EMPIRE BRUNETTIN
Généralités :
Nom officiel : Le Saint Empire Brunettin
Nom courant : Empire Brunettin
Gentilé : Brunettien et Brunettienne
Inspirations culturelles : Amérindiennes pour la plupart
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Anglais
Drapeau :
Devise officielle : Face aux ennemis, face à l'hostilité, seul l'Empereur peut nous sauver.
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le Brunetti, d'une valeur de 2.10$
Capitale : Valéria
Population : 74 millions d'habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Avant l'Empire :
Avant d’être un Empire, le territoire Brunettin était une République. Cette République, la République Fédérale Socialiste de Brunettie, était caractérisée par un grand nombre de crises, d’instabilité et de scandales qui ont entaché ce nouveau régime. Néanmoins celle-ci à pû perdurer grâce à une politique très stricte, qui restreint libertés individuelles et collectives, interdit le droit de réunion, d’association et de presse, limitant ainsi toute revendication du régime. Instaurée en 1847, cette République, au fur et à mesure des années, procède à de nombreuses réformes, notamment menée en 1917 par le Socialiste Hubert Grung. Dès lors, des voix s’élèvent contre ce régime qui pèse énormément sur le peuple, notamment celle de Grégoire Yuri, lieutenant de l’Armée Socialiste, qui organise un coup d’Etat le 12 Novembre 1921, en compagnie de son régiment. Plusieurs membres du Gouvernement, dont Hubert Grung, meurent dans cette insurrection et le Lieutenant Yuri, devient le chef de l'exécutif, plaçant l’armée au centre des décisions politiques.
Hubert Grung
Grégoire Yuri
Pendant les deux mois qui ont suivi ce coup d’Etat, Grégoire Yuri a mis en place un Gouvernement Provisoire composé à majorité de membre de l’ex Armée Socialiste, aujourd’hui renommée Armée du Courage. Ne connaissant rien à la politique, ce militaire de haut rang âgé de 62 ans, décide d’organiser de nouvelles élections, qui permettront d’élire un nouveau Président du Conseil, cette fois autre que Socialiste puisque cette idéologie fût interdite et permit à de nombreux intellectuels de former de nouveaux partis politiques. Le pays possède désormais une pluralité politique. Le but de ces élections était d’élire l’Assemblée Constituante qui va rédiger une nouvelle Constitution en vue de la mise en place d’un nouveau Régime. Très rapidement, ces élections vont être remportées par des proches collaborateurs du chef provisoire de l’exécutif, et vont rédiger une Constitution où dans aucun cas le mot République est écrit, et où le Président du Conseil dispose de nombreux pouvoirs comme celui de s’attribuer pour une durée illimité si le Sénat est d’accord, tous les pouvoirs. Cette Constitution s’avère être une immense perte de temps, puisque après avoir été élu au suffrage universel masculin avec 65% des voix au premier tour des élections présidentielles, Grégoire Yuri propose un plébiscite au peuple pour instaurer l’Empire, et celui-ci répond oui à 98%.
Mais pourquoi avoir répondu “oui” ?
Peu de médias en ont réellement parlé à l’époque, néanmoins les historiens affirment que le gouvernement fraîchement élu à dû faire pression sur les maires et les préfets, qui avaient énormément d’influence à cette époque, pour former l’Empire. De plus, une grande partie de la population était à majorité monarchiste, et le retour à un Empire était une première marche vers une Théocratie certaine.
C’est donc en 1921 que l’histoire de l’Empire à commencée, et très rapidement celui-ci va se démocratiser et atteindre une popularité très importante au sein même du pays.
Les débuts de l'Empire :
Début 1923, le peuple Brunettin commence à apprécier la stabilité du régime, avec un chef d’Etat qui prépare son couronnement, un Gouvernement qui renforce les contrôles aux frontières, augmente le budget de l’armée et met un point d’honneur à être symbole d’une diplomatie importante et rigoureuse. Dans ce nouveau régime, la place du Ministre des Affaires Etrangères et de la Diplomatie est une place stratégique et importante. C’est au début du mois de Mai 1923, que le futur Empereur décide d’être sacré, dans la cathédrale de Valéria, permettant au peuple entier de venir admirer ce moment solennel. Plus de 12 millions de personnes sont présentes lors du sacre de l’Empereur Yuri Ier, désormais symbole de la résistance, du courage et de la fierté Brunettienne. Les chefs religieux sont présents et le nouvel Empereur décide de défiler dans toute la capitale dans sa tenue impériale pour rejoindre son palais, anciennement le Sénat Socialiste, et montrer au peuple à quel point l’Empire est prestigieux et magnifique.
Néanmoins, après son sacre, Yuri Ier supprima un grand nombre de libertés, collectives ou individuelles, déporta ses opposants politiques, et fit en sorte que les députés élus à la Chambre des Décisions Impériales, soit des partisans du régime et non des révolutionnaires. Car oui, plusieurs tentatives de coups d’Etat ont échoué, permettant au régime de se méfier davantage lors des élections et c’est ainsi que le suffrage universel masculin fût modifié pour devenir le suffrage des grands électeurs masculins (à majorité Yurinistes).
Yuri Ier
Ce début de l’Empire fût court et peu marquant, puisque Yuri Ier fût assassiné 12 ans après son sacre, sans avoir accompli aucune conquête militaire, et sans avoir accompli son désir de croissance économique forte en privilégiant l’industrialisation. C’est dans une lettre adressée à la population, comme le veut la Constitution de 1922, que l’Empereur écrivit le nom de son successeur. Dans ce cas précis, son fils, Louis-Grégoire Yuri, qui fut sacré Empereur Yuri Second le 14 Juin 1937 à Valéria au sein de la Chapelle du Palais Yurinite.
Développement et croissance forte de l'Empire :
Si il y a bien un nom que l’on retient parmi tous les Empereurs, c’est bel et bien celui de Yuri le Second. Contrairement à son père, celui-ci a fait preuve d’un grand tacte face aux révolutionnaires et à réussi à faire baisser le taux d'insurrections d’une manière significative. De plus, il a favorisé l’emploi, en investissant une partie du budget de l’armée dans le développement économique, dans les domaines de la sidérurgie, de la métallurgie et des chemins de fer. La capitale étant maintenant accessible à tous, même dans les campagnes les plus reculées. Pour faire face à un chômage grandissant dans les campagnes du à la modernisation des techniques d’agricultures, l’Empereur ordonne la construction de zones d’agriculture exclusives qui ont pour but de favoriser l’apprentissage de cultures plus importantes, sans pour autant perdre de la main d'œuvre. Les libertés sont rétablies pour la plupart, sauf le droit de réunion et de manifestation. Et l’Empereur demande désormais aux ménages qui travaillent de lui payer un impôt quotidien : le Change. Cette décision n’a pas plu à tout le monde, néanmoins les insurrections n’ont pas durées longtemps, elles ont vite été réprimée par l’Armée du Courage, désormais divisée en trois pôles : L’Armée du Courage Maritime, l’Armée du Courage Aérien et l’Armée du Courage. Au niveau international, Yuri le Second, à amorcé de petites conquêtes de territoires, notamment au sud du pays, où il a récupéré les provinces de Utaka et Restghu. Il meurt le 26 Avril 1984 de manière naturelle, et comme la tradition le souhaite, il cède sa place à son fils, Victor-Louis Yuri au travers d’une lettre impériale. Son fils étant trop jeune, il prend ses fonctions en 1999 seulement sous le nom de Victor Ier. Encore aujourd’hui, Victor Ier est le chef d’Etat et mène une politique semblable à celle de son père.
Yuri Le Second vers la fin de son règne
Victor Ier en 2015
Mentalité de la population :
Le peuple Brunettien est un peuple fier, fier de son histoire, du courage dont il a fait preuve face à de nombreuses situations. C’est un peuple qui travaille, qui suit l’actualité, qui priorise l’éducation et qui respecte ses corps d’armées. Néanmoins c’est un peuple qui remet parfois en cause le régime, notamment la jeunesse dû à l'essor des médias, bien qu’ils soient contrôlés, mais la population dans un cadre général, est très satisfaite de la situation actuelle du pays.
Place de la religion dans l'État et la société :
La seule religion acceptée par l'Empire, est le Yurinisme, porté en 1921 par Grégoire Yuri et qui possède une place très influente au sein du Gouvernement puisqu'il existe un Ministère du Culte et du Yurinisme.
Aurélien Juric, Ministre du Culte et du Yurinisme
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Les institutions politiques de l'Empire sont totalement contrôlées par l’Empereur ainsi que son Gouvernement. Tout en haut de celles-ci, nous retrouvons le Sénat Impérial, composé de tous les sénateurs impériaux qui représentent chaque province, au nombre de 5 par province. Ce sénat, dont la mandature dure 7 ans, et la magistrature ayant été renouvelée en 1999 sous Victor Ier, dispose d’une influence certaine, puisqu’il fixe les lois et les applique.
L'Empereur est représenté dans chaque province par un 5 sénateurs, un préfet, un député et les maires des villes.
Le reste des décisions de politiques, s'effectuent lors du Conseil Impérial qui a lieu tous les mercredi, et qui permet de proposer de nouvelles idées pour faire progresser l'Empire. Ce conseil est présidé par l'Empereur en personne ou par son Premier Ministre, Thibaut Frot.
Principaux personnages :
- L'Empereur Victor Ier, sacré en 1999
- Le Premier Ministre Thibaut Frot, nommé en 1999 par l'Empereur
- Le Ministre de la Guerre Hubert Druine
- Le Ministre des Affaires Etrangères et de la Diplomatie Marcel Hubert
Politique internationale :
Bien que ce pays soit un Empire, c'est un régime très porté sur la diplomatie et les relations à l'international. L'Empire Brunettin met un point d'honneur à respecter les autres pays autant que le sien. L'amitié internationale est primordiale. Néanmoins, l'Empire est très à cheval sur les règles de respect lors des visites diplomatiques.
C'est un Empire axé sur la paix et le bon fonctionnement de la scène internationale.
