11/05/2017
22:19:09
Index du forum Continents Nazum Phenn Gamn

Rapport et projet de l'état major révolutionnaire

Voir fiche pays Voir sur la carte
4443

Rapport de l’état de la guerre civile



Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison


Résumé des actions antérieur du rapport :

Nous avons lancé, en 2014 après la mort de Kahoku Thammavong, dirigeant du pays Le régime communiste en place depuis 1952, donc la fédération socialiste de Phenn de Gamn de Kon Hòa et de Chiang Masaket a été renversé par la junte militaire Phenn Gamn, issue des restes de l’armée royale prend le pouvoir, d’abord amical avec notre partie démocratique, elle voulut très vite se séparer de nous pour instaurer un régime militaire. Si nous n’avions rien fait, on serait passé d’une dictature communiste à une dictature fasciste. Au début, à cause de l’instabilité du régime, et voulant éviter une guerre civile, nous organisions des manifestations, des grèves, des refus obtempéré, mais le nouveau régime comme le précédant a jugé bon de tirer sur la population en guise de réponse. Donc 3 semaines après la prise du pouvoir du régime, on se révolta.

La révolte a commencé chaotiquement, les communistes encore ancré dans le pays en profita, les ligne de front n’étaient pas claires, les fusillades étaient fréquentes. Au bout de 2-3 semaine le front se consolide, le sud ouest est à nous, le sud est à la junte et le nord communiste, la capitale est coupée en trois de la même manière. Heureusement pour nous, nous avions réussi à prendre la partie du pays le plus industrialisé et peuplé, mais notre armée n’était que des milices anticommunistes ou antifascistes par apport à nos deux ennemis qui avait une vraie armée, un mal pour un bien, ils se bâtaient entre eux, pensant que nous étions trop faibles pour gagner. Nous en avons profité pour se retrancher et construire des abris aux civils de notre côté pour qu’ils survivent au bombardement.

Un mois après le début de la guerre, les fascistes domine largement les communistes, la junte a pris leur partie de la capitale et bon nombre de provinces, ne voulant pas perdre les anticapitalistes.
Propose une alliance de circonstance. Après mûre réflexion au sein de l’état-major révolutionnaire, l’alliance fut acceptée, et une offensive sur le front sud commença. Après quelques succès initiaux, un encerclement de 1 500 hommes notamment, les force fasciste se réorganisa et nous infligea une sévère défaite qui nous fit reculer sur les frontières d’origine. En parallèle, une offense pour prendre la capitale avait été acté, par miracle les troupes fascistes à cet endroit étaient mal nourris, mal équipé, un moral inexistant. Dès le début de la bataille, une partie des troupes refusa de combattre, et le reste fut écrasé par nos forces, nous prîmes la capitale par miracle, mais à un prix élevé : les bâtiments détruit, comme le palais, l’ambassade, l’université militaire etc. Avec cette victoire, le peuple se rangea de notre côté, des cellules démocratiques se soulevaient partout chez nos ennemis, les usines, parfois sans murs et sans toit, tournés à plein régime, les troupes affluait, à notre paroxysme, c'est 75 000 hommes qui combattaient. Milieu 2015, les fascistes s’effondra, nous avons pris quasiment tous leurs territoires, à ce moment-là, la guerre reprise entre nous et les communistes, ce fut une guerre de position. Nous avons réussi à les repousser dans les montagnes nous séparant du Jashuria le mois dernier.

L’état du pays :

Avec deux ans de guerre civile officiellement terminée, le pays est en ruine, la famine va bientôt frapper si aucune aide vient des autres pays, avec l’isolement provoqué par l’ancien régime communiste, nous ne savons rien du monde extérieur, et de toute façon notre ambassade à explosée pendant la bataille pour la capitale. Économiquement, ce n'est pas mieux, les laboratoires ont été utilisés comme fortification, elles sont mortes, les usines militaires étaient à la base des usines civile, pour relancer l’économie, nous avons décidé de changer la production en bien de consommation, d’après nos estimations 85 % de notre population souffre de pauvreté. Autre problème, le seul aéroport civil a été détruit, ainsi que le seul avion civil, les ports aussi, vu que depuis 1954 ils ont été continuellement sabotés par la junte. Militairement, on peut se faire envahir par n’importe qui, nous avons 10 000 hommes distribués, ainsi : 3 000 hommes est sur le front fasciste, idem du côté communiste, 3 000 autres font la police dans les principales villes, les 1 000 derniers sont dans la capitale pour protéger l’état-major. La stabilité intérieure est difficile à maintenir, pour contenter les indépendantistes qui ne veulent plus de fédération, la constitution devra instaurer un système politique avec : 5 parlements, les quatre premiers pour chaque pays de la fédération, le cinquième pour la fédération plus un Parlement, qui est tout bonnement impossible si la fédération veut fonctionner, surtout avec une administration inexistante, une monnaie qui à cause de l’inflation commence à encore plus casser l’économie déjà inexistante. En bref, nous avons encore beaucoup de travail.


Vive la révolution, Vive la fédération, Vive la liberté.
Général du front communiste Wongduan Vorachith
4089

Projet "Richesse"




Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

But du projet :

Revitaliser l’industrie militaire, scientifique et reconstruire le pays.

Projet en lui-même :

Pour revitaliser l’industrie lourde et scientifique, nous devons d’abord privatiser bons nombres d’industrie civile, pour que le peu de riches investisse dans le gouvernement et permettre d’utiliser cet argent pour d’abord payer les militaires, reconstruire le pays et ensuite revitaliser les deux secteurs qui n’existent plus, du moins en théorie. En effet, le principal problème de ce projet et le fait que la plupart des riches sont du côté fasciste, et les ouvriers du bâtiment sont du côté communiste. L’autre problème sont les coûts de reconstruction, les premiers bâtiments qui doivent être reconstruit sont : le palais Damtam, lieu historique de pouvoir, et actuelle ambassade ; L’université militaire, reconstruire une armée pour finir la guerre et se défendre, c’est bien, mais avec des officiers, c'est mieux ; Les ports, on est en Autarcie, on manque de tout, surtout de nourriture, une famine est proche ; l’université politique, on manque de diplomate, et quand nous instaurons une vraie démocratie, nous aurons besoins de personne compétente et enfin, nous devons reconstruire la capitale en général, nous avons l’air de ploucs à vivre dans des maisons sans toit, avec des obus non explosés qui servent de murs.
Tout ceci va nous coûter cher, et sans personnel compétant difficile de réalisée le projet, depuis la fin de l’isolement diplomatique, certain pays nous approche, nous devons être méfiants, mais si nous sommes trop stricts, nous risquons de ne pas avoir d’aide, alors que nous tenons difficilement le pouvoir, un emprunt massif règlerait le problème, mais nous n’aurons sûrement pas assez d’argent par la suite, les exportations ne peuvent avoir lieu qu’en réparant nos ports, ou en réparant le seul aéroport du pays, mais ça coûte trop cher.
Quand nous trouveront l’argent pour la première phase, nous pourrons passer à la plus importante diplomatiquement : le réarmement militaire et la reprise des recherches.
C’est le principal but du projet, nous réarmer dans un premier temps, reprendre la recherche dans un second temps.
Nous avons prévu de construire des complexes militaires, dans des petits ports, pour pouvoir construire des bateaux, des avions, et des fusils au même endroit, même si un ennemi venait à prendre ces centres, nous n’aurions plus d’usine militaire, nous devons les faire au même endroit, la main d’œuvre déjà sur place n’aurait pas besoins de se déplacer pour construire chaque usine. Pour ce qui est de qui détiendra les usines, il faudrait beaucoup de prudence, nous avons prévu un système comme ça : 20 % détenue par le gouvernement, 50 % détenue par une société dirigé en secret par le gouvernement, les 30 % restant par qui le veut, mais seulement le temps que la stabilité sois retrouvé, le pot au rose de la fausse société pourrait vite être découverte, et dans ce cas-là, le peu de riches que nous aurions pu ramener.

Nous voulions aussi aborder le problème du manque de nourriture : Avec la guerre, nous avons enrôlé beaucoup de gens à l’armée et dans les usines, aussi, nous avons par erreur brûlé de nombreuses fermes ou des plantations. Ça et le fait qu’il fallait un apport constant de matérielles militaires fait que nous avions repoussée le problème, en disant, je cite " de toute façon, on a des champs partout dans ce pays, ça devrait le faire". Évidemment, dans une courte guerre ça aurait marché, mais après 2 ans de guerre meurtrière, ça commence à manquer, donc il faut vite officialiser des relations avec des pays, et EN REGARDANT BIEN S'ILS SONT FASCISTES OU NON.
Et avant la fin du rapport, le petit point ressource économique : Tout ce qui est agriculture, inexistant du-coup, l’industrie, en grand péril. Par contre, le secteur primaire, lui, se porte très bien, les mines de fer, d’étain et de cuivre prospèrent, les mines de charbons aussi, tandis que les jungles luxuriantes dans certaines parties de notre pays commencent à être sévèrement déforestées. Dans l’ensemble, le secteur primaire sauf alimentaire va bien, le reste, c’est le reste.


Puissiez vous accepter notre plan, Maik Khotpanya.

Plan fait par : Wongduan Vorachith, général du front communiste, Loe Phengsavath, général du front fasciste et Makan Thammavong, ministre de l’Économie, le 06/07/2016, pourrait être rendu caduque si la guerre civile se termine, le projet richesse ne s’appliquant que sur les territoires actuellement sous contrôle
carte du pays

entourées en rouge, les terres sous contrôle communiste, en bleu les terres sous contrôle fasciste, le reste occupée par la fédération
3513
Rapport, réunions de l’état-major

9/07/2016


Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction à la hauteur des actes sera appliquée


Maik Khotpanya, arrive dans la salle de l’état-major, dans l’ancienne ambassade, le palais actuellement en train de se préparer aux premiers diplomates étrangers. Les personnes présentent dans cette réunion sont : Wongduan Vorachith ; Loe Phengsavath ; Makan Thammavong et lui-même. Jadakan est dans la pièce, mais occupée à lires quelques rapports sur l’international, pour éviter un autre désagrément diplomatique.

Maik Khotpanya : Vous êtes tous là ? Sans laisser le temps de répondre, il continue aujourd’hui, nous allons parler de notre plan pour bouter hors des montagnes ces foutus communistes, ça fait 3 semaines que le front n’as pas bougé, qu’est qui ce passe Wongduan ?

Wongduan Vorachith : Monsieur comme vous le savez nos 3 000 hommes sont dans ces montagnes, mais le problème, c'est que les communistes se sont caché et actuellement chaque offensive pourrait être meurtrière, d’autant plus que si nous les faisons trop reculer, ils se cacheront dans les quelques vieux bunkers à la frontière du Jashuria, si ça arrive je ne fais pas cher de la peau de nos soldats, j’ai besoins de plus d’hommes ! Et puis chez les fascistes non plus ça ne bouge pas !

Loe Phengsavath
: Les fascistes ont acheté par, je ne sais quel moyen, des mercenaires, mieux armée que mes hommes, il m’en faut donc plus si je veux percer la ligne de front !

Les deux généraux se tournent vers Jadakan, qui lui a pris 3 000 hommes pour faire la police dans les grandes villes du pays.

Jadakan : avec tous les attentats communistes et fascistes, vous pouvez oublier, formé des troupes, ce sera plus pratique

Makan thammavong  : quand on aura de l’argent, des armes et qu’on aura payé nos soldats, pas avant. Et même dans ce cas-là, on a tout plein de chose à reconstruire, on en a déjà parlé.

Maik Khotpanya  : si nous reculons sur le front communiste, peut-être que ça forcera Slaviensk à nous aider pour garantir ses intérêts au nazum, et donc nous fournir armes, argent et nourriture, surtout de nourriture.

Jadakan : mauvaise idée, j’ai, disons, raté nos premiers contacts avec eux, ils ne feront rien, nous devons attaquer seul, et puis ça prouvera notre "puissance" à nos voisins, où en tout cas que nous sommes vivants.

Maik khotpanya  : trouvez une solution pour ces communistes, ils sont une grosse épine dans le pied, surtout que ce sont eux le gouvernement le plus légitime. Ils nous ont sûrement vus nous ouvrir à l’international, ils feront de même, c’est sûr.

Maik khotpanya : aussi le problème de la nourriture, dans 2-3 mois, ce sera la famine, j’en vois déjà les prémisses, 3 dollars la baguette, il faut relancer l’économie vite, surtout pour l’argricu…

Il est interrompu par une porte qui claque, un jeune homme avec des papiers gribouillés essoufflé dit en rapidement dans la joie : les communistes ! Ils se rendent, leur chef a passé le no man’s land avec un drapeau blanc, il a dit, je cite "je ne suis pas fou, plus je continue cette guerre, plus je fais du mal aux ouvriers, ceux-là même que j’ai juré de protéger, il vaut mieux ma mort que ça", le gars continue : euh apparemment, je suis parti avant confirmation, mais la plupart des milices communistes se sont rendu avec lui.

Maik khotpanya : t’es qui ?

Le jeune homme : je suis Mu…

Loe Phengsavath  : on s’en fout de ton nom, on te demande ton grade

Mu… ⁣ : caporal, monsieur

Maik khopanya  : envoie un message au soldat, qu’ils désarment les communistes, qu’ils les envoient dans l’ancien goulag de la région, en attendant de savoir quoi en faire, et dit aux troupes de laisser leur radio en marche, d’autres ordres arriveront bientôt.

Mu…
 : tout de suite mon maréchal. Il repart en courant

Maik khopanya regarde la carte, particulièrement le Jashuria : doit-on laisser des hommes à la frontière ? Où faire confiance en notre voisin, mais risquer une agression.

Personne ne répond, il continue : laissons 1 000 hommes à la frontière, 1 000 qui occuperont la zone, pour la pacifier, et 1 000 hommes qui partiront sur le front fasciste, fin de la réunion, et pour le projet "richesse", il est donc rendu caduque pour le moment, on verra après.

Le maréchal part, suivi des deux généraux.

Retransmission par écrit, de l’enregistrement
4237
Rapport, front fasciste

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Alors que nous pensions avoir fait le plus dur en écrasant les communistes, la véritable menace vient de l’est, depuis la tentative d’assassinat, de notre président, qui occupe aussi le poste de maréchal, ils ont décidé de lancer une offensive. Nous nous s'y attendions pas, et en voici la cause :


En 2014, quand la guerre civile éclata, c'étaient eux la principale force du pays, et pour cause, ils avaient les forces armées de leur côté, et en ont donc profité pour tenter de prendre les communistes, mais pas nous, apparemment trop faible à leurs yeux. Quand l’offensive des fascistes, c'est enlisé contre les communistes, nous avons fait un cessez-le-feu avec les rouges, pour prendre à revers les fascistes. Nous avons fait deux offensives majeures : une dans le sud qui a échoué pathétiquement, nous manquions d’hommes, d’officier compétent, de moral, d’équipement, etc. Mais comme nous refaisons les mêmes erreurs je vais décrire comment cela s'est passé.

Notre plan, plutôt simple, en dépit de l’armée terrestre, nous possédions quelque avions, des bombardiers notamment, avec ceux-ci, affaiblir les positions ennemies et quand cela est fait, faire une blitzkrieg, pour avancer rapidement, et les forcer au repli, au mieux les encercler. Le début du plan marcha étonnement bien, nous avancions vers les côtes, aidé par nos cellules démocrates dans cette partie du territoire. Mais 2-3 semaines après ces succès initiaux, les premiers indicateurs d’une défaite proche arrivaient, les premiers chasseurs ennemis commençaient à lancer des opérations, sur nos bombardiers, et des unités fascistes visaient les officiers de notre armée, surtout les compétents, mais nous n’avons rien fait. Cette inaction a vite été amer, lors d’une bataille, où nous avons fait la même tactique, ils ont mis leur propre bombardier, et vu que nous n’avions pas de tanks, notre avancée était trop lente, avec le nombre de morts, et leur contre-offensive, nous avions dû reculer.
La deuxième plus intéressante politiquement se trouve sur le front nord, plus particulièrement dans la capitale, qui avait été coupé en trois au début de la guerre civile, les fascistes avaient pris le contrôle de la partie communiste. Au nord par apport au sud, nous avions quelque chars d’assauts et des officiers compétents, étant donné que c’était notre maréchal lui-même qui avait pris le commandement, même avec cela, les prévisions du moment disaient pourtant qu’il n’y avait que 5 % de réussite. Toutefois, la bataille fut remportée par nos forces, la bataille pris le nom de "miracle républicain". Pour autant, la guerre n’était pas gagnée : nos forces n’étaient que des milices, et après cette bataille, les fascistes commençaient à prendre conscience de notre dangerosité. Heureusement, la défaite à la capitale de pays à déstabiliser les fascistes, donc pour garder l’ascendant, on a relancé l’offensive au sud, cette fois, elle a marché, car ils ont mis la plupart de leurs troupes au nord, pensant que nous allions profiter de la brèche. Cela nous amène à aujourd’hui, où semaine par semaine, la ligne de front avançait, mais la tentative d’assassinat à tout changer.

Avec cet événement, notre état-major a été chamboulé, surtout sur le plan diplomatique, nous avons fait réunions sur réunion pour savoir que faire, délaissant le front. Ils ont donc commencé une attaque au sud, elle a percé pour la cause suivante : l’équipement. Le notre est réduit au minimum pour économiser de l’argent, mais ont ne peux pas continuer comme ça, ils avaient de l’artillerie, nous non, ils avaient des véhicules, pas nous. L’autre problème maintenant est que nous n’avons plus assez d’hommes pour le front, 4 000 seulement, le reste étant en train de stabiliser le pays, mais eux, selon nos renseignements, ont 7 000 hommes, tous sur le front. Bien que nous pensions que c’est une offensive de la dernière chance, si nous ne l'arrêtons pas, nous aurons bien des problèmes, voici ci-dessous, le changement du front :
carte avant offensive
carte avant offensive, en bleu le territoire contrôlé par les fascistes, le reste, c'est le notre.
carte après offensive
Carte après offensive, en bleu les fascistes, en rouge le territoire actuellement très instable, la capitulation des forces communistes encore récente, les territoires en rouges, et les autres sont nos territoires.

Pour remédier à ces problèmes, nous proposons de faire tourner les premières usines militaires reconstruites récemment, et pour ce faire, construire une entreprise pour stimuler l’économie, et insisté les personnes riches de le faire également, nous avons déjà finalisé les papiers, mais la grande question est si elle est nationale ou non, si elle ne l’est pas à qui le donner ? Nous proposons de le donner à notre président, Maik Khotpanya, qui a mainte et mainte fois donné de sa personne pour le pays, c’est pour nous une sorte de récompense pour lui.


Rapport fait par : Jadakan, premier ministre et Loe Phengsavath, général du front fasciste
4492
Rapport, état du pays
Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Avec les récents changements, dont l’évolution drastique de la guerre civile, un point sur le pays est nécessaire.

Le peuple 

Le point le plus important est le peuple, qui depuis quelque jours va mieux, le Jashuria a ouvert une route pour nous approvisionner en nourriture, et en matériel médical, et malgré le peu de force pour les escorter les convois, 90 % arrive à bonne destination, une aubaine, car pour la nourriture, le prix cesse d’augmenter, malheureusement, il n’y a pas assez de nourriture, donc elle ne peut pas baisser pour l’instant, mais ça ne serai tardé. Pour le matériel médical, c’est une aubaine, depuis 3 mois, il n’y en avait plus, certain de nos citoyens mourraient à cause d’une simple grippe, d’une petite plaie qui s'était infectée. Un problème que nous ne pourrons résoudre sans quitter le pouvoir, qui serait très problématique, le peuple veut la démocratie et vite, même si Maik Khotpanya est assez populaire comprimer ces envies, mais sans constitution, sans réelles bureaucraties, mais le peuple gronde, et si les seuls états étrangers nous approchant partent pour cette cause, nous risquons la perte dans la guerre civile, mais avec l’annonce d’une constitution, nous avons calmé le peuple, mais quand devrons quitter le pouvoir, le plus tôt possible, où le plus tard ? Dans tout ça, pour encore plus calmer le peuple, nous avons créé une presse, qui est dirigé par le gouvernement, mais pour l’instant la population n’y voit que du feu, et nous pouvons diriger nos efforts sur la guerre civile, qui a plusieurs tournants majeurs, certain bon, certains mauvais.


La zone occupée

Depuis quelque temps, la capitulation des principales forces communistes a eu lieu, mais certaines n’ont pas capitulé, ce qui nous donne du fil à retordre, une guérilla, c'est installé, et no concitoyen libéré souffre de ça : pillage, kidnapping, balles perdues, sabotage, etc. Tout cela empêche nos forces de rattaché pacifiquement la zone, qui subit de lourd méfait, alors que c’est une zone stratégique et vital, si nous la perdons, l’aide du Jashuria cessera, et le peu de soutien que nous avons rassemblé aussi. Une action est prévue pour décourager les communistes, un procès des hauts-dirigeant, par un tribunal populaire de citoyens de toutes les régions, et vu qu’il est clair que la plupart de la population sont farouchement anti-communistes, ça devrait se finir avec une majorité d’exécution, qui pourra sûrement les décourager.

La sécurité du pays

Le pays est dans une insécurité déconcertante, seul quelque ville sont en relative sécurité, dans les campagnes, nombre de pillards vole au paysan, dans les jungles, le braconnage est devenu courant. Ces problèmes résultent du fait qu’aucune police n'existe, c’est la faible et peu nombreuse armée qui tente de faire respecter les règles de base, sans grande réussite. Malheureusement, l’argent vient à manquer pour créer une réelle force policière, dans les campagnes en tout cas, en ville, c'est différent, nos centres de commandement sont là-bas, et nous avons vu que les militaires ne suffisent plus, et pour éviter la désintégration de notre gouvernement, pour cause de décès, nous devons investir dedans, même si cela doit peser sur le peu de finance.

L’économie

elle est toujours au point mort, mais avec quelques améliorations : certaines usines sont reconstruites, ce qui donne des emplois à notre population. Mais le principal problème est autre part, les impôts et les taxes, ce qui sert à remplir les caisses d’un état non communistes. Nous, avec notre administration quasi inexistante, avons essayé de mettre quelque impôts et taxes pour remplir nos coffres, mais nous n’avons pas les moyens de les faire respecter, c’est ça de moins pour le peuple, mais ça retarde notre victoire contre les fascistes, et ça retarde la reconstruction de nombreuse infrastructure. Surtout, en vérité, nous n’avons pas d’argent, nous reconstruisons, payons des soldats, disons à des puissances étrangère que nous pouvons payer des armes, mais c’est faux, ça fait bien longtemps que nous n’avons plus d’argent et c’est très dangereux de marché au bluff, si cela fuite, c’en serait fini de nous. Un autre constat alarmant est à déplorer, l’agriculture dans notre pays représente 40 % des emplois, mais dans ceux-ci celons des enquêtes préliminaires fait par nos soldats, seul 50 % des paysans servent vraiment, le reste pouvant être très facilement remplacés par des machines, alors que de nombreux autre domaine, il manque de main d’œuvre.

La guerre

Il y a encore de nombreux problèmes, notre chaîne de commandement et de ravitaillement a été durement touché à cause de notre retraite bâclée suite à la contre-offensive fasciste, le matériel commence à arriver, mais il est obsolète, les fascistes ont eu un gain de morale et brise le nôtre. Cependant, les premiers signes que cela ne durera pas commencent à pointer le bout de son nez : l’isolement à l’international, pire que le nôtre les restreints, la plupart de la population nous pense plus légitime que pour prendre le pouvoir et leur offensive commence à s’enliser, nous commençons à nous retrancher. C’est un avantage comme un inconvénient, si nous n’arrivons pas à avancer en temps voulu, nous ne serons jamais réunis et ça, c'est inacceptable.

Rapport fait par Jadakan, le 11 aout 2016
4342
Rapport, restructuration de la bureaucratie

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Pour récolter efficacement les taxes, et pouvoir structurer notre constitution avec une base bureaucratique solide, voici les premières actions visant à cet objectif

Recrutement

La chose importante, embaucher des gens, sous peu, nous allons faire paraître sur le journal "la matinale", le seul en vigueur et par ailleurs celui que nous avons créé, un message pour recruter des gens. Comme vous aviez pu voir dans ce rapport, nos caisses sont vides, donc on va d’abord financer les recrutements "à vide", c'est-à-dire sans réel financement, ensuite grâce au revenu que nous devrions engendrer des différentes taxes et impôts, nous payerons nos frais de recrutement d’abord, puis le reste. Nous devons faire ça vite, tout se sait un jour où l’autre, et si par malheur des espions venait à découvrir ce secret, nous serons en position de faiblesse, pire que maintenant. Pour ramener le plus de personne possible, nous allons offrir des logements, et leur payer en nourriture, qui coûte très cher en ce moment dans le pays, mais pour nous qui faisons les stocks des arrivées de nourriture du Jashuria, cela devrait aller.


Construction

Pour faire marcher l’appareil d’état, il faut des bâtiments pour faire travailler nos employer, pour l’instant, nous sommes en train de prendre des bâtiments vidé de leur population, sûrement morte, où qui a fui la misère, nous les rénovons, juste assez pour qu’on puisse y travailler dedans sans que le sol cède, où que le plafond nous tombe sur la tête, partout dans le pays, nous essayons de le faire, c’est un choix difficile, les usines sont plus importantes celons le peuple, et certains nous voient déjà venir, et y sont opposées, pourtant s'ils veulent une démocratie saine, sans fascistes, sans communistes, il faudra l’accepté. Je suis par ailleurs farouchement opposé à une propagande, même temporaire.


Matériel 

Le matériel est un sujet épineux, nous ne pouvons pas utiliser l’informatique, réservé aux relations diplomatiques, et au militaire, qui souffre déjà de lourds problèmes avec, nous devons comme dans l’ancien temps utilisé du papier et de l’ancre. Nous devrons passer commande chez d’autre pays, mais pour l’instant, "sans argent", plus précisément en impriment juste de l’argent, nous ne pouvons pas faire sortir notre monnaie, qui est trop instable, quand nous aurons gagné la guerre, nous pourrons enfin commencer la guerre pour la reconstruction.

Impôts et taxes

Voici les différents impôts et taxes que je veux mettre en place :
- taxe sur le sel (10%), dans certaine région, c’est la monnaie, nous devons réaffirmer notre monnaie pour engranger plus d’argent
- impôts sur la revenue, un impôt classique, mais vu que les revenus sont faibles, je ne compte pas trop là-dessus, c’est plus un impôt pour préparer nos citoyens à payer des impôts à l’état
- Impôt sur la propriété, pour les mêmes raisons que l’impôt sur le revenu, je ne compte pas non plus là-dessus pour remplir les coffres, mais ça fera un complément.
- Taxe sur l’acier (15%), beaucoup de personne, des bandits surtout font appel à des forgerons, qui leur font des armes blanches. Pour lutter sur le banditisme, nous devons leur rendre impossible la fabrique d’arme, sans devoirs faire de grandes dépenses, nous devons juste augmenter leur prix. Ça en dissuadera quelque-uns, espérons-le.

Justice

Le peuple demande de plus en plus de tribunal, et vu que nous allons organiser un tribunal populaire pour décider de la sentence des communistes. La bureaucratie que nous allons créer va aussi réfléchir sur cela, bien entendu, ce sera plus des indices pour trouver les bonnes sanctions qu’autre chose, je veux un système dans lequel chaque affaire soit réglé avec la peine que le juge souhaite appliqué, il y aura des peines minimales, une maximale, mais c’est tout. La maximale sera là notamment pour savoir si la peine de mort peux être appliqué ou non, je ne veux pas voir non plus 50 ans de prison pour une personne qui a volé une pomme. Le minimal, sera là, mais à but indicatif, sans réelle action, je pense que personne ne les utilisera, appart pour des cas très spéciaux. Par ailleurs, la constitution sera débattue aux seins de la bureaucratie, nous n’avançons pas, l’état-major regroupe de très différentes opinions, chaque débat n’aboutit à rien, et nous devons vite, très vite la faire, sinon nous risquons d’être renversé, et une scission entre les groupes républicains, pourrait mener à une autre guerre civile, alors que nous sortons très péniblement de la première. Avec la justice se pose la question de la religion, le pays est officiellement laïc, mais les églises bouddhiste et hindouiste sont influentes, et posent leur demande, pour l’instant peu de personne demande au gouvernement de répondre aux églises positivement, mais il est clair que ça ne va pas durer. La question n’est pas si nous acceptons, mais où sera la limite entre le oui et le non, si la limite est trop laxiste, elles seront trop puissantes, l’inverse et elle nous accusera de ne pas garantir la liberté de culte. Comme tout le reste, nous sommes très mal partis.

Rapport fait par Jadakan
3317
Projet Éducation

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Après notre annonce à la presse, qui a malheureusement pris du retard, les premières demandes, viennent et je constate quelque chose d’alarmant : notre population sait à peine lire et écrire, pour nos projets d’une bureaucratie efficace, ça part mal, mais étant donné qu’une partie de la population sait assez bien lire et écrire ce n’est pas un grand problème au court terme, au long terme par contre, c’est dangereux, les postes nécessitants une connaissance poussée, donc voici le protocole, j'ai préparé pour éduquer notre peuple, quand nous aurons l’argent pour le financer.

Employer

Ce n’est pas une mince affaire que de trouver des professeurs ou des directeurs, vu que les gens compétents serons déjà employés dans des bureaux, donc la solution est d’inviter des professeurs d’autre pays, comme le Jashuria, qui par nos cultures proches doivent avoir des professeurs qui parlent notre langue. Pour tout ce qui est directeur, nous pouvons tenter de mettre des anciens officiers, le travail est proche, géré une caserne, ou un établissement scolaire revient au même, il faut juste être plus laxiste. Pour les inciter des professeurs à venir dans notre pays, nous devons leurs données nombre d’avantages qui donnera l’impression d’une meilleure vie ici qu’ailleurs. Voici quelque avantages qui donneront sûrement envie aux gens de venir : exemption de certains impôts, salaire élevé, logement de fonction par exemple. Nous trierons surtout sur leur niveau de langues, si on ne comprend pas ce qui disent, pas la peine de les engager, et aussi sur leur nationalité, tout pays fasciste et communiste pourrait être tenté d’y envoyer des espions pour raviver la guerre civile, tandis que des pays démocratiques seraient certainement moins tentés, où du moins pas pour ces raisons.

Construction

Phase la plus simple, avec les bidonvilles qui sont tout autours des grandes villes, on n'aura pas de mal à trouver de la main d’œuvre, tandis que nos industries de fer, et de bois n’ont jamais autant prospéré, ce qui permet un apport de matière première et de main d’œuvre peu cher. Dans les grandes villes le problème est réglé, dans les campagnes se sera plus compliqué, nous n’avons qu’un contrôle limité, voir symbolique sur celle-ci, mais je pense que quand nous commencerons à faire le projet, le problème sera réglé. Cependant, la place, elle sera difficile à trouver, certes la plupart des bâtiments sont en ruines, mais ont des propriétaires, ou des locataires, qui eux ne veulent pas perdre le peu qu’ils ont, cela se comprend, mais faire des recherches, c'est long, trop long tandis que construire de zéro est trop cher, et souvent, il n’y a que de la place dans les banlieues des villes alors que le centre lui est déjà pleins, même si quelques écoles en ruines peuvent être reconstruits, elle était destinée aux gens "loyaux" du régime communistes, à une élite. Donc la place est restreinte à ces endroits-là.

Système éducatif

Le système éducatif est assez simple : de 0 à 6 ans, les bambins ne vont pas à une quelconque école, de 7 à 10, ils vont dans une première école, de 10 à 14, ils vont dans un collège, et de 14 à 17, ils vont dans un lycée, et après, ils peuvent s'il le veules, allez dans une université, où travailler. Le plus important sera les premières écoles, nous allons mettre tous nos moyens dedans, pour le collège et le lycée, nous allons en mettre à quelques endroits stratégiques, mais ce n’est pas la priorité. Bien sûr l’école sera gratuite, et obligatoire, pour l’instant tout ce qui est cantines ou garderie, il n’y en aura pas. Nous espérons aussi que des écoles, collèges et lycées privés se fassent pour faire tourner notre économie. Bien que je voudrais mettre les enfants et les adolescents plus longtemps, nous n’avons et nous n’aurons pas l’économie nécessaire pour les mettre plus longtemps en classe.

Rapport fait par Jadakan, le 23 aout 2016
2007
Rapport, contre-offensive, phase I

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison


Après la débâcle que nous avons subie depuis quelques semaines, la situation se stabilise, mieux, nous pouvons commencer une contre-offensive, et sûrement la dernière de la guerre, de l’autre côté, depuis quelque jours, leurs offensives ont été stoppées, par les batailles successives de Gompur, où dans cette petite forêt, nous les avons pris en embuscade, et avons remporté une victoire éclatante, qui a forcé l’ennemie à s’arrêter, pour éviter qu’on ne remonte vers la frontière et qu’on les encercle,
et du fort Sharahan, où leur siège, c'est très mal passé, ils n’avaient pas artillerie, nous avons tenté et réussi une sortie, qui a désorganisé les forces ennemies, qui se sont replié dans une série de fortifications à une dizaine de kilomètres du fort.

 carte paint
En bleu, le territoire fasciste, les flèches rouges, la phase I, en orange, la phase II et en jaune, la phase III, le point noir, le fort, en vert la forêt
La phase I, celle qui va commencer dans quelques heures, est plutôt simple :

Au lieu d’encerclé la partie ouest du territoire en partant du fort, où ils ont fortifié avec des tranchées et des bunkers de fortune, nous allons le contourner pour faire un premier encerclement.

Force en présence :

Nous avons là-bas 2500 hommes, eux en ont 2 300 environ, mais 1 000 d’entre eux sont stationnés devant le fort, nous avons seulement 300 soldats, ce qui suffit à garder le fort.

Opération :

Le début se passera de nuit, où un premier bataillon de 300 hommes, va au nord harceler les troupes ennemis qui vont se concentrer là-bas, pendant que l’attention est détournée, un bataillon au sud de 500 troupes va furtivement encercler la base ennemie, puis les noyer sous le feu, une fois le camp fasciste nettoyer, le reste des forces en place, mis à part les troupes dans le fort, vont suivre le tracer de la carte ci-dessus. Normalement, les deux forces devraient se retrouver dans une petite ville.

Logistique :

La logistique sera fortement étirée à ces endroits, mais si tout se passe comme prévu normalement, la durée de l’opération ne posera pas de problème, car elle durera au maximum 1 semaine, si le délai est dépassé sans que la phase I ne soit terminé, on arrêtera, et une guerre de tranchée débutera.

Rapport fait par Loe Phengsavath, général du front fasciste, Le 28 août 2016
2389
Rapport, contre-offensive, phase II

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

La Phase I a été couronnée de succès, les troupes autours du fort sont encerclées, tandis que notre projet pour encercler les territoires de l'est le sera sans doute aussi.

Phase II plan
Nous avons perdu plus de temps que prévu dans la destruction des forces encerclées, toutefois, l’armée fasciste à perdu en moral, le nôtre a grimpé en flèche. Le plan n’a que peu changé, nous allons toujours tenter d’encerclé les forces nord, mais l’offensive depuis la forêt se passera dès la 2e phase, les forces là-bas ont tenté de percer nos lignes, nous les avons repoussées avec tant de facilité qu’une contre-offensive serait parfait, et pourrait mener à une capitulation rapide des forces fascistes. Nous espérons qu'à la fin de cette offensive, les dirigeant de cette junte perfide, pourrons ouvrir les yeux et éviter plus de mort.
carte V1
Ancien plan, en bleu la frontière, rouge, étape 1 ; orange, étape 2 ; jaune, étape 3

carte V2
nouveau plan, même chose que le précédent


déroulement de l’opération

2 000 hommes partiront au nord, pour encercler les forces ennemies, mais avant, 1 500 hommes commencera la contre-offensive depuis la forêt, elle servira de diversion, même si j’espère qu’elle pourra pulvériser les défenses ennemies. Du côté nord, elle percera le peu de défense ennemie, quand l’État-major ennemi prélèvera des troupes de ce front, pour celui du sud. À ce moment-là, où les défenses fascistes seront amoindri, nous lancerons l’offensive, qui profitera de la désorganisation de l’ennemi à notre avantage. Ensuite, l’ordre est de ne pas reculer, avant d’avoir vu la frontière du Fujiwa, si nous ne perçons pas, la guerre va sûrement évoluer en guerre de tranchées, qui nous serait fatale : les territoires contrôlés par la junte est la plus riche du pays, sans compter qu’ils ont le soutien des anciens militaires corrompus des communistes, ils avaient amassé des richesses invraisemblables pour les citoyens de l’ancienne fédération. Ils pourraient tenir longtemps grâce à ça, nous, en revanche ne pouvons pas gagner une guerre d’usure, nous n’avons pas les moyens, et je préfère être un fantoche, mais être un pays libre, qu'indépendant, mais soumis à une dictature sanglante. Cette fois, notre approvisionnement ne sera pas limité, nous avons redirigé le plus de nourriture que possible pour les soldats, sans que cela n’affecte les citoyens, mais nous avons environs 3 semaines, avant que l’approvisionnement ne redevienne un problème, mais d'ici là, soit, nous serons bloqués dans des tranchées, soit nous pourrons dire au monde, que la démocratie de la fédération deviendra une réalité.
L’offensive commencera demain, à 10h pile.

Rapport fait par Loe Phengsavath, général du front fasciste, le 19 septembre 2016
2304
Rapport, bureaucratie, les travaux


Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Après la demande de recrutement passé au sein de notre presse, les résultats ne se sont pas fait attendre : des milliers de personnes ont demandé au gouvernement de l’emploi, et nous sommes surchargés de lettre avec des choses ressemblant à un CV, mais qui est très mal fait, outre ce problème qui avait été planifié, il se trouve que nous avons moins de gens lettrés que prévu, mais avec la fin de la guerre civile, nous devons par-dessus tout avoir une bureaucratie assez efficace. Nous devons organiser la bureaucratie sans aucune base solide, car le gouvernement communiste était extrêmement corrompu et il est évident que recopier un tel système tuerait dans l’œuf notre jeune démocratie. Dès maintenant, les travaux vont pouvoir commencer.

Besoin pour la construction

Il se trouve que nos mines de fer sont très productives, et que dans certaines provinces/villes, des aciéries ont été reconstruites, le bois grâce aux nombreuses forêts au nord du pays est à un prix stable. Bien que ce soit insuffisant pour nos projets, étant donné que nous avons besoins d’autre ressource primordiale pour la construction, c’est déjà un bon début. Pour ce qui est de la main d’œuvre, nous avons des armées de chômeurs, et de SDF, mais l’expertise de professionnel tend à manquer, surtout hors de la capitale. L’argent est aussi un problème majeur, l’inflation augmente énormément et nous n’avons pas l’argent pour aider les gens, seule la nourriture reste à un prix stable, bien que les derniers groupuscules communistes détourne 2-3 camion d’aide du Jashuria, si nous continuons à dépenser autant, le peu d’économie qui se relève pourrait bien disparaître pour de bon. Une occasion pourrait nous permettre d’avoir un budget moins serré sur ce projet et sur les autres : le Jashuria propose une aide économique, ainsi qu’une aide de leur entreprise de construction, ce qui à l’heure actuelle est la meilleure solution, nous allons négocier le fait que des habitants de notre pays sois engagé pour la construction, sinon nos citoyens n’aurons aucun moyen de s’enrichir.

La construction commencera après les négociations faites avec le Jashuria, quel que soit le résultat de celle-ci, même s'il serait préférable que les pourparlers soient positifs pour nous, si le Jashuria accepte, la construction devrait être rapide, surtout aux endroits où seul de la rénovation est nécessaire, mais ne sachant pas à quel point les entreprises Jashuriennes sont efficaces, nous ne pouvons pas prédire le temps des travaux, dans le cas contraire peut-être faudra-t-il 3 ans, si nous sommes optimistes.

Rapport fait part : Jadakan, premier ministre
1969
rapport, déroulement du vote


Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Maintenant que la guerre est finie, un autre arrive : la guerre politique, nos ambitions républicaines se heurtent à un grand problème : pendant 2 ans, nous avons contrôlé d'une main de fer la nation, elle n'est pour l'instant pas prêtes pour une démocratie et le peuple n'est pas content, nous leur avons fait des promesses, nous n'en avons tenu aucune, soit parce qu'impossible, soit parce que nous n'avions pas le temps. Le résultat sont des attentats, bien que contenue grâce à l'armée, dans quelque temps, nous risquons de retomber en guerre civile, le choix d'un vote d'autodétermination, nous serais favorable, le peuple sera écouté, et il pourrait croire en la république, car on a remarqué, que de plus en plus de monarchiste refont surface. Une monarchie constitutionnelle est acceptable, mais ils veulent une monarchie absolue, et même dans ce cas-là, nous ne savons pas où se sont exilé les anciens monarques, nous pensons qu'ils sont morts, pendant la révolution en 1952.

Le vote

c'est un questionnaire, avec des réponses contradictoires, pour chaque ligne, la réponse voté sera celle appliquée, voici ce qu'il y aura :

La fédération sera une : monarchie constitutionnelle avec un premier ministre / une fédération parlementaire / une fédération présidentielle
La durée des mandats : 2,5 ans / 5 ans / 7 ans / 10 ans
L'extrême gauche doit être : interdite / légal, mais très surveillé / légal et peu surveillé
L'extrême droite doit être : interdite / légal, mais très surveillé / légal et peu surveillé
Les parties : doivent être tenue par l'état / doivent être indépendant
La constitution : peut-être modifié par le gouvernement seul / peut-être modifier par des référendums
les élections : par le suffrage direct / par le suffrage indirect.


Donc après les résultats, qui seront appliquées à la lettre, que cela nous plaise ou non. Les élections auront lieu 2 mois après les résultats, soit en décembre ou en janvier, car le nombre de papiers à imprimer est énorme, nous n'avons n'y le papier n'y l'encre nécessaire, la solution est d'attendre que notre économie se reconstruit, heureusement la bureaucratie se forme, petit à petit, et les pays étrangers, commence à voir dans la fédération une économie florissante de possibilité.
3814
Rapport, la fin de la guerre civile

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Le 12 octobre 2016, la fin non-officiel a eu lieu, techniquement le "président" de la junte n’a pas capitulé, mais les forces militaires eux l’on fait. Mais cette fin prématuré à bousculer nos plans, avant pour tout comprendre voici dans quel cadre nous avons pu gagner cette guerre, avec une chance inouïe

Le plan initial 

Alors que la deuxième phase touchait à sa fin, la troisième, elle, devait commencer, mais elle prit du retard, des troupes avaient des problèmes de radio, ainsi que de ravitaillement. Pour régler ces problèmes, elles avancèrent dans le territoire ennemi, dans le but de trouver un village et pouvoir soit le piller, soit y échanger des biens (précédemment pillé) contre de la nourriture. L’un des deux groupes tomba sur un bunker, dans l’espoir d’y trouver de la nourriture, ils commencèrent à attaquer le bunker, au bout d’un quart d’heure de combat, les "soldats" hissèrent un drapeau blanc et c’est en entrant dans le bunker, qu’ils se sont aperçus que les "soldats" étaient bizarrement habillées : cravates et uniformes de généraux. On a découvert à l’issue d’un interrogatoire musclé, ils avaient eu l’information de la troisième phase, qui consistait à foncer sur la capitale, et ils ont donc changé d’endroit de commandement, dans un vieux bunker, et par chance, nous sommes tombés, sur leur base.


Occupation

Bien que les principales forces aient capitulé, comme sur le territoire communiste, nombre de personnes ne nous soutiennent pas, couplé au fait que certaines unités de la junte se sont retranché, ou caché, se sont devenues des bandits. Nos troupes ont investi les principaux lieux de pouvoir, mais elles ont du mal à tenir la zone, même si nous falsifions la plupart des rapports rendue publics pour le cacher, c’est n’est qu’une solution valable à court termes, de plus notre population, est pour la plupart républicaine certes, mais largement divisé sur républicain de gauche ou de droite. Les deux branches sont contre la persécution, l’un à cause de leur idéologie, l’autre, car ce sont les fascistes, mais une branche modérée, moins radicale qui a décidé de soutenir la démocratie. Néanmoins, une administration militaire va être créée, pour sécuriser la région, qui est extrêmement stratégique, riche en souffrent et en plombs notamment. Pour ce qui est du référendum, nous allons le faire, mais avec des restrictions, spécifiquement sur la question des fascistes, avec le nombre d’extrémistes endoctrinée, cela truquerait les élections, à coup sûr certaines milices pourraient aussi intervenir pour forcer le vote de certaine personne. Pendant l’occupation, le temps de trouver les capitaines des dernières forces ennemis, nous allons complètement bafouer les droits fondamentaux, nous devons les arrêter au plus vite, pour être dans une position plus confortable sur la scène internationale, bien sur nous cacherons toutes ces dérives, sinon la plupart des nations démocratiques nous tourneraient le dos et vu que l’objectif principal est de s’ouvrir diplomatiquement, on ne pourra pas le faire sur la durée, ainsi sur le territoire d’occupation, un contre-espionnage intense aura aussi lieu : rien ne rentrera, rien ne sortira. Une campagne de propagande républicaine est aussi à prévoir, mais une propagande plutôt informative des dérives fascistes, il ne fraudait pas devenir comme eux, sinon ces 2 années de guerre ne servirons à rien.


Reconstruction

Nous devons reconstruire la région, qui était très riche avant la guerre, et en priorité les mines de plombs, les mines de soufres et les différentes agricultures. Nous allons mettre une grande partie du budget, en raison des bénéfices pouvant être fait, malheureusement à cause des autres projets de construction, nous ne pouvons pas allouer de la main d’œuvre, en espérant que nous pourrons faire des accords commerciaux, pour régler le problème. Dans cette reconstruction, les fascistes nous ont laissé un petit cadeau empoisonné : avant la capitulation des forces de la junte, ils ont brûlé, pillés, détruits la plupart des villes, ou postes militaires stratégiques, le plus problématique ce sont les postes / bases militaires détruites, sans cela le contrôle du territoire sera plus dur, le temps de reconstruites ceux-ci, ces travaux seront assurés par les militaires directement, nous n’avons pas le temps, ni l’argent pour à allouer pour ce genre de chose.

Rapport fait par Maik Khotpanya, chef d'état.
2844
Rapport, prix "inquiétant", instabilité

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison


Depuis quelques semaines, depuis la prise du territoire fascistes, un gros problèmes s’impose : les prix de la nourriture, des vêtements, et toute chose primaire grimpent très rapidement et pour cause, 15 millions d’habitants habitaient dans les terres récemment reprises qui étaient pour la plupart affamés, dans la rue, sans le sous, avec la plupart juste des pantalons, où toutes choses y ressemblant. Quand nous avons envoyé un peu d’aide, et que les troupes ont pris le contrôle des principales villes, ils ont vu l’ampleur des dégâts, c’est désastreux, nous ne pouvons pas les laisser comme cella, mais nos ressources limitées nous empêchent d’intervenir, le coût de la vie a drastiquement augmenté dans la capitale et sans doute partout ailleurs. Nous ne pouvons les laisser dans la misère, sinon nous ne serons pas mieux que les fascistes, mais le reste du pays est déjà dans la précarité, elle ne peut donner beaucoup plus, sachant qu’une partie des convois partant pour les terres anciennement ennemis en 1 chance sur 3 d’être pillé, ce qui est fâcheux, nous n'avons pas des camions illimités, et demander l’aide du Jashuria nous bloquerait, si notre voisin devient trop influent chez nous, nous pourrions devenir un protectorat caché, à la botte du pays qui nous avaient asservi environs 860 ans, malgré tout, la reconstruction coûte de l’argent, et en plein novembre, nous ne pouvons avoir de récolte, mais la population meurt de faim, est dans la rue, la soudaine ré-augmentation, la population est dans les rues, demandant la constitution, le vote, certaines cellules communistes et fascistes attaquent nos stocks déjà faibles de nourritures, la famine n’est pas loin, la révolte non plus. Les plus dangereux sont les fascistes, où l’idéologie démocratique et socialiste et très loin de concordé, les communistes sont plus dociles, et se servent plus de moyen pacifiste que de moyen militaire pour reprendre de l’influence dans le pays. Les prix doivent baisser au plus vite, par tous les moyens, surtout dans les zones par complètement contrôler par notre armée, cela incluent les territoires anciennement fascistes ou communistes. Nous devons accélérer le pas au plus vite, former une police et réguler les prix, nos districts sous contrôle militaire arrivent pour l’instant à garder sous contrôle, grèves et guérilla, mais nos forces s’épuisent, cela fait déjà 2 ans qu’ils se battent, avec leur compatriote qui plus est, nos forces sont d’ailleurs mécontentes, et eux aussi veulent une évolution, l’administration bien qu’en phase de recouvrement est encore diminué, nous sommes dans une situation très dure, pour calmer les tensions, nous prévoyons le 16 décembre 2016, le vote sur l’organisation étatique, mais certains boycottent le vote, exigeant des régimes plus autoritaire ou même indépendance des 4 régions, alors que la région a toujours été uni, ils veulent l’indépendance, car nous n’avons jamais voulu, ni tenu une promesse : celle d’avoir un Parlement par région, ce qu’il est impossible, 5 parlements dans un même pays n’est pas viable. Le soutien politique d’autre pays nous permettraient de calmer l’ensemble et de stabiliser le pays et de finir cette partie de l’histoire qu’est la guerre civile.

Rapport fait par : Jadakan, premier ministre
2899
Rapport, manifestation, revendication ethniques

Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison


Depuis longtemps, de nombreuses ethnies peuplent la fédération : les Phenns, les Gamnois, les Kon Hòanais, les Chiang Masaketois principalement, mais pas que, du fait de l’occupation pendant plus de 8 siècles des yahudharmas et de leurs descendants Jashuriens, des minorités vivent dans les grandes villes du pays, ainsi qu'à la frontière avec le Jashuria. Ce n’est cependant pas tout, avec ceux-ci se rajoute les langues de nombreuses anciennes tribus parfois encore présentes dans les jungles de la fédération, cette pluralité et une autre cause de notre instabilité post guerre civile.


Manifestation des ethnies et leur revendication

Ces jours-ci, et depuis la fin "officiel" de la guerre civile, des dizaines de manifestations pouvant aller jusqu’à 100 000 manifestants ont eu lieu, souvent de façons pacifiques, sûrement du fait que l’armée entourée constamment la manifestation pour qu’elle ne déborde pas, seulement, nous avons remarqué que s'il n’y a pas les forces républicaines pour encadrer les manifestations, elles finissaient toujours dans un désordre général, qui souvent opposé les extrêmes et se mélangeaient souvent entre extrêmes gauches et communistes, et extrême droite avec les fascistes, est important de différencier les extrêmes avec les régimes politiques : une personne d’extrême gauche n’est pas contre le capitalisme, ni contre la démocratie, elle en veut une différente idem pour l’extrême droite, bien que ces deux idéologies se mélangent avec le communisme et le fascisme. Leurs revendications diffèrent des ethnies desdits manifestants.

— Les minorités Jashurienne veulent : le rapatriement au Jashuria de tout territoire avec leur peuple aux Jashuria, qui pour les modérées est juste quelques dizaines de kilomètres à la frontière, pour les plus radicaux, exigent le rattachement de toute la fédération à la république des deux océans et la résistance de la MEE (Marche d’extrême Est), qui leur conférait nombre de privilèges, ses minorités étant les descendants directs des colons Jashuriens.
— Les peuples de Gamn et de Chiang Masaket qui ont des intérêts communs, pour les modérés, une autonomie accrus de ces deux peuples qui sont pourtant des piliers centraux des populations, et veulent comme du temps des communistes un territoire propres, avec leurs propres gouvernements local, avec comme autorité la fédération, pour les radicaux, soit ils veulent l’indépendance, soit comme pour les Jashuriens, ils demandent des térritoires, ceux du Jashuria, où dans le territoire de ceux-ci quelques minorités soit Gamnois, soit Chiang Masaketois.
— Les tribus eux veulent des droits, longtemps opprimé par les différents gouvernements, ils veulent des terres et une reconnaissance du gouvernement.

En bref, les nombreuses minorités se battent souvent entre-elles, ce qui cause des tensions très, voire trop grandes entre les ethnies alors que la fédération depuis son existence essaye de régler ces problèmes, au lieu de les cacher par une tonne de propagande comme l’on fait le communisme, ou ne rien faire comme l’ancienne monarchie, les plus gros problèmes étant les minorités Jashurienne, et nos minorités au Jashuria, des conflits territoriaux pourraient survenir avec un potentiel allié.

Rapport fait par : jadakan, premier ministre
2869
Rapport, sentence des rebelles
Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison

Cela faisaient des semaines que le projet était en place, enfin punir les traîtres de la fédération, mais ce n’était pas chose aisée : les pays communistes et fascistes pourrons être contrarié de voir des sentences très dures à l’égard des futurs condamnés, mais cette attente a eu un lourd prix. Makaio Keomany, chef de la révolte communiste en a profité et grâce à un réseau communiste non détruit par l’armée, il a réussi à s’échapper, bien qu’au prix d’une balle dans la jambe, nos forces sont à ses trousses, et la plupart de nos ports sont soit en construction, donc non utilisable, soit étroitement surveillé par notre "police", et passer par le Jashuria serait sûrement du suicide.

Le tribunal populaire regroupe une dizaine de personnes : 4 personnes des 4 ethnies majoritaires du pays, 2 personnes venant des tribus des jungles du pays, ainsi que 3 soldats, qui représente les milices / forces armées qui ont dû combattre pendant la guerre.

16 décembre à 10h :

Tout le monde se place, les 10 juges, une vingtaine de garde, à l’intérieur et une dizaine de chars d’asseau à l’extérieur pour prévenir toutes opérations de sauvetage pour nos prisonniers. Il y a aussi le premier ministre, bien que discret qui supervise le tout, pour éviter toute sorte de dérive, surtout violente, de la part des militaires qui sont pour la plupart anti-communiste et anti-fasciste.
10h30 :

Les prisonniers arrivent, le premier à passer est Yim Veha, le despote fasciste, un premier soldat lis les chefs d’accusation : " Monsieur Yim Veha, accusé de trahison envers la fédération, de coup d'État et de n’avoir eu aucun scrupule à faire mourir de faim la population." et le débat commence

Soldat 2 : Pour avoir tué autant de personne, il devrait être exécuté !
Citoyens 1 : Il a quand même renversé le pouvoir corrompue communiste, la peine de mort est trop lourde.
Autochtone 1 : il a ordonné à ses troupes de brûlé la jungle, à certain endroit, c'est un monstre, il doit mourir pour expier ses fautes !
Néanmoins, après quelques minutes un vote à mains levé est faite, il faut 8/10 d’accord sur une même sentence pour qu’elle soit appliquée.
Soldat 1 : avec 9 personnes pour la peine de mort, M. Yim Veha est condamné à être fusillé, la mise à mort est prévu pour… Aujourd’hui ?
Le premier ministre fait un signe, 5 soldats escorte le dirigeant de la junte dehors. 5 coups de feu retentissent, le serpent comme certain l’appelait est mort.

10h40 :

Cette fois, c'était un communiste qui était devant les juges, un général, il est accusé des mêmes choses, le débat est le même, la finalité aussi, fusillé à l’extérieur, mais en plus, le débat n’a pas durée longtemps, les 10 étant unanimement anti-communiste, c’était plutôt simple de se mettre d’accord.

Des dizaines de prisonniers passaient un à un, fascistes comme communistes, ils étaient tous exécutés, vers la fin, les juges disaient la sentence avant même le protocole terminé, plus personne ne se voilait la face, c’était un massacre des élites, déguisé en tribunal, même si à la fin, on se jura que c’était pour le peuple, les 10 personne ont mystérieusement disparu après la fin du tribunal, les résultats ne seront jamais dévoilés au grand jour. Officiellement, seules quelques personne ont été exécuter, les autres serait en prison.

Rapport fait par : Jadakan, premier ministre
Haut de page