11/05/2017
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Lignes ferroviaires d'Ylma Jinu

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Ce présent topic recense toutes les lignes ferroviaires en service dans la région d'Ylma Jinu exploités par les CIB, Chemins Impériaux du Burujoa, plus communément appelée, 皇道 - Sumeragi michi, la société publique exploitant les trains burujois. La Compagnie est divisé en plusieurs branches, facilitant l'exploitation du vaste réseau régional.

Michi Engan, CIB Engan, regroupe les préfectures de l'Engan dans le Nord de l'Ylma, en bordeaux

Michi Jinu, CIB Jinu, regroupe les préfectures de Jinu, en violettes

Michi Morii, CIB Morii, regroupe les préfectures du Morii, au Sud et à l'Ouest d'Ylma, en vertes

Michi Tochi, CIB Tochi, regroupe toutes les préfectures du Tochi, en beige

Michi Karaimu, CIB Karaimu, regroupe tout le Grand Karaimu, en bleu

Michi Ylma, CIB Ylma, exploite uniquement les trains à grande vitesse Shinkansen dans toute la région

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Ligne Kikisu

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Rame type 120 circulant en hiver dans la ville d'Okirran

Présentation :
Inauguré le 11 octobre 1916, dernière prolongation en 1937, dernière gare en 1962

Longueur commerciale : 81,9 km
Ecartement : 1.067 mm
Alimentation : thermique

Vitesse de croisière : 75 km/h
Vitesse moyenne : 37 km/h (incluant les arrêts et les phases d'accélération et décélération)
Pente maximale : 3%
Courbe minimale : 160 m

Nombre de gares : 18, préfectures de Kikomoto - Ikyeong

Départ, PK 0 : Gare de Jinshin - Kikomoto
Arrivée : Gare de Ochiai - Sobara

Propriétaire - exploitant :
1937 - 1988 : Compagnie des Chemins de Fer de Kikomoto
1988 - 2015 : Chemins de Fer Impériaux du Burujoa, CIB Engan
2015 - : Chemins de Fer Impériaux du Burujoa, CIB Kikomoto

La ligne traverse officiellement 26 tunnels, le plus petit mesurant 32 mètres et le plus long plus de 2,2 km.

Liste des gares :

Kikomoto, préfecture de Kikomoto :
Jinshin / KM 0 (1916)
Minami Jinshin / KM 3,2 (1962)

Urran, préfecture de Kikomoto :
Kamonaka / KM 8,7 (1916)
Yahata/ KM 11,8 (1918)
Daito / KM 13,9 (1916)
Mimina Daito / KM 17,5 (1962)
Kikisu / KM 21,1 (1916)
Hinobori / KM 24,8 (1932)
Shimokuno / KM 31,5 (1932)

Okirran, préfecture de Kikomoto :
Yashiro / KM 37,4 (1932)
Minari / KM 41,5 (1932)
Kamedake / KM 45,9 (1934)
Yokota / KM 52,3 (1934)
Yakawa / KM 56,3 (1934)
Sakane / KM 63,3 (1937)
Miinohara / KM 69,7 (1949)

Shobara, préfecture d’Ikyeong : [/color]
Yuki / KM 75,3 (1937)
Ochiai / KM 81,9 (1937)

Histoire :

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Bifurcation entre la ligne Kikisu et la ligne Kin en gare de Jinshin

La licence d’exploitation de la ligne est accordée par l'administration impériale le 31 janvier 1914 à la compagnie privée Compagnie des Chemins de Fer de Kikomoto, ayant obtenu quelques années plus tôt le monopole de l’exploitation des trains dans la préfecture.

Le 11 octobre 1916, après un an et demi de travaux, le premier tronçon de la ligne, long de 21 kilomètres, ouvre entre Kikomoto et Urran, la ligne compte alors 3 stations : Kamonaka, Daito et Kizuki.

En 1921, une quatrième gare, Hataya, est ouverte sur le tronçon existant.

En 1927, le prolongement de la ligne est approuvé par l'administration impériale et les travaux, largement financés par celle-ci, commencent l’année suivante par le percement d’un tunnel.

Le 18 décembre 1932, après 5 ans de travaux; la ligne est prolongée de 20,4 kilomètres et 4 gares sont ouvertes : Hito, Shimokuno, Yatsushiro et Mitsunari.

Le 20 novembre 1934, la ligne est allongée une deuxième fois avec l’ajout de 14,8 kilomètres de rail et l'aménagement de 3 gares supplémentaires : Kamedake, Yokota et Hachikawa.

Le 12 décembre 1937, la ligne est prolongée pour une dernière fois, avec une extension de 14,8 kilomètres atteignant Ochiai et s’accompagne de l’ouverture des gares de Sakane et d'Aburaki.

Le 1er octobre 1963, la gare de Minami est mise en service.

Le 25 avril 1969, la dernière locomotive au charbon circule sur la ligne.

Du 3 mars au 7 juillet 2001, la totalité de la ligne est fermée pour la modernisation de l’ensemble du système de contrôle des trains.

La ligne est de nouveau fermée du 29 décembre 2005 au 29 mars 2006 pour des travaux d'entretien des voies. De nouvelles fermetures totales de la ligne ont eu lieu entre le 7 janvier et le 15 février 2012 ; entre le 18 janvier et le 22 février 2013 et enfin entre le 14 février et le 8 mars 2015. A chaque fois, ces travaux ont permis de moderniser les appareils de voie, en particulier les aiguillages, pour la plupart datant de la construction de la ligne entre 1917 et 1937. De nouveaux travaux sont dores et déjà programmés en 2016, 2020 et 2021.

Le 1er septembre 2015, la société publique CIB Engan, exploitante de la ligne depuis la nationalisation complète du réseau ferré national en 1988 cède la ligne, pour l’euro symbolique à la société publique locale CIB Kikomoto. Cette jeune société locale, dont le capital est majoritairement détenu par CIB Engan suivi par la Représentation de Kikomoto et les Délégations municipales a pour but d’exploiter la plupart des transports en communs publics de la préfecture de Kikomoto. Quelques mois après la cession des lignes du Mini Métro Mozui et des lacs, la ligne Kikisu devient la 3e ligne a être exploitée par CIB Kikomoto. Dans les faits, rien ne change pour les voyageurs, la grille horaire et les tarifs restent les mêmes, ni pour les salariés, qui gardent le même statut que tous les cheminots des CIB. En revanche, la gestion de la ligne est plus locale, les collectivités sont davantage impliquées et pourraient, à terme, faire évoluer la ligne : augmentation de la fréquence des trains, notamment, puisqu’elles sont dorénavant actionnaires de la société exploitante.

Matériel roulant :

La ligne est exploitée par 8 rames automotrices monocaisse type 120, elles sont entretenues au dépôt ferroviaire de Kikisu, dans la ville d’Urran. Certaines rames sont stationnées, uniquement pour la nuit, à la gare d’Ochiai. Pour les opérations de maintenance les plus importantes, elles peuvent être effectuées au dépôt ferroviaire du Shinkansen à Kikomoto.

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Une rame type 120 sur la ligne Kikisu en mars 2009

Plus de détails sur la rame type 120

Fréquentation :

La fréquentation de la ligne est en constante augmentation ; ainsi en 1987, il y avait en moyenne 203 passagers par jour ; 302 passagers en 2010 et même 663 en 2010. La hausse de la fréquentation a légèrement ralenti après 2010, avec 712 voyageurs quotidiens en 2012 ; 767 en 2014 et enfin 822 en 2016.

Concernant le trafic de marchandises, il n'y avait pas de service fret en 1987, en 2000, il y avait en moyenne 12 wagons à couvercle et 21 wagons découverts chaque jour contre 45 wagons à couvercle et 93 wagons découvert en circulation chaque jour en 2010.
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Mini Métro Mozui - Ligne Taina

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Une rame de réserve circulant sur le Mini Métro près du Dôme de Mozui

Le Mini Métro Mozui est le nom commercial de la ligne Taina. Cette liaison technique et commerciale est exploitée depuis le 1er avril 2013 et dessert 5 stations, toutes situées dans la municipalité de Mozui. Elle est exploitée par la société locale CIB Kikomoto, spécialiste du transport collectif local dans la préfecture de Kikomoto, filiale du groupe Chemins Impériaux du Burujoa, géant burujois de la mobilité.

Le Mini Métro Mozui est une ligne expérimentale visant à créer des “Mini Métro”, un mix entre un train et un métro dans des villes moyennes de l’Empire afin de décharger les transports collectifs routiers existants et diminuer l’usage de la voiture en ville. Pour être qualifiée de Mini Métro, selon les règles du Département impérial des Transports, la ligne doit être relativement courte, moins d’une vingtaine de kilomètres, desservir presque exclusivement la même municipalité, avoir des inter stations inférieurs à 3 kilomètres, rouler sur des voies étroites ou encore avoir des trains fonctionnant à l’électricité.

Données techniques :

Le Mini Métro Mozui réunit toutes ces conditions puisque sa longueur totale opérationnelle est de 8,3 km, son écartement étroit est de 1.067mm, il ne comporte que 5 gares et ses rames sont alimentées par caténaire 1500 Volt courant continu. Par ailleurs, la vitesse maximale autorisée sur la ligne est de 85 km/h et tout le système de signalisation est désormais automatisé.

Histoire :

Le Mini Métro, de son vrai nom ligne Taina n’est pas une nouvelle ligne à proprement parler mais est simplement la remise en service d’une ligne abandonnée pendant près de 40 ans. En effet, la ligne Taina, du même nom que le grand sanctuaire qu’elle dessert, a été ouverte le 2 mars 1930 après 4 ans de travaux. Sa construction est même exclusivement motivée par ce but, dans une période ou le tourisme et les pèlerinages explosent, les investisseurs locaux misent beaucoup sur cette ligne de train et notamment les gares de Taina et Hamaya pour attirer toujours plus de burujois dans les établissements du secteur.

C’est une des rares lignes à ne connaître aucun changement tout le long de son exploitation, aussi bien de tracés, elle a toujours eu ses 5 gares, que de matériel, conservant jusqu’à sa fermeture ses vétustes locomotives à vapeur. La ligne Taina est totalement fermée le 15 mai 1978 en raison d’une exploitation lourdement déficitaire aggravée par la crise économique globale que traversait l’Empire. Il faut remarquer que la ligne n’a jamais vraiment rencontré son public, les centaines voir milliers de voyageurs attendus par jour ne seront jamais atteint. Une des explications possibles sont les multiples ruptures de charge nécessaire pour rejoindre le sanctuaire de Taina en train, en effet, que l’on arrive dans les gares de Mozui de Mozui ou Kikomoto, il faut forcément emprunter la ligne du Lac de Kikomoto avant de pouvoir embarquer sur la très courte ligne Taina.

Pire encore, si l’on arrive en Shinkansen à la gare de Nouvelle Mozui, il faut compter 3 correspondances une entre le Shinkansen Taiyo Kin et la ligne Kin, une deuxième entre la ligne Kin et la Ligne du Lac de Kikomoto en gare de Mozuishi et une troisième en gare de Tokawa entre la Ligne du Lac et la Ligne Taina.

Projets de reconversion :

Faute de moyens et en attente d’une hypothétique remise en circulation des trains sur la ligne Taina, les voies ferrées et tous les appareils de voies ne sont pas démontés, il en est de même pour les passages à niveau . Les haltes ne font l’objet d’aucun démontage, pas même les fiches horaires qui restent placardées dans les abris voyageurs. La Représentation préfectorale et la Délégation municipale ont lancé plusieurs projets pour transformer les emprises ferroviaires, en 1985 la Délégation souhaite récupérer les gares pour se dégager un peu de foncier en vue de relancer la construction immobilière dans la ville. En 1991, la Représentation imagine transformer les voies ferrées en voie d’accès rapide au sanctuaire de Taina. Ces voies devaient décharger les rues pavillonnaires des environs du sanctuaire et desservir de nouveaux parkings, en lieu et place des anciennes gares, pour absorber la hausse constante du nombre de pèlerins et fidèles venant en voiture au sanctuaire.

Toutefois, le sanctuaire de Taina est considéré comme un “trésor impérial”, le plus haut niveau de protection pour un bien culturel matériel, il est donc la propriété du Département impérial de la Culture, qui est également garant du cadre de vie et des alentours de ce trésor. En 1992, la directrice de la Culture, la princesse Ayana Burujoa, vient en personne à Mozui annoncer que son administration refusera tout nouvel aménagement routier pour desservir le sanctuaire Taina. Elle affirme que le sanctuaire de Taina doit avant tout rester un lieu de spiritualité réservé aux moines et à des pèlerins ayant parcouru les historiques chemins de pèlerinage. Elle considère que faciliter l’accès en voiture au sanctuaire serait en contradiction avec l’esprit même du sanctuaire, en revanche, elle ne se prononce pas sur les accès en train. Le projet de voie rapide et de parking est donc abandonné le jour même de la visite princière.

Les autorités locales n’abandonnent pas pour autant leur projet de reconversion des emprises foncières de l’ancienne ligne Taina. En 1999, la Délégation municipale imagine un projet de “vélo tourisme”, un concept inconnu au Nazum et imaginé dans les pays germano-scandinaves d’Eurysie du Nord. Ainsi, les 8 kilomètres de ligne ferroviaire, du lac Jishin jusqu’aux abords du sanctuaire Taina seraient transformés en piste cyclable avant tout destiné à l’usage local mais aussi plus touristique. Les gares de terminus auraient été, dans un second temps, transformées en petite auberge authentique pour touristes. Ce projet est approuvé par le Département de la Culture mais finalement abandonné à quelques jours du début du chantier après qu’un journal local a révélé une étude financière indépendante. Elle démontre que le coût de la création de la piste cyclable serait démesuré par rapport aux gains touristiques espérés et à la faible utilisation par les locaux, qui utilisent déjà des solutions de mobilités douces comme le bus. Le représentant préfectoral admet de nombreuses erreurs et le vice-représentant de Kikomoto aux comptes publics est démis de ses fonctions quelques jours plus tard par la Présidente du Comité des Préfectures d’Ylma Jinu.

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Un alignement de portiques Torii près de la gare de Katatama

Reconversion ferroviaire :

Finalement, face aux différents échecs de projets immobiliers, routiers ou cyclables, la Représentation préfectorale de Kikomoto se rapproche des CIB et plus particulièrement de sa filiale Chemins Impériaux du Burujoa d’Engan afin de réouvrir la ligne au trafic des trains commerciaux. En 2003, un protocole de réouverture de ligne est signé entre l’administration préfectorale et les tous puissants CIB, qui créent pour l’occasion la société publique locale, CIB Kikomoto. La succursale préfectorale a vocation à exploiter tout un panel de transports en communs locaux tels que les bus de Kikomoto, Mozui et des îles Oki ou encore les trains des lignes Taina et Kikisu. Elle est chargée de renouveler les voies et équipements ferroviaires, remettre en service les gares et haltes et exploiter les rames. Les investissements sont en grande partie assurés par la Représentation préfectorale, grâce à l’aide d’un fond de concours du Département des Transports. Par ailleurs, l’administration de la préfecture est chargée de définir les grandes lignes de l’exploitation : horaires, tarifications, services… mais aussi de combler un éventuel déficit d’exploitation de CIB Kikomoto.

Le projet est officiellement lancé le 7 mai 2004, plusieurs mois d’études sont nécessaires afin de poser un diagnostic technique exact des travaux à effectuer. Les travaux, à proprement dit, ne commencent que l’année suivante, en mars 2005, avec la régénération complète du ballast et des voies. Afin d’opérer de fortes économies, les rails ne sont pas neufs mais proviennent d’une opération de renouvellement des voies, ayant lieu tous les 20 ans, de la ligne de Shinkansen Taiyo Kin qui traverse la préfecture. Sur cette ligne “légère” et à faible fréquence, les voies devraient encore pouvoir servir pendant 30 ans. Après cela, la ligne a été électrifiée, par l’installation d’une caténaire de 1.500V en courant continu, et dotée d’un nouveau système de signalisation numérique. Enfin, les gares ont été profondément rénovées mais les 3 haltes ont seulement été “rafraîchi” afin de réaliser quelques économies.

Réouverture de la ligne :

Les travaux sont relativement longs en raison d’un milieu urbain contraint et situé dans le périmètre de protection maximal d’un trésor impérial du Département de la Culture en raison du caractère extrêmement sacré du sanctuaire de Taina. La phase la plus longue a été l'électrification, les services culturels ayant demandé plusieurs adaptations des plans initiaux pour rendre les caténaires plus esthétiques. Le plus délicat a été la construction de la sous-station électrique, l’acquisition des terrains ayant duré près de deux ans, un litige avec une association locale de préservation de la nature ayant remonté jusqu’au Tribunal National d’Ikyeong.

La ligne est finalement mise en service, avec plusieurs mois de retard principalement dû à la procédure judiciaire sur la sous-station électrique, le 1er mars 2010. Lors du premier mois, un aller-retour omnibus est proposé chaque heure entre 7 heures et 19 heures, le 3 avril, le service est étendu de 6 heures à 22 heures, toujours avec la même fréquence grâce à la livraison d’une deuxième rame. En attente de la hausse de la fréquentation des trains et de la livraison de 2 nouvelles rames, le programme reste inchangé pendant près d’un an. Finalement, le 4 septembre 2011, la livraison d’une 3e rame permet d’abaisser la fréquence en heure de pointe, 6h30-9h30 et 15h30-18h30 à un train toutes les demi-heures, en outre certains trajets sont effectués en unité double. Le 7 juin 2012, la 4e rame est livrée.

Circulations :

Le programme de la circulation du Mini-Métro actuellement en vigueur a été introduit le 7 mai 2013 pour rentrer dans le cadre de la charte “Mini Métro”.

Le mini métro commence son service à 4h30 tous les matins et le termine à 23h30 tous les soirs. La “nuit” de 4h30 à 6h et de 22h à 23h30, un omnibus par sens est proposé toutes les 30 mins ; de 6h à 9h et de 16h à 19h, un omnibus est proposé toutes les 15 mins et un direct toutes les 15min, soit un train toutes les 7 mins 30 par sens ; de 9h à 16h, un omnibus est proposé toutes les 12 mins.

En temps normal, toutes les circulations sont assurées en unité simple. Lors de certaines heures de pointe, ou lors d’événements au sanctuaire de Taina, certaines circulations sont assurées en unité multiple. A titre exceptionnel, comme les jours fériés à caractère religieux, le bureau central des CIB Engan envoie du matériel sur le Mini métro afin de renforcer exceptionnellement l’offre. Ce matériel est souvent composé de petites automotrices diesel venant des autres lignes de Kikomoto, comme des lignes rurales Kikisu ou Sanko.

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Voitures 7000 en unité multiple près de la gare de Haruka

Tracé de la ligne :
Tokawa : 0 km
Takakama : 2,8 / 2,8 km
Haruka : 2 / 4,8 km
Yamanaha : 1,6 / 6,4 km
Taina : 1,9 / 8,3 km

Tarifs :

Pour affirmer son caractère de ligne à vocation urbaine, le Mini Metro a été intégré financièrement au réseau de bus de la Délégation de Mozui. Ainsi, quel que soit le trajet effectué, il peut l'être avec un ticket de bus à 1,2$, les abonnés peuvent également librement emprunter le Mini Métro. Les correspondances avec un même ticket entre un bus urbain et le Mini Métro sont également possibles.

Par ailleurs, en cas de correspondance avec la Ligne du Lac de Kikomoto, le prix à payer est forfaitairement de 1$, quel que soit la gare de descente ou de montée, du moment qu’il y a une correspondance en gare de Tokawa. Par ailleurs, en cas de longue correspondance depuis le Shinkansen Taiyo Kin, aussi bien en gare de Nouvelle Izumo que de Kikomoto, le trajet sur Mini Métro est offert.
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