Création de pays : Rhédie
Généralités :
Nom officiel : Royaume de Rhédie
Nom courant : Rhédie
Gentilé : Rhédien, Rhédienne
Inspirations culturelles : Latine du Nord
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Français, Rhédien moderne
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Rhédien
Drapeau :

Devise officielle : Espoir Rêve et Gloire
Hymne officiel :
Capitale : Muusk
Population : 8 750 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Le peuple des Rhédiens vient du Sud. Au départ, c'est un peuple nomade qui va chercher par ici et par là pour recevoir l'hospitalité. Mais ils n'étaient pas à la cheville des autres grandes puissance qui s'étaient bien établies. Et avec l'arrivée des armes à feu, les Rhédiens n'étaient considérés que comme une gêne et un peuple bon à être réduit en esclavage. Alors, le peu de rescapés s'était replié dans les grandes plaines vides. Mais ils n'étaient pas seul. Le Royaume de Teyla s'était déjà établit sur ces terres. Les pauvres Rhédiens croyaient que c'en était fini d'eux.
Mais, après quelques années de cohabitation, ils s'aperçurent que les Teylais n'étaient pas comme les autres peuples. Ils ne cherchaient pas à les exterminer et à leur enlever leur liberté, au contraire, ils les ont accueillis sur leurs terres.
Et de fils en aiguille, une certaine affinité entre les deux peuples se renforça. Jusqu'à ce que la Teyla accorde son indépendance aux Rhédiens.
C'est ainsi que cet première amitié donna naissance à une nouvelle génération dans le peuple des Rhédiens : "Les Éclairés".
Ils formaient aussi un nouveau courant de pensée qui portait le même nom que la nouvelle génération de philosophe. Mais de l'autre côté, dans le Royaume de Telya, certains individus très attachés à leur nation telle qu'elle est, n'étaient pas très réjouis de l'arrivé de ce nouveau peuple.
Rien que de penser qu'un peuple inconnu au bataillon puisse venir les "envahir" (comme ils le disaient) était inimaginable.
L'histoire nous l'apprend, l'extrémisme n'a jamais rien apporté de bon, quelle que soit sa forme.
Plus les années passaient, plus ce pacifisme d'autres fois disparaissait. Les rues des nouveaux villages rhédiens n'étaient plus très sûr. À chaque instant pouvait avoir lieu un crime anti-rhédien.
Le Royaume de Teyla tentait de réprimander les individus qui tentaient ce genre de crimes, mais en vain.
Bientôt, c'était presque tous les jours qu'on rapportait des assassinats ou pire, des attentats.
Il fallait agir, bien que pacifiste, le nouveau Royaume de Rhédie ne pouvait se résoudre à laisser courir ce genre d'individu. Le roi Francis II dû prendre de nouvelles mesures radicales ; désormais, chaque individu commettant un meurtre envers un Rhédiens, était jugé et exécuté pour atteinte à la sécurité nationale et homicide.
Cette nouvelle mesure calma définitivement les anti-rhédiens, montrant ainsi au monde que cette nouvelle nation pouvait tout de même sortir les griffes.
À partir de là, la nation rhédienne pouvait désormais se développer tranquillement, ou presque.
Car en l'an 1874, le roi Simon Ier fut renversé par son général Grégoire Lecoq. Il instaura immédiatement un régime de terreur pour bien faire comprendre au rhédiens qu'ils n'étaient pas en capacité de refuser ses nouvelles ambitions pour le royaume.
Ce général, maintenant propulsé par lui-même au statut de Premier ministre, n'avait qu'en tête qu'une seule chose : étendre au maximum son influence sur son continent.
Pour cela, il avait un plan très simple, qui n'était autre que de faire la guerre. Mais encore plus cruel, il voulait trahir l'ami depuis toujours de la nation : le Royaume de Teyla.
Malheureusement pour lui, aux premiers villages attaqués, sa jambe fut transpercée par une balle, et par la suite, il a rapidement été fait prisonnier par la milice Teylaise.
Mais dans son pays natal, personne ne voulait de lui. Alors, rapidement, il fut remplacé par un héritier de la lignée royale, battant ainsi le record du dirigeant étant le moins resté au pouvoir de tout son pays.
Ce n'est que récemment, en 1962, qu'un co-prince teylais fit son apparition dans le Royaume de Rhédie. Il a pour rôle cristallisé plus de 300 ans d'histoire d'amitié teylo-rhédienne.
Vers les années 2010, la corruption faisait rage dans le système politique rhédien.
Effectivement, les nouvelles figures politiques pensaient que l'argent pouvait tout résoudre. Ce qui est en partie vrai, mais surtout en partie faux.
Ce qui était sûr, c'est que la classe populaire des Rhédiens, eux, ne partageaient absolument pas le même avis que les nobles de Muusk. Cette classe dite "du peuple" supportait le fait d'être au bas de la hiérarchie, mais que d'honnêtes citoyens rhédiens soient dirigés par des corrompus, cela en était trop.
Alors, un groupe de personnes nommé "La Légion" commença à faire son entrée dans le paysage rhédien.
Ce mouvement était ouvert à tout le monde (bien que non autorisé par le Conseil Royal), son objectif était de faire une guerre des preuves contre la noblesse rhédienne corrompue.
Toujours plus fort, le groupe comptait désormais à son actif plusieurs dizaines d'arrestations de nobles, magistraux et autres aristocrates. Les quelques parias restants étaient désormais voués à être eux aussi jugés pour avoir été complices de ce système infâme.
Alors peu à peu, ces vils personnages tirèrent leur révérence au monde politique rhédien.
Depuis cette époque, les autorités veillent toujours sur les institutions politiques.
Mentalité de la population :
Les Rhédiens sont très ouverts d'esprit. Mais, ils restent tout de même fragile en cas de conflit sur leur continent.
Les dirigeants ont beaucoup d'influence sur la population qui ne se montre pas révolté contre l'actuel roi.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion occupe un place importante dans le royaume. Les citoyens ne sont tout de même pas obligés d'être croyants.
(Une religion spécifique pourrait être la source d'un RP avec d'autres pays si ils le veulent)
La religion, peut dans certain cas être appliqué dans la justice (sans peine de mort).
Si une décision de justice est trop importante à prendre, alors le jugement revient au pouvoir religieux voir même au roi/à la reine.
Du côté politique, le futur roi/reine doit obligatoirement être éduqué dans la religion et au moment de son intronisation, il doit prêter serment sur les textes sacrés.
En parlant d'éducation, pour les enfants de plus de 13 ans ont le choix entre plusieurs voies d'apprentissage pour leurs études, dont la religion.
En résumé, à 13 ans, les enfants entrent dans leurs dernières années de collège. Ils entrent donc dans la préparation de l'examen final qui déterminera si oui ou non leurs vœux de lycée sont accepté. Et si parmi leurs vœux, il est question de religion, alors ils vont commencer tout un apprentissage de la religion d'état. Les jeunes commenceront par l'étude de textes sacrés, des cours de traditions et finiront par un pèlerinage avec leurs camarades.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Siège Royal : Le siège royal est la plus importante des institutions politiques. C'est celle possède quasiment tous les pouvoirs. Elle est dirigée par le roi ou la reine. Si le roi/reine vient à mourir, c'est en priorité l'ainée du roi/reine qui est propulsé sur le trône.
Si la descendance est inapte à être roi (morte, inexistante, etc...) alors c'est le Conseil Royal qui va nommer le prochain(e) roi/reine.
Conseil Royal (ou Conseil) : Présidé par le Premier ministre, le Conseil est celui qui interprète et applique les décisions du souverain. C'est aussi lui qui va servir d'intermédiaire entre le Siège Royal et le peuple ou les autres institutions politiques.
Préfécture : Les préfectures exécute les ordres du Conseil Royal aux niveau local.
Principaux personnages :

Politique internationale :
Le Royaume est tout de même "refermé" sur son voisinage proche. Il baigne dans un bain de rois, de princes et d'évêques.
Il est donc très tournée vers ce genre de système. Mais ne tolère tout de même pas des régimes sanguinaires ou qui martyrise son peuple. A part cela, je dirai que la Rhédie "n'est pas prête" pour toutes sortes de conflit armée, et privilège d'abord la solution diplomatique.