Ce topic est réservé aux activités internes dans le Sultanat du Ghamdan, ici on a un suivi des évènements, des projets, des conflits territoriaux et toutes les affaires internes du pays. Veuillez prendre en compte que ce qui est écrit ici ne sont pas classés publique tant qu'il ne sont pas officiellement reconnus dans la presse Ghamdanes. Parfois des informations se trouvant dans ce Topic sont en RP classé Top Secret.
Activités Internes au Ghamdan
Posté le : 25 avr. 2025 à 20:14:19
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Ce topic est réservé aux activités internes dans le Sultanat du Ghamdan, ici on a un suivi des évènements, des projets, des conflits territoriaux et toutes les affaires internes du pays. Veuillez prendre en compte que ce qui est écrit ici ne sont pas classés publique tant qu'il ne sont pas officiellement reconnus dans la presse Ghamdanes. Parfois des informations se trouvant dans ce Topic sont en RP classé Top Secret.
Posté le : 26 avr. 2025 à 19:35:05
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Dossier : Classé Confidentiel-Défense
L'opération Battuta visant à réarmer massivement le Ghamdan prend place sous les ordres d'Akram Amir Nassr II. Cet opération se concentrera sur le réarmement nucléaire et les technologies explosives pour augmenter l'efficacité et le pouvoir de dissuasion de l'armée. Près de 25 000 000 000 de Dinars Ghamdan ont été dépensés dans les actuelles investissement nucléaires soit 21 414 376 755,979 Dinars Ghamdans en cumulé sur 15 ans donc près de 2 000 000 000 de Dinar Ghamdan par an dans le réarmement nucléaire soit 1/8 du budget national en 65 ans de carrière le Maréchal n'a jamais vu cela un armement total de dissuasion nucléaire pour près de 2 Milliards de Ghamdan par an sachant donc que la fortune du gouvernement s'élèverait à 501 000 000 dans le système mondial soit 160 000 000 000 de Dinar Ghamdan . Cet investissement financé par le rachat du pétrole et qui propulsera forcément la militarisation Ghamdane. Quant aux militaires, ils sont entraînés avec des spécialistes ayant servi à l'étranger à l'autrefois afin d'être formé à l'espionnage. Le Ghamdan est en plein essor.
Posté le : 28 avr. 2025 à 07:35:33
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Dossier:Top secret défense
Port de Mirfah 07:00 04/06/2016
Nous accusons la réception du matériel Militaire au Ghamdan dans le cadre de son projet de réarmement avec le projet Battuta. Nous avions donc bien octroyé 30 avions de chasses, 20 Lances-missiles mobile type véhicule et 1 sous-marin d'attaque, le réarmement massif du Ghamdan commence donc à se développer.
Les recherches en technologies armées ont bien avancés ses derniers mois et devrait nous permettre de nous constituer une armée assez correcte. Le développement des forces armées continueront dans le cadre d'une potentielle avec le Yorkshing. Le Ghamdan préparant donc une armée de dissuasion contre tout assaut contre lui. Ses efforts seront donc concentré sur le plan militaire.
Posté le : 03 mai 2025 à 12:33:55
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A.Introduction du projet:
-Selon des études menés par l'Université Technologique d'Al-Qadima principalement dirigée par le professeur Aziz Mazraoui, dans de nombreux pays en développement, l’adoption de technologies numériques reste limitée à certaines sphères (privées, urbaines, institutionnelles), alors que les citoyens, notamment en milieu rural, ne sont ni consultés ni impliqués dans le développement d’outils qui pourraient pourtant répondre à leurs besoins concrets (santé, éducation, eau, énergie, etc.). Ces caractéristiques sont particulières en milieu Afaréen et le Ghamdan inclu, d'ailleurs voici des statistiques qui soutiennent cette théorie du sous développement du numérique au Ghamdan:
1. Accès limité aux outils numériques
- 42 % des foyers en milieu rural ne disposent d’aucun appareil numérique fonctionnel (téléphone, tablette, ordinateur).
- 68 % des jeunes âgés de 15 à 24 ans disent n’avoir jamais utilisé un ordinateur à des fins d’apprentissage.
- Seuls 12 % des villages sont couverts par une connexion Internet stable.
- En milieu urbain, le débit moyen est de 2,3 Mbps, contre 0,6 Mbps en zone rurale.
75 % des établissements scolaires publics n’ont pas d’accès régulier à Internet.
- 54 % des agents communautaires de santé déclarent ne pas se sentir capables d’utiliser une application mobile de collecte de données.
- 61 % des responsables communaux n’utilisent jamais les plateformes en ligne mises à disposition par l’administration.
- Sur 28 plateformes numériques développées dans le cadre de projets pilotes au cours des 5 dernières années, seules 4 sont encore utilisées à ce jour, faute d’appropriation par les usagers.
- 82 % des technologies introduites dans les zones rurales ne prennent pas en compte les réalités linguistiques ou culturelles locales.
- 89 % des jeunes interrogés dans les trois régions pilotes affirment vouloir « apprendre à créer des solutions numériques utiles à leur communauté ».
- 6 communautés rurales sur 10 ont déjà exprimé une problématique locale qu’elles aimeraient résoudre grâce à un outil numérique.
- Lors de consultations locales, 94 % des citoyens ont dit souhaiter être « davantage impliqués » dans la conception des outils numériques les concernant.
Interprétation de ces chiffres :
Source:Université Technologique Al-Qadima-Etude du développement numérique.Pr Aziz Mazraoui
B.Objectif Général du projet Tech4citizens:
Concevoir, tester et documenter des solutions technologiques co-développées avec les citoyens pour améliorer des services publics locaux (santé, éducation, agriculture, gestion de l’eau), dans une logique de recherche participative et d’empowerment communautaire.
Donner un nouveau souffle à la communauté rural via les différentes technologie disponible que peuvent fournir l'Etat avec comme partenariat Techspere int. Développer l'économie rural sous les plans agricoles et le développement humain en fournissant un meilleur service public dans les régions reculés.
C.Objectifs spécifiques
- Identifier, avec les communautés locales, les besoins prioritaires pouvant être résolus par la technologie.
- Mobiliser des étudiants, chercheurs, développeurs et citoyens autour de laboratoires vivants (« living labs »).
- Prototyper des solutions technologiques adaptées (applications mobiles, capteurs, plateformes) avec les bénéficiaires.
- Évaluer l’impact socio-économique des prototypes co-développés.
- Proposer un modèle reproductible de recherche participative dans le domaine technologique.
D. Méthodologie
- Approche interdisciplinaire (sciences sociales, informatique, ingénierie, design, économie).
- Living labs universitaires décentralisés dans 3 régions pilotes, en partenariat avec les collectivités territoriales.
- Processus participatif itératif : diagnostics communautaires, co-conception, tests utilisateurs, retours d’expérience, améliorations continues.
- Utilisation d’outils libres pour garantir la réplicabilité et l’appropriation locale.
E. Impact du projet
- Création de solutions technologiques citoyennes réellement utiles.
- Renforcement des compétences numériques dans les universités et les communautés.
- Consolidation d’un modèle de recherche-action participative dans le domaine technologique.
- Réduction de la fracture numérique et stimulation de l’innovation sociale.
- Génération de publications scientifiques et de prototypes à forte valeur ajoutée locale.
