11/05/2017
22:44:57
Index du forum Continents Eurysie Saint-Alban Mareau

La chancellerie

557
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Gouvernement du territoire autonome de la reine Mareau :

Chancelière : Ánne Márjá Utsi
Commissaire aux affaires étrangères : Aaluq Sivun
commissaire à la sécurité intérieure : Nils Johanssen
Commissaire à l’agriculture : Ukaliq Qimmialuk
Commissaire au commerce et à l’industrie : Hans Müller
Commissaire à la justice : Ailo Heikkilä
Commissaire aux mines : Élise Dufresne
Commissaire à la culture : Ilisaapik Nuvuk
Commissaire à la santé : Kunik Tiqatsuk

formule (pas touche)
[b][size=1.2]Territoire Autonome de la Reine Mareau [/size][/b]
[center][size=0.9]Communiqué officielle de la Chancellerie [/size][/center]
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[center] [img=https://i.postimg.cc/Y0vCrhpm/IMG-2750.jpg] photo [/img] [/center]

[b]Objet : [/b]

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[b]Que le Grand Manitou et les esprits des ancêtres veillent sur nous.[/b]
[right][b][i]Ánne Márjá Utsi.[/i][/b][/right]
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Territoire Autonome de la Reine Mareau

Communiqué officielle de la Chancellerie
04/05/2016

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Objet : condamnation des exercice militaire en Nouvelle-kintan et mesure de rétorsion.





Chers concitoyens,

C’est avec une grande incompréhension que je me présente ici devant vous. La paix et la tranquillité dont jouissaient jusqu’alors la principauté de Saint-Alban et le territoire de Mareau ont été dangereusement déstabilisées et mises en danger par des gouvernements hostiles, néocoloniaux et barbares. La chancellerie de Mareau annonce sa ferme et catégorique condamnation des exercices militaires ayant eu lieu en Nouvelle-Kintan, menés en coopération par l’Empire anticolonial et l’Akaltie, sur le territoire national de Mareau, illégalement occupé. Mon gouvernement, le haut-commissaire ainsi que les estimables membres du Veikkona, considèrent cela comme une violation de la souveraineté nationale de la principauté de Saint-Alban et de l’intégrité territoriale de Mareau.

Le déroulement de ces exercices militaires, en toute connaissance de cause de l’illégitimité de la situation en Nouvelle-Kintan et des tensions qui en résulteront, démontre un mépris grave envers la principauté de Saint-Alban, envers Mareau, et envers la paix ainsi que la stabilité de l’Eurysie. Cela s’inscrit parfaitement dans une volonté d’escalade des tensions militaires et bellicistes, parfaitement organisée et voulue par les colons étrangers, ce qui est totalement inacceptable pour la chancellerie de Mareau.

La chancellerie, le haut-commissariat et le veikkona, unis pour la paix et la stabilité, annoncent en commun des condamnations envers la Nouvelle-Kintan et l’Empire anticolonial, dont la participation à ces manœuvres n’a pour seul but que de déstabiliser la principauté et de mettre en péril sa population. Ainsi, nous avons estimé, en réponse à cette escalade militaire voulue par l’Akaltie et l’Empire anticolonial, qu’il est nécessaire de mettre en place des sanctions réciproques et justes contre la Nouvelle-Kintan, en coopération avec le gouvernement de la principauté et avec l’Assemblée générale de la principauté de Saint-Alban. Il est décrété à partir de ce jour que :
- La rupture de tous les échanges économiques, commerciaux et financiers avec la Nouvelle-Kintan.
- L’interdiction pour tous les ressortissants venant de l’Empire anticolonial, de la Nouvelle-Kintan et de l’Akaltie d’entrer sur le territoire national de la principauté de Saint-Alban, sauf exception faite pour les missions à but humanitaire reconnues par le gouvernement et limitées dans le temps et de tout personne qui se revendique avec des preuves établis de l’appartenance à la nation Naajaat. De même, pour les ressortissants de ces pays déjà présents en Saint-Alban, leur présence sera maintenue jusqu’à expiration de leurs titres de séjour.
- La fermeture de la frontière entre Mareau et la Nouvelle-Kintan jusqu’à nouvel ordre.

Nous rappelons par ce communiqué notre engagement envers la paix et la stabilité ; nous réaffirmons fermement que la Nouvelle-Kintan est Mareau, et qu’elle le restera éternellement, malgré l’occupation par une puissance coloniale éloignée qui ne dit pas son nom. Nous réaffirmons également le principe de l’autodétermination des peuples et la condamnation de toute forme de néocolonialisme et d’occupation issue d’une quelconque puissance colonialiste moderne.

Que le Grand Manitou et les esprits des ancêtres veillent sur nous.
Ánne Márjá Utsi.

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Territoire Autonome de la Reine Mareau

Communiqué officielle de la Chancellerie
19/05/2016


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Objet : Réponse à la Nouvelle-Kintan





Chers concitoyens,

Les voleurs d’à côté nous accusent d’être belliqueux, entendez-vous cela ? Nous, Mareau, territoire autonome de la principauté de Saint-Alban, qui n’avons ni réagi aux actions bellicistes de feu la grande puissance eurysienne qu’était la Loduarie, qui a directement menacé nos frontières, notre sécurité nationale et notre souveraineté nationale, ni à la crise de l’Illirée, ayant maintenu notre position pacifiste si chère à la population et fixée dans notre constitution même comme une loi immuable et fondamentale, sommes accusés par les occupants illégaux de notre terre, de notre patrie et de notre nation millénaire, fouillant la terre sacrée de nos ancêtres, et se permettent en plus de nous accuser non de nous insulter d’être belliqueux.

Non seulement j’appelle les autorités de la Nouvelle-Kintan, comme ils l’appellent maintenant notre terre, terre sacrée de nos ancêtres du nom d’Angirraluaq (terre de feu), comme nous l’appelons et nos ancêtres bien avant eux et à agir en tant qu’autorité adulte mais également à la responsabilité en arrêtant leurs mensonges éhontés et en reconnaissant leur responsabilité dans cette escalade des tensions entre nos deux territoires. Comme ils l’ont si bien mentionné, et je dois au moins reconnaître ceci de leur part : Mareau a toujours voulu la paix, illustrée par la volonté d’entente initiée par les précédents gouvernements du territoire autonome de Mareau avec ce voisin qui occupe pourtant notre terre, et que j’aurais aimé poursuivre cette entente pacifique mais si seulement ces derniers ne s’étaient pas montrés enfin disons le illustrer les brutes qu’ils étaient, encore une nouvelle fois.

Mais je tiens à vous dire un seul mot : Mareau est pacifique, mais cela ne veut pas dire que Mareau se laissera marcher dessus. Vous êtes les seuls responsables de cette crise. Un État souverain n’autoriserait pas une puissance étrangère et historiquement coloniale à défiler sur son territoire, à lui céder une partie de sa souveraineté nationale en l’autorisant à occuper militairement une partie du territoire qu’il occupe lui-même illégalement, et ne laisserait pas, en plus de tout ceci, une autre puissance étrangère, à savoir la Zélandia entretenir une base militaire également sur le territoire de l’État dont on essaye de paraître légitime à gouverner. Légitimité qui par ailleurs leur fait bien défaut.

La Nouvelle-Kintan, État fantoche et toujours sous occupation akaltienne malgré ce qu’elle essaie de prétendre être, voit ses colons exprimer éhontément leur domination sur ce territoire et illustre par la même occasion leur poids sur l’Angirraluaq, au mépris de la souveraineté nationale de Mareau d’une part, et du prétendu gouvernement de la Nouvelle-Kintan, qui s’est illustré comme étant à la botte des Akaltiens, chose bien évidement absolument inimaginable pour un État prétendument souverain et entretient une relation quelque peu étrange entre colon et ancienne colonie. J’aimerais ajouter qu’il paraît exister, du moins sous forme cachée, une relation de dominant-dominé entre la Nouvelle-Kintan et l’Akaltie, sans parler de l’Empire Anticolonial.

La seule occasion, la seule manière de régler cette crise est uniquement, de la part des autorités de l’Angirraluaq (Nouvelle-Kintan), de reconnaître leurs erreurs du passé et de s’en excuser en conséquence. Le gouvernement de l’Angirraluaq, aussi officieux qu’il puisse être et essaie de paraître être, doit reconnaître la souveraineté nationale de Mareau sur le territoire, fermer les bases militaires étrangères présentes sur le territoire de Mareau qui violent ouvertement sa souveraineté, demander aux autorités de la République fédérale d’Icamie de renvoyer de bon gré ses navires de pêche qui surexploitent les ressources sacrées de la terre-mère et dérangent sa tranquillité divine, et enfin prendre des mesures visibles d’une volonté d’amélioration de la situation vis-à-vis de Mareau, ainsi que des volontés de réconciliation en vue d’une future réunification nationale. C’est à ces seules conditions que le retour à la paix est possible, et j’aimerais vous assurer que notre gouvernement fait tout pour la paix. La balle est du côté de nos voisins, à voir ce qu’ils vont en faire.

Chers concitoyens, le gouvernement de Mareau est et restera toujours ouvert au débat et au dialogue, seules manières de régler ce différend. Mais je tiens à le préciser à la communauté internationale et aux autorités de la Nouvelle-Kintan : Mareau ne se laissera plus jamais faire.

Que le Grand Manitou et les esprits des ancêtres veillent sur nous.
Ánne Márjá Utsi


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