11/05/2017
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Graphiques et autres outils du Drovolski - đŸ›ïž Institut des Poids et Mesures du Drovolski

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Institut des Poids et Mesures du Drovolski

Institut des Poids et Mesures du Drovolski


Le Drovolski est un petit pays d’Eurysie de l’Est, mais trĂšs organisĂ© et dirigiste. Il demeure un pĂŽle de productivitĂ© mondiale, du moins selon les adeptes du rĂ©gime. Fort d’une bureaucratie hiĂ©rarchisĂ©e et d’une justice trĂšs active, le Drovolski a toujours eu besoin d’informations. En effet, contrairement Ă  de nombreux pays oĂč le pouvoir exĂ©cutif gouverne par doctrine, le Drovolski gouverne par la justice, ce qui exige des faits et donc des analyses permettant d’avoir une vision complĂšte du monde. Dans cette optique, dĂšs le dĂ©but de son histoire moderne, le Drovolski a fondĂ© l’Institut des Poids et Mesures, un institut Ă  la portĂ©e scientifique, diplomatique et Ă©conomique. Sa mission premiĂšre est d’informer la cour impĂ©riale sur le monde et de matĂ©rialiser ces informations.

Par charitĂ© et bontĂ© d’ñme, Mesolvarde, la citĂ© humaine, offre les services de l’institut au monde pour le plaisir de tous :

Lien vers l'Institut des Poids et Mesures du Drovolski
4044
1
Charge de travail - Limite de bon fonctionnement des unités de production humaine
2
Valeur centrale - Indicateur du bon fonctionnement de Salomon

Le Drovolski n'est pas trĂšs friand de pouvoir exĂ©cutif et l'a rĂ©duit Ă  une forme de soumission totale Ă  la magistrature. Mais comment gouverner un pays sans exĂ©cutif ? Les juges ne sont pas des experts, ni en industrie, ni en Ă©conomie. Pour ce faire, les juges ont missionnĂ© les scientifiques afin d'intĂ©grer et de montrer leurs modĂšles Ă©conomiques pour constituer une base d'indicateurs intĂ©grables dans Salomon. Il en est sorti le modĂšle Ă©conomique APCI, le ModĂšle d’Ajustement des Prix et du Capital Investi. Son objectif est de piloter les prix de telle sorte que le capital investi conduise Ă  une rĂ©duction du prix de production par des investissements productifs.

Ce modĂšle repose sur de grandes hypothĂšses :
- Les prix d'exercice sont pilotĂ©s par l'État.
- Les entreprises sont socialisées, atomisées et soumises à une concurrence sur le prix de production.
- Les investissements sont productifs.
- Les biens sont semblables et ne sont pas dĂ©sirĂ©s en eux-mĂȘmes (matiĂšres premiĂšres, Ă©nergie, alimentation).

On introduit les grandeurs :
P : le prix d'exercice pilotĂ© par l'État
PP : le prix de production des sociĂ©tĂ©s d'État atomisĂ©es
CI : le capital d'État investi

On introduit les variables suivantes :
α : sensibilité du prix
ÎČ : Ă©lasticitĂ© du coĂ»t de production
σ : facteur de volatilitĂ©
Îł : taux d'ajustement du capital

Le modĂšle se positionne strictement aprĂšs une reprise de Juglar, soit aprĂšs une avancĂ©e technique susceptible de rĂ©duire le coĂ»t de production par l’investissement. L'objectif de l'APCI est de proposer une stratĂ©gie pour rĂ©duire le prix d'exercice au plus proche possible du prix de production en attendant une nouvelle avancĂ©e technique, tout en conservant une rĂ©serve pour une Ă©ventuelle chute des gains.



Formules
SystÚme des équations d'APCI, LHV ©

On propose que la variation du capital investi soit proportionnelle Ă  la marge industrielle opĂ©rĂ©e par l'État, soit la diffĂ©rence entre le prix d'exercice dĂ©fini par l'État et le prix de production. Ce produit est ensuite multipliĂ© par la sensibilitĂ© du prix liĂ©e Ă  l’investissement, reprĂ©sentant la capacitĂ© de l'État Ă  allouer le gain Ă  l'investissement.

La variation du prix de production est proportionnelle Ă  l'opposĂ© de la variation du capital. En effet, c'est bien l’investissement et non la somme qui permet de rĂ©duire le coĂ»t, le tout multipliĂ© par l'Ă©lasticitĂ© des coĂ»ts de production, soit la capacitĂ© de l'innovation ou de l'effet d'Ă©chelle Ă  rĂ©duire les coĂ»ts.

Enfin, la variation du prix d'exercice, dĂ©finie par l'État, est modĂ©lisĂ©e comme une gaussienne centrĂ©e sur le prix de production et alignĂ©e sur la diffĂ©rence entre le prix d'exercice et le prix de production, de telle sorte Ă  encourager l'alignement des prix avec un effet accĂ©lĂ©rateur, sans que la variation des gains productifs ne soit effacĂ©e par la baisse des prix.

L'inflation, qui rĂ©duit la part active du capital et augmente les prix, est simplement introduite pour ĂȘtre gommĂ©e.

Ainsi, si les prix sont rĂ©gulĂ©s par l'État suivant ce modĂšle, les investissements vont croĂźtre jusqu'Ă  un maximum dit efficient, atteignant le prix minimal acceptable pour les industriels et les particuliers. Cela permet d’attendre une nouvelle baisse du coĂ»t de production grĂące Ă  une amĂ©lioration technique des procĂ©dĂ©s, gĂ©nĂ©rant ainsi le capital nĂ©cessaire pour financer une nouvelle campagne.

Le rĂŽle de Salomon est d'Ă©valuer la valeur des paramĂštres du systĂšme et de piloter l'appareil industriel et Ă©conomique pour le suivre. L’objectif est de permettre un investissement efficient et collectivisĂ©, juste, donnant Ă  terme les gains productifs directement aux unitĂ©s de production humaines par la rĂ©duction du prix, financĂ©e par l'Ă©cart gĂ©nĂ©rĂ© par l’avancĂ©e technologique.

Le modÚle est appliqué à l'ensemble des procédés industriels, en résultant une valeur centrale, un agrégat qui témoigne de la bonne réalisation de la régulation de l'économie et des procédés par le modÚle APCI. Les deux points principaux de régulation sont :

- L'augmentation du paramĂštre ÎČ dans les procĂ©dĂ©s industriels, c'est-Ă -dire la performance des investissements : mieux exploiter les investissements (par exemple, choisir la meilleure mine, le meilleur procĂ©dĂ©, etc.).
- L'augmentation de σ pour rĂ©duire la volatilitĂ© des prix et assurer un bon suivi des courbes ainsi que des variations plus Ă©talĂ©es dans le temps, permettant ainsi de gĂ©nĂ©rer davantage de capital pour la nation.

Le tout s’ajoute au pilotage des prix pour suivre P(t).

APCI
Exemple du modĂšle APCI sur la production du fer au Drovolski

APCI
4735
HKEX


Dans un monde en constante Ă©volution, il est crucial d’aborder les questions politiques sous l’angle Ă©conomique. C’est pourquoi le Drovolski tend la main aux puissances du monde par le biais du commerce. Il est en effet du devoir de chacun de coopĂ©rer avec ses voisins pour le bien commun et pour favoriser la croissance vers un monde plus industrialisĂ© et structurĂ©.

Dans cette optique, le Drovolski rassemble dĂ©sormais l’ensemble de ses dispositifs Ă©conomiques en une seule entitĂ©, dans le but d’informer, de structurer et de renforcer la cohĂ©rence du systĂšme Ă©conomique autour de normes claires. Ainsi, nous devrions ĂȘtre en mesure de bĂątir un Ă©cosystĂšme commercial cohĂ©rent, fondĂ© sur des standards communs, permettant l’émergence d’une vĂ©ritable coopĂ©ration industrielle, commerciale et Ă©conomique. Cette dynamique vise Ă  rassembler l’ensemble des puissances mondiales autour du dĂ©veloppement humain et de la diffusion des savoirs techniques.

L’HKEX souhaite s’imposer comme le moyen le plus simple et le plus efficace pour les puissances Ă©conomiques de coopĂ©rer, grĂące Ă  une normalisation des relations entre leurs agents Ă©conomiques et Ă  une transparence accrue. Ce cadre vise Ă  garantir une allocation efficiente des capitaux Ă  l’échelle mondiale.

L’HKEX prĂ©voit le dispositif suivant :



Engagements dans le cadre de la coopération économique et commerciale


La Partie reconnaĂźt et s’engage Ă  informer, sans altĂ©ration ni distorsion, l’Organisation Mondiale du Commerce d'ÉcoMondus (OMCE, dite ÉcoMondus) ainsi que l’Organisation Mondiale pour la StratĂ©gie de DiploMondus (OMSD, dite DiploMondus) de toute Ă©volution significative de sa situation politique, Ă©conomique, monĂ©taire ou diplomatique.

Elle reconnaĂźt qu’un engagement issu d’un traitĂ© commercial est juridiquement contraignant, et qu’une rupture unilatĂ©rale constitue un acte coercitif entraĂźnant des consĂ©quences sur le plan des relations internationales et de la confiance entre les Parties.

Elle dĂ©clare se conformer Ă  la Convention MonĂ©taire de CoopĂ©ration Économique, dans l’ensemble de ses dispositions.

Elle reconnaĂźt la notion de brevet, ainsi que celle de propriĂ©tĂ© intellectuelle, et s’engage Ă  assurer leur protection effective sur son territoire.

Elle reconnaĂźt la notion de fiscalitĂ© comme Ă©lĂ©ment lĂ©gitime de souverainetĂ© nationale et de coopĂ©ration internationale, et coopĂšre avec les autres États de maniĂšre Ă  ne pas constituer ni favoriser un rĂ©gime assimilable Ă  un paradis fiscal.

Elle reconnaĂźt la hiĂ©rarchie des normes selon l’ordre suivant : constitutionnelle, conventionnelle, ordinaire, contractuelle.

Elle reconnaĂźt l’existence, la lĂ©gitimitĂ© et la conformitĂ© du droit contractuel, et s’engage Ă  respecter tout contrat, y compris lorsque son exĂ©cution lui est dĂ©favorable, sauf en cas d’illĂ©galitĂ© manifeste.

Elle reconnaĂźt la lĂ©gitimitĂ© des produits Ă©changĂ©s et s’engage Ă  se conformer aux lois en vigueur dans les pays avec lesquels elle commerce, notamment en ce qui concerne les marques, les rĂ©gulations sur les produits illĂ©gaux ou interdits, ainsi que les normes applicables.



Annexe



Est entendu comme brevet tout titre industriel confĂ©rant un privilĂšge particulier en matiĂšre d’activitĂ© Ă©conomique, qu’il s’agisse d’un rattachement ou d’une invention.

Est entendu comme coopĂ©ration la transmission des informations comptables et la transparence bancaire Ă  l’initiative d’un agent fiscal Ă  destination d’un administrĂ©.

Est entendu comme constitutionnel l’ensemble des textes fondamentaux rĂ©gissant le fonctionnement de l’État.

Est entendu comme conventionnel l’ensemble des textes dĂ©finissant un cadre lĂ©gal et contraignant entre États ou organisations supranationales.

Est entendu comme ordinaire tout texte de loi ayant une application pratique.

Est entendu comme contractuel le droit attachĂ© Ă  un accord entre parties en vue d’un engagement. Il est convenu que cet accord prĂ©voit la lĂ©gitimitĂ© du contrat sur la base de la loi et de l’information des parties.

Il est convenu que le droit applicable Ă  un partenaire dans un Ă©change commercial est celui en vigueur sur son propre territoire. Aucune extraterritorialitĂ© du droit ne peut ĂȘtre prĂ©vue.

Est entendu par juridiquement contraignant qu’une fois signĂ©, le respect de l’accord est obligatoire et que sa violation entraĂźne une rĂ©ponse coercitive.

Est entendu comme fiscalitĂ© la levĂ©e d’impĂŽts, et comme coopĂ©ration l’engagement de ne pas adopter de comportement fiscalement prĂ©dateur.

Est entendu que la libertĂ© de circulation des capitaux n’est pas contrainte ni rendu obligatoire par les engagements susmentionnĂ©s.

Est entendu que le libre-Ă©change n’est pas contraint ni rendu obligatoire par les engagements susmentionnĂ©s.


On peut parler de normes ou de conventions HKEX, ou simplement de conformité HKEX, pour interroger une nation sur sa position légale en matiÚre de commerce. La non-adhésion sera présumée.


Classification

La HKEX Ă©tablit trois statuts pour les États ou organisations, en fonction du respect des dispositions qu’elle prend en compte ainsi que des prĂ©cĂ©dents juridiques. Ces statuts sont les suivants :

Vert : Conventionné
L’État ou l’organisation est conventionnellement intĂ©grĂ© au commerce sur la base des rĂšgles de la HKEX.

Orange : Compatible
L’État ou l’organisation est lĂ©galement compatible avec le commerce selon les standards de la HKEX.

Rouge : Incompatible
L’État ou l’organisation prĂ©sente soit une incohĂ©rence juridique, soit une incompatibilitĂ© lĂ©gale avec la HKEX, que ce soit sur la base de prĂ©cĂ©dents ou d’études juridiques.


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