22/12/2016
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Kingdom of Belgravia

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Création de pays : Belgravie


Généralités :



Nom officiel : Royaume de Belgravie
Nom courant : Belgravie
Gentilé : Belgrave

Inspirations culturelles : Royaume Uni, Espagne et France
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Belgrave
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :Gaelique

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Dieu, Le Roi, La Famile
Hymne officiel : Janiera
Monnaie nationale : Quartz

Capitale : Caledonia

Population : 68 456 321 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Histoire
Le Royaume de Belgravie est l'un des premiers pays chrétiens de l’histoire, et il a été fondé en l'an 60 ap. J.-C. sous la direction du prince Elyahaz de la Maison d’Elyazâr. Ce royaume est né de l’unification des tribus Zavaïtes, unifiées par le Traité d’Utrecht signé en l'an 59 ap. J.-C. par les chefs des tribus Zavaïtes. Ce traité a constitué la base juridique et coutumière des tribus Zavaïtes, jetant les fondements de la structure politique du royaume.

Le Royaume de Belgravie a officiellement adopté le christianisme en l'an 60 ap. J.-C., lorsque son roi se convertit au christianisme. Cette conversion fut un moment décisif dans l’histoire du royaume, marquant le début d'une ère de prospérité spirituelle et politique. Le royaume devint un phare de la foi chrétienne, avec une influence qui se répandit au-delà de ses frontières.
Organisation Territoriale et Administrative

Le Royaume de Belgravie est structuré autour de douze régions historiques, fondées sur les anciens territoires des tribus Zavaïtes. Ces régions, bien qu’unies sous une autorité monarchique centrale, conservent une forte identité locale, à la fois culturelle, linguistique et coutumière. Le cadre institutionnel du royaume reconnaît cette diversité à travers un modèle unitaire décentralisé, qui accorde aux régions une autonomie fonctionnelle sur des domaines comme l’éducation, la culture, la gestion des terres et certaines politiques sociales.

La capitale Caledonia, située dans la région de Kandara, joue un rôle de pivot national. Elle concentre les pouvoirs politiques, religieux et administratifs, tout en accueillant le Palais royal, les institutions parlementaires, et le Haut Conseil spirituel. Cette concentration renforce son statut de cœur symbolique et stratégique du royaume, mais alimente aussi parfois des sentiments de marginalisation dans les régions périphériques.

Les régions du nord et de l’ouest, historiquement plus urbanisées et tournées vers le commerce et les arts, bénéficient d’infrastructures développées, de réseaux commerciaux anciens, et d’un fort rayonnement culturel. À l’inverse, les régions méridionales et orientales, à dominante rurale ou montagneuse, connaissent un développement plus inégal, marqué par un attachement profond aux traditions et un rythme de modernisation plus lent. Cette disparité crée une fracture territoriale persistante entre les régions dites "du cœur" et celles "des confins".

Certaines régions, historiquement fières de leur autonomie culturel, affichent parfois une méfiance vis-à-vis de l’autorité centrale. Ces tensions sont gérées par un équilibre institutionnel délicat.

  • Kandara, Caledonia – Peuple : les Caldènes
  • Anciens bâtisseurs d’empires, fondateurs des lois sacrées et de l’ordre royal. Leur héritage est au cœur de l’identité belgrave.
  • Velbrun, Drakar – Peuple : les Bruniaks
  • Peuple des montagnes, forgerons et guerriers redoutés. Leurs armes et leur courage ont forgé la réputation militaire de la Belgravie.

  • Isbaria, Vallencourt – Peuple : les Isbarii
  • Agriculteurs et éleveurs de l’antiquité, organisés en clans. Gardiens des traditions rurales et du calendrier sacré des moissons.

  • Norwald, Eldenmoor – Peuple : les Norwaeds
  • Peuple forestier, mystique et druidique. Ils vivaient en harmonie avec les arbres, les astres et les cycles naturels.

  • Solmire, Port-Vesper – Peuple : les Solmarins
  • Navigateurs légendaires, commerçants des premières routes maritimes. Leurs cités portuaires sont les plus anciennes de Belgravie.

  • Aerenth, Altherya – Peuple : les Aeralithes
  • Philosophes et savants. Ils fondèrent les premières académies et croyaient que la raison était une voie vers le divin.

  • Tharsen, Caerforge – Peuple : les Tharens
  • Peuple du feu, vivant près des volcans. Forgerons mystiques, ils vénéraient un dieu-marteau créateur de mondes.

  • Bravell, Castregard – Peuple : les Bravelins
  • Nobles guerriers, grands chroniqueurs de guerre. Leur culture chevaleresque est à l’origine du code d’honneur belgravien.

  • Elyndor, Roselune – Peuple : les Elindéi
  • Peuple de la beauté et des arts. Poètes, musiciens et architectes. Leurs légendes influencent encore les arts nobles.

  • Mirelande, Faenmarsh – Peuple : les Myrrans
  • Habitants des marais, maîtres des plantes, des esprits et des secrets. Connus pour leurs connaissances en alchimie et en médecine ancienne.

  • Karesth, Veilrock – Peuple : les Kareskars
  • Peuple des steppes et du vent, cavaliers farouches et indépendants. Leur lien au cheval est sacré.

  • Ostrelia, Nerysea – Peuple : les Ostarii
  • Peuple insulaire, mystique et astral. Leurs traditions marines et célestes restent énigmatiques et empreintes de spiritualité.
La question du développement régional et de la redistribution des ressources constitue un enjeu central pour les prochaines décennies. L’État investit dans des politiques d’équilibre territorial, des plans de désenclavement et des programmes d’intégration économique, afin de réduire les écarts de prospérité et d’éviter la montée de mouvements régionalistes ou contestataires.
Mentalité de la population :
Le peuple belgrave est profondément marqué par un héritage spirituel et monarchique millénaire. La conversion précoce du royaume au christianisme, dès l’an 60, et l’unification des douze tribus Zavaïtes sous la Maison d’Elyazâr ont forgé une culture populaire fondée sur la piété, le respect de l’autorité, et le sens du devoir collectif. La religion, même lorsqu’elle n’est pas vécue de manière fervente, demeure une référence morale centrale, inscrite dans les gestes du quotidien, les fêtes calendaires, et la structure de la vie sociale.

Les Belgraves ont une forte conscience historique, mêlant attachement à leurs racines tribales et fierté de leur unité nationale. Chaque région conserve des traditions propres:chants, tenues, cuisine, légendes; mais l’ensemble du peuple partage un même récit fondateur, celui d’un royaume guidé par la lumière divine, protégé par ses souverains et sanctifié par l’Église.

On observe cependant une mentalité contrastée selon les générations et les territoires. Dans les régions centrales, proches de Caledonia et du pouvoir, les populations sont en général plus tournées vers les institutions, perçoivent la monarchie comme un pilier de stabilité, et valorisent la continuité de l’ordre établi. En revanche, dans les régions périphériques ou rurales, la fidélité va d’abord à la communauté locale, au lignage tribal et aux coutumes régionales, ce qui nourrit parfois un sentiment de distance vis-à-vis des élites de la capitale.

Chez les jeunes générations urbaines, notamment dans les centres universitaires et commerciaux, on perçoit l’émergence d’un esprit plus critique, parfois libéral, nourri par le contact avec les idées étrangères, la littérature politique moderne et l’usage des nouvelles technologies. Ce segment de la population aspire à une modernisation des structures, à une séparation plus nette entre foi et loi, et à une meilleure représentativité parlementaire. Toutefois, même ces courants plus progressistes s’expriment souvent dans le cadre d’un respect général pour l’héritage monarchique, qu’ils souhaitent adapter plutôt que renverser.

La société belgrave valorise la dignité, la loyauté, le service à la communauté, mais elle n’est pas figée. Elle évolue par couches successives, selon une temporalité propre, entre fidélité aux anciens équilibres et poussées discrètes mais constantes vers le renouveau.

Place de la religion dans l'État et la société :
Depuis sa conversion officielle au christianisme en l’an 60 après J.-C., le Royaume de Belgravie s’est structuré autour d’un modèle d’unité spirituelle et politique, dans lequel l’Église joue un rôle central. Le Traité d’Ultrecht, fondateur du royaume, a fait de l’Église primitive de Belgravie l’Église de l’État, interdisant les cultes païens et intégrant les autorités religieuses au cœur de la construction du pouvoir royal.

L’Église belgrave n’est pas seulement un acteur spirituel : elle participe pleinement à la vie institutionnelle du royaume. Son autorité morale est reconnue par la Constitution, et elle dispose d’une influence certaine dans les processus législatifs, éducatifs et culturels. Le souverain, protecteur temporel de la foi, possède toujours le droit de bloquer ou de suspendre une loi s’il estime qu’elle entre en contradiction avec les fondements spirituels du royaume — un droit symbolique, mais qui alimente aujourd’hui de vifs débats politiques.
Cette fusion ancienne entre pouvoir religieux et pouvoir civil se manifeste dans plusieurs domaines :


  • Les fêtes religieuses sont des jours fériés nationaux et rythment la vie politique autant que la vie spirituelle.
  • Les cérémonies d’État sont toujours accompagnées de rites liturgiques : couronnements, ouvertures du Parlement, fêtes nationales.
  • L’éducation publique inclut une formation religieuse obligatoire dans le primaire, sauf dérogation spécifique.

Toutefois, cette imbrication entre foi et pouvoir fait aujourd’hui l’objet de contestation dans certains cercles politiques, en particulier au sein des mouvements réformateurs et libéraux. Ceux-ci dénoncent l’influence doctrinale de l’Église sur les lois et appellent à une révision constitutionnelle pour limiter, voire supprimer, le droit de veto du souverain sur des motifs religieux. Ils militent également pour une plus grande autonomie de la législation civile, estimant que les débats sociaux modernes (bioéthique, libertés individuelles, égalité de genre, etc.) ne peuvent plus être freinés par des considérations confessionnelles.

Malgré cela, l’Église conserve une légitimité historique et affective profonde. Même les citoyens non pratiquants participent aux grandes célébrations chrétiennes, et la majorité de la population reste attachée au rôle spirituel de l’Église comme vecteur de stabilité morale et d’unité nationale. La laïcisation du pouvoir, si elle progresse dans certaines sphères, se fait donc lentement et avec précaution, dans un équilibre subtil entre héritage sacré et gouvernance moderne.




Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le Royaume de Belgravie est une monarchie constitutionnelle et parlementaire, fondée sur l’équilibre entre tradition monarchique et représentativité populaire. Le pouvoir exécutif est partagé entre le Roi, chef de l’État, et le Premier ministre, chef du gouvernement de Sa Majesté.

Le Premier ministre est chargé de définir et de conduire la politique générale de la Nation. Il est nommé par le Roi parmi les membres du Parlement. Par convention, il s'agit du chef de la coalition majoritaire à la chambre basse (la Verdegande), mais il peut aussi être issu de la chambre haute (la Darsenat), à condition d’obtenir un vote de confiance de la chambre basse.

Le Parlement, appelé l’Alegora, est composé de trois entités :

  • Le Roi, qui en est le garant suprême ;

  • La Darsenat (chambre haute), composée de membres de la noblesse, de hauts dignitaires religieux, civils et militaires nommés à vie ;

  • La Verdegande (chambre basse), élue au suffrage universel et représentant le peuple.

  • Le gouvernement, dirigé par le Premier ministre, est responsable devant la Verdegande. Il doit y obtenir régulièrement la confiance pour continuer à gouverner. La Darsenat exerce quant à elle un pouvoir de révision, de conseil et de blocage partiel.

    Le pouvoir judiciaire est indépendant des pouvoirs exécutif et législatif, bien qu’il demeure symboliquement rattaché à la Couronne. Le Roi, garant de la Justice, nomme tous les magistrats par décret. Les juges prêtent serment d’allégeance à la Couronne et rendent leurs décisions « au nom du Roi ». Chaque juge, dans son tribunal, représente la Majesté Royale et bénéficie de la protection de la Couronne (droit d'immunité et de sacralité dans l'exercice de sa mission).

    La plus haute juridiction du Royaume est les Cortes, cour suprême du droit constitutionnel, des lois fondamentales, des coutumes royales et des traités. Composée de neuf Juges en Chef, nommés à vie par le Roi, elle est considérée comme la juridiction de Justice du Souverain. Viennent ensuite :


    • Le Tribunal Suprême de Belgravie, qui est la plus haute instance judiciaire dans le circuit judiciaire civil et pénal ;
    • Les tribunaux de 1er et deuxieme circuit, les cours royales de justice, qui rendent la justice au quotidien.


    Les Cortes peuvent être saisies en ultime recours, notamment lorsque le droit fondamental d’un citoyen à être entendu est invoqué, ou lorsque des litiges concernent la Couronne ou les fondements coutumiers de l’État.

    Le Roi est chef de l’État, commandant suprême des armées, Grand Maître de l’Ordre de la Toison d’Or, protecteur de la foi et gardien du droit. Il :

  • nomme le premier ministre et les membres du gouvernement sous proposition de celui ci
  • accorde la sanction royale au loi et actes du parlement.

  • nomme les hauts fonctionnaires sur conseil du gouvernement ;

  • exerce un droit de grâce et peut accorder l’amnistie politique ou militaire ;

  • proclame la guerre, l’état d’urgence ou l’armistice ;

  • détient un droit de veto absolu sur toute loi ou décision gouvernementale. Ce droit peut toutefois être contrebalancé par un arrêt des Cortes, en cas de conflit constitutionnel majeur.
  • accorde des titres de noblesses et des decorations honorifique au ordre de chevalerie.

  • Principaux personnages :

  • Le Roi: SM Jose Antoine XXV

  •  SM Jose Antoine XXV

  • La Premiere Ministre: La Tres Honorable Lady Magareth Sutton
  • La Tres Honorable Magarareth Sutton





    Politique internationale :

    Le Royaume de Belgravie adopte une politique étrangère fondée sur les principes de respect mutuel, de coopération pacifique, et de non-ingérence dans les affaires intérieures des États souverains. Ancrée dans son héritage monarchique et chrétien, la diplomatie belgrave privilégie la stabilité régionale, le dialogue entre nations, et la défense des intérêts communs à travers des partenariats équilibrés.

    La Belgravie est ouverte a la cooperation diplomatique avec les pays l’Eurysie et au-delà. Elle veut œuvre pour un ordre international fondé sur la justice, la souveraineté des peuples, et la coopération équitable.

    Les axes principaux de sa politique étrangère belgrave sont les suivants :

  • Promotion d’une coopération économique gagnant-gagnant
  • Le royaume recherche des accords bilatéraux et multilatéraux favorisant les investissements croisés, le transfert de savoir-faire, et le développement d’infrastructures. La Belgravie s’ouvre particulièrement aux secteurs de l’énergie propre, des technologies agricoles, de l’enseignement supérieur et des industries culturelles.

  • Soutien aux accords de libre-échange des biens et des personnes
  • La Belgravie soutient la circulation libre et sécurisée des marchandises, des talents et des étudiants. Elle est favorable à la conclusion de traités commerciaux réciproques, à condition que ceux-ci respectent ses normes sociales, environnementales et culturelles.

  • Neutralité active et non-alignement militaire
  • Bien que puissante sur le plan militaire, la Belgravie privilégie le rôle de médiateur et de garant de paix. Elle n'intervient pas dans les conflits internes d'autres États, sauf mandat international ou menace directe à sa sécurité.

  • Respect du droit international et soutien au dialogue multilatéral
  • Le royaume veut participer activement aux organisations intergouvernementales et contribuer aux missions humanitaires et de paix, en respectant la souveraineté de chaque nation.
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    Bonjour, bonsoir et bienvenue sur Geokratos!

    Tout est en ordre pour moi ; ce faisant je peux valider la fiche.

    Attention cependant, les noms réels comme le traité d'Utrecht sont interdits ; sauf pour les langues et les religions ainsi que les idéologies, tout doit être inventé.
    Sur la forme, il serait aussi mieux de changer le drapeau pour un de ta création ou tout du moins fictif. Les joueurs ont une boîte à outils à disposition pour ce genre de chose.

    Informations supplémentaires :

    En tant que nouveau joueur, tu as quatre mois de protection durant lesquels aucune action hostiles pourra être menées contre toi. Nonobstant, tu ne pourras en faire aucune.

    Tu peux demander à la modération à ce que trois de tes personnages soient immortels.

    Sur cela. . . bon jeu à toi !
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