L’État surréel de Soralie
Nom courant :
Soralie
Gentilé :
Sennaciulo (neutre) : Pour les citoyens de l'Etat surréel (Peu utilisé a part dans les textes officielles)
Soraliens, Soraliennes : Pour qualifier les habitants du territoire qu'importe leur ethnie.
Peuples dominants : Sanskrit(Équivalent Tatars), Sandhi(équivalent des Han), Nikomếdeiens (mélange entre Russes et Grecs) et Bolekovice
Inspirations culturelles :
Chine des Qing(pour l’empire Rui)/Russie féodale et Grèce Byzantine(pour l’empire Nikomếd), mais les culture sont progressivement détruite à l'intérêt d’une culture artificielle unificatrice et idéologique symbolisait par la langue le neofratéen, ou l’architecture Brutaliste comme celle de Le Corbusier.
Situation géographique :
[map]41227;41424;41622;41819;41818;42015;42211;42408;42407;42604;42801;42404;42802;42605;42606;42409;42212;42410;42607;42411;42608;42609;42806;42804;42803;42999;42214;42213;42016;42017;41820;42018;42215;42412;42216;42019;41822;41821;41623;41426;41425;41229;41230;41427;41624;41625;41428;41231;41228;41032;41033;40837;41034;42217;41823;42020;43196;43000;42021;43001[/map]
Langue officielle :
Neofratéen (langue crée; mélange entre esperanto et la novlangue de George Orwell)
Autres langues reconnues :
(Non-reconnus officiellement mais encore parler clandestinement en minorité)
Langues balto-slaves, balatchka, Turc, Ouzbek, Azéri, Ouïgour, Kazakh, Tatar, Turkmène, Kirghize, Bachkir, Tchouvache, Tadjik, Afghan, Kurde, Mandarin, Ukrainien, Russe, Georgien, Armenien, Sorique comun.
Drapeau :
Devise officielle :
Révolte en fer et en flamme, juger l’invisible, parfaire le divin.
Hymne officiel :
De l’Etat:
De la nation Nikomếde :
De la nation Revacholienne
Monnaie nationale :
Lire Intemporelle.
Mais du fait de l'instabilité et l’autonomie, de nombreuses régions utilise du troque, partage les ressources sous le format de petits phalanstères locaux ou utilise des monnaies étrangères/or
Capitale :
Aeterna Suno (le Soleil Éternel)
Revachole pour la nation Revacholienne
Aadra (anciennement Ophérion) pour la nation Nikomếde
Population :
42 millions (population très jeunes, issus d'ethnies différentes)
Présentation du pays : Résumé
L’État Surréel Soralien est né de la réunification des peuples soraliens après la Grande Faide, effondrement des anciens empires Nikomếd et Rui. Guidée par les principes révolutionnaires de Kraz Mazov et Léon Maleynev, la nation a aboli toutes formes d’oppression : classes, genres, langues, traditions. Structuré autour du Comité Central, garant de l’unité idéologique, notre pays poursuit l’émancipation totale de l’individu au sein d’une société déconstructiviste. Malgré ses fractures internes, l’État progresse vers une humanité supérieure, affranchie du passé, bâtissant une communauté rationnelle, libre et égalitaire, modèle pour les peuples encore prisonniers de leurs illusions archaïques.
Présentation du pays : Détaillée
I. Les terres de Soralie et la naissance des deux empires
Dans le nord-ouest du continent de Nazum, s’étend une terre rude, boisée et montagneuse, balayée l’hiver par des vents arctiques : la Soralie. Coincée entre des chaînes glacées à l’est, une mer sombre au nord, et des vallées fertiles au sud, la Soralie n’est pas vaste, mais elle est pleine. Pleine de forêts profondes, de lacs aux brumes éternelles, de peuples aux langages et traditions multiples, de conflits anciens.
C’est ici que naquirent deux entités impériales rivales, chacune enracinée dans une histoire différente, mais liées par une haine constante.
A. L’Empire Rui, dit « l’Empire d’Ambre »
L’Empire Rui se constitue dans les hautes terres orientales de Soralie, autour du massif de Silvaré, un territoire difficile d’accès, entouré de gorges et de forêts sombres. Le premier empereur reconnu, Gaon Ier, fonde la cité sacrée de Kovarno, construite sur une falaise dominant la rivière de l’Épine, où les temples et palais brillent d’un éclat doré : les Rui ont fait venir de l’ambre brut, importé depuis les ports lointains du sud de Nazum, dans des convois protégés par des chevaliers-marcheurs. La dynastie Rui, d’origine obscure, mêlant des légendes de bergers divinisés et de chefs de clans forestiers, établit un culte impérial rigide : l’empereur est le pont entre l’ordre cosmique et le monde vivant. Autour de lui, une noblesse codifiée, issue de lignées tribales intégrées. Le régime Rui se centralise, imposant une langue impériale, le Sorique haut, et une bureaucratie efficace. Mais l’ordre est fragile : dans les provinces comme Varalga, les anciennes familles ne pardonnent pas la perte de leur autonomie.
B. L’Empire Nikomếd, dit « l’Empire Perle »
À l’opposé, dans les vallées de l’ouest, naît l’Empire Nikomếd, fondé par la dynastie éphémère des Kelimides, qui proclament leur autorité à Ophérion, une cité née du commerce des rivières et des artisans. Contrairement aux Rui, les Nikomếd ne croient pas à l’ordre divin mais à la souveraineté des personnes cultivées : artistes, orateurs, généraux. Le trône impérial est sans cesse renversé, occupé, repris. Aucune dynastie ne tient plus de trois ou quatre générations. Mais l’Empire Perle brille : salons couverts de nacre et de soie, théâtres en plein air, sciences et astrologie). L’art de la cour est raffiné, mais la politique est un chaos sanglant. Tous les empereurs ou impératrices finissent trahis, empoisonnés, exilés. Ce chaos structurel devient une tradition : les Nikomếd vivent dans un cycle permanent de renouveau. Les élites se justifient en affirmant que « l’ordre est mensonge, seule l’instabilité maintient le juste pouvoir ». On nomme cela le Principe de Rupture, base idéologique de l’Empire.
II. Des empires en guerre perpétuelle
Les Rui, partisans de l’ordre et de la continuité, voient dans les Nikomếd une profanation permanente du sacré. Les Nikomếd, eux, dénoncent les Rui comme une secte figée, un carcan contre la liberté humaine. Cette opposition mène à une série de guerres cycliques, appelées par les chroniqueurs « les Orages de Soralie ».
A. Les Orages de Soralie
Ces guerres, d’abord localisées, deviennent au fil des siècles de véritables guerres de religion, d’ordre et de mémoire.
Par exemple, lors du Quatrième Orage, l’empereur Rui Tenov IV, grand mystique, décide d’envahir Ophérion pour « restaurer l’équilibre du monde ». La ville tombe, mais est reprise un mois plus tard par un soulèvement populaire mené par la doux Zaria l’Écarlate, poétesse devenue stratège. La paix ne dure jamais. Chaque trêve est un prélude à une nouvelle haine. Les conflits structurent même les mythes des deux peuples : dans les écoles Rui, on apprend à honnir la décadence Nikomếd, tandis qu’à Nikomếdia, on récite des poèmes moquant l’arrogance « des princes d’ambre ».
III. L’épuisement des empires et les révoltes
A. La grande Faide et les royaumes soumis
Vers la fin du dernier cycle impérial, les deux empires sont épuisés. Les terres sont ruinées, les récoltes faibles, les armées vidées. Dans les zones périphériques, les royaumes vassaux comme ceux de Daranth, Sandhi ou Sanskrit se révoltent un à un. Ces soulèvements, surnommés la Grande Faide, marquent le début d’une ère de fragmentation. Les Rui perdent le contrôle des hautes vallées ; les Nikomếd ne dominent plus que quelques plaines marchandes. De multiples seigneurs de guerre émergent. Certains rêvent d’indépendance, d’autres de fonder leur propre empire.
Dans l’ancienne ceinture marchande Nikomếdienne autour du fleuve Silène, des cités-États renaissent sous des formes variées : principautés militaires, républiques de corporations, théocraties locales. Le centre impérial se dissout, et les seigneurs de guerre, religieux fanatiques et chefs mercenaires apparaissent.
Parmi eux :
Tarn Velké, général fasciste de la garde impériale nikomếde, rêve d’un empire racial purifié ;
Les Maravénites, mystiques errants de la Foi Pourpre, vénérant un prophète-soleil venu du sud oublié ;
Les Discépalides, croyants en l’Ordre Absolu, niant le bien ou le mal, et prônant l’auto-souveraineté spirituelle contre toute église.
IV. La révolution libérale de Revachol
Dans ce chaos, une cité-état portuaire du nord-ouest vassal de l’empire Rui, Revachol, échappe au déclin. Longtemps dominée par des guildes marchandes, elle devient le cœur d’un capitalisme industriel naissant, dopé par le commerce du bois boréal, du fer de Soralie et des technologies et idées nouvelles venues de l’ouest en Eurysie. Sous l’impulsion du réformateur Erion Savand, elle chasse la vieille aristocratie et proclame en grande pompe la Première République de Revachol. Ce régime fonde sa légitimité sur le suffrage censitaire, la liberté du commerce, et l’individualisme rationnel. Des écoles apparaissent, des journaux naissent, des banquiers s’installent dans les anciens temples. Mais ce modèle, s’il attire les classes moyennes, laisse une part importante de la population dans la misère : ouvriers déracinés, paysans ruinés, vétérans sans solde…
V. L’émergence de Kraz Mazov et Leon Maleynev
C’est dans les faubourgs rouges de Revachol que surgit Kraz Mazov, fils de tisserande, autodidacte et orateur brillant, influencé à la fois par les socialistes urbains, les anciens prêtres rui, et les cosmologies locales. Il écrit les Premiers Principes de Convergence, dans lesquels il appelle à abolir toutes les formes de domination, qu’elles soient capitalistes, impériales ou religieuses. À ses côtés, Leon Maleynev, ancien commandant d’une unité d’élite Rui ayant déserté, devient son bras armé. Ensemble, avec divers autres mouvements ouvriers et communistes ils créent une cellule de résistance populaire, la Commune Revacholienne, qui mêle ouvriers, étudiants, paysans, anciens soldats et réfugiés des campagnes brûlées. Au départ, la Commune est minoritaire, étouffée entre les partis libéraux, les mouvements socialistes modérés et les nostalgiques des empires. Mais l’impopularité croissante de la République libérale, rongée par la corruption et l’austérité, donne de plus en plus de poids aux discours radicaux de Mazov.
VI. Le Grand Sacrifice et la marche vers la déconstruction
Face au risque d’un retour de la monarchie Rui, les partisans de la Commune organisent le Grand Sacrifice. Maleynev capture ce qu’il reste de la lignée impériale Rui : nobles, princes exilés, prêtres du feu d’ambre… et les exécute un par un, lors d’une cérémonie sanglante au pied des ruines de Kovarno. Dans le même temps, dans tout le pays, des massacres désorganisés sont perpétrés contre les aristocrates, les grands patrons, les notables. La terreur fondatrice est accomplie, c’est plus qu’une guerre civile, c’est un genocide de classe.
Cette purge permet à la Commune de consolider son emprise, mais laisse la place à un chaos idéologique sans précédent. Autour de Mazov, émergent des dizaines de tendances :
Les Egalitaristes 🟩, prônant une démocratie populaire décentralisée ;
Les Ésotérismes🟦, croyant à une réintégration spirituelle de l’être au monde ;
Les Technocrates🟨, favorables à un État dirigé par les ingénieurs ;
Et surtout, les Déconstructivistes🟥, minoritaires au départ, qui affirment qu’aucune structure n’est légitime par essence, et que toute forme d’ordre doit être sans cesse brisée, dépassée, reconstruite.
VII. Fondation de la Fédération Sorelienne
À l’issue du Grand Sacrifice, Mazov et Maleynev unifient l’essentiel de la Soralie, à l’exception de quelques poches montagneuses, théocraties et cités-états isolées. Ils proclament la Fédération Sorélienne (qui deviendra par la suite l’Etat Surréel de Soralie après le concile des Aktoro, artistes déconstructivistes), un État fédéral aux structures apparentes de démocratie directe, mais guidé par un Comité Central fondé autour de l’idéologie mazoviste.
Le Conseil Transnational, en théorie suprême, est dominé par le Comité. Deux grandes nations fédérées apparaissent :
La République Nikomếde, avec peu de conflit ethniques et de zone autonome mais un faible population, représentant globalement les frontières de l’ancien empire Nikomếd, influant les régions autour du fleuve Silene ;
La République Revacholienne, plus riche et grande mais plus décentralisée, avec beaucoup de régions autonomes pour toutes les ethnies de l’ancien empire Rui, elle inclut le nord de Coralie avec la cité de Revachole.
Mentalité de la population :
Les peuples soraliens se distinguent par leur engagement total envers la déconstruction de toute hiérarchie. Libéré des identités traditionnelles, il essaye de rejeter les normes imposées par l’histoire, la culture ou la nature. L’individu y est un être en perpétuelle reconfiguration, sans genre fixe, sans langue propre, sans attache autre que l’idée du progrès absolu. Les mœurs valorisent l'effacement de soi au profit du collectif idéologique. Le bonheur réside dans l'effort de dissolution, l’aspiration commune étant d’atteindre une société post-humaine, où chacun participe à l'avènement d’un peuple supérieure, unifiée et affranchie de toute mémoire. Cependant, du fait d'interprétation différente, il y a de nombreux conflits entre les mouvements idéologiques (qui sont des fois liés à la religion et à l'ethnie) qui ironiquement fracture plus la population que l’unifie. L’état surréaliste reste malgré tout plutôt instable dans certaines régions, qui sont de facto autonome, ou l’état a très peu d’influence directe, alors certaines villes et régions sont dominé par des gangs criminelles comme en Lestonia, ordre religieux/idéologiques fanatise comme en Lespia, ou par des petites républiques locales démocratiques comme en Valenqia. Les populations Soraliennes sont principalement situe dans d'immenses zones urbaines presques désertes, c’est l'héritage que nous laisse l’empire Nikomếd avec ses empereurs obsédé par les grands bâtiments, de nombreux monuments à leurs effigie, autrefois, décoraient les villes, on peux encore retrouver des morceaux de statuts dans la propagande étatique.
Place de la religion au sein de l'État :
L’État Surréel Soralien rejette toute forme de religion organisée, considérée comme une structure oppressive héritée du passé. Les cultes traditionnels ont été interdits dès le Grand Salut, et les institutions religieuses démantelées. Cependant, une spiritualité idéologique s’est imposée : le Culte de l’Homme de l'Être Suprême remplace les anciens dieux par des figures abstraites comme Kraz, érigé en mythe vivant. Toute pensée religieuse doit désormais se plier aux exigences de la déconstruction. Ainsi, la foi existe encore, mais elle est absorbée par l’appareil d’État, sacralisant la révolution perpétuelle comme ultime voie de salut collectif.
Institutions politiques : Résumé
Le système politique repose sur une démocratie participative fondée sur des conseils populaires et professionnels, élus au mandat impératif et révocables à tout moment. La souveraineté populaire est garantie par des référendums réguliers et un contrôle constant sur les représentants. Toutefois, au sommet de cette structure se trouve le Comité central, dirigé par Kraz, seul organe supérieur au peuple. Chargé de l’orientation idéologique, il supervise et valide toutes les décisions. Bien que les institutions soient démocratiques en apparence, ce contrôle centralisé confère au régime un caractère totalitaire, où l’autorité idéologique prime sur la volonté populaire.
Institutions politiques : Détaillé
Échelon local
▪ Conseil civil de proximité (conseil populaire local)
Élus : par les habitants (suffrage universel direct local, à partir de 16 ans).
Mandat : 6 mois, impératif et révocable à 25 % des électeurs.
Pouvoirs :
Gère les affaires quotidiennes : logement, école primaire, sécurité locale, culture, justice.
Lance des référendums locaux.
Transmet doléances et motions aux échelons régionaux.
Limites : soumis à la ligne idéologique validée par les commissaires du Comité central.
▪ Syndicat local (comité d’unité de production)
Élus : par les travailleurs de l’établissement (même règles électorales).
Mandat : 6 mois, révocable à 30 % des travailleurs.
Pouvoirs :
Organisation du travail.
Application des objectifs de production.
Conditions de travail et sécurité.
Limites : décisions soumises aux quotas et normes syndicales régionales.
Échelon régional
▪ Conseil populaire régional
Élus : délégués des conseils locaux.
Mandat : 1 an, impératif, révocable.
Pouvoirs :
Coordonne les services publics régionaux (santé, lycées, transports).
Peut proposer des projets de loi à l’échelle nationale.
Gère les fonds locaux redistribués.
Limites : décisions invalidables par le Comité central.
▪ Fédération syndicale régionale
Élus : par les délégués syndicaux locaux.
Mandat : 1 an, impératif.
Pouvoirs :
Répartition du travail et des ressources.
Formation et reconversion.
Élaboration du plan économique régional.
Limites : dépend des directives économiques nationales.
Échelon national
▪ Conseil populaire national
Élus : par les délégués régionaux.
Mandat : 1 an, impératif.
Pouvoirs :
Vote des lois sociales, éducatives, sanitaires.
Peut proposer des réformes au Comité central.
Lance des référendums nationaux.
Limites :
Les lois doivent être validées par référendum populaire.
Le Comité central peut opposer un veto idéologique absolu.
▪ Conseil syndical national
Élus : par les fédérations régionales.
Mandat : 1 an.
Pouvoirs :
Définit les grandes orientations économiques.
Supervise la planification industrielle, agricole et énergétique.
Contrôle la redistribution nationale du travail et des ressources.
Limites : soumission aux grands axes fixés par le Comité central et validés au niveau transnational.
Commissions mixtes
Rôle : assurer la coordination entre sphère civile et productive.
Présence : à chaque niveau.
Pouvoirs :
Arbitre local des conflits entre syndicats et conseils.
Force d'exécution des réformes votées.
Surveillance idéologique : toujours accompagnée par un commissaire du Comité central.
Échelon transnational
▪ Conseil transnational populaire et syndical
Composition : délégués des nations membres, civils et syndicaux.
Désignation : par le Comité central, parmi les membres les plus fidèles.
Théorie : organe souverain au-dessus de toutes les institutions nationales.
Réalité : contrôlé dans les faits par le Comité central.
Pouvoirs (en théorie) :
Planification économique globale (ressources rares, exportations, stratégies énergétiques).
Définit les grandes réformes sociales et juridiques interrégionales.
Prends les décisions diplomatiques et militaires majeures.
Fixe les cadres idéologiques internationaux.
Peux proposer un vote pour modifier la constitution qui doit être autoriser, débattue et amendé par le comité central.
Fonctionnement :
Se réunit neuf fois par an. (se base sur un calendrier révolutionnaire de base 10, donc 10 jours, 10 semaines, 10 mois…)
Chaque résolution est appliquée automatiquement dans tous les territoires.
Peut organiser des "congrès d'urgence" en cas de crise géopolitique.
Limites :
Doit suivre la ligne idéologique dictée par le Comité central.
Aucune motion ne peut être déposée sans aval idéologique préalable.
Comité central (organe suprême idéologique)
Dirigeant (source de légitimité) : Kraz Mazov
Mode de désignation : cooptation, mandats viagers.
Statut : non élu, non révocable, autorité idéologique suprême.
Pouvoirs :
Veto total sur toute décision civile, syndicale ou transnationale.
Supervision de tous les commissaires idéologiques.
Détermine les dogmes idéologiques, les priorités culturelles, la censure (rarement).
Peut dissoudre toutes les institutions.
Choisit les membres clefs du Conseil transnational.
Garant de le constitution.
Principaux personnages : (principalement des membres du comité centrale ou du conseil transnational) (des couleurs sont souvent affilié à certaines factions 🟥=orthodoxe 🟦=spirituelle/ésotérique 🟩=pragmatique/idéaliste 🟨=accélérationniste/transhumaniste)
Kraz Mazov 🟥 : Fondateur de l'idéologie déconstructiviste, représentant la figure idéologique ultime du pays. Bien qu'il ne soit plus visible dans l'espace public, son influence reste omniprésente à travers le Comité central.
Leon Maleynev 🟥 : Leader presque mythique qui a fondé le mouvement des Maleynevistes, un groupe radical, mystique et révolutionnaire, dont les partisans croient en l'instauration d’un nouvel ordre mondial basé sur la violence révolutionnaire permanente et l’idéologie du chaos organisé. Il est aussi chef des milices révolutionnaires qui remplacent les armées conventionnels
Mira Lysandre 🟦 : Leader mystique d’un groupe révolutionnaire qui croit que les événements mondiaux suivent un plan préordonné et que chaque révolution, chaque guerre, est en réalité un alignement cosmique nécessaire à la "Convergence", un événement apocalyptique où toutes les réalités se rejoindront en un seul point d'extase universelle. (Milena Lor : cheffe d’une famille criminelle qui travaille avec Mira)
Ghalek Dravon 🟦 : Chef spirituel du Culte de l'Inversion, un groupe radical qui vénère l’inversion totale des valeurs, où tout ce qui est perçu comme "normal" dans la société est transformé en son opposé radical. Il prône l’idéal d’une société où la souffrance, l'absurde et l'injustifiable deviennent les piliers sur lesquels la civilisation doit être reconstruite.
Saphira Valenox 🟦 : Représentante d’une société privée mystique qui vénère le Chaos absolu comme la véritable force créatrice. Elle voit le chaos comme la seule véritable "loi cosmique" et croit que la seule manière d’accéder à la vérité pure est d’embrasser l'anomie totale et l’effondrement systématique des structures sociales, politiques et idéologiques. (Rina Dava ministre de la recherche astral et cosmique (de l'espace) au conseil transnational est une de ses sympathisante)
Valeria Chernova 🟩 : Ministre des machines, matières premières et auxiliaires, et des salaires (de l'économie et des finances), militante pour un système économique et social basé sur l’automatisation totale des moyens de production, tout en assurant un luxe extrême et une égalité absolue pour tous. Elle prône un communisme radical où la richesse est infiniment abondante grâce à la robotisation et où chaque individu bénéficie de tout le confort matériel et intellectuel possible.
Aurelius Volk 🟨 : Ministre des Systèmes Technologiques et Directeur du Bureau d’Optimisation Sociale, il incarne la fusion parfaite entre politique et technologie. Volk croit en la gouvernance totale par des intelligences artificielles et des algorithmes optimisés, supprimant toute forme de démocratie populaire au profit d'un système géré par des experts, où chaque décision est prise en fonction des données précises et des prédictions analytiques. Pour lui, la société doit être dirigée par la science pure et la rationalité. (Jarod Veks son allié au comité central qui partage ses idées)
Eryx Kalden 🟨 Fondateur du Mouvement de l'Ascension, un groupe radicalement transhumaniste prônant l'élévation de l'humanité par la fusion totale avec la machine. Kalden croit que la singularité technologique est l'ultime étape de l'évolution humaine, où les esprits humains seront téléchargés dans des corps cybernétiques immortels, abolissant toute forme de mortalité physique et d'imperfection biologique.
Politique internationale :
Actuellement un isolationnisme fort, du fait d’une instabilité intérieure, mais l’état cherche des alliés qui seront capables d'écouter, comprendre et adopter sa vérité idéologie, il pense au Saint-Ordre de Vélès des Bolekovices au nord et Les Quatre Vallées au sud. Par la suite, une fois la stabilité regagné, elle cherchera à répondre ses messages idéologiques au monde entier.
Ps : Merci d'avoir lu :b