, Olythos, Ephedra, Naucratis, Erephos, Thyrène, Argéos, Phaidonia, Myrrhene, Helike).

La région de Velika-Drevna jouit d’un statut particulier d’exception : elle appartient toujours à la Némédie, mais n’y est pas représentée à l’Assemblée des Cités. Elle dispose de son assemblée régionale propre, garantissant son autonomie. Ce statut permet à Velika-Drevna d’administrer ses affaires internes, tout en restant sous la souveraineté de la Némédie.

Chaque régions se voit donc dotée de 41 représentants, respectant ainsi une égalité entre territoires, peu importe le nombre de citoyens qui y résident. Les décisions de l’Assemblée des Cités sont prises après débats, chaque représentant défendant l'intérêt de son territoire dans le souci du bien commun de la nation. L’assemblée à donc pour bute de voter des lois et débattre sur différent grand sujet

Les différentes régions de la Némédie ont une forte identité historique et culturelle, chacune jouant un rôle spécifique du royaume.



Voici les 12 regions :

Epidion
Korion
Myrida
Olythos
Ephedra
Naucratis
Erephos
Thyrène
Argéos
Phaidonia
Myrrhene
Helike

La Némédie, rare terre, n’est pas divisée par des partis politiques, mais par des représentants des différentes régions, soucieux non pas de ce qu’ils sont mais de ce qu’ils assurent d’abord et avant tout pour leurs régions. Autrement dit et paradoxalement, c’est bien sans partis que peuvent être prise des décisions pragmatiques et de bon sens.
Un tel modèle du non-parti est un facteur essentiel de la stabilité de la société némédienne.

Pour finir la Némédie dispose d'un Conseil Royal, un organe suprême de l’exécutif royal, le Conseil Royal est dirigé par le roi Andronikos IV, qui, même s’il détient un pouvoir appréciable, gouverne avec un groupement restreint de ministres d’État. Au nombre de cinq, désignés directement par lui, ces derniers constituent le Conseil Royal avec lui de facto, dont il exerce le pouvoir conjointement avec l’Assemblée des Cités, servant de contrepoids à une autorité royale qui doit parfois faire face à des revendications nationales.

Principaux personnages :

Roi Andronikos IV de Némédie : Souverain actuel, descendant direct de la lignée royale régnant sur Némédie depuis plus de 1700 ans, il incarne la continuité historique du pays, tout en faisant évoluer la monarchie face aux défis contemporains.

Prince héritier Leonidas de Némédie : Fils aîné du roi, il prend la succession progressivement, en suivant une formation aux affaires de l’État, à l’histoire du pays, à ses traditions militaires et diplomatiques.

Menelaos Theron, Ministre du Sport et de la Culture

Periandros Melas, Ministre de l’Écologie et des Territoires

Xenophon Daskalos, Ministre des Forces de l’Ordre

Themistokles Arianos, Ministre de la Justice

Nikostratos Delios, Ministre de l’Armée

Philippos Adrastos, Ministre des Affaires étrangères

Politique internationale :

La Némédie nous est ici présentée comme un pays neutre qui, par choix, a décidé de ne plus s’engager dans les conflits internationaux. Elle a toujours été soucieuse de maintenir la stabilité de ses relations internationales dans le respect du principe de non-ingérence. Aussi, elle s’efforce de garder des relations diplomatiques équilibrées avec tous les pays, sans trop faire attention aux rivalités ou alliances militaires qui pourraient opposer les États. En choisissant cette voie de la neutralité, la Némédie entend concentrer ses efforts en priorité sur son développement interne, ce qui lui permet de préserver son indépendance, son intégrité et la souveraineté de l’État Némédien.
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Bonsoir,

Pays marqué culturellement, un peu de profondeur historique.
Attention aux fautes et phrases à rallonge :)

C'est ok pour moi.
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