11/05/2017
16:06:12
Index du forum Continents Eurysie Saint-Alban Briarres

Châteaux Vaux d’or

Voir fiche pays Voir sur la carte
2730

 Photo

Remarquable œuvre architecturale de la Renaissance briarroise, la Résidence Vaux d’Or, ou Château du Vaux d’Or, accueille depuis 1893, soit depuis plus de 123 ans, la demeure officielle des Seigneurs de Briarres et son gouvernement : la famille Aballes. Véritablement chargée d’histoire et lieu emblématique du pouvoir exécutif briarrois, ce bijou architectural, signé par l’architecte Léandre d'Escremont, fut tour à tour un terrain de chasse pour les rois d’Aberg, situé à proximité des Bois royaux de Chevray, puis devint la demeure des Comtes de Chevray en 1675, avec le rachat du domaine pour une petite fortune, jusqu’à la Révolution briarrois de 1793, avant de devenir un musée national et patrimonial. Elle finit par redevenir une demeure d’importance et un lieu de pouvoir majeur avec l’installation de la famille Aballes, par leur patriarche d’alors, Lord Éric d’Aballes, récemment promu Seigneur de tout Briarres par le Prince souverain de l’époque, Georges Chagnon.

Témoignage de l’histoire de la Seigneurie, demeure aux multiples usages, elle devient finalement un centre politique et décisionnel majeur dans la vie politique briarroise, éclipsant le prestigieux Palais Coulmiers par sont importance, résidence des princes souverains de briarres, et témoigne par là l’évolution du pouvoir politique dans la Seigneurie ainsi que de la conception du pouvoir, avec un prince souverain au pouvoir important et large mais devenu largement cérémoniel et représentatif, et un seigneur vassal devenu indispensable au pouvoir politique briarrois.

La résidence Vaux d’Or accueille le gouvernement briarrois, à la tête duquel se trouve son excellence le Lord Joseph Aballes, troisième de la lignée des Aballes et actuel seigneur de Briarres. Le Seigneur de briarres incarne le prestige du pouvoir monarchique, il incarne, au nom du Prince souverain Armel Chagnon, occupé par sa fonction de Co-Prince de Saint-Alban, les pouvoirs associés à la couronne princière, au nom de celui-ci, et assure la pérennité du pouvoir politique et la stabilité de l’Etat.

À la tête, par us et coutumes, de l’État briarrois et du gouvernement, que l’on peut considérer comme étant le détenteur du pouvoir exécutif dans d’autres régimes modernes, le seigneur de Briarres assure l’administration quotidienne de la Seigneurie et dirige l’action de son gouvernement. Il n’est soumis, du moins officiellement, qu’au prince souverain, auquel il doit rendre des comptes, mais, par tradition et au fil du temps, on considère que le conseil princier, plus haute institution judiciaire de la seigneurie, gardienne du pouvoir monarchique ainsi que symbole du pouvoir judiciaire princier par excellence, est chargé de contrôler l’action du Seigneur et de le censurer en cas de tyrannie.

Le Château Vaux d’Or est donc, en résumé, un lieu majeur de la vie politique briarroise. Résidence du seigneur de Briarres, il est son lieu de travail, mais accueille également les réunions hebdomadaires du gouvernement de la seigneurie, qui se tiennent chaque mercredi. Centre de conférences, il est aussi le lieu où le gouvernement Ardois présente ses communications au monde.

 Photo
Lord Joseph Aballes
2140

 photo



Édit portant sur la nomination des Officiers de Notre Gouvernement.

Donne à Chevray,le 02 mars 2016

Nous, par la grâce de Dieu et par le prince souverain de briarres, seigneur de tous briarres et Gardien des us et coutumes,

à tous ceux qui ces présentes verront ou ouïront, salut !


Considérant que le bien de Notre Seigneurie requiert des ministres et officiers d’une fidélité éprouvée, d’un esprit juste et d’un dévouement entier au service du peuple et de la Couronne ;

Après que nous eûmes discute avec sont excellence Hippolyte de Jacquinot, ses excellences les estimables lords de la chambre des Lords et pris en compte les forces et les groupes qui composent notre sublime chambre des communes.

Avec le soutien de Dieu et du prince souverain,

Faisons savoir la présente composition de notre gouvernement :

Premier ministre : hippolyte de Jacquinot (H) (club Latin)
Chancelier et garde des sceaux :
Christophe de Vaugeois (club Latin)
Surintendant général des finances (économie et finance) : Jean-Baptiste de Clairmont (club Latin)
Secrétaire d’état aux province et à la sûreté (intérieur et de la police) : Henri-Charles de Montreuil (club Latin)
Grand chambellan et maître des postes (administration et aux infrastructure) :
Thibault d’Alençon (club Latin)
Secrétaire d’état aux affaires extérieurs et aux outre-mer (affaires étrangère et relation avec saint-Alban) : Louis-aime de Deslys (club Latin)
Intendant général des manufactures et du grand commerce (commerce et industrie) : Vincent de Chamfort (club des bourgeois)
Prévôt des marchands et intendants des villes (urbanisme et logement) : Philippe de Marigny (club des Bourgeois)
Secrétaire d’état aux foie et affaires religieuses (culte et religion) : Père Désiré Favre (Club des amis de l’église)
Secrétaire d’état a l’Erudition et aux académie (éducation et enseignement supérieur) : Clément-Augustin de Courcelles (Club des Bourgeois)
Surintendant des eaux et des forêts (environnement et ressources naturelles) : Guillaume d’Autun (club des amis de l’église)
Grand amiral de Briarres :
Gaspard de Savrac (club Latin)
Secrétaire d’Etat a la culture et aux patrimoines : Maximilien de Lavigne (club Latin)

Car tel est notre bon plaisir


Et en foi de quoi, nous avons fait dresser ces présentes et y avons apposé notre sceau, afin que pleine autorité y soit attachée.

Donné en notre Palais, le château de Vaux d’or, ce deux mars de l’an de grâce deux mil seize

Ainsi Nous voulons, ainsi ordonnons et faisons savoir.

Joseph Aballes,
Seigneur de tous briarres au nom de sa majesté, Armel Chagnon, Prince souverain de briarres.
5671
 photo

Condamnation de l’agression de Carnavale envers l’Empire du Nord et réarmement de Briarres.


Ce matin, nous, enfants du monde et du Seigneur, nous nous sommes réveillés, réveillés brutalement et de manière inédite. Pour la première fois depuis le massacre des musulmans par le régime de Diambée, le monde se retrouve face à une nouvelle crise humanitaire et un acte de barbarie sans précédent, d’une ampleur jamais vue et inégale. N’ayant pas voulu se contenter de l’ignoble massacre dont il est l’auteur envers le peuple de Kabalie, massacre injustement perpétré envers un peuple démunis et faible et dans l’indifférence la plus totale, le monde se réveille et observe une nouvelle catastrophe qui, sans aucun doute, peut se classer en tête de liste des crises humanitaires les plus graves de notre siècle.
Le massacre de 2 millions de Nordistes par missile balistique chimique démontre le profond mépris de la valeur sacrée de la vie et une volonté nihiliste envers un peuple, une histoire et une culture. La principauté de Carnavale, qui s’était déjà, par ses actes, mise au banc des nations, s’est une nouvelle fois enfoncée dans l’abîme la plus profonde de la barbarie humaine, de la folie et de la mégalomanie et est entrée dans les profondeurs même de l’enfer. Le gouvernement de la Seigneurie de Briarres et moi-même, Joseph Aballes, seigneur de Briarres apportons notre plus grand soutien au peuple de l’Empire du Nord, massacré de la plus horrible des manières. Nous aimerons assuré que sommes avec chaque victime et nous apportons notre soutien à chaque membre de famille de victime ayant perdu un proche : père, frère, sœur, cousin, oncle, tante ou ami, époux ou époque, des enfants ou plus encore.

Aujourd’hui, l’Empire du Nord se trouve meurtri, ses enfants tués de la pire des manières par un régime dystopique et infernal, qui par ses excès se démontre être la Sodome et Gomorrhe de notre temps.
J’affirme une nouvelle fois mon plein et entier soutien envers les victimes et leurs familles, mais également au gouvernement de l’Empire du Nord, qui sans aucun doute peut compter sur notre soutien et notre aide. J’ai prendrais le temps, une fois que nous le jugerons adéquat, de contacter les autorités nordistes pour leur affirmer notre soutien plein et entier, et avec leur autorisation, la Seigneurie de Briarres souhaite envoyer des pompiers, médecins, ambulanciers ou tout autre secours qui se révélerait nécessaire pour assurer un retour en bonne et due forme et un retour à la normale.

Enfants de Briarres, s’il y a bien quelque chose que nous pouvons retenir de ces événements, c’est que la paix est un mythe. Même le plus fort et le plus entraîné peut être attaqué. Alors qu’en est-il d’un État qui base sa sécurité sur le pacifisme ou sur la responsabilité d’un autre État ?
Nous n’avons plus le luxe ni le choix : la Seigneurie de Briarres doit se réarmer pour faire face à cette nouvelle réalité du monde. Les événements avec Carnavale le démontrent bien, mais également la crise en Afarée avec le Gondo, l’Ouwanlinda contre l’Empire de Clovanie, ou encore la crise en Ramchourie.
Partout dans le monde, on s’arme et on se prépare à la guerre, ou on fait la guerre. Face à ce monde, Briarres doit tracer sa voie. Elle ne peut plus être pacifiste ni observatrice, mais pleine et entière maîtresse de son destin et de sa sécurité.

C’est pourquoi j’annonce, avec effet immédiat, la fin des relations qui unissent la Seigneurie de Briarres à la principauté de Saint-Alban, notamment l’union qui permettait à Saint-Alban de disposer du même souverain princier que Briarres. C’est-à-dire que, lorsque sa majesté le prince souverain décédera — que Dieu le préserve le plus longtemps possible — les États généraux de la principauté de Briarres seront convoqués pour décider de l’héritier légitime au trône parmi la descendance de la lignée des Chagnon.

Ensuite, Briarres récupère la pleine et entière maîtrise de sa diplomatie et de sa défense, autrefois laissées aux mains de Saint-Alban. Le gouvernement de Briarres, sous l’autorité de son excellence le premier ministre, devra pourvoir à un nouveau portefeuille à la guerre, qui sera voté les deux chambres des États généraux et ensuite ratifié par nous. Ce nouveau portefeuille devrait avoir l’immense responsabilité de mettre en place une politique défensive et militaire claire, structurée et précise capable de répondre aux enjeux géopolitiques mondiaux, d’assurer le respect de la souveraineté nationale de Briarres et le respect de son intégrité territoriale. Au côté de ce nouveau portefeuille, les services de renseignement de Briarres verront leurs pouvoirs, moyens et capacités de manœuvres considérablement augmenter pour leur permettre d’assurer au mieux leurs missions de garant de la sécurité de l’État et de la souveraineté nationale.

La reprise du contrôle de notre défense et de notre armée s’accompagnera nécessairement d’une gestion efficace de celle-ci. Nous possédons actuellement une force de 10 000 hommes, un chiffre qui paraît bien minuscule, d’autant plus que ces forces sont sous-équipées et en sous-effectif, ne permettant ni d’agir efficacement pour la préservation de notre souveraineté nationale, ni de posséder les moyens de défense nécessaires pour nous prémunir des ingérences étrangères.
Ayant pris contact avec le prince souverain pour bénéficier de ses conseils avisés, son excellence le premier ministre, ainsi que monsieur le président de la chambre des communes et monsieur le président de la phambre des pairs, j’ai pris la responsabilité d’engager la principauté dans une nouvelle voie : celle du réarmement, avec des forces armées aptes à agir pour nous défendre, préserver notre sécurité nationale et disposer d’une doctrine militaire claire.

Ce réarmement massif devra passer par des investissements extraordinaires dans des infrastructures et une industrie militaire, pour que nous produisions nous-mêmes nos besoins en équipement et pour que nous ne soyons pas dépendants d’une force étrangère.
En parallèle de ce réarmement, nous demandons à l’ensemble de la population civile de participer à cet effort national et nous appelons à une mobilisation de la population, notamment masculine, en vue d’un service national militaire de six mois, obligatoire pour tous les hommes née après les années 2000. Le fonctionnement et la nature exacte de ce service militaire apparaîtront de manière plus concise et plus précise lorsque le gouvernement, avec le nouvel portefeuille a la guerre, sera prêt et que le texte sera voté par les États généraux.

Sujets de sa majesté princière, soyez assurés que nous ferons tout pour assurer votre sécurité dans ce monde incertain.

Joseph Aballes, Seigneur de Briarres.
Haut de page