16/09/2016
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[Akaltie-Alguarena-Pontarbello] Sommet trilatéral de Kintan

1927
Sommet de Kintan | Akaltie - Alguarena - Pontarbello

Juntan Necahual accueillit les deux corps diplomatiques dans la cour du Palais de l'Union, et après les avoir fait monter dans la salle préparée pour le sommet, elle commença directement par le premier des sujets de discussion.

Je vous souhaite la bienvenue, chers représentants des nations voisines. Cela fait plusieurs années que mon cabinet a décidé du premier contact avec vos gouvernements, mais nous n'avons osé nous lancer dans de véritables échanges essentiels pour des pays voisins que maintenant. Cela est donc une raison supplémentaire pour que cette rencontre mène à beaucoup de projets trinationaux.

Le premier auquel nous avions pensé sont bien évidemment des liens physiques entre l'Akaltie et le Pontarbello et l'Alguarena, puisqu'il nous faut bien disposer d'un grand nombre de possibilités de transport pour que nos peuples se rapprochent un minimum. Pour le Pontarbello, nous pensions proposer la construction d'une nouvelle autoroute, reliant la cité akaltienne de Chaa et la ville pontarbelloise de Córteixo. L'Akayi, une région autonome de la frontière, pourrait également disposer de plus de routes vers la péninsule.
En incluant l'Alguarena, il faut plutôt mettre en place des liaisons par ferries, entre Kintan et les ports d'Aserjuco, de Santialche et de Jacalbulco par exemple, ainsi que bien d'autres. Nous pouvons doubler ceci de quelques lignes aériennes entre les plus grands aéroports, et les flux humains n'auront plus un seul frein à leurs déplacements entre les trois pays.

Les flux de marchandises ne sont cependant pas à oublier, aussi des facilités de transfert entre les îles alguarenos et l'Akaltie continentale sont à envisager, afin comme nous le disions par missives de constituer une porte vers l'Aleucie, et vice-versa en direction du Paltoterra. Les routes additionnelles que je proposais à l'instant sont également un bon moyen de renforcer l'importance des ports pontarbellois, qui ne seront ainsi pas que des points de ravitaillement isolés des autres pays autrement que par voie maritime.

Les couloirs du Palais de l'Union, décorés de fresques retraçant l'Histoire akaltienne.
Les couloirs du Palais de l'Union, décorés de fresques retraçant l'Histoire akaltienne.
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ARRIVEE DU PONTARBELLO & DE L'ALGUARENA


Le grand salon du Palais de l’Union s'était sapé comme jamais, arborant des fresques de parts et d'autres à l'intérieur de l'édifice, le tout entretenant une atmosphère solennelle pour cet instant entre officiels de trois pays pour ainsi dire frontaliers ou à minima interdépendants. Des hautes colonnes agrémentant des édifices centenaires aux motifs géométriques rappelant l’architecture impériale Listonienne, "On a l'impression de prendre l'avion pour aller dans son jardin, tant les kilomètres séparant Santialche la capitale pontarbelloise, de Kintan, celle akaltienne, étaient invisibilisés par la similitude des architectures historiques communes" pouvait se dire sans complexe Marziabo Becerra, l'actuel Ministre des affaires étrangères de la République d'Union Nationale du Pontarbello et unique officiel pontarbellois dépêché sur la rencontre.

Un Marziabo Becerra prêt à faire son entrée, malgré qu'il fut avisé que l'officiel alguareno venait tout juste d’atterrir et rejoindrait la rencontre sous quinze minutes, si les infrastructures routières tant ambitionnées par l'officiel akaltien étaient de qualité ! Bien qu'il ne soit pas affilié à l'institution militaire, pour "accommoder" et donner de la "rondeur" aux relations diplomatiques avec des nations plus soucieuses de la question de droit, l'homme aimait simuler une certaine posture martiale pour s'en faire la caricature exportée de son pays qui avait combiné le succès économique et la stabilité politique en dépit du cadre dans lequel le Pontarbello avait évolué. Voilà maintenant que la junte militaire, honnie des démocraties de ce monde, pouvait gager d'une place à la table des négociations akaltiennes pour construire l'économie et le commerce régional de demain. L'affaire était trop belle, pour ne pas vanter la normalisation des relations diplomatiques et la politique étrangère naissante autour du Pontarbello.

Sa démarche était par conséquent mesurée, empreinte de l’assurance de l'officier d'état-major (qu'il n'était pas), bien que ses bottes vernies résonnaient sur le marbre comme un rythme de marche. Il portait l’uniforme "d’apparat" soit une tunique blanche, épaulettes gravées des sept étoiles du Conseil suprême, quelques médailles liées aux honneurs civils alignées en rangs serrés sur sa poitrine. A sa ceinture, un bâton de maréchal au pommeau serti d’émail rouge rappelait les honneurs militaires qu'il reçut à l'indépendance du Pontarbello, se faisant introniser de charges sans avoir eu à justifier des entrainements pour les mériter, l'aubaine.

Un attaché diplomatique compatriote lui rappela à quel point il sera d'usage que les dirigeants entrent tous les trois en même temps dans le bâtiment. Un requête à laquelle il accéda, patientant le temps nécessaire à l'arrivée tant attendue du dernier diplomate (alguareno). Il faut dire que la mise en scène assez fastueuse offrait del a matière à la contemplation avant de démarrer le vif du sujet qui les amenait ici. Marziabo Becerra se tenait droit, comme statufié dans un jardin qui semblait pourtant ne pas en manquer, échangeant faussement intéressé avec son corps diplomatique quant aux techniques artistiques empruntées pour faire les représentations graphiques qui semblaient habiter chaque pierre des lieux.

À ses côtés, un jeune attaché diplomatique ajustait les documents, le regard discret tourné vers les hautes portes. Les pontarbellois n'étaient pas en retard "c'est qu'il y a la mer qui nosu sépare de l'Alguarena" lui fit remarquer un membre de sa délégation. Un autre lui poussa aussitôt la nouvelle selon laquelle la voiture et l'escorte de Monsieur Velázquez avait quitté l'aéroport il y a déjà dix minutes et que son arrivée serait imminente.

Une information qu'il eut tôt fait de confirmer après s'être arrogé le temps de faire quelques photos auprès des journalistes (d'état) pontarbellois qui avaient fait le déplacement pour immortaliser la politique étrangère florissante d'un officiel de la junte militaire en territoire étranger. "La diplomatie étrangère, c'est simple" concéda à lui même le ministre pontarbellois, "tout le monde est content de vous recevoir". Un point qu'il put rapidement vérifier par lui-même, à la venue au loin du convoi alguareno, affairé à se garer aux abords des jardins.

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Marziabo Becerra, Ministre des affaires étrangères de la République d'Union Nationale du Pontarbello

Les lourdes portes du Palais de l’Union s’ouvrirent à nouveau sur un flot discret de conseillers et d’escortes arborant de petits drapeaux bleus et dorés sur le capot des véhicules. Simón Velázquez, conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d’Alguarena, répondait maintenant présent. Reconnaissable dans son costume cintré de couleur ardoise, agrémenté d’une écharpe brodée aux couleurs de son pays, il avança résolument, saluant d'un hochement de tête et d'une poignée de main vive les deux homologues aleuciens présents. Mais la délégation alguarena, "toujours prête à se faire remarquer" jura Marziabo pour lui-même, n'était manifestement pas venue les mains vides. En effet quelques instants seulement après leur arrivée et l'attaché diplomatique alguareno posa délicatement une bouteille de sangria artisanale, entière fabriquée et produite dans l'archipel. Un breuvage artisanal, non une liqueur industrielle destinée à guérir les insomnies par un mal de tête, infusé longuement de fruits mûris, appesantis par le soleil archipélagique et son Equateur, avec une touche d'épices florales destinée à relever le tout. Envloppée dans un linge assez fin, aux couleurs de la Fédération d'Alguarena, la bouteille se destinait aux grands occasions que l'officiel akaltien jugera bon d'identifier pour justifier son ouverture. La bouteille changea de mains et toutes les délégations pouvaient maintenant espéraient débuter cette rencontre, qu'on souhaitait achever des meilleures augures pour la relation intercontinentale du Pontarbello, de l'Akaltie et de l'Alguarena.

Le présent fut un geste remarqué par la délégation pontarbelloise, qui jura la manoeuvre forte à propos pour de pareilles circonstances. Quel dommage, sachant le Pontarbello installé dans la confection et l'exportation e produits de luxe, à l'instar des cigares issus de sa récolte du tabac, dont il espérait d'ailleurs la labellisation commune avec l'Icamie, il y eut à parier que le don d'une boite de cigares de luxe pontarbellois aurait eu un certain écho. Marziabo Becerra avait lu quelques parts dans un magazine que les dirigeants akaltiens fumaient parfois le calumet, alors le cigare aurait être fort à propos pour sceller une entreprise commune entre les deux pays. Il le fit inscrire sur une sorte de boîte à idées limitée à l'emplacement d'une demi-feuille A4 sur le calepin de son assistant avant de finalement pénétrer l'édifice, les délégations les unes derrière les autres.

Derrière eux, des éléments de la délégation alguarena semblaient s'arroger le titre d’experts en infrastructures et de haut-gradés de la garde côtière alguarena, un panel de technicité élargi pour permettre aux non-sachant de rationaliser les choix à venir lors de la rencontre.

Simón Velázquez : "Madame Necahual, recevez toutes ma gratitude et celle de mon équipe pour l'accueil offert et le travail fourni à l'établissement de cette rencontre ambitieuse."

A l'intérieur, le diplomate alguareno marqua un instant de recul, semblant toute vraisemblance embrasser du regard le salon. Il faut avouer que les fresques baroques aux teintes ocres affichaient un certain panache qui n'était pas sans lui rappeler le passé antique de son archipel, dont l’Histoire faisait recette commune avec l'Akaltie. L'émissaire pontarbellois n'était pas en reste non plus et tout semblait indiquer que les émissaires auraient aujourd'hui à coeur de confirmer leurs volontés d'exacerber leur histoire commune, et peut-être demain partagée.

Sans dire mot, Marziabo s'avançant vers ce qui semblait être un pupitre à son attention, profitant du mobilier pour poser un exemplaire du protocole d’entente préliminaireainsi que ses gants blancs sur un espace qu'il espéra suffisamment propres pour les garder ainsi et s’éclaircit la gorge. Les fenêtres, largement ouvertes sur les jardins qui lui parurent d’inspiration listonienne, laissaient passer une brise légère, soulevant à peine les extrêmtés des feuilels ainsi posées et rapidement lestées d'un porte-documents.

Marziabo Becerra : "Très chère Juntan", commença-t-il d’une voix solennelle, dont il modula la clarté et la sonorité pour se permettre e porter la voix dans les galeries latérales du bâtiment. "Depuis des mois, nos gouvernements œuvrent à consolider la prospérité dans cette région, au travers et c'est littéralement le cas, l'édification de ponts aspirés entre chaque nation. Des infrastructures communes et un dynamisme économique renouvelé pour une sécurité partagée autour d'intérêts communs et inaliénables. C'est avec cette ambition nouvelle que nous nous réunissons aujourd'hui et je vous remercie maintes de l'opportunité qui est faite au Pontarbello de prendre sa part à la réussite de chacun. Aussi, je trouve l'image fort à propos pour questionner la question des coûts relatifs à ces projets, et dans quelle mesure puisse être mis en évidence les retombées économiques chiffrées à chacun pour rationnaliser l'investissement voulu pour sa construction, son aménagement, son entretien."

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Simón Velázquez, conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d’Alguarena
Juntan Necahual :

Il est vrai que la quantité de structures à mettre en place est assez imposante, je ne vais pas vous le cacher. Mais cela peut tout de même être relativisé : les ports et aéroports, notamment, sont déjà présent. Nous n'auront, pour mener à bien ces projets, qu'à investir quelques fonds dans l'agrandissement ou la modernisation de quelques terminaux selon mes analystes. Il n'y aura en tous cas pas à creuser et ériger des ports de commerce entiers, puisque nous en sommes déjà dotés.

Sur la question des retombées économiques cependant, il est vrai qu'elle est d'importance. En premier lieu, nous pouvons aisément estimer que le tourisme sera favorisé entre nos trois nations si nous mettons tout ceci en place. Cela apportera inévitablement, en plus des retombées pour les commerçants et autres composantes du secteur tertiaire de l'économie, de l'attrait des populations respectives pour les deux autres pays. Cet attrait se traduira ensuite très probablement en une augmentation des investissements ou des projets transnationaux. Mais je pense ne rien vous apprendre sur ces points là.

Les retombées économiques du renforcement des liaisons entre l'Alguarena, le Pontarbello et l'Akaltie me paraissent donc suffisamment motivantes à minima pour procéder à quelques essais, comme des mises en places temporaires de lignes de transport entre diverses villes pour en connaître l'affluence et l'utilité. Je pense, avec l'appui de mon cabinet et des spécialistes que nous avons consultés sur le sujet, qu'une telle expérience vaut le coup de la tenter. Dans le pire des cas, je ne pense pas que des échecs de cette taille mettent nos pays dans un état de faillite.
Simón Velázquez fit un pas en avant, reprenant place autour du pupitre sur lequel il s'appuyait pour soulager un rhumatisme et ménager ses efforts dans la réflexion. Le reflet fruité de la bouteille de sangria offerte à son hôte et encore sur la table, luisait doucement sur les boiseries et donnait un peu plus de couleurs aux visages déjà bien exotiques de chacun, lorsque les rayons du soleil vinrent trouver son visage après avoir traversé la bouteille rendue opaque par son contenant. Sa voix, plus feutrée que celle de son homologue pontarbellois, mais tout aussi assurée, se fit entendre.

Simón Velázquez : "Vos Excellences, Madame Necahual, cher collègue Marziabo Becerra, permettez-moi de vous assurer au nom de la Fédération d’Alguarena, de faire part de notre satisfaction à l’égard de l'orientation de cette réunion. Il est rare, dans notre récente histoire, de cerner une intention aussi évidente de cogérer et de coopérer avec autant de pragmatisme. Mais si vous avez bien rapporté les investissements à venir dans la construction des infrastructures physiques nécessaires à l'accompagnement de ces liaisons, voulues par les routes, les ports et voies aériennes qu'il conviendra de financer, notons qu'il sera peut-être souhaitable de bâtir à sa marge une communauté régionale d'intérêts, pour structurer cette fois-ci sur le plan institutionnel, cette mise à disposition de moyens. Dans cette vision d'avenir, les projets de liaisons, y compris ceux maritimes et aériens, ne doivent pas se réduire à l’échange de biens et de personnes. Ils doivent s’inscrire dans l’édification d’une nouvelle identité régionale, une identité régionale nouvelle, inclusive et cohérente, qui puisse s’imposer dans le concert des puissances régionales aleuciennes et plus largement transocéaniques.

Pour accompagner ces flux touristiques que nous nous jurons de vouloir croissants entre nos trois pays, il serait de bon aloi de travailler sur les motivations sincères qui généreraient cs flux de voyageurs. Plus de routes et de liaisons aériennes vers nos états, ne garantirait une croissance du tourisme qui si nous faisions état d'une incapacité de certains à se procurer des billets sur les vols et trajets actuellement proposés. Je ne doute pas qu'un élargissement de l'offre va nécessairement créer une demande sensiblement plus forte mais les réelles sources d'un afflux de touristes doivent être tournées autour d'une communication positive, sur l'ouverture au public de sites archéologiques mazati tirés de l'ère antique sous l'apogée du Mazaticue (hrp : créer des RP culturels sur des sites archéologiques, des points d'Histoire et traits culturels natifs communs entre les trois pays, créer des RP presse sur l'ouverture des musées associés, etc...) Sur le sujet, jouissant d'un patrimoine déjà mis en exergue autour de l'Empire du Mazaticue, la Fédération d'Alguarena est tout à fait capable de financer des actions de communication et e promotion de l'héritage mazati et n'attends de notre échange qu'un accord de principe à la méthode donnée.


Marziabo Becerra : "il est acquis que la volonté de prospérité nourrie entre nos trois états, ne souffre d'aucun frein, aussi je voudrais, sans déconstruire le discours de mes deux homologues pour lequel je vous assure du soutien pontarbellois quant au but commun qui nous anime et l'adhésion à sa mise en oeuvre, le compléter. Le compléter par une autre volonté commune qui serait celle de louer une adhésion et une communication des plus larges, autour de la labellisation de productions aleuciennes. Promouvoir en Aleucie ou en Paltoterra des productions issus du continent aleucien peut présenter un intérêt réel dans l'incitation à la consommation et l'orientation des achats sur les marchés internationaux, dès lors qu'il est permis de justifier d'une certaine qualité, d'une production premium...

Pour le continent aleucien, ce label serait la garantie d'une reconnaissance d'un certain savoir-faire et d'une provenance contrôlée, normée, fiabilisée... Pour la Paltoterra, ce serait la garantie d'importations autour d'un prix négocié et possiblement revalorisé sur le marché intérieur. De plus et pur le cas du Pontarbello nous sommes prêt à travailler dessus : ce label implique l'utilisation de ressources, de produits issus des territoires aleuciens participant. Par conséquent, et si la Fédération d'Alguarena daignait ouvrir son marché à ces produits, nous pourrions en ce qui concerne le Pontarbello intégrer des sociétés spécialisées dans la manufacture, le packaging des produits issus de nos productions locales, c qui aurait pour effet de faciliter l'atteinte du marché alguareno et équilibrer le coût d'une balance commerciale alourdie de matières premières importées... Si les matières premières sont entièrement issues du continent aleucien, en totu cas d'un état adhérent à cette labellisation, je ne vois pas de contrainte à intégrer le marché alguareno, en contrepartie d'un position de l'archipel sur la fin de process des productions, que sont notamment le packaging. De la sorte, nous ne trahissons pas la provenance même du produit, son label, nous motivons un intérêt à des pays en dehors du continent aleucien à accepter nos produits.

Un argument par le packaging, qui est rendu nécessaire de toute façon, ne serait-ce que pour traduire dans une langue locale, les devises des produits et de leurs marques. Si ce geste peut permettre de toucher un marché étranger, les "pertes" financières nées d'une délocalisation du packaging n'en sont pas, puisqu'elles se destinent à exporter davantage, dans la limite de nos capacités de production. Ceci dit, notre capacité à nourrir des marchés étrangers motiverait des pays comme l'Akaltie, l'Icamie et nous-même, à développer des affaires auprès d'autres nations sur le continent aleucien, pour accroitre l'outil de production aleucien destiné à alimenter cet outil économique, même s'il nous faut avoir à l'esprit qu'une surproduction de produits aleuciens serait dommageable au prix de vente de ceux-ci. C'est pourquoi, même si le projet est là et les idées permises, l'Icamie, le Pontarbello et nous espérons bien d'autres, devront s'entendre sur les quotités de production pour ne pas affecter les cours... M'est avis que c'est une idée qui se tente mais je ne voudrais pas digresser, poursuivons."


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Labellisation des biens issus d'une production et/ou d'une fabrication aleucienne.
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