11/05/2017
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discours

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Discours

contexte
Maik Khotpanya décide de faire un discours pour rendre publique la capitulation du gouvernement communiste, pour satisfaire le peuple dans un premier temps, dans un second temps pour rassurer le Jashuria, qui a mentionné un déplacement de troupes à la frontière, confirmé par les 1 000 hommes stationné là-bas, qui changent les drapeaux communistes par les drapeaux de la fédération pour voir si cela rassure les autorisées Jashurienne

drapeau communiste
drapeau de la république socialiste Phenn Gamn
11/07/2016 : 10h
Dans le palais Damtam, les derniers préparatifs pour accueillir les premières ambassades sont actées, tendis que devant le palais une foule d’environ 20 000 hommes s’amasse, aujourd’hui le président provisoire va faire une allocution, le peuple espère des bonnes nouvelles, et pour cause, le prix du pain avait encore augmenté, des cellules communistes tentaient désespérément de renversée le cours de la guerre, qui pour beaucoup était déjà actée depuis la prise de la capitale 1 mois après le début de la guerre.


10h30 : Maik Khotpanya arrive sur le balcon, la foule l’acclame, quand elle s’arrête, il commença son discours

Maik Khotpanya : Il y a maintenant 2 ans, nous nous sommes révoltés, il y a 2 ans, nous avons décidé d’être libre, d’être égaux, de construire une fédération. Mais la menace rouge et la menace nationaliste nous a bloquée dans notre idéal. Malgré cela, nous nous sommes battus, battu d’abord pour notre belle capitale, où à présent je vous parle, où nous avions fait confiance au communiste qui parlait de "démocratie ouvrière" mais à la seconde où nous avions battu les fascistes, nous ont planté un couteau dans le dos. Nous nous sommes battus, aujourd’hui je vous parle d’une nouvelle qui ravira tout le monde. Il s’arrête pour rependre son souffle
Il se trouve qu’il y a quelques jours seulement, le dirigeant des communistes à passé le No man’s Land, avec un drapeau blanc, et a dit, je cite "je ne suis pas fou, plus je continue cette guerre, plus je fais du mal aux ouvriers, ceux-là même que j’ai juré de protéger, il vaut mieux ma mort que ça" face à cet honorable personne, qui aura décidé de sauver des vies dans cette guerre qui aurait dû être évité, la plupart des milices communistes se sont rendu avec lui, vos récoltes ne seront dorénavant plus saccagées, le prix du pain baissera, il y aura moins de fou qui tenteront de vous tuer pour faire passer un message pour les "prolétaires". Un tribunal populaire aura lieu dans quelques semaines, pour juger, et j’espère que les fascistes feront de même et capitulerons, car eux aussi savent notre victoire inévitable !

À la fin de cette phrase, la foule l’acclame de joie

Maik Khotpanya : aussi je vous annonce que les premières ambassades étrangères arriverons sous peu, je veux en finir avec ce temps où nous ne connaissions même pas tous les pays de la carte, je veux en finir de cette autarcie étouffante pour la fédération, et pour vous mon cher peuple, je veux que nous découvrions des cultures étrangères, pour prendre du recul par apport à notre pays, et je veux qu’on nous connaisse. Mais cette ouverture ne nous donnera pas que ça, vous le savait mieux que quiconque, mais nous commençons à manquer de nourriture, d’argent, d’infrastructure, de scientifique, etc. Cette ouverture nous permettra d’avoir tout ce qu’il nous faut : des investisseurs, des relations commerciales, des ouvriers par exemple, ce qui nous permettra de construire des usines, reconstruire vos maisons, durement touché à cause de la guerre, et d’ailleurs avec le peu d’argent que nous avons récolté, nous allons reconstruire la capitale, plus particulièrement les maisons et les industries. Je suis convaincu que si nous nous ouvrons rapidement, notre pays sera enfin en bonne santé, après les nombreuses décennies de problèmes.
En parlant de bonne santé, je sais que vous attendait une démocratie, c’est pourquoi vous vous êtes révolté, ce pourquoi j’ai pris la tête du pays, ce pourquoi nous nous sommes battus, mais un problème subsiste, les fascistes, nous ne pouvons créer une démocratie saine, si une partie de la population est contrôlé par ces nationalistes, qui ne veuille pas d’une fédération comme nous l’entendons, je pense qu’il faut attendre, car je prévois un vote, et ce premier vote sera pour nous aiguiller sur la démocratie que nous choisirons : une démocratie autoritaire, où le président aurait un grand pouvoir, une démocratie parlementaire, où ce seraient les parlements qui auraient le plus de pouvoir, un entre deux ? Et ce vote permettra de finaliser la constitution, nous l’avons commencés il y a 2 ans, et il faut la finir, c’est l’aboutissement de notre démocratie, de notre fédération. Comme derniers mots, je dirai, vive la liberté, vive la révolution, et vive la fédération !


11h45 : Alors que la foule l’acclamé encore, une personne permis ce rassemblement n’acclamait rien, ceux qui étaient à côté de lui pensaient que c’était une personne qui avait perdu de la famille, des amis dans cette guerre.

11h46 : à la surprise de tous, quand la foule arrêta d’acclamer et allait se disperser, l’homme en question sorti un pistolet, c’est de toute évidence un terroriste

Terroriste : Tu parles de démocratie, mais tu ne fais rien pour les prolétaires, vive le communisme !
il tira avant que les gardes l’abattent, miraculeusement, il ne tira pas sur la tête ni sur le cœur du président, mais sur la jambe, quand les gardes lui tirèrent dessus, une bombe artisanale explosa, bilan 3 morts, 5 blessés, dont Maik Khotpanya, qui avant de s’évanouir de douleur dit
Maik Khotpanya : à la question de quelle démocratie choisir, il vous faudra penser à ce genre de débordement d’un extrême à l’autre, en espérant que ce ne soit pas… il ne finira pas sa phrase, s’évanouissant sur le balcon.
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