Photographie professionnelle du Représentant et Président des Vasques ardentes Hendrik Maalderij
avec en fond le drapeau des Vasques Ardente et celui du Hoogvlamraad. La Vrije Liga van de Altakust, jeune État forgé dans le feu de la révolution et des luttes d’indépendance, porte une vision claire de sa place dans le monde : celle d’un acteur nouveau, audacieux, prêt à nouer des partenariats équilibrés et sincères. Longtemps repliée sur ses blessures et ses reconstructions internes, la Ligue sait que son avenir passe par l’ouverture au monde. Elle voit dans ses relations internationales non pas un simple jeu de pouvoir, mais une opportunité de bâtir des ponts, d’échanger des savoirs, et de défendre ses idéaux de souveraineté populaire et de solidarité.
Sur le continent paltoleucien, l’Altakust entend se poser comme une voix distincte, lucide, pragmatique et libre de toute tutelle. Chaque échange diplomatique, chaque ouverture d’ambassade, chaque pacte conclu est pour la Ligue un pas vers son affirmation sur la scène internationale. Elle recherche non pas des alliances de convenance, mais des partenariats fondés sur la reconnaissance mutuelle et le respect des trajectoires historiques.
Aux yeux des commissaires fédéraux, accueillir des partenaires tels que l’Empire Constitutionnel de Slaviensk ou postuler à la Communauté Continentale Paltoleucienne est l’expression d’un projet national plus large, où l’Altakust entend devenir un contributeur actif aux grands équilibres de demain. L’État jeune, mais ambitieux, sait qu’il est observé et il entend prouver qu’il est à la hauteur de ses promesses.
Tjardo van Brökel, le jeune et sérieux Commissaire aux Nations, aux Frontières et aux Relations Extérieures de l’Altakust, descendit de l’avion avec un léger sourire contenu. Derrière ses lunettes, ses yeux sombres analysaient avec curiosité l’agitation de l’aéroport diplomatique. À ses côtés, Hendrik Maalderij, représentant charismatique et puissant des Vasques ardentes, affichait une posture ferme et assurée, contrastant avec son sourire chaleureux aux accents paternalistes. Hendrik portait une veste sobre ornée d’un petit insigne discret des Vasques, tandis que Tjardo arborait un simple badge aux armoiries fédérales.
Quand Sweltana Volkov s’avança pour les saluer, Tjardo s’inclina légèrement, joignant les mains avec respect.
Tjardo van Brökel : « Excellence Volkov, c’est pour nous un honneur et un plaisir d’être reçus en votre grande nation. Nous vous remercions pour cet accueil chaleureux. »Hendrik, plus expansif, tendit une main ferme à Sweltana.
Hendrik Maalderij : « Madame la Ministre, que l’été slavis nous inspire des discussions aussi chaudes et vivantes que cette belle journée. »Après les échanges de politesse, la délégation altakustienne s’installa dans la voiture officielle. Tjardo prit place sur le siège arrière, légèrement raide, tentant de maîtriser son léger trac : c’était son premier déplacement international majeur en tant que commissaire, et même si Jelrik Van der Aam l’avait brieffé en détail, il sentait le poids de la responsabilité. Hendrik, lui, s’installa confortablement à ses côtés, croisant les jambes et laissant son regard vagabonder par la vitre.
Pendant que Sweltana exposait calmement l’organisation du sommet, Tjardo écoutait avec attention, hochant doucement la tête.
Tjardo van Brökel : « Merci pour ces précisions, Excellence. Nous sommes heureux de pouvoir avancer ensemble dans ce dialogue. Pourriez-vous nous en dire plus sur la vision que vous portez, vous personnellement, sur l’avenir des relations entre nos deux nations ? »Hendrik se permit un léger rire en jetant un regard vers Tjardo.
Hendrik Maalderij : « Tjardo aime commencer directement par les grandes questions. Pour ma part, j’espère surtout que vos restaurants sont aussi pleins qu’ils en ont l’air. Une diplomatie à jeun n’est pas une diplomatie efficace, n’est-ce pas ? ».Alors que les rues de Starovsk défilaient, les deux Altakustiens observaient attentivement la ville Hendrik se permit un léger rire en jetant un regard vers Tjardo.
Hendrik Maalderij :
« Tjardo aime commencer directement par les grandes questions. Pour ma part, j’espère surtout que vos restaurants sont aussi pleins qu’ils en ont l’air. Une diplomatie à jeun n’est pas une diplomatie efficace, n’est-ce pas ? »
Ce n'est peut-être as trop d'usage dans la diplomacie Eurysienne de tant plaisanter ou d'être décontracté mais en Altakust celà fait parti de la culture de ne pas non plus être trop sérieux et de rester décontracter tant que les grande négociation n'ont pas débuter, c'est un signe de politesse de se montrer proche des personnes même sans les connaîtres. Alors que les rues de Starovsk défilaient, les deux Altakustiens observaient attentivement la ville depuis le véhicule. Ce dernier approchais des lieux de pouvoirs de Starovsk