11/05/2017
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Encyclopédie de la Ligue libre de l’Altakust

Généralités :
Nom officiel : Vrije Liga van de Altakust / Ligue libre de l’Altakust
Nom courant : Altakust
Forme de l'État : Système Républicain dualiste
Chef d'État : Jelrik Van der Aam
Capitale(s) : Nieuw-Klarenheem
Gentilé : Altakustiaan ou Vrijeliganen
Population : 17 456 765 hbts.
Langues officielles : Yatláan secondaire / Zélandais Classique / Arabe Levantin / Tahokais / Listonien
Langue(s) reconnue(s) : Zélandais Classique / Arabe Levantin / Tahokais / Listonien / etc...
Devise officielle : "Samen gevallen, samen opgestaan"
→ Tombés ensemble, relevés ensemble
Hymne officiel : [/b]
Monnaie nationale : De Vrije Guilder (Le Florin Libre) → signé ɃV
Superficie : 87 927 km²



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Les données présentées dans ce document sont issus de la réponse du Centre National d'étude statistique à un questionnaire international sur le sujet visant à clarifier les us et coutumes des différentes nations de notre monde.


🌐 Culture funéraire à travers le monde


⚰️ Cérémonies Funéraires :

➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.

  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 3%
  • 🔥 Crémation : 16%
  • 🪦 Inhumation terrestre : 47%
  • 💧 Inhumation aquatique : 0% ( interdit par la loi )
  • 🦅 Exposition des restes :>2%
  • 🌱 Humusation/Terramation : 32%
  • 🧊 Promession/Cryomation : 0% ( interdit par la loi )
  • Autre (précisez) :


Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)

Pour l'inhumation terrestre le dépôt d’objets personnels est courant. Les personnes de tradition chrétienne, continuent de placer des objets bénits (chapelets, icônes). Chez certains courants plus laïcs ou locaux, on trouve la pratique d’un embaumement léger et de décorer les sépulture avec plusieurs plantes, notamment aromatiques pour que des bonnes odeurs se dégagent de la tombe ce qui chasserait les mauvais esprits. Dans le cas des crémation ( pratiqué en majorité par des familles plus urbanisées ou d’ascendance étrangère notamment scandinave ou d’Europe centrale) on retrouve une pratiques de dispersion des cendres dans les Hauts-Plateaux ou le long des falaises de Korenkaai dans le Sud-Ouest du pays. Puis enfin dans le cas de la Terramation, pratiquée en grande partie par les populations rurales, les restes sont généralement dispersés dans un champ vierge pour servir d'engrais, symbolisant une certaine forme de retour à la nature important dans les rites traditionnels Altakustien.

Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ?Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)

Pour les rites tels que l’inhumation ou la Terramation, il n’y pas de coutumes particulières, celà dépend vraiment des individus et ces moments sont privés. On retrouve évidemment de nombreuses cérémonies de tradition chrétienne ou islamique. Là où on peut vraiment noter une coutume propre à la tradition Altakustienne c’est celle de la “Crémation devant la nation”. Ces rites concernent des personnes décédées qui ont fait le choix de donner leur corps à la nation dans leur testament. conçu initialement comme un hommage à la fin de la révolution où de nombreuses fosses communes ont été découvertes et où par conséquent il était impossible de donner une inhumation individuelle à chaque corps sans compter que ces derniers n’ont pas tous été identifiés. Aujourd’hui c’est considéré comme étant un très grand honneur et une grande fierté d’être inhumé dans ce rituel où durant toute la journée, des chants et des cérémonies collectives ont lieu avant que les corps ne soient finalement inhumés dans un très grand brasier.

Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

Inhumations d’État : à ne pas confondre avec les crémations nationales, elles sont réservées aux anciens membres de l’Assemblée de Klarenheem ou aux héros de la guerre civile (1953–1957), elles impliquent un rituel civique,la présence d’un drapeau officiel, et plusieurs autres cérémonies officielles comme un dépôt de discours dans les archives nationales.
Exposition des restes : uniquement autorisée dans des circonstances rituelles précises par dérogation, pour des membres d’associations spirituelles indigène. Celà reste rare même si on en a compté près de 20 000 rien qu’en 2015.
Inhumations doubles (pratiquées uniquement dans certaines communautés lusitano-candeviennes) : pour des couples morts à quelques jours d’intervalle, une tombe commune est creusée en forme de spirale.

Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

Inhumation aquatique (💧) : autrefois tolérée dans certaines communautés maritimes (notamment dans l’archipel de Sint-Paal), elle a été interdite en 1973 pour des raisons de salubrité et de pollution.
Momification rituelle : présente dans certains cercles liés à l’avant-guerre (1930–1940), cette méthode a totalement disparu avec l’arrivée au pouvoir de l’Assemblée de Klarenheem, jugée trop « aristocratique ».
Enterrements religieux standardisés (de type catholique ou protestant classique) : très peu courants avant la guerre d’indépendance, ils sont largement réapparus avec la libération des mœurs Zélandaise dans les années 1960.


🏛️ Infrastructures Funéraires :

➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 2%
  • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 10%
  • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : <1%
  • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 37%
  • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 0% (interdit)
  • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 4%
  • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 3%
  • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 10%
  • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 7%
  • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : <1%
  • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 10%
  • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 5%
  • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent, champ) : 11%
  • Autre (précisez) :

Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)

L’inhumation terrestre aménagée étant le mode dominant (environ 47 %), bien qu’en net recul. Elle est largement financée par les collectivités locales, avec un soutien administratif de l’État. Les familles participent selon leurs moyens, parfois via des coopératives funéraires. À partir des années 1990, on assiste à une forte progression des terrains d’inhumation sauvage, liés à l’essor de l’humusation (32 %). Ce type de dépôt est généralement financé par des associations, des communes rurales, ou des réseaux coopératifs. L’État a officialisé cette pratique dans un décret de 2008 permettant un financement national. Pour la crémation, les crématoriums sont publics ou semi-publics, gérés par les intercommunalités, parfois en partenariat avec des entreprises privées. Les restes peuvent être déposés en columbarium (souvent municipal) ou être directement donnés à la famille du défunt. Dans le cas des “Crémation devant la nation”, tout le processus est géré et financé par l’état.

Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

Terrains d’exposition (séchoirs traditionnels) : Réservés aux de tribus anciennes du Sud-Est, en particulier dans les vallées de l’Isjerk, appartenant à une tradition locale ayant résisté au métissage. Usage strictement cérémoniel et autorisé à titre exceptionnel.

Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

Ossuaires secondaires : Très répandus avant 1950 dans les communes ouvrières, ils ont peu à peu disparu avec la baisse de la mortalité collective et l’individualisation des pratiques funéraires. Leur abandon résulte aussi de préoccupations sanitaires.


Fosses communes : Utilisées lors des conflits civils (1952–1957), elles ont été peu à peu supprimées en faveur de processus d’identification systématiques. Leur usage est aujourd’hui perçu comme une atteinte à la mémoire individuelle.
Exposition des restes : Très minoritaire, cette pratique n’a jamais été formellement interdite mais s’est vue fortement réduite depuis les années 1980, notamment sous l'effet de campagnes d’hygiène publique. Seuls six villages disposent encore d'infrastructures adaptées.


⚖️ Législation Funéraire :

Existe-t-il au moins un code funéraire ? Il n’existe pas, à proprement parler, de code funéraire unifié dans la Vrije Liga van de Altakust. Le droit funéraire y repose sur un enchevêtrement de décrets, d’arrêtés communaux et de circulaires ministérielles. Parmi les plus notables figure le décret de 2008 qui a légalisé et encadré l’humusation, marquant une avancée majeure en matière de dépôts écologiques. D'autres textes régissent localement la gestion des cimetières, la crémation, ou encore les modalités de dispersion des cendres. Cependant, aucun corpus centralisé ni systématique n’a encore été constitué, ce qui rend les pratiques et obligations parfois hétérogènes d’une commune à l’autre. Certaines coopératives ou réseaux de communes ont tenté d’harmoniser les procédures, sans donner lieu à un véritable code officiel à l’échelle de la Liga.

L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Oui, l’activité d’opérateur funéraire est strictement encadrée, même si elle peut être exercée dans un cadre privé, associatif ou coopératif. Depuis la réforme de 1996 sur les services publics de proximité, l’État altakustien délègue la gestion des opérations funéraires aux collectivités locales, qui sont libres de conclure des contrats avec des opérateurs privés sous réserve de respecter des normes nationales. Pour exercer légalement, un opérateur funéraire doit : Obtenir un agrément délivré par l’Agence de Santé Publique de la Liga, valable pour 5 ans renouvelables. Suivre une formation obligatoire d’au moins 120 heures, incluant des modules sur la législation funéraire, l’éthique, la manipulation des corps, l’accompagnement des familles et les normes sanitaires. Respecter une charte de neutralité religieuse, sauf dans le cas d’entreprises confessionnelles dûment enregistrées (notamment juives, musulmanes ou chrétienne). Détenir une assurance responsabilité civile professionnelle. Et disposer d’installations conformes, notamment pour la conservation temporaire des corps (frigorifiques ou salles de veille), la gestion des cercueils, et le transport mortuaire.


💀 Statistiques globales et décès particuliers :

Décès à l'étranger (en %) : 2%
Règles pour rapatrier un corps : OUI, celà nécessite : Un certificat de décès officiel et, en cas de décès suspect, un rapport d’autopsie reconnu par les autorités altakustiennes ou par une juridiction partenaire. Un laissez-passer mortuaire délivré par le consulat ou la mission diplomatique altakustienne. Un cercueil hermétique ou à double enveloppe, si le corps a été conservé au-delà de 48h. Une déclaration préalable auprès du ministère des Affaires civiles, pour contrôle sanitaire à l’arrivée. Le coût du rapatriement est généralement pris en charge par les assurances privées ou par les caisses funéraires mutualisées lorsqu’il s’agit de citoyens à faibles ressources. L’État peut exceptionnellement intervenir en cas de mort en service commandé ou de statut protégé.
Décès inexpliqués (en %) : 5%
Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI
Dans les cas de décès inexpliqués, les autorités appliquent une procédure standardisée impliquant : Saisie automatique du Bureau médico-légal régional, avec autopsie obligatoire et gel des opérations funéraires. Saisie judiciaire des effets personnels et des communications du défunt. Ouverture d’une enquête préliminaire sous autorité du parquet civil ou militaire selon les cas. En cas de disparition sans corps, un statut de "présumé décédé" peut être prononcé au bout de 3 ans (ou 1 an dans des cas spécifiques comme les catastrophes reconnues, opérations militaires, etc.), permettant d’engager des démarches successorales et/ou funéraires.

➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.

  • 1ère : Maladies cardiovasculaires
  • Infarctus, AVC, insuffisance cardiaque. En hausse constante depuis 20 ans, liées à l’urbanisation rapide, au vieillissement de la population, et à une alimentation de plus en plus industrialisée.
  • 2ème : Cancers (tous types confondus)
  • Surtout cancers du poumon, colorectal et du sein. Les expositions industrielles aux particules fines dans le Nord-Est du pays (bassin minier de Grotmaan) aggravent les statistiques.
  • 3ème : Affections respiratoires chroniques
  • Bronchopneumopathies, emphysèmes, fibroses pulmonaires. Une conséquence directe de l’industrie lourde et des régions polluées historiquement non régulées jusqu’aux années 1980.
  • 4ème : Suicides
  • Le taux de suicide est parmi les plus élevés De paltoltera, notamment chez les hommes de plus de 45 ans vivant en zones rurales, ainsi que chez les jeunes en situation de précarité. L'héritage post-guerre civile et le délitement des structures communautaires y jouent un rôle.
  • 5ème : Accidents de transport
  • Particulièrement sur le réseau secondaire. Malgré les efforts récents sur la législation routière, les routes restent meurtrières dans les provinces nord-orientales.
  • 6ème : Cirrhoses et maladies hépatiques
  • L’alcoolisme structurel dans certaines régions (notamment l’ex-bassin d’Engelte) alimente un nombre important de maladies du foie, avec une tendance croissante chez les moins de 40 ans.
  • 7ème : Infections respiratoires aiguës
  • Grippes, pneumonies, notamment chez les personnes âgées. Le manque de campagnes de vaccination massives (faible confiance dans le secteur médical d'État dans certaines classes sociales) rend la population vulnérable en période hivernale.
  • 8ème : Décès violents ou homicides
  • Incluant règlements de compte, violences intrafamiliales, et tensions intercommunautaires encore résiduelles. Les zones anciennement en tension présentent encore des poches de criminalité violente.
  • 9ème : Troubles métaboliques (diabètes, obésité morbide)
  • En forte augmentation, principalement dans les classes populaires. L’accès inégal à une alimentation saine et le recul des soins de proximité contribuent à ce phénomène.
  • 10ème : Morts liées à des complications médicales non prises en charge
  • C’est-à-dire des décès évitables dans un autre contexte médical : infections non traitées, erreurs thérapeutiques, défauts d’accès à des soins d’urgence en zones enclavées. Problème structurel dans les provinces de l’intérieur, où le système de santé reste sous-doté.


➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.

  • 2010 : 0.0057% ( 5,7 décès pour 1000 personnes )
  • 2000 : 0.0049% ( 4,9 décès pour 1000 personnes )
  • 1990 : 0.0066% ( 6,6 décès pour 1000 personnes )
  • 1980 : 0.0098% ( 9,8 décès pour 1000 personnes )
  • 1970 : 0.0102% ( 10,2 décès pour 1000 personnes )
  • 1960 : 0.0257% ( 25,7 décès pour 1000 personnes ) -> fin de la guerre civile
  • 1950 : 0.0143% ( 14,3 décès pour 1000 personnes ) -> période pré guerre civile

🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

Cimetière(s) célèbre(s) :
Cimetière maritime de Wintam : Installé en bordure du delta, il regroupe les cénotaphes de marins disparus en mer et certaines inhumations aquatiques autorisées par dérogation. C’est aussi un lieu de pèlerinage symbolique pour les familles dont les proches n’ont jamais été retrouvés.
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Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
Mur de Grévennes : Un long mur noir de basalte, gravé des noms des disparus non identifiés de la guerre civile. Il est situé dans l’ancien quartier ouvrier d’Hooch-Drave, à proximité des anciens ateliers transformés en musée de la mémoire ouvrière.
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Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
Le Mausolée de Jos Hoogenberg (section nord de Klarenheem-Veld) : Tombe monumentale en granit noir, flanquée de statues allégoriques représentant la "Justice" et le "Peuple". Sa crypte contient également les restes de plusieurs membres de la première Section Hoogenberg.
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🚻 Perspectives Anthropologiques :

]➤ Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? Les funérailles jouent un rôle social fort dans la Liga. Peu importe les convictions religieuses ou politiques, enterrer quelqu’un est un acte collectif. Même dans les familles les plus pauvres ou les plus isolées, on fait en sorte qu’il y ait du monde, un repas, un discours ou au moins un geste symbolique. Dans les zones rurales ou industrielles, c’est le village ou le quartier qui prend le relais : les voisins aident, apportent à manger, prennent en charge les formalités si la famille est dépassée. C’est une forme de solidarité de proximité. Dans les grandes villes, les choses sont plus impersonnelles, mais dans certains secteurs populaires (Zoeterwoud-Sud, Les Grèves d’Oostport), les comités de quartier ou des collectifs militants participent encore activement aux funérailles, surtout si la personne était connue localement. Certaines familles font appel à des services funéraires religieux (protestants, catholiques, musulmans, etc.), mais de plus en plus de cérémonies sont laïques. On y lit des textes, on projette des photos, on passe de la musique. C’est plus personnel, mais ça reste codé : on marque l’événement, on fait mémoire, on témoigne.

Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
Aujourd’hui, la mort n’est pas un sujet tabou, mais elle est rarement mise en avant de manière frontale dans l’art populaire ou officiel. Dans l’art public (musées, fresques, événements culturels), on parle surtout de mémoire historique : guerre civile, morts des luttes sociales, catastrophes industrielles. Il existe des monuments locaux aux morts, souvent financés par les communes ou des collectifs, mais peu de choses vraiment nationales dès qu’on sort du spectre de la guerre civile. Dans les chansons, romans ou films produits localement, la mort est bien présente, mais plutôt sous forme de faits divers, accidents, maladies, violences politiques ou sociales. On parle peu de la mort métaphysique ; on parle de gens qui meurent dans un incendie, d’un cancer, d’une bavure policière ou d’un suicide. C’est concret, brut. Dans les milieux artistiques contemporains (centres culturels alternatifs, expositions indépendantes), la mort est abordée avec un regard plus critique : il y a des installations sur les silos à médicaments, des performances sur les femmes mortes en maternité dans les années 70, des archives photographiques sur les disparus de 1955. Mais ça reste confidentiel, souvent réservé à des cercles militants ou culturels engagés. Dans le cinéma ou la bande dessinée, on représente surtout la mort comme une conséquence des conditions de vie, pas comme une figure mystique ou abstraite. Ce n’est pas sacré. Ce n’est pas tabou. C’est un fait.

🔮 Futur des Funérailles :

Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.) Oui, les rites funéraires dans la Vrije Liga van de Altakust connaissent plusieurs évolutions récentes, principalement depuis la réouverture progressive du pays au reste du monde. On note une montée des cérémonies laïques, souvent inspirées de modèles plus eurysien et de courant plus moderniste qui vont avoir tendance à rejeter la forte culture religieuse d’une génération Altakustienne plus âgé qui a connu les 10 ardentes ( périodes post-guerre civile avec la recrudescence de plusieurs mouvement religieux traditionaliste ). on voit également la recrudescence de rites plus anciens, avec énormément de crémation et de Terramation qui renforce cette opposition d’un génération plus jeune à toute la tradition chrétienne du pays et la préférence d’une certaine forme de retour au source et d’un embrasement de la culture précoloniale par les métisse et les indigène de sang pur ( même si très rare ).

Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? Cette dernière est très faible, la nature très traditionnelle des rites funéraires et plus généralement de la vision du défunt dans la société Altakustienne limite les nouvelles idée qui sont réfuté par l’opinion public et ne font tout simplement pas partie du débat public

Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? Le statut légal de l’exposition des restes revient régulièrement sur la table des débats. Bien que ce soit une tradition native du pays, elle est remise en cause même par les personnels les plus proches des rites anciens. Mais ces rites n’ont jamais pu être interdit de par l’opposition systématique des états où ces rites ont lieu dans le Sud Est du pays. Il peut également arriver certaine fois que les “Crémation devant la nation” soit remise en cause par des forces politiques mineures et les milieux traditionnels Zélandais mais leur statut commémoratif limite ces critiques.

Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? L’Euthanasie n’est tout simplement pas une option. Cette dernière n’a quasiment jamais été débattue et elle n’est pas réclamée. l’idée de mettre en place ce genre de solution aurait beaucoup de mal à s’intégrer à la vision qu’a la société altakustienne qui est très religieuse et qui considère la vie comme la chose la plus sacrée sur terre. C’est aussi pour cette raison que les soins palliatifs sont eux aussi très peu répandus.

Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Comme quand nous parlions des apports lié à la technologie, les nouvelles tendances sont quasiment inexistantes du fait de la vision très traditionnelle portée sur les rites funéraires. A moins qu’un nouveau rite ne soit qu’une légère évolution de ce qui est existe déjà, ce dernier n’a pas sa place de le débat public et même si il l’avait on ne parle que de quelque dizaine de personnes.
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