Everia-Novyavik une première rencontre tant attendue

Eleander VII Velpe discutait sur le tarmac avec l'agent Onix en attendant l'arrivée de l'avion en provenance de Novyavik. Cette rencontre étais très attendu en Everia, car Novyavik étais un pays très proche de notre nation n'avait étonament pas encore été rencontré en personne par un membres du conseil impérial. L'objectif de cette rencontre était de raprocher les deux pays et d'organiser les futurs relations et accords Evrio-Novais dans le but d'approfondir les relations déjà excellentes.

Eleander VII Velpe : As tu bien entraîné ton Russe ?

Onix : Oui, je l'ai entrainé pour que mon incapacité à comprendre un traitre mots lors d'une rencontre ne se reproduise plus.

Eleander VII Velpe : Ты уверен, что ты его достаточно натренировал?

Onix : Да, я могу вас уверить, что мой уровень достаточный.

Le Président de la Seconde République de Novyavik, qui c'était symboliquement déplacé en personne en raison de la confiance que la Seconde République avait envers l'Everia, en effet, bien qu'aucune rencontre n'ait été effectuées entre les deux états, les relations étaient excellentes et les deux états avaient la volonté de renforcer cette confiance mutuelle. L'avion était en route depuis déjà plusieurs heures et allait bientôt atterrir. Le Président pensais de l'Everia un pays intéressant pour les relations diplomatiques qu'il partageait avec la Seconde République, mais aussi de sa position en Aleucie qui en faisait une porte de Novyavik vers le continent.

Le Président de la Seconde République de Novyavik sortit de l'avion, affichant un sourire satisfait. Il descendit alors les premières marche de l'escalier qui partait de l'avion jusqu'au sol. Lorsqu'il fut à terre, il s'approcha des représentants de l'Everia et salua l'Empereur Alexander VII Velpe et l'agent.
Président Alexeï Alexeïevitch Rurikov : Приветствую вас! C'est un plaisir de vous rencontrer en personne, j'espère que cette rencontre marquera entre nos nations un avenir de coopération et d'échange plus vaste qui permettra au mieux de profiter à nos deux états.
Président Alexeï Rurikov :

En Russe, car Eleander VII Velpe avais un niveau de langue A3 en russe selon l'échelle Everienne de l'institut des langues. Echelle allant de E1 à A5.

Eleander VII Velpe : De même, cette rencontre va nous permettre de remettre à jour nos accords déjà en place. Je suis heureux de vous rencontrer pour la première fois. Parlons affaires avez vous des produits Everien qui vous intéresserait ? J'ai été informé que vous vous êtes récemment intéressé au lithium saviez vous que nous en produisions ? Nous serions ravie de pouvoir vous en fournir à des prix avantageux.

Le Président de la République fut étonné que la rencontre soit aussi directe, cependant, il n'en dit pas un mot et préféra garder la remarque pour lui. Il écouta donc le russe quasi parfait de l'empereur et répondit :

Président Alexeï Rurikov : Bien entendu, ce serai un plaisir de parler commerce avec vous majesté. A vrai dire, l'Everia et Novyavik sont de grands partenaires mais malgré tout, leurs relations commerciales méritent d'être développées, je suis d'accord avec vous. Nous avions en effet parlés par le passé d'un achat de Lithium par la Seconde République, cependant, cet achat n'était que périodique, ne permettant pas un renouvellement chaque années. Quand à la recherche par notre industrie de lithium, il semble que Novyavik dispose déjà d'un fournisseur plus proche et dont des réductions ont été négociées. Nous ne pensons pas avoir besoin de plus de lithium, mais il serait possible de négocier tout de même sur le sujet pour une raison évidente : Si le réseau du fournisseur actuel est saturé, il faudrait bien en trouver d'autres... Vous êtes donc libres d'entamer des négociations sur le sujet.

Président Alexeï Rurikov :

L'agent Onix s'approcha pour lui faire un remarque sur ce début de rencontre fort précipité. Alexeï Rurikov pu entendre quelque mot en russe : Je sais que vous êtes enthousiaste... ...attendez... ...commençons par nous diriger vers le convois. En effet malgré le calme apparent de l'Empereur Alexeï Rurikov pouvait sentir un certain enthousiasme un peu trop présent. Après que l'agent Onix se soit légèrement éloigné le président du conseil impérial repris sont calme. Maintenat avec un calme pas seulement apparent il s'adressa de nouveau vers Alexeï Rurikov.

Eleander VII Velpe : Je m'excuse pour ce début de rencontre un peu abrupte, je vous invite à vous dirigé avec nous vers le convois.

Le groupe commença à se dirigé vers les voitures qui patientais leurs arrivé. Eleander VII Velpe recommença à parler.

Eleander VII Velpe : Voyez vous, l'Everia rencontre un petit problème et j'espérais que vous pourriez êtres d'une grande aide, néanmoins je m'excuse d'avoir été aussi brusque sur ce début, ce n'étais pas mon intention et j'espère que cela ne vous à point troublé. Voici notre problème, nous avons jusqu'à maintenant réussis à accumuler une forte somme d'argent afin de développé le pays ce qui est en soit une chose excellente. Mais cela nous à fait rencontré un problème, nous n'avons que très peu d'acheteur pour les produit Everien et investir de nouveau sans avoir trouvé d'acheteur un tant soit peu régulier risque de causer du tort à notre économie, c'est pourquoi, et je m'en excuse, je n'ai pu retenir mon enthousiasme face à la possibilité de négocié avec vous des ventes afin de réglé ce problème. En effet vous êtes un très grand partenaire commerciale de l'Everia nous serions très heureux de pouvoir développé davantage nos échange et accord avec votre pays.

Le Président de la Seconde République de Novyavik écouta attentivement l'Empereur d'Everia, il pris alors la parole :

Alexeï Alexeïevitch Rurikov : Il est évident que je vous pardonne majesté, cette erreur diplomatique est bien loin d'être d'une très grande gravité. Je me penche donc sur votre proposition, en effet, Novyavik est intéressé par des échanges économiques plus intenses entre nos nations. Vous figurez à l'heure actuelle en troisième place dans nos échange commerciaux derrière l'Altrecht et Antares. Je pense que vous sachez que Novyavik rencontre le même genre de problème que vous, la Seconde République ayant atteint une croissance exceptionnelle : En seulement une année, une croissance de 40% a été enregistrée, nous permettant ainsi de nous positionner en tant que nation d'avenir. Mais tout comme vous, nous avons du mal a exporter certaines ressources. Je tient donc à vous communiquer que nous sommes parfaitement ouverts à des négociations sur le sujet.
C'est sur ces mots que le Président de la Seconde République laissa la parole à son homologue everien, attendant sa réponse.



Président Alexeï Rurikov :

Pendant qu'ils commencèrent à monter dans le convois, l'empereur répondit.

Eleander VII Velpe : Je serais ravi que nos deux pays intensifie mutuellement leur relation commerciale, je vous propose donc d'initier les échanges suivant, qui d'après mes informations correspondent aux besoins et ressources respective de nos deux pays :

Novyavik--->Everia

Sarrasin, Seigle, Groseilles, Fraises

Everia--->Novyavik

sucre, cacao, café, Maïs, fruit exotiques, Fromages frais, Soufre

Je pense que l'instalation de ses échanges entre nos deux nation serait un moyen fort de renforcé nos relations. De plus ces nouveaux échanges permetrons un nouveau élans dans nos économie, ce qui nous seras mutuellement bénéfique. Toutefois mes sources peuvent ne plus être d'actualité ou erroné, dans ce cas je vous laisse me corrigé sur cet offre afin d'obtenir un échange qui conviennes à nos deux pays.

L'Empereur savais parfaitement que la volonté de l'Everia était d'accentuer nettement ses relations commerciales avec Slaviensk, au point d'en devenir le premier partenaire commercial. L'empereur réfléchis quelques instants à la proposition que lui faisait Eleander VII.

Alexeï IV : Je me réjouis sincèrement de votre proposition que vous nous faites, en effet, approfondir nos relations déjà excellentes n'est qu'une bonne nouvelle pour nos deux états. Concernant cette échange, je suis entièrement favorable à l'accepter, en effet, nous rencontrons le même problème qui est la difficulté à vendre et a acheter les ressources nécessaires ou non à nos économies.
Ce que vous nous proposez correspond globalement aux besoins de Slaviensk et a ses surplus, ce qui ne fait que me réjouir quand aux importantes relations commerciales que nos deux nations peuvent avoir. J'accepte votre proposition avec plaisir. Sur ce, je vous laisse la parole majesté.
Ensuite, j'ai appris que le pacte de non-agression entre nos deux nations est arrivé à son terme. Il serait intéressant, inutile mais surtout symbolique, de le rallonger. Qu'en dites vous ?

Président Alexeï Rurikov :

Eleander VII Velpe réfléchi un très court instant, il semblait plu par les dernières paroles de Alexeï Rurikov. Il sourit légèrement à son homologue, fit un petit signe à un membre du personnel et lui répondit.

Eleander VII Velpe : Je suis ravie de savoir que vous acceptez cette proposition, je suis sûr que cela bénéficiera grandement pour nos deux économie et nous permettra de relancer le développement dans nos pays. En ce qui concerne le pacte de non-agression je suis tout à fait prêts à le renouveler, mais peut-être souhaiteriez vous l'allongé ou le modifié afin de renforcer la collaboration et les relations de confiances entre nos deux états ?

Le Président écouta attentivement la prise de parole de l'Empereur, il pris alors la parole :

Président Alexeï Rurikov : J'ai pensé pertinent de prolonger ce pacte de non agression, signe d'une amitié entre nos états mais aussi garant d'une non intervention mutuelle. Je pensais à modifier ainsi que renouveler le pacte à nouveau pour une année, sauf si vous y voyez un problèmes, sachez également que je suis ouvert à toute contre-proposition de votre part. Slaviensk disposant d'une armée jeune mais en pleine croissance, la votre également, ce pacte de non agression est, selon moi, un accord purement symbolique au vu de l'inutilité qu'il représente. En effet, qui croirait une quelconque agression entre nos états ? Personnes, les relations sont excellentes, et les deux cotés ne s'en cachent pas. Cependant, ce qui est de l'alimentation de réseaux armées ou de quelconques opérations spéciales qui viseraient un sabotage ou une attaque indirecte, rien n'a été signé, et là après une potentielle dégradation des relations ou d'une rude concurrence commerciale, il est possible selon moi qu'un des deux camps finisse par en user. Je pense donc étendre à ces points le pacte, non pas que nous craignons une agression de votre part, ce qui est purement illogique, mais que nous craignons donc des escarmouches indirecte par services de renseignements interposés. Encore que cela ne soit que peu plausible.
Président Alexeï Rurikov :

L'Empereur comprenais le point de vue d son homologue, il repris donc la parole après avoir écouter attentivement son interlocuteur.

Eleander VII Velpe : Tout d'abord je suis tout à fait ouvert à un renouvellement du pacte de non-agression, car en effet il vient de se terminé et que come dit il n'y à pas grand risque qu'un conflits éclate entre nos deux nations qui on de si bonne relation. Mon pays est donc tout à fait en accord pour faire un renouvellement d'un an ou plus si vous le souhaitez, ensuite je suis d'accord avec vous que l'impact symbolique de ce traité est bien plus grand que ses effets réels et sont utilité, mais cette symbolique donne tout son sens à ce traité et permet d'améliorer non seulement la relation entre nos deux états mais aussi entre nos deux populations. En se qui concerne vos propositions de modifications, je suis apte à vous concédé que en effet le traité ne concernait pas ce type d'aggressions et je suis sur que pour éviter toute tension et crainte entre nos deux pays nous pourrions rajouter une ou plusieurs closes permettant de limiter, contrôlé voir prévenir la moindre, attaque d'influence, de sabotage, de création de résaux clandestin ou d'opération secrète et spéciale. De ce fait je suis prêt à, avec vous, modifier le traité afin de l'adapté à ces potentielles menace indirecte ou cachée entre nos états, qui je suis d'accord, comme vous l'avez dit très peu probable et difficilement imaginable. Pour finir je vous proposerais donc d'aller plus en signant en même temps ou voir de l'inclure dans le traité actuel que l'on s'apprête à renouveler un pacte de soutient militaire matériel en cas de conflit. Cela s'articulerais autours d'une garantie d'aide matériel durant un conflit sans avoir aucune obligation de s'en mêlé directement, tout en renforcent nos liens diplomatiques et militaires, qu'en pensez vous ?

Le Président Alexeï Rurikov écouta attentivement la prise de parole de son homologue, il réfléchis quelques instants après la fin de cette prise de parole à sa réponse : Pour lui, l'Everia était un état équivalent à Slaviensk dans sa puissance militaire, bien que à peine inférieure. De plus, le budget alloué à l'armée en Everia est plus faible qu'en Slaviensk, mais également équivalent. Et pour finir, l'Everia était soutenue par d'autres états comme Karty et disposait de relations plus qu'excellentes avec Slaviensk. Bien que Slaviensk était protégé par des puissances comme Teyla, il était pour l'Empereur assez facilement imaginable de créer un tel traité entre Slaviensk et l'Everia, mais se demanda tout de même si les deux états, si éloignés et si secondaires à l'internationale pourrait réussir à acheminer la matériel sur de si longues distances.
Alexeï Rurikov : Majesté, je vous remercie tout d'abord d'avoir accepté notre proposition de renouvellement et de modification du pacte de non agression. Ensuite, concernant votre proposition d'alliance militaire sur un plan matériel uniquement, semble pertinente dans le contexte où sont nos deux états, au vu des bonnes relations dont nous disposons, et de notre puissance mutuelle qui est équivalente. Mais je me demandais justement, notre puissance militaire étant faible, sera t'il techniquement possible d'acheminer notre matériel militaire ? En effet, nous avons appris les récentes perturbations du trafic maritime sur le détroit en raison de mines icamiennes. Je me demandais donc si nos armées seraient capable d'acheminer le matériel entre Slaviensk et l'Everia, voyez vous ?
Le Président laissa alors la parole à l'Empereur d'Everia. L'accord l’intéressait, mais des questions étaient pour lui à approfondir avant d'entreprendre un tel accord. Il serait malheureux de signer ceci alors que les convois seraient immédiatement détruits.

Président Alexeï Rurikov :

Eleander comprenais les préoccupations de son homologue slavis, en effet le récent incident du détroit d'Icamie pouvait laisser penser à de possible empêchement régulier sur les lignes d'approvisionnements en armes. Bien que en réalité ces problèmes n'avait presque aucune chance de ce reproduire, le conseil impérial cherchais tout de même des solutions pour avoir d'autres voies disponibles. Pour l'instant plusieurs solutions on pu être imaginé mais aucune concrétisé pour l'instant.

Eleander VII Velpe :Je comprends tout à fait vos inquiétudes, il est vrais que nos nations ne sont pas de grandes puissances disposent de grandes forces maritimes et aériennes permettant de garantir l'intégrité des convois pour tous les trajets. Mais il existe des solutions, de part les alliances par exemple, avec karty qui peut nous fournir occasionnellement une escorte si le besoin en est impératifs ou avec l'Antares permettant d'effectuer des escales maritimes ou aériennes pour parcourir les grandes distances qui nous sépare. Cette distance ne dois surtout pas être un frein à nos relations diplomatiques, comerciales et militaires. En ce qui concerne l'incident en Icamie ce qui nous empêche réellement de passer le détroit est la diplomatie avec l'Icamie et non les mines, nous souhaitons garder des relations les plus amicales possibles malgré les différents incidents qui ce sont produits, qu'ils soient d'ordre militaire comme celui ci ou culturels. Nous pouvons donc vous garantir que nos navires ne seront pas détruits, capturés ou interceptés facilement. En ce qui concerne les vôtres j'ai reçu l'information que votre flotte étais un peu moins développer que la notre, je vous propose donc d'y remédier en vous proposant de vous en vendre à des prix moindres uniquement dans le contexte de cette accord, bien sur ne voyez pas la une atteinte à la puissance de vos armées. Cette offre à l'unique but de garantir les bonnes relations et liaisons entre nos deux pays.

Le Président de la République réfléchi quelques instants. Il avait beaucoup réfléchis à ceci alors qu'ils réfléchissait. L'accord qu'il s'apprétait à proposer dans sa prochaine déclaration serait historique, et comportais des risques au vu de l'actualité everienne comme slavis. Mais Alexeï en conclu que les relations entre Slaviensk et l'Empire d'Everia était bien assez fortes pour un accord d'une telle importance. Il pris alors la parole, sachant précisément ce qu'il allait dire.

Alexeï Rurikov : Vos explications sont satisfaisantes à mes yeux, je pense donc que je peux accepter votre proposition. Cependant, je pense que nos deux nations, bien qu'éloignées géographiquement, et que font fasse chacune à leur manières de fortes tensions, qu'établir une alliance militaire défensive entre Slaviensk et l'Everia serai plus que bénéfique pour nos deux armées. Nos relations sont excellentes, et cela est reconnu par nos deux états. En plus, nous sommes déjà étroitement liés sur le plan économique. Après tout, si déjà nous partageons notre défense nationale en matière de matériel, pourquoi ne pas assumer pleinement un pacte défensif ?
l laissa quelques instants pour que l'Empereur d'Everia assimile ce qu'il vient de dire, car le Tsar en était conscient, un tel accord marquerai un changement radical dans la géopolitique de l'Everia en Eurysie de l'est et de Slaviensk en Aleucie.

Alexeï Rurikov : Concernant le retard de notre flotte sur la votre, nous en sommes conscients, mais nous préférons nous concentrer sur le domaine de l'armement terrestre et aérien avant de se tourner vers la puissance de projection que représente la marine. Mais il est vrai qu'à l'avenir, il faudra pour Slaviensk la développer bien plus, et notamment en raison de l'importance stratégique que représente le détroit du pays gris. Sinon, je me vois dans l'obligation de refuser votre proposition de nous vendre de l'armement naval, car nous vous rappelons que Slaviensk est tenu par le pacte de Manticore, dans lequel est inscrit "que Slaviensk ne devra s'approvisionner en armement qu'auprès de son industrie nationale ou du complexe militaro-industriel Teylais. Ce qui, autrement dit, signifie que Slaviensk ne peut pas vous acheter des armes quelque soit son type.
Président Alexeï Rurikov :

Eleander VII Velpe réfléchis à la proposition Slavis, elle aurait été parfaitement logique et sensé vu la situation des deux pays si la distance qui les séparait était si grande, la logistique pour ceci serait d'un tout autre niveau qu'un simple soutient matériel, cela semblait peut réalisable pour les deux nations qui ne pouvait pas encore être considéré comme des puissances régionales. Pas maintenant mais bientôt peut être...

Eleander VII Velpe : Et bien, ce n'est en aucun pas parce que nous voulons pas un pacte défensif mais car comme vous l'avez soulignez nos forces respectives serait déjà en peine à pouvoir prodiguer un soutient matériel, il serait donc peu concevable que l'on puisse mutuellement fournir une soutient militaire. Et je comprend votre respect pour le pacte de Manticore, mais se traité semble, comment dire... "limitant" pour Slaviensk. Pour ce qui est des points déjà discuté, somme nous tomber sur une entente ?