Rapport de l’état de la guerre civile
Seul l’état-major doit lire ce rapport, sinon une sanction sera appliquée à la hauteur de la trahison
Résumé des actions antérieur du rapport :
Nous avons lancé, en 2014 après la mort de Kahoku Thammavong, dirigeant du pays Le régime communiste en place depuis 1952, donc la fédération socialiste de Phenn de Gamn de Kon Hòa et de Chiang Masaket a été renversé par la junte militaire Phenn Gamn, issue des restes de l’armée royale prend le pouvoir, d’abord amical avec notre partie démocratique, elle voulut très vite se séparer de nous pour instaurer un régime militaire. Si nous n’avions rien fait, on serait passé d’une dictature communiste à une dictature fasciste. Au début, à cause de l’instabilité du régime, et voulant éviter une guerre civile, nous organisions des manifestations, des grèves, des refus obtempéré, mais le nouveau régime comme le précédant a jugé bon de tirer sur la population en guise de réponse. Donc 3 semaines après la prise du pouvoir du régime, on se révolta.
La révolte a commencé chaotiquement, les communistes encore ancré dans le pays en profita, les ligne de front n’étaient pas claires, les fusillades étaient fréquentes. Au bout de 2-3 semaine le front se consolide, le sud ouest est à nous, le sud est à la junte et le nord communiste, la capitale est coupée en trois de la même manière. Heureusement pour nous, nous avions réussi à prendre la partie du pays le plus industrialisé et peuplé, mais notre armée n’était que des milices anticommunistes ou antifascistes par apport à nos deux ennemis qui avait une vraie armée, un mal pour un bien, ils se bâtaient entre eux, pensant que nous étions trop faibles pour gagner. Nous en avons profité pour se retrancher et construire des abris aux civils de notre côté pour qu’ils survivent au bombardement.
Un mois après le début de la guerre, les fascistes domine largement les communistes, la junte a pris leur partie de la capitale et bon nombre de provinces, ne voulant pas perdre les anticapitalistes.
Propose une alliance de circonstance. Après mûre réflexion au sein de l’état-major révolutionnaire, l’alliance fut acceptée, et une offensive sur le front sud commença. Après quelques succès initiaux, un encerclement de 1 500 hommes notamment, les force fasciste se réorganisa et nous infligea une sévère défaite qui nous fit reculer sur les frontières d’origine. En parallèle, une offense pour prendre la capitale avait été acté, par miracle les troupes fascistes à cet endroit étaient mal nourris, mal équipé, un moral inexistant. Dès le début de la bataille, une partie des troupes refusa de combattre, et le reste fut écrasé par nos forces, nous prîmes la capitale par miracle, mais à un prix élevé : les bâtiments détruit, comme le palais, l’ambassade, l’université militaire etc. Avec cette victoire, le peuple se rangea de notre côté, des cellules démocratiques se soulevaient partout chez nos ennemis, les usines, parfois sans murs et sans toit, tournés à plein régime, les troupes affluait, à notre paroxysme, c'est 75 000 hommes qui combattaient. Milieu 2015, les fascistes s’effondra, nous avons pris quasiment tous leurs territoires, à ce moment-là, la guerre reprise entre nous et les communistes, ce fut une guerre de position. Nous avons réussi à les repousser dans les montagnes nous séparant du Jashuria le mois dernier.
L’état du pays :
Avec deux ans de guerre civile officiellement terminée, le pays est en ruine, la famine va bientôt frapper si aucune aide vient des autres pays, avec l’isolement provoqué par l’ancien régime communiste, nous ne savons rien du monde extérieur, et de toute façon notre ambassade à explosée pendant la bataille pour la capitale. Économiquement, ce n'est pas mieux, les laboratoires ont été utilisés comme fortification, elles sont mortes, les usines militaires étaient à la base des usines civile, pour relancer l’économie, nous avons décidé de changer la production en bien de consommation, d’après nos estimations 85 % de notre population souffre de pauvreté. Autre problème, le seul aéroport civil a été détruit, ainsi que le seul avion civil, les ports aussi, vu que depuis 1954 ils ont été continuellement sabotés par la junte. Militairement, on peut se faire envahir par n’importe qui, nous avons 10 000 hommes distribués, ainsi : 3 000 hommes est sur le front fasciste, idem du côté communiste, 3 000 autres font la police dans les principales villes, les 1 000 derniers sont dans la capitale pour protéger l’état-major. La stabilité intérieure est difficile à maintenir, pour contenter les indépendantistes qui ne veulent plus de fédération, la constitution devra instaurer un système politique avec : 5 parlements, les quatre premiers pour chaque pays de la fédération, le cinquième pour la fédération plus un Parlement, qui est tout bonnement impossible si la fédération veut fonctionner, surtout avec une administration inexistante, une monnaie qui à cause de l’inflation commence à encore plus casser l’économie déjà inexistante. En bref, nous avons encore beaucoup de travail.
Vive la révolution, Vive la fédération, Vive la liberté.
Général du front communiste Wongduan Vorachith