11/05/2017
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Garmflüßensteinerische Regierung - Nationales Kulturamt


Garmflüßensteinerische Kolonialenzyklopädie
Encyclopédie Coloniale Garmflüßensteinoise

Ici seront regroupés tous les écrits informant sur la glorieuse histoire coloniale du tout aussi glorieux Garmflüßenstein, ainsi que sur la colonie d'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise qu'il possède toujours de nos jours.

Sommaire

I. Civilisation
A. Esclavage

II. Géographie


Mise en forme[center][b][size=2]Geschichte[/size]
[size=1.2]Histoire[/size][/b][/center]

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2549
Sklaverei
Esclavage


Bien qu'officiellement, l'esclavage soit aboli depuis longtemps dans la colonie d'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise, il se perpétue encore à notre époque moderne sous une forme différente administrativement, mais largement semblable dans la pratique.

Selon les sources du régime orthografiste et des précédents régimes garmflüßensteinois donc, l'esclavage a été aboli dans la colonie dans les années 1900, vers les derniers temps des républiques qui gouvernaient le pays, à la faveur d'une coalition de progressistes qui était au pouvoir à ce moment-là.
Les administration locales avaient cependant reçu pour consignes de la part des conservateurs de ne pas libérer les esclaves, et de chercher des prétextes pour les envoyer au travail forcé à vie. On vit donc à cette époque des inculpations pour des motifs des plus ridicules, tels que "pour avoir trébuché et gêné le passage de braves gens [des colons blancs]", "pour avoir volé une poule", "pour avoir lancé un regard insultant à un magistrat" et bien d'autres…

Plus tard, grâce à la mise en place du régime orthografiste, d'autres méthodes semblables ont été trouvées pour maintenir les population afaréennes dans une condition de servitude. La stratégie étant, dans un État qui punit par la loi les écarts en orthographe et grammaire, d'empêcher aux afaréens d'avoir accès à l'éducation, ou du moins l'éducation en langue allemande. Ainsi, bien que la plupart sachent parler allemand à l'oral, toutefois avec un accent et des fautes récurrentes (ce qui n'est déjà pas une chose positive au Garmflüßenstein), presqu'aucun afaréen n'est capable d'écrire. Il suffit ainsi, pour les condamner à des travaux forcés à vie (ou du moins sur des périodes longues), de leur demander d'écrire. Pratiquement aucun afaréen ne s'en trouve capable, et est jugé pour crime littéraire grave. Les condamnations sont rapidement montées en épingle, et passent d'un an de travaux forcés à cent-vingt ans dès le troisième passage devant le tribunal orthografiste.

Ainsi, l'économie afaréenne du Garmflüßenstein tourne très bien grâce à une main d'œuvre non payée, qu'il suffit de nourrir avec une petite partie des récoltes qu'elle produit. Plusieurs entreprises de toutes nationalités en profitent ainsi pour s'implanter en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise, ce qui contribue à donner de l'intérêt à l'existence de cette colonie aux yeux de dirigeants étrangers. Les sociétés-écrans du pays permettent aussi d'écouler les stocks sur le marché international sans avoir à s'embarrasser de la provenance, qui répugnerait probablement plus d'un consommateur.

Une file de porteurs afaréens en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise dans les années 1920. La situation n'a évolué aujourd'hui qu'avec la mécanisation des tâches.
Une file de porteurs afaréens en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise dans les années 1920. La situation n'a évolué aujourd'hui qu'avec la mécanisation des tâches.
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