22/12/2016
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Création de pays : Royaume de Ameria

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Création de pays : Royaume de Ameria


Généralités :



Nom officiel : Royaume de Ameria
Nom courant : Ameria
Gentilé : Amerien, Amerienne

Inspirations culturelles : Maghreb, egypte, pays arabes.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Arabe Amerien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Berate, Tamazight
Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Notre royaume, notre honneur.
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Mitqal Amerien - مثقال عامري symbole: م.ع

Capitale : Amera

Population : 120 000 000

Superficie totale : : 917 596 km²


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Préhistoire

La Préhistoire d'Améria débute avec les premières traces d'occupation humaine sur le sol du pays, remontant à environ 1 millions d'années, et se termine avec l'émergence des premiers textes amazighs, connus sous le nom de Tifinagh, entre les années -4400 et -3500

les premiers humains

Deux sites majeurs ont révélé de nombreux vestiges de cette époque. Le site préhistorique de Maajoubiya, situé dans le département 20. Jbel Ajmid, qui contenait des outils lithiques qui datent entre 1.3 et 0,7 million d'années., tels que des bifaces et des hachereaux. Les vestiges découverts sur ce site sont principalement composés d'ossements d'animaux fossiles et d'outils en pierre taillée.
L' autre site important est celui de Barawiya, dans le sud du département 15. Jabaliya, ce site est célèbre pour avoir livré des anciens fossiles d'Homo sapiens, avec un total de 32 fossiles découverts. Une ancienne grotte dans la montagne de Barawiya, a révélé son premier fossile humain en 1976 : un crâne complet, désigné sous le nom Ameri 1, trouvé par des chercheurs en archéologie qui ont estimaient son âge à 250 000 ans.
Ce fait historique est très apprécié par les Ameriens et les rend très fiers car ils se considèrent comme les premiers humains de l'histoire.

La Première écriture
Le tifinagh est originaire des tribus nomades du sud-est du pays appelées les Touaregs. Bien avant l’arrivée des grandes civilisations, les Touaregs gravaient des symboles sur les rochers pour transmettre leurs connaissances, leurs histoires et leurs lois tribales. Dans cette époque ces symboles été appelés ''ⴰⵣⴰⵎⵓⵍ ⵏ ⵓⵖⵕⴰⴱ - azamul n uɣṛab'' qui signifie simplement symbole mural.
ces ''azamul n uɣṛab'' ou symboles muraux ont progressivement évolué pour former l'alphabet tifinagh, le mot « Tifinagh » peut être traduit par « notre écriture » et ce nom a été historiquement donné par la première civilisation amazigh vers 1700 avant JC lorsque les Amazighs ont commencé à écrire avec de l'encre sur le Bois, les planchettes, les Feuilles de palmiers et Peaux d’animaux (parchemin).

Fait historique ; Avec l'arrivée des Arabes, l'écriture tifinagh a presque disparu au fil du temps et n'a été écrite sur papier qu'en 1789 par un écrivain nommé Salman Ait Toumert, dans une tentative de la faire revivre. Avec l'ère arabo-islamique, et malgré la survie de la langue amazighe, les Amazighs ont commencé à écrire leur langue en utilisant les alphabets arabe et eurysienne. Mais grâce à Salman, le Tifinagh a pu survivre.

Antiquité

Civilisation Pharaonique Est du pays
Dans les régions orientales du pays vivait un peuple ancien appelé les Touacheneq. À l'origine, il s'agissait de modestes communautés tribales qui prospéraient grâce à l'agriculture, à la chasse et au commerce avec leurs voisins. À partir de 2680 av. J.-C., une grande civilisation émergea dans la région sous le règne du roi Qemshangbeh 1er, après trois génération, le roi de Samacheti, se proclame Pharaon ; c'est pourquoi cette civilisation est appelée « civilisation pharaonique ».

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De vastes temples, palais, et pyramides furent construits , et un complexe administratif religieux et politique fut établi, et meme que le Pharaon fut divinisé. Dans les années 1300 av. J.-C, des conflits extérieurs commencèrent à affecter le territoire, jusqu'en 1150 av. J.-C, lorsque l'empire pharaonique des Touacheneq fut envahit par leurs voisins ''les amazighs'' venu de l'ouest.
ainsi ces région comptent 203 pyramides, dont les plus célèbres sont la pyramide de Khâsekhmem et la pyramide de Sekhenrê, devenus aujourd'hui des sites touristiques en plein désert.

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La Civilisation Amazigh
Alors qu'une civilisation s'était déjà développée à l'est du pays, l'ouest était peuplé de tribus dispersées et de villages modestes. Vers 1700 av. J.-C., des tribus du nord-ouest, plus connues pour leurs talents commerciaux, s'unirent pour former la première civilisation berbère de l'histoire du pays, les Tadukli. Cette civilisation prospéra grâce au commerce et à l'agriculture. En 1650 av. J.-C., après des années de règne tribal, ils élirent un grand chef, Imlek Afarid.
Les Taduklis ne sont pas connus pour être de grands bâtisseurs ou de grands seigneurs de guerre, mais plutôt pour être un peuple amical de commerçants, ainsi que des grands poètes qui nous ont laissé plusieurs écrits en langue amazighe.

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Les siècles suivirent et plusieurs grands chefs furent élus jusqu'en 1350 av. J.-C. Le Grand Chef Akali n Terri interdisit le conseil tribal et se proclama « Agellid - Roi », puis annexa plusieurs tribus à son royaume. Sa dynastie survécut mille ans plus tard, notamment la reine Hira n Terri, l'une de ses descendantes, c'est elle qui envahit l'empire pharaonique des Touacheneq en 1150 av. J.-C.

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L'arrivée du christianisme

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Entre 1150 et 350 av. J.-C., la dynastie des Terridides annexa les territoires du nord de l'actuel royaume d'Ameria, le long des deux mers.
Mais après 350 av. J.-C. et la chute de cette dynastie, le pays fut divisé en plusieurs petits royaumes, et certaines régions retournèrent même à l'ère tribale.
Vers 120 av. J.-C., des commerçants et des missionnaires venus d'Eurysie et du Nord-Est de l'afarée introduisirent une nouvelle foi : le christianisme. Initialement minoritaire et clandestine, cette religion gagna progressivement en influence, notamment dans les villes commerçantes et les vallées reculées où les anciens cultes étaient déjà affaiblis. Au fil du temps, certains rois locaux se convertirent et des églises furent construites sur les ruines d'anciens temples. Malgré cela, le christianisme ne parvint pas à atteindre l'ensemble de la population et ne parvint pas à pénétrer les régions du sud. Même les localités touarègues et les habitants de la rivière Janka (qui divise le pays) étaient hostiles à cette religion et décidèrent de rester fidèles à leur foi, jugée païenne par les chrétiens.

Des siècles passèrent sans que les royaumes et les tribus ne s’unissent, et ces terres devinrent des proies faciles pour les invasions étrangères.

Conquête islamique

En l'an 756, alors qu'au nord les royaumes étaient en désaccord et en guerres perpétuelles, au sud, à Bunta, un petit village près du lac Hamia, un groupe de 1 500 Arabes venus d'un pays lointain, guidés par un Sage homme, Amer ibn Tamer, vint à la recherche d'une cité d'or,source de toutes les sources d'eau du pays. Les habitants de Bunta, d'abord méfiants, furent bientôt conquis par les paroles d'Amer, pleines de mysticisme et de sagesse, il parlait d'un Dieu inreprésentable et d'un prophète nommé Muhmmad. Peu à peu, les habitants de Bunta furent fascinés par ces paroles et par sa quête de la cité d'or. Amer raconta que des textes religieux de la Sunna parlaient d'une prediction qu'un conquérant va conquerir cette ville, des années passent et ses paroles se répandirent jusqu'au lac Hamia et même dans d'autres villages de la région. Au fil des ans, ses disciples continuèrent à prêcher leur religion, l'islam, et d'autres Arabes rejoignirent Amer et son groupe jusqu'à devenir nombreux. Avec l'aide des nouveaux musulmans locaux, ils partirent à la recherche dans tout le désert, jusqu'à ce qu'ils se développent et fondent de grandes villes dans le désert et autour du lac.

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En 774, Amer ibn Tamer mourut, et son petit-fils, Amer ibn Mohammed, reprit les rênes et les recherches. Au bout de deux ans, la région comptait deux grandes villes et douze tribus, principalement arabo-musulmanes ainsi que des converties Touaregs et Amazighs. La population décida d'officialiser son statut et, de fait, la Bay'ah prêta serment d'allégeance à Amer ibn Mohammed Sahrawid, faisant de lui le premier calife et le pays prends son nom et celui de son grand-père Ameria (ainsi le fondanteur de la dynastie Sahrawid).

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Après cinq ans, les oulémas et les grands philosophes du pays affirmèrent au calife que la cité d'or dont parlait son grand-père n'était pas un mythe, mais qu'elle existait bel et bien au le long de la rivière Janka, elle s'appelle abalietas sous le controle d'un royaume Berbero-chretien Slamikia. Il décide de mener la première campagne militaire musulmane sur le territoire, alors que avant la plupart des arabo-musulmans arrivait pacifiquement dans le pays.
Après 150 ans, après plusieurs batailles et longues guerres contre plusieurs petits royaumes païens et chrétiens, les musulmans furent triomphants et réussirent à unifier tout le territoire, et en 1091 le calife Abdulkarim ibn Masuud Sahrawid surnommé al Fatih pour avoir réussi à franchir les grandes murailles d'abalietas et changer son nom en Amera.

Au cours des siècles de recomposition politique, une véritable fusion culturelle s'est opérée entre les descendants des Arabes et les populations locales (amazighes, touaregs, Touacheneq, et autres). Grâce au mariage, au commerce et à la cohabitation, un nouveau peuple hybride est né, le peuple Amerien.

Chute des Sahrawides
Après plus de quatre siècles de règne, la dynastie des Sahrawides, s’était éloignée peu à peu de ses principes originels. Si les premiers Califs furent des souverains pieux et justes, les derniers quant a eux ont ete trop préoccupés par la richesse et les intrigues de cour, perdirent le soutien du peuple et des élites religieuses.
Le dernier calife Sahrawid, Jamal XI Sahrawid, fut renversé en 1181 après une série de famines, de révoltes rurales et de guerres internes menées par des gouverneurs ambitieux.
trois dynasties se succédèrent : les Hamraouides (1181-1250), les Zubaydides (1250-1400), et la dernière celles qui règnent jusqu'à nos jours, les Amérides (1402-x).


les Amérides
En 1400, une autre guerre civile éclata parmi les notables du pays contre la tyrannie du calife Yassin II Zubaydad. La rébellion a pris fin deux ans après avec l'arrivée au pouvoir d'un noble nommé Amer Amerid, qui était très ouvert d'esprit envers les autres pays du monde et avait une vision d'un Ameria ouvert au commerce et aux échanges culturels avec d'autres nations. sa décision la plus célèbre fut l’abolition du califat et l’établissement d’une monarchie, il fut le premier musulman de Ameria à prendre le titre de roi.

L'âge d'or du royaume d'Ameria

Ce que les Ameriens appelleront plus tard Saahwa al-Ameria (Réveil Amerienne) débuta vers 1420, sous le règne éclairé du roi Amer I, La société a connu un formidable essor intellectuel et artistique : les philosophes ont développé de nouvelles écoles de pensée qui combinaient spiritualité, sagesse ancienne et traditions locales ; Les artistes ont redéfini les règles du théâtre, de la calligraphie et de la musique ; Alors que les inventeurs développaient de nombreuses inventions, notamment dans les techniques agricoles, le pays en avait besoin car il était à moitié désertique.

Al Tabii Nazumi

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En 1435, un mystérieux navire venu d’un lointain continent appelé Nazum fit naufrage près des côtes de Yazidia. Seul un homme, Xiu Xing, et sa famille survécurent. Accueillis par un petit village à proximité, ils furent d’abord perçus comme des êtres venus d’un autre monde. Xiu, brillant inventeur et maître artisan, apporta avec lui des savoirs inconnus dans la région et a été impressionné par la culture de la population locale et s'est converti à l'Islam.
Xiu Xing est notamment resté célèbre pour avoir introduit et perfectionné une machine primitive d’impression, permettant de reproduire rapidement des textes. Cette invention, jamais vue auparavant dans la région, révolutionna la diffusion du savoir et contribua largement à l’essor culturel de l’époque. C'est pour cette raison qu'après sa conversion à l'Islam, il prit le nom de Al Tabii Nazumi, qui signifie : le typographe nazumien.
Pour le remercier de ses contributions exceptionnelles, le roi offrit à Xiu Xing un village en bordure de Yazidia, où il s’installa avec sa famille et fonda une petite communauté prospère. Le roi l’intégra également à son conseil, faisant de lui l’un des premiers étrangers à occuper une telle position. Les descendants de Xiu Xing, devenus des artisans, lettrés et ingénieurs respectés, continuèrent à servir le royaume à travers les siècles, et leur lignée, porteuse d’un héritage unique mêlant traditions locales et savoirs venus d’ailleurs, est encore présente aujourd’hui dans la région.
Aujourd'hui, il y a un total de 14 789 citoyens descendants de Xiu Xing et de ses enfants, la majorité vivant dans son village. Outre leur apparence et leur architecture distinctives, les Xing - ou Nazumameriens comme les appellent les locaux - sont très semblables aux autres citoyens du pays, avec la même mentalité et la même langue.

L'ère de la piraterie

L'ère de la piraterie fut l'une des périodes les plus intéressantes de l'histoire maritime du royaume, s'étendant du XVIIe siècle au début du XIXe siècle. À cette époque, avec l'expansion des grandes routes commerciales maritimes, les côtes du pays sont devenues un véritable refuge pour les pirates.

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Parmi eux, les Mensheriks, ou comme les appelaient les locaux, les « Berrates » – descendants de chrétiens eurysiens et non ameriens qui se sont convertis à l’islam avec l’essor de l’islam – ont joué un rôle central. En raison de leur marginalisation politique et sociale, ils ont trouvé dans la piraterie un moyen de résistance, de se reconstruire et parfois même de pratiquer une forme de justice alternative. Ils étaient craints en raison de leur organisation, de leur connaissance des technologies navales étrangères et de leur réseau secret de ports.

Rahal Lahmar, Souvent appelé le Diable rouge (parce qu'il avait les cheveux roux), l'un des pirates ''Berrates - Mensheriks'' les plus notoires, il a ravager la côte nord du pays, en particulier la ville dAmera et Farajia. Il fut capturé après 27 ans de piraterie par la compagnie royale de la préservation des mers et exécuté en 1111, le Roi Jalil VI la exécuté lui-même pour se venger d'avoir tué son fils, le prince Daher.

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(de gauche a droite) Rahal Lahmar, Abed ait hami, Al-Mutanam al-Asfar, Soufian Maafi

De nombreux Berbères des régions montagneuses et côtières, ainsi que des Arabes issus de tribus marginalisées ou de marins sans attaches, rejoignirent la vague. Ces pirates mêlaient traditions locales, codes d'honneur tribaux, et ambitions personnelles.

Cette époque produisit des figures légendaires : Rahal Lahmar, Abed ait hami, un capitaine berbère connu pour ses navires fantômes ; Al-Mutanam al-Asfar, un poète arabe devenu corsaire ; ou encore Soufian Maafi, un ancien noble.

Au fil du temps, les pirates ont été contraints d'abandonner les mers en raison de la poursuite des armées royales et des flottes étrangères. Beaucoup d’entre eux se sont retirés à l’intérieur des terres, s’installant dans certaines villes côtières et dans les quartiers populaire des grandes villes. Aujourd'hui, dans 12 villes du Royaume, il existe une zone appelée Hay el-Berate, une zone qui était autrefois habitée par ses anciens pirates.
Cette époque mouvementée a laissé un héritage durable : chants marins, légendes, ports hantés... mais surtout une langue unique, la langue du créole des pirates, mélange de berbère, d'arabe, de dialectes mandchous et d'emprunts à des langues étrangères rencontrées en mer, cette langue et aujourd'hui appelée Berate.

Ère moderne

Progressivement, de nouvelles idées issues d’autres pays, comme le libéralisme, le socialisme et le nationalisme, ont commencé à émerger parmi la population. Des journaux politiques, des groupes de réflexion et même des partis politiques clandestins ont vu le jour. Le peuple, qui avait autrefois obéi sans soulever d’objections, commença à exiger des droits, une représentation et des réformes.

Face à une pression grandissante, la monarchie a dû s’adapter. Après des années de tensions, de protestations et de dialogue, le pays a été déclaré monarchie constitutionnelle. Les figures royales ont toujours une signification symbolique, jouant le rôle d’unificateur du peuple et de protecteur des traditions. Cependant, le pouvoir réel s’est progressivement déplacé vers le parlement et les gouvernements civils.

En 1990, le panarabisme a commencé à occuper le devant de la scène. Animé par l'idée d'établir une grande unité culturelle, linguistique et parfois politique entre les peuples arabophones, le mouvement a attiré une partie de la jeunesse instruite et de les intellectuels du pays. Pour eux, il ne s’agit plus seulement d’appartenir à un ancien royaume, mais de participer à quelque chose de bien plus grand : la renaissance d’une nation arabe forte, libre et moderne. Les journaux et les écoles promeuvent cette vision, tandis que certains militants appellent à la réconciliation et même à l’union politique avec d’autres pays arabes.

Conclusion

Malgré cette riche culture et cette histoire, le pays est confronté à certains défis modernes : la surpopulation dans les grandes villes, un développement régional inégal et une grande partie du pays est désertique, ce qui rend difficile le développement ou l'habitation. Pris entre souvenirs glorieux et réalités contemporaines, le Royaume s’efforce de construire un avenir à la hauteur de son passé.

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Mentalité de la population :
Le peuple Amerien est très fier de son histoire, et même s’il existe des différences ethniques, ces différences ne posent pas de problème car les groupes du pays sont en grande partie similaires au niveau culturel, et au fil du temps, les Ameriens ont appris à se mélanger et à coexister. Le peuple est très dynamique et très proches de la vie politique. Le seul problème est la surpopulation et la majorité des Ameriens refusent de migrer vers les zones peu peuplées, même si le gouvernement alloue d’énormes budgets pour construire des villes dans ces zones.

Place de la religion dans l'État et la société :
L’islam sunnite est la religion officielle de l’État, mais de nombreux principes de la loi islamique '' la charia'' ont été délibérément exclus de la constitution afin de promouvoir l’unité nationale et la liberté de croyance.
Le respect de la religion musulmane est une obligation, surtout lors des fêtes religieuses. Par exemple, manger en public pendant le Ramadan (le mois où les musulmans jeûnent) est passible de lourdes amendes.
Avec la montée des idéologies athées, agnostiques, humanistes et autres, une partie de la population exprime aujourd’hui le désir d’une séparation plus claire entre les institutions religieuses et l’État. Ces aspirations se traduisent par une demande croissante d’un royaume laïc.

Religions au Royaume d'Ameria ;

Islam sunnite (81,88 %) : 98 250 000

Islam chiite (0,13 %) : 150 000

Christianisme (8%) : 9 600 000

Judaïsme (0,05%) : 60 000

Jalwanisme (religion local apparu en 1889) (1,45%) : 1 740 000

Non-croyants (athées, déistes, etc.) (7%) : 8 400 000

Autres religions (1,5%) : 1 800 000


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le pays est une monarchie constitutionnelle, où le roi symbolise l’unité nationale. Bien que son autorité soit soumise à la constitution, il joue un rôle essentiellement symbolique et conserve une influence limitée dans les affaires stratégiques, notamment à travers le Mikhzan, institution consultative traditionnelle dont le rôle est de surveiller et d'examiner les différentes autorités du pays. Le gouvernement, formé par un parlement élu, exerce le pouvoir exécutif, établissant ainsi un équilibre entre la tradition royale et les institutions démocratiques contemporaines.

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Principaux personnages :

Sa Majesté le Roi Mounir III Amerid
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le prince héritier Nabil Amerid
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Premier ministre ; Ahmed Bahloun

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Président général du Parti de la Renaissance nationaliste arabe (un parti d’opposition très influent) ; Jalal Abu Afrit

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Politique internationale :
Au niveau international, Ameria pays est très ouvert aux pays Afaréens et préfère avoir davantage de relations avec les pays qui partagent la même sphère culturelle que lui, notamment les pays arabes. Cela ne l’empêche cependant qu'il essaye de s’ouvrir davantage aux autres pays, même si c’est avec prudence.
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Fiche prête pour examen
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Bonjour !

La fiche est bonne, elle est validée et le pays est installé.

Je t'invite à rejoindre le serveur discord associé si ce n'est pas déjà fait, celui-ci permettant une meilleure coordination des joueurs.

Sur ce, bon jeu !
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