Le pouvoir législatif est exercé par l’Assemblée des Cités, dont le nom évoque l’histoire des anciennes cités-États némédiennes. Elle est composée de 492 sièges attribués également entre les 12 grandes régions. Les douze cités qui acceptèrent la Ligue de Némédie sont devenues les douze principales régions du pays et portent pour chacune l’ancien nom de la cité ou elles si trouvaient afin de garder la mémoire historique dans le pays et leur place fondatrice dans le processus d’unification (Epidion, Korion, Myrida, Olythos, Ephedra, Naucratis, Erephos, Thyrène, Argéos, Phaidonia, Myrrhene, Helike).
La région de Athenastra jouit d’un statut particulier d’exception : elle appartient toujours à la Némédie, mais n’y est pas représentée à l’Assemblée des Cités. Elle dispose de son assemblée régionale propre, garantissant son autonomie. Ce statut permet à Athenastra d’administrer ses affaires internes, tout en restant sous la souveraineté de la Némédie.
Chaque régions se voit donc dotée de 41 représentants, respectant ainsi une égalité entre territoires, peu importe le nombre de citoyens qui y résident. Les décisions de l’Assemblée des Cités sont prises après débats, chaque représentant défendant l'intérêt de son territoire dans le souci du bien commun de la nation. L’assemblée à donc pour bute de voter des lois et débattre sur différent grand sujet
Les différentes régions de la Némédie ont une forte identité historique et culturelle, chacune jouant un rôle spécifique du royaume.
Epidion
Korion
Myrida
Olythos
Ephedra
Naucratis
Erephos
Thyrène
Argéos
Phaidonia
Myrrhene
Helike
La Némédie, rare terre, n’est pas divisée par des partis politiques, mais par des représentants des différentes régions, soucieux non pas de ce qu’ils sont mais de ce qu’ils assurent d’abord et avant tout pour leurs régions. Autrement dit et paradoxalement, c’est bien sans partis que peuvent être prise des décisions pragmatiques et de bon sens.
Un tel modèle du non-parti est un facteur essentiel de la stabilité de la société némédienne.