Activités étrangères en Fiumigliana
Posté le : 29 mars 2025 à 23:55:14
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Posté le : 13 mai 2025 à 12:21:41
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20 juillet 2017, Sancte, Etats pontificaux de Catholagne
Très cher frère,
Je t'écris de Sancte où je suis arrivé la semaine dernière. Il me plaît de retrouver les rivages tranquilles de l'île pontificale et de cette belle mer Leucytalée qui est aussi la tienne. En me promenant sur le chemin de la colline, qui surplombe le port de la ville d'où s'élance le ferry pour Leandra et les petits bateaux des pêcheurs, je me suis laissé entrer en méditation. Il y a, sur ces hauteurs et le Camino Sancti, de petites chapelles dédiées à la Vierge Marie, devant lesquelles les habitants de l'île déposent des fleurs et de petites offrandes. Au milieu de cette atmosphère de piété, de foi populaire, je me suis pris à penser à toi.
Cher frère, alors que s'ouvrent dans le marbre et les ornements solennels le prochain conclave, je me rappelle d'une conversation avec le Saint-Père, lors d'une visite apostolique que nous faisions ensemble à l'étranger, pour l'un de ces Synodes qu'il avait l'habitude de convoquer. Par hasard, lorsque j'évoquai ton nom, il me confirma le bien qu'il pensait de toi. Je ne t'en ai jamais fait part, préservant ta bien-fondée humilité de ces éloges dont tu n'aurais aucun usage. Mais Pie XVI voyait en toi un pasteur remarquable, et il était très attentif aux qualités que tu déployais dans la conduite de ton diocèse ; il m'a rapporté comment tu avais lancé une émission évangélique sur les canaux de télévision de ton pays, parlant à tous, jeunes et vieux, croyants et agnostiques, dans des termes simples qui permettent la saisie par chacun de l'Evangile. Cela m'a interpellé, car comme tu le sais, Pie XVI était préoccupé par le lent déclin de notre Eglise en Occident ; cet Occident riche et prospère, mais de moins en moins baptisé, et généralement indifférent à la chose religieuse qui est pourtant si centrale chez moi, en Orient. Et c'est aussi un point d'accord que j'avais avec le Saint-Père en discutant de ce diocèse d'Ascoti, au coeur de la Mer Leucytalée ; la nécessité d'assurer, à travers la pastoralité, le dialogue entre les religions traditionnelles. Loin de toute idée de croisade, qui ets pour nous autres Maronites et chrétiens orientaux au sens général un signifiant creux et menaçant, le Saint-Père reconnaissait que la présence et la vitalité même de l'Eglise à travers le monde reposait sur ce dialogue avec les autres, qui est l'une de tes forces. J'étais heureux d'apprendre que tu avais en toi cette qualité toute leucytaléenne de la capacité à dialoguer et à établir des ponts. En tant que maronite, c'est aussi l'une des conditions de mon travail, qui est peu gratifiant, parfois long, mais absolument nécessaire pour préserver ma communauté dans un environnement où nous sommes minoritaires et ne pouvons pas endurer de rapports néfastes avec les autorités politiques locales.
J'ai donc été frappé de sympathie pour cet évêque d'Ascoti, qui n'était autre que toi ! Et j'ai compris, par les discussions que nous avons eu ensuite ensemble, que c'était une forme de haute conscience sur la nature humaine et l'Evangile qui t'amenait à ce prêche mesuré, simple, universel et pacifique. Tes remarques en matière d'anthropologie religieuse notamment étaient lumineuses, et je souhaite qu'elles éclairent le Collège cardinalice et la Curie, qui font parfois défaut de sagesse et de simplicité dans leur oeuvre quotidienne.
Mon frère, autant que le précédent Saint-Père pouvait louer tes qualités de pasteur et d'homme du peuple, j'ai remarqué avec satisfaction que loin des innovations douteuses, tu étais aussi un homme de dogme et de tradition. A une ère où prolifèrent les initiatives de toute sorte pour capter l'attention du chalant, où les spiritualités se déguisent en courants d'opinion lucratifs et animés par des gourous, je crois fermement que l'affirmation du dogme catholique est une boussole et un phare pour toute l'Eglise. En ce sens, j'ai confiance en la solidité de ton ancrage biblique pour traiter des divers sujets que les sociétés modernes apportent à nous.
Pour toutes ces raisons, je crois que le Saint-Père avait fait un choix sage en te confiant la pourpre. Je gage que ta présence parmi nous lors du conclave qui s'annonce sera d'un excellent augure pour cheminer vers la meilleure issue, l'issue la plus favorable à l'Eglise.
Vois-tu, cher frère, je m'inquiète de cette issue. Je m'en inquiète parce que notre collègue Alexius Palamas a été tué dans un horrible attentat qui laisse le Collège pantois de stupeur. Je m'en inquiète parce que des figures extrêmes montent, menaçant de rompre les dogmes et de jeter notre Eglise à l'eau, dans des schismes et des déviances qui seront irréversibles. Je m'en inquiète parce que je ne vois pas, en face de ces périls, d'articulation consistante d'un message apostolique authentiquement catholique, beaucoup de nos confrères préférant déléguer les grandes questions ecclésiales pour régner, tels des potentats, sur leur diocèse où des malversations occurentes peuvent être rapportées. J'espère, en écrivant ces mots, ne pas heurter ta conscience ; c'est pourtant la réalité. Je gage que ton réalisme, ton sens fiumiglien de l'observation des choses, te fasse aller dans le même sens que moi. Et c'est par ces petites compromissions que la vitalité quitte petit à petit notre Eglise. Comme moi, tu constates sans doute que les jeunes esprits, les plus malléables, sont parfois captés par des idées mal formées, diffusés à la force des hauts-parleurs et de la publicité évangéliste plutôt que par le patient travail d'explication et de lecture liturgique. N'est-il pas temps cependant de relever ce défi de l'évangélisation ?
Prions, alors, pour le rétablissement de notre Eglise ; prions pour que le conclave qui s'annonce soit le moment d'une révélation de l'Esprit Saint, et un nouveau départ pour notre Eglise.
Cher frère, je regarde autour de moi, cherchant le chemin que Dieu trace pour l'avenir dans le présent. Car s'il doit y avoir un Pape, il est bien parmi nous. S'il doit y avoir un Pape, il doit avoir les qualités requises pour faire face aux périls de l'Eglise : continuité du dogme, unité, confiance, et force pour l'avenir.
Tu me vois sans doute venir...
Cher frère, au nom de ma petite délégation, au nom des raisons que j'ai indiquées et de la confiance que le Saint-Père t'avais manifestée, je te prie d'accepter ma demande solennelle, en acceptant ma voix, ainsi que celles de ma délégation, pour accéder à la fonction papale. Tu en as le profil, la stature, les qualités, plus qu'aucun autre de nos confrères, je le crois.
Je te prie d'accepter mes voix et, dans ce sens, celles que je réunirais pour ta candidature.
Que l'Esprit Saint facilite ta réflexion et t'indique le plus droit chemin.
Patriarche maronite
Posté le : 27 jui. 2025 à 23:51:46
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Cela pourrait être vous...(pas le chien hein)
Économie dynamique, vie culturelle bouillonnante, perspectives sans fin...notre cité s’enorgueillit de sa superbe et de son développement...mais à quoi bon profiter de la richesse si ce n'est pas pour la partager, et en faire profiter le reste de l'univers. C'est dans cette optique qu'a été créer "l'initiative de la grande migration", dont le nom fait écho aux différents grands mouvements d'installation leucytalienne dont notre cité a été marquée durant toute son Histoire. Conformément à sa tradition d’accueil, notre cité se fait donc la chantre d'une nouvelle "grande migration", avec tous les avantages offerts par le Gouvernement communal, et les perspectives que cela apporte.
Notre cité peine à suivre le rythme de son succès, et a un grand besoin de tout le génie que l'humanité est prête à lui offrir afin de relever les nouveaux grands défis du siècle à venir. Il n'y a pas de profils privilégiés, et chaque expérience, chaque nom, chaque histoire sera une richesse de plus à ajouter au grand livre de la cité.
Parmi les avantages mis en avant par cette initiative, les petits plats ont été mis dans les grands, que ce soit par nos partenaires publics ou privés, qui se sont assurés par une bonne concorde de toutes ces choses qui pourraient vous manquer dans votre patrie d'origine:
- Une sécurité de l'emploi et un chômage quasi inexistant.
- Une procédure d'immigration et un trajet entièrement réglé par nos partenaires publics et privés.
- Un accès à la citoyenneté facilité, avec un examen possiblement accessible un an à peine après votre arrivée (sous réserve de casier judiciaire vierge).
- La possibilité de choisir votre future cité de résidence parmi celles qui se sont joint à cette initiative.
- Une allocation consacrée à chaque nouvel arrivant pour une durée de trois mois, afin d'établir les fondation d'un projet familial et professionnel en toute sérénité.
- Un accès à la propriété facilité par un corpus de lois permissives concernant le parc immobilier velsnien.
Si vous êtes prêts à vous embarquer dans une grande aventure à nos côtés, vous pouvez dés à présent remplir ce court formulaire, afin que nous puissions traiter votre demande au plus vite. (à livrer à l'adresse suivante)
[b]Pays de résidence actuel:[/b]
[b]Nombre d'individus impliqués dans "la Grande Migration":[/b]
[b]Niveau de revenu estimé (choisir entre une fourchette basse, moyenne ou haute):[/b]
[b]Niveau de qualification estimé (choisir entre capital professionnel faible (aucun diplôme), moyen (niveau bac) ou élevé (Bac +3 ou plus):[/b]
[b]Cités de résidence sélectionnées (HRP, regardez la carte):[/b]
[b]Vos citoyens ont-ils déjà une maîtrise du velsnien standard/fortunéen ou une autre langue italophone:[/b] OUI/NON
Posté le : 31 jui. 2025 à 23:54:01
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