11/05/2017
23:13:30
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🎭 RP | Eléments RôlePlay exploitable

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Éléments RôlePlay exploitables :


Vous trouverez ici plusieurs éléments de gameplay rôleplay afin d'animer le Haut-Etat d'Altrecht. Ces éléments pourront être utilisés lors d'événements rôleplay organisés avec mon accord sur Discord ou lors d'opérations clandestines.

Code pour les éléments rp :[center][img=https://i.postimg.cc/g04W34WK/Tampon.jpg]Logo diplomatique[/img][/center]
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[size=1.2][b][i][center]Nom :[/center][/i][/b][/size]
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[b][u]Information principale :[/u][/b]

Type : Bâtiment/document/article/livre/etc...
Création/fondation : date.s
Créateur/fondateur : nom de la ou les personnes.

[b][u][center]Présentation :[/center][/u][/b]

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Nom : "Reichsbank" ou "Banque Impériale"


Image de la "Reichsbank"

Information principale :

Type : Banque nationale (C'est la plus grande banque du pays, là où sont imprimés les billets, fabriquées les pièces et stocké l’or altrechtois)
Création/fondation : Début 1837 à 1846 (dates de la construction de la banque)
Créateur/fondateur : Architecte : Rayk Sauerbeck avec l'initiative de l’Empereur.

Présentation :


Avec plus de 25 mètres de haut, la "Reichsbank" est un édifice emblématique de l’Altrecht, un symbole pour le pays et un acteur majeur de sa bonne gestion. De style architectural Renaissance, elle fait près de 100 mètres de large, un bâtiment imposant qui a de quoi surprendre à l’intérieur. Créée en 1846 après 9 années de construction par l’architecte Rayk Sauerbeck, la "Reichsbank" fut établie à l’initiative de l’Empereur de l’époque afin de centraliser le fonctionnement de l’économie altrechtoise. En effet, à son époque, l’Empereur eut l’idée de changer la monnaie métallique (*1) par une monnaie fiduciaire (*2) afin de renflouer les réserves d’or du pays ainsi que de limiter les fraudes liées à la monnaie. C’est ainsi qu’en 1846 furent créés l’Altmark (équivalent à 1 euro) et le Pfennig (équivalent à 1 centime).

(*1) : Monnaie dont la valeur correspond à celle du poids de métal qui la compose, de l’or ou de l’argent dans le cas de l’Altrecht.
(*2) : Monnaie dont la valeur inscrite, sur un support matériel échangeable, est sans rapport avec celle de la matière qui compose ce support, qu’il s’agisse de métal, de papier ou d’un autre type de bien.

La "Reichsbank" est composée de trois grandes parties : l’aile Ouest, l’aile Est et l’aile Centrale.
- À l’Ouest, l’aile est consacrée aux bureaux et à l’administration de la banque, une aile classique où sont notamment accueillis les clients lors de leurs rendez-vous.
- À l’Est se trouve la partie habitable de la banque ; en effet, cette dernière dispose de petits appartements permettant d’accueillir du personnel 24h/24 afin d’assurer son bon fonctionnement ainsi que sa sécurité. On y trouve près d’une dizaine de petits appartements.
- Enfin, l’aile centrale est principalement dédiée à la représentation de la banque. Celle-ci est conçue pour impressionner : très vide, aménagée avec de grandes salles d’attente et un double escalier central, elle donne une impression d’écrasement et de grandeur. Cet escalier mène aux bureaux du Directeur de la Banque ainsi qu’à son appartement luxueux. Le Directeur vit 24 heures sur 24 dans la banque et pour la banque.

Au fil des siècles, plusieurs travaux ont permis l’ajout d’un ascenseur (interdit au public), reliant le bureau du Directeur à son appartement ainsi qu’à un sous-sol peu connu du grand public. En effet, ce sous-sol constitue une quatrième aile cachée, équipée de machines et outils servant à la fabrication de la monnaie fiduciaire du pays. On y trouve d’immenses rangées d’imprimantes automatiques et de bureaux. Une dizaine de coffres blindés y sont dissimulés pour stocker la monnaie créée en surplus.

Cependant, un détail est dissimulé…

Information confidentielle :


La banque cache deux autres coffres blindés, accessibles via des entrées secrètes dissimulées derrière les premiers. Ces deux coffres, distincts et non reliés, protègent deux choses bien différentes :
- Le premier contient et protège les réserves d’or du pays, sous forme de lingots d’un kilo chacun. Le contenu de ce coffre est estimé à 2 687 tonnes d’or.
- Le second abrite des valises contenant tous les secrets d’État de l’Altrecht : assassinats politiques, tentatives de déstabilisation à l’étranger, pressions sur des citoyens altrechtois et internationaux… Le contenu de ce coffre est inestimable.

Sécurité de la "Reichsbank" :

La "Reichsbank" est protégée en permanence par 22 gardes privés, exclusivement recrutés depuis les forces spéciales de l’Altrecht, ainsi que par 4 inquisiteurs chargés de surveiller son bon fonctionnement.
À l’entrée, un portique de sécurité en forme de cabine de détection doit obligatoirement être franchi. Il n’y a aucune autre manière d’entrer sans violence, sauf par une fenêtre ouverte (ce qui impliquerait d’échapper aux rondes).
Les fenêtres sont en verre pare-balles et, même brisées, sont protégées de l’intérieur par des barreaux en acier.
La banque est entourée en souterrain par 20 mètres de mur de béton, limitant les risques de tunnels. Les agents disposent de détecteurs de vibrations permettant de repérer toute activité inhabituelle sous le bâtiment.
Un dispositif de blocage d’urgence est activable depuis le bureau du Directeur ou la cabine de contrôle sécurisée à l’entrée. Il permet la fermeture automatique de la porte principale et des fenêtres par des murs d’acier blindé (22 cm pour la porte principale, 6 cm pour les fenêtres). Ce verrouillage dure 2 heures sans possibilité d’ouverture anticipée.
Trois générateurs autonomes permettent un siège de 12 jours.
Enfin, la quatrième aile souterraine peut être inondée en 8 minutes via des vannes connectées aux deux rivières proches. Cela crée une grande pression, bloque l’ascenseur, et rend la zone inaccessible.

Quant aux mallettes contenant les secrets d’État, elles ne peuvent être ouvertes que via un code à 12 chiffres changé toutes les 24 heures. Une moitié est connue par le Directeur de la Banque, l’autre par l’Empereur et le gouvernement.

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RP OBSOLETE NEMEDIE ARCHIVER

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Nom : Prison de Némédie


Prison de Némédie

Information principale :

Type : Prison
Création/fondation : 2016 → terminée en 2017
Créateur/fondateur : Initiative gouvernementale du Haut-État d'Altrecht

Présentation :


Large de 1 800 mètres sur 1 500 mètres, la Prison de Némédie est un établissement pénitentiaire pouvant accueillir 28 800 prisonniers en effectif réduit, sa capacité maximale pouvant aller de 57 600 à, dans un cas extrême, 70 272 prisonniers. Cette prison, venant d'être construite, est destinée aux citoyens altrechtois les plus dangereux, aux immigrés clandestins sur le territoire national, ainsi qu’aux non-citoyens némédiens ayant commis un crime envers l'Altrecht.

Cette prison est idéalement placée ; elle a été construite sur une base militaire de l'Altrecht en Némédie, afin d'être au cœur de la protection possible pour une prison. Étant en dehors du territoire national, cette prison n'a pas les mêmes règles que celles en Altrecht. En effet, mourir à l'intérieur y est fréquent, notamment car la rénovation a été très mal faite et à la va-vite, afin de pouvoir ouvrir cette dernière rapidement. L'isolation est mauvaise : il fait extrêmement chaud la journée à l'intérieur et très froid la nuit. Certaines cellules reçoivent même la pluie et du sable lors des tempêtes de sable. L'on pourrait croire qu'il est facile de s'en échapper, vu le mauvais état général, cependant la prison est surveillée 24h/24, éclairée de nuit, et est entourée de grillages barbelés, avec des gardes patrouillant autour de la clôture à hauteur constante de 250 gardes en patrouille, disposés à l'extérieur et dans les tours de surveillance. De plus, des agents pénitentiaires vivent sur place, ainsi que du personnel de vie. Il est estimé à 2 250 membres de personnel de différents corps, dont 1 500 gardes. Les cellules sont inspectées tous les jours, des caméras ont été installées dans chaque cellule, ne laissant aucune intimité aux prisonniers. Enfin, la prison est située dans une base militaire comptant environ 5 000 soldats permanents, en plus des gardes.

Le taux de mortalité élevé est dû aux nombreuses tentatives d’évasion se résolvant par un prisonnier criblé de balles. Pour le moment, aucun prisonnier n’a jamais réussi à s’échapper.
La nourriture est composée très rarement de viande ; c’est une alimentation principalement à base de légumes et de pain, la soupe étant un plat des plus fréquemment servis aux prisonniers. Le personnel, quant à lui, dispose de repas à base de viande et d’un mess des officiers pour les cadres.

Information non exploitable en RP :

La Prison de Némédie n’est pas seulement un centre de rétention, elle cache un secret. Les prisonniers sont exploités pour fabriquer du matériel militaire : obus, munitions, vêtements, chaussures, insignes et toute autre chose pouvant être créée sans trop de risque par des prisonniers pour l’armée. La journée, les prisonniers sont forcés de se rendre dans les ateliers et usines en face de leur dortoir, traversant la modeste cour où ils ne sont autorisés à passer du temps qu’une heure par jour, et pas tous en même temps. Sur place, il n’y a pas de médecin, seulement des infirmiers militaires n’ayant pas de quoi effectuer de gros soins. Il n’y a pas d’hôpital à proximité, pas d’infirmerie.

Les prisonniers sont souvent relâchés dans le désert lorsque leur nombre commence à trop peser sur l’équipe. Cependant, aucune donnée officielle n’est transmise pour montrer l’ampleur de ceux morts dans ce désert.

Sont enfermés ici, de manière non officielle, les non-citoyens se trouvant en Némédie (c’est-à-dire les personnes nées en Némédie mais non reconnues par le gouvernement, car considérées comme des nuisibles). Les militaires vont rafler des villages pour les emmener travailler de force dans les ateliers. Cependant, en échange, il leur est promis un meilleur logement que les détenus traditionnels, de la nourriture potable, et une balle pour ceux tentant de s’échapper.

Les alentours étant brouillés, aucune transmission ne peut être faite depuis les environs de la base. De plus, aucun téléphone n’est admis à l’intérieur de la prison. Seuls les militaires disposent de leur téléphone, mais ne peuvent s’en servir pour quoi que ce soit. De plus, avant de quitter la base, leurs téléphones sont fouillés et les militaires potentiellement sanctionnés (définitivement…).

1841
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Nom : Tour de l'Inquisition


Informations principales :

Tour de l'Inquisition

Type : Tour (dans la capitale)
Création/fondation : 1202 - 1205
Créateur/fondateur : Richard Freudenberger (architecte, servant au nom de l'Empereur)

Présentation :


Construite en 1205, la Tour de l'Inquisition est aujourd'hui un monument historique de l'Altrecht. Plus qu'un symbole, c'est une relique d'un glorieux passé où les hommes et les femmes du pays se battaient pour un avenir meilleur sans jamais douter un seul instant de l'Empereur. Cette tour est l'héritage de l'Ordre religieux de l'Inquisition, un ordre toujours actif aujourd'hui. Elle porte les traces du temps, positionnée au centre historique de la ville, gardée continuellement par deux policiers chargés de protéger ce lieu saint de toutes les organisations qui souhaiteraient entacher la mémoire du pays.

Cette tour est haute de 19 mètres et profonde de 12 mètres. Elle est composée d'une porte massive en bois, menant à l'entrée où est installée une cellule et un bureau de garde. On retrouve aux étages supérieurs une bibliothèque, des bureaux et un dortoir. Tout en haut se trouve un poste d'observation et de défense, servant à scruter la ville et notamment à relayer les signaux envoyés par d'autres postes ou par le château pour prévenir d'un danger ou d'un problème. Elle dispose aujourd'hui de fenêtres, installées très tardivement dans son histoire, car à l'époque aucune ouverture n'était visible depuis l'extérieur. Dans ses profondeurs, on retrouve des cachots. Une multitude de cellules, dont certaines sont conçues pour que la seule manière de sortir soit de grimper à une corde lancée par la trappe au-dessus. Un formidable moyen d'enfermer, d'oublier et de torturer moralement les condamnés.

Historiquement, cette tour a été l'un des principaux sièges de l'Inquisition, servant de centre d'exécution, de torture et d'emprisonnement. Elle était redoutée des habitants de la capitale. De nombreuses légendes et histoires tournent autour de celle-ci, notamment une racontant qu'un jour, un grand prêtre de la tour aurait assassiné par poison son Empereur et déclenché une guerre civile. Mais ce ne sont que des histoires, rien de plus.

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