A archiver dans le futur, temporaire, ne pas lire.

Posté le : 17 mai 2025 à 23:44:51

2308

Création de pays : ROYAUME D'ILLAGIE

Généralités :

Nom officiel : Kertsz Katholik Kinalydag Illagyas, ke Nagdüsze Transzbrannis, ke Naghersze Padure Veredonias od de semiautonöm Republik Genisesz | Illagia Katolikus Királysága, a Transzbranniai Nagyhercegség, Padura Veredoniana Nagyfejedelemség és a félautonóm Genovai Köztársaság | Katoličko Kraljevstvo Illagia, Veliko Vojvodstvo Transbrannia, Velika Kneževina Padura Veredoniana i poluautonomna Republika Genova | Regno catolico de Illagia, el Gran Ducato de Transbrannia, el Gran Principato de Padura Veredoniana y la Republica semiautonoma de Genova | Regnum Catholicum Illagiae, Magnum Ducatus Transbranniae, Magnum Principatum Padurae Veredonianae et Res Publica Genuensis semi-autonoma | Royaume catholique d'Illagie, du grand-duché de Transbrannie, de la grande-principauté de la Padure Vérédonienne et de la République semi-autonome de Gênise.
Nom courant : Illagie-Transbrannie-Vérédonnie-Gênise, Ilagie.
Gentilé : Illagois.e ; Transbrannien.ne ; Vérédon.ne, Vérédonien.ne ; Gênois.e, Gênvenois.e.

Inspirations culturelles : Royaume de Hongrois, Transylvanie, Grande-principauté de Hongrie, Archiduché d'Autriche, République de Gêne et de Venise, Huns, Horde d'Or.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Latin, Illagois.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Brann, Vérédon, Gênois.

Drapeau :

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2c/Flag_of_Hungary_%2811th_c._-_1301%29.svg?uselang=fr

Devise(s) officielle(s) : Regnum Marianum |

(Marian Kiralysag) | Mária Királysága | Kraljevstvo Marije | Regno de Maria | Royaume de Marie.

Hymne officiel :

Monnaie nationale : Kiralyfrik.

Capitale(s) : Asyhanpest.

Population : 17 200 000 d'habitants.

Aperçu du pays :

Présentation du pays :
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Mentalité de la population :
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Place de la religion dans l'État et la société :
[à remplir]

Politique et institutions :

Institutions politiques :
[à remplir]

Principaux personnages :

Archi-Étienne IV (IV. Istvan-Erseke) :

Stéphane d'Illagie (Stefan Von Illag) :

Soeuké Tchongor (Szöke Csongor) :

Salaï-Ferdinand Jolt (Szalai-Ferdinand Zsolt) :

Novak Karoly (Novak Karoly) :

Politique internationale :
[à remplir]

Rondani

Re : A archiver dans le futur, temporaire, ne pas lire.

Posté le : 18 mai 2025 à 14:02:36

2046

Création de pays : REPUBLIQUE NGABAISE

Généralités :

Nom officiel : République Ngabaise.
Nom courant : Ngaba.
Gentilé : Ngabais.

Inspirations culturelles : Gabon.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Myènè.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune.

Drapeau :

https://m.media-amazon.com/images/I/51QpjKJHFML.jpg

Devise(s) officielle(s) : Le Noir se libère, le Noir se régit, il travaille, il surpasse.

Hymne officiel : Au Ngaba il n'y a pas vraiment d'hymne national, il en existe en réalité un pour le président, les ministres, le peuple, l'armée, etc.
En voici un (celui des ministres) :

Monnaie nationale : Kourou.

Capitale(s) : Lambaréné.

Population : 7 500 000 d'habitants.

Aperçu du pays :

Présentation du pays :
[à remplir]

Mentalité de la population :
[à remplir]

Place de la religion dans l'État et la société :
[à remplir]

Politique et institutions :

Institutions politiques :
[à remplir]

Principaux personnages :

Ntchorérè Onow'Adoni Okoundou (Nĉorérè Onow'Adoni Okundu) :

Teylois-Albert Schweitzer Ogandaga (Téylwa'Albèr Ŝwéitzèr Ogandaga) :

Ambourouet Onowé wi Robaki Nikolongo (Amburwè Onow'Robaki Nikolongo) :

Rénkolombya Onow'Olôgô Sikombè (Rénkolombya Onow'Olôgô Sikombè) :

Avouélé Onowé wi Tchangombya Apôrté (Avwélé Onowé wi Ĉangombya Apôrté) :

Politique internationale :
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Rondani

Re : A archiver dans le futur, temporaire, ne pas lire.

Posté le : 29 mai 2025 à 11:24:19

2319

Création de pays : RSFSN

Généralités :

Nom officiel : République Socialiste Fédérative Syndicaliste de Nordfolklande
Nom courant : Nordfolklande.
Gentilé : Nordfolk.

Inspirations culturelles : Nordfolklande, URSS.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Nordfolk.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Russe.

Drapeau :

Emblème

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c4/Emblem_of_the_Russian_SFSR_%281978%E2%80%931991%29%2C_Emblem_of_Russia_%281991%E2%80%931992%29.svg

Devise(s) officielle(s) : L'Internationale sera le genre humain !

Hymne officiel : En Nordfolk :

En Russe (non-officiel) :

Monnaie nationale : Kopits (K₮).

Capitale(s) : Reitch.

Population : 5 500 000 d'habitants.

Aperçu du pays :

Présentation du pays :
[à remplir]

Mentalité de la population :
La population de Nordfolklande est très plus unis que jamais, notamment car elle a été amputée de près d'un tiers, et que les restent de ceux qui, jadis, composaient l'Empire Strangolkir, sont pour beaucoup hors de cette nouvelle nation. Il n'en reste donc que les Nordfolk (ce qui légitime plus, dans un sens, le fait que le nom du pays soit « Nordfolklande »).

Iceux, principalement les jeunes, sont de grands fanatiques du régime eurycommuniste mis en place par l'ex-premier ministre, et, à l'inverse, les gens âgés sont nostalgiques de l'ancien régime, celui des Roy.

Place de la religion dans l'État et la société :
Il fut un temps, la religion jouait rôle clé dans le fonctionnement de l'état, elle occupait un rôle Important dans le pouvoir judiciaire. Elle était partout : sur les affiches, dans les livres, sur les tags, à la télé, sur Internet, dans la vie quotidienne de tout le monde, même le Tsar, qui prêtait serment devant la bible à Reich (ville de sacrement des Tsars).

Cependant, ce temps est révolu. Et, dans cette nouvelle république socialiste, la religion est restreinte, et l'état prône l'athéisme. Il est tout de même important de noter que la bonne majorité de la population reste orthodoxe.

Politique et institutions :

Institutions politiques :
[à remplir]

Principaux personnages :

Le Secrétaire Général en Chef du parti communistre Nordfolk, Nicolaï Yaroslavtsevitch Nikitov;

https://i.ibb.co/Khhc64b/Design-sans-titre-22.png

La Secrétaire Générale des Syndicats-Unis, Marya Erçelovna Voldritibov ;

https://i.ibb.co/x61DXkD/Design-sans-titre-2025-01-03-T173730-475.png

Le Commissaire chargé par le peuple aux Affaires Extérieures, Décrav Solkovitch Sorólov ;

https://www.reddit.com/media?url=https%3A%2F%2Fpreview.redd.it%2Fzuqze96vtyk71.png%3Fwidth%3D640%26crop%3Dsmart%26auto%3Dwebp%26s%3D15b9c903438c34bb783e9fd564f82a8be6e7e145

Politique internationale :
Le nouveau régime, profondément marqué par le monarchisme, se veut anti-fasciste et anti-capitaliste, il ne prône et de discute qu'avec des socialistes.

Rondani

Re : A archiver dans le futur, temporaire, ne pas lire.

Posté le : 20 juin 2025 à 16:45:25

6162

Création de pays : ROYAUME DE MYENE

Généralités :

Nom officiel : Empire de Myènè ; Empire myènè
Nom courant : Myènè.
Gentilé : myènè.

Inspirations culturelles : Beau Gabon, Belle Ethiopie, beau Mali.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : myènè.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Toutes.

Drapeau :

https://i.ibb.co/spDtwLcC/idee-Myene.png.https://m.media-amazon.com/images/I/51QpjKJHFML.jpg

Devise(s) officielle(s) : Le Noir se libère, le Noir se régit, il travaille, il surpasse.

Hymne officiel : A Myènè, il n'y a pas d'hymne, mais quelques chansons cool, comme Asikwe.

Monnaie nationale : A Myènè, on y fait du troc.

Capitale(s) : Lambaréné.

Population : 1 546 777 d'habitants.

Aperçu du pays :

Présentation du pays :
Alphabet : Aa Bb Çç Cc Dd Ee Ęę Ff Gg Ğğ Hh Ii Jj Kk Ll Mm M̆m̆ Nn N̆n̆ Ņņ Oo Ŏŏ Pp Rr Ss Tt Uu Ww Yy Zz

Mentalité de la population :
La société myènè est une société où l'individu est “effacer” au profit de la société dans laquelle il vit – son village, clan, royaume, empire... –, ainsi, il y a une forte unité entre les nombreuses populations... à une exception près. En effet, il y a une division entre les peuples des villes et des côtes, les peuples des lacs, et les peuples de l'intérieur des terres. Les peuples des villes considèrent comme “sauvage” (ici ne signifie pas qu'ils sont inférieurs, mais plutôt qu'ils sont différents et peut développés) les deux autres.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion joue, à Myènè, une place centrale. En effet, Myènè a été le premier pays chrétiens du monde, et la place de la religion dans les institutions est notable. Elle unit les peuples des villes, elle opère la justice, elle conseille les dirigeants, elle prophétise...

Politique et institutions :

Institutions politiques :
Le Royaume de Myènè est une monarchie héréditaire. Le nouveau monarque est toujours le premier enfant, male ou femelle, de l'ancien monarque. Le pays est composé de trois institutions principales : le Conseil Des Anciens (abrégé CDA), le Conseil auprès de Sa Majesté, et la Hiérarchie Monarchique (qui n'est pas vraiment une institution en tant que tel, on verra plus bas).

Conseil Des Anciens (CDA)
Le Conseil des Anciens (que je vais abréger CDA) est un organe très important, culturellement et institutionnellement parlant.
Le CDA réunit les plus âgés de chaque village (en fait, avant c'était la personne la plus âgée, mais, étant donné que la création d'un village ne dépend pas de l'état central, les plus vieux des nouveaux villages avaient souvent dans les 30-40 ans, ce qui est problématique, car ils n'ont pas assez d'expérience.
Alors, le père de l'actuelle Ngwè instaura un âge minimum de 70 ans pour y participer).

Il se réunit au minimum une fois par an, mais il peut être convoqué à n'importe quel moment par l'impératrice, un de ses membres, ou une personne ayant une haute charge ; il est à noter que les membres du CDA, lorsque convoqués, ne sont pas obligés de s'y rendre.
Ils le font par bonne convenance et par respect des traditions.

Le CDA a une fonction de gardien de la mémoire et de l'unité myènè, juste après la Ngwè. Il conseille les membres de l'Etat Impériale, la Ngwè/Gwi, et permet de recenser les villages de tout le territoire (leurs nombres et noms, car il n'y a ni GPS – difficile de cartographier la plus dense forêt au monde –, ni Internet).

Conseil auprès de Sa Majesté
Le Conseil auprès de Sa Majesté est l'organe qui rassemble les conseillers (Orewunu) et les ministres (Mwini).

Orewunu
L'Orewunu est une personne chargé par la Ngwè/Gwi, un Oga, ou autre de le conseiller. Icelui est choisi pour son expertise dans un domaine, et peut être renvoyé à tout moment. L'Orewunu d'un Oga et d'une Ngwè, par exemple, son égaux (ont le même pouvoir) en théorie, mais en pratique, il suffit que celui de la Ngwè ai suffisamment d'influence sur elle pour qu'il soit plus puissant qu'un Orewunu d'un Oga.

Mwini
Le Mwini est une personne mandaté par une Ngwè/Gwi, un Oga, un Kumu... afin de faire un tâche à sa place. En fait, il donne une partie de son pouvoir afin qu'il accomplisse une tâche. Par exemple, un Mwini des affaires de dehors pourrait lui-même rédiger, trier, et répondre aux missives sans l'aval de son Oga, sa Ngwè... Un mwini d'une Ngwè ou d'un Gwi est plus puissant que celui d'un Ôga.

Hiérarchie Monarchique
A Myènè, il y a une hiérarchie monarchique. Tout en bas d'icelle, se trouve les Kumu (Koumou, ou chef de clan) qui dirigent les clans, qui sont des familles très élargis – par exemple, les Akaza, Adjazi ou les Avandji (les noms de familles n'existent pas). Au-dessus des Kumu se trouvent les Oga (ou Roy), qui dirigent des tribus, des sous-genre d'ethnies – par exemple les Obyewa, Nkero. Au-dessus des Oga se trouvent les Ôga (ou Grand-Roy) qui dirigent les ethnies – par exemple, les Galwa, Nkomi, Mpongwè, Enenga, Orungu, Adyumba et enfin les Kinkomba. Au-dessu des Ôga, se trouve finalement les Ngwè ou Gwi selon le genre (respectivement femme ou homme). Il est tout de même à noter que ngwè, écrit avec une minuscule, peut servir de traduction pour “ancêtre” et “mère” (au sens de celle qui m'enceinte), et gwi, écrit en minuscule, peut être un adjectif que l'on met devant un nom pour y mettre du respect, par exemple pour une personne âgé.

Justice
A Myènè, il n'y a pas de prisons, de propriété privée, et la criminalité se trouve proche du zéro. Comment le pays a t-il réussi à avoir un banditisme si bas ?La réponse passe par plusieurs point :

La justice villageoise : A Myènè, il n'y a pas de tribunaux, mais la justice se fait par des assemblés dans chaque village. Il y a deux façons de juger quelqu'un lorsqu'il n'est pas possédé : la première consiste en le fait de l'isoler de la société. En gros, plus personne ne lui adresse la parole dans le ville, et font comme s'il n'existait pas pendant quarante jour voire plus. Cela met à sac son moral, et le dissuade de recommencer. Cette technique fonctionne car Myènè est une société ou le groupe est mit en avant par rapport à l'individu. La seconde consiste à rassembler tout le village et de commencer à complimenter le bandit. A tour de rôle, les personnes qui lui tiennent à cœur vont lui faire des déclarations tels “Onanga, tu étais un homme si serviable et gentil, tu avait été si gentil avec moi quand [raconte]. Comment as-tu pu faire ça ? Il faut se reprendre, tu n'es pas un mauvais garçon.” (c'est un exemple). Cela va faire culpabiliser la personne et va le dissuader de recommencer.

Maintenant, lorsque l'être humain est possédé par un esprit, on l'emmène à l'église où il est guérit d'icelui (je ne détaillerais pas ici le processus).

La justice citadine : A Myènè, pour rendre justice dans les cités, l'on fait à peut près la même chose que dans les villages, mais à une échelle monstrueuse. Les centaines de milliers de personnes qui ne te parlent plus, ou des milliers de personnes qui te font culpabiliser... Pour faire ces “tribunaux populaires”, l'on réserve des place construites pour l'occasion ; il y a une carte de ces cartes dans le centre de chaque ville.

La justice religieuse : Il peut parfois arriver que, malgré tout cela, la personne, visiblement trop influencée par ces eurysiens, décide de persister. Dans ce cas elle est emmené de force à l'église, afin de se faire guérir par les prêtres.

Principaux personnages :

Politique internationale :
Myènè a une politique internationale anticolonialiste (qui s'explique par la colonisation brutale de ses voisins, et plus généralement de sa présence en Afarée), et prône une Union Afaréenne face aux invasion de l'Eurysie.

Rondani

Re : A archiver dans le futur, temporaire, ne pas lire.

Posté le : 24 jui. 2025 à 15:28:45

8742

Création de pays : ZXÂRAZGĂR İLLAZ̦İ

Généralités :

Nom officiel : Zxârazgăr İllaz̦i /zxorazgər ilaʒi/.
Nom courant : İllaz̦istan /ilaʒistan/ (Illage).
Gentilé : İllaz̦yar /ilaʒjar/(Illageois).

Inspirations culturelles : Afghanistan, Pays-Basque, Hongrie, Turkménistan, Iran.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : İllaz̦yarı /ilaʒjarɨ/ (Illageois).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucunes.

Drapeau :

https://i.ibb.co/6RhXWJYH/Zx-razg-re-a-xro-ozg-re-z-a-xwut-3.png.https://i.ibb.co/dwSknKRK/Zx-razg-re-a-xro-ozg-re-z-a-xwut.png

Devise(s) officielle(s) : „Ăllăh, Șaha mâfzat-vûm!” (« Dieu, protège le Chah ! »)

Hymne officiel :

Paroles

نآم جاوید واتان
صبح امید وطن
جلوهءزار در آسمان
همچو مهر جاودان
وطن ای هستی من
شور و سرمستی من
جلوهءزار در آسمان
همچو مهر جاودان
بشووم سوز سخنم
که هم آواز تو منم
همه ی جان و تنم
وطنم وطنم وطنم وطنم
بشنو سوز سخنم
که نواگر این چمنم
همه ی جان و تنم
وطنم وطنم وطنم وطنم
همه با یک نام و نشان
به تفاوت هر رنگ و زبان
همه با یک نام و نشان
به تفاوت هر رنگ و زبان
همه شاد و ووش و نغمه زنان
ز صلابت یلاج جوان

Hymne non-officiel :

Monnaie nationale : Xwârk (pluriel : Xwârka).

Capitale(s) : Ğarxom.

Population : 41,45 millions d'habitants.

Aperçu du pays :

Présentation du pays : L'histoire de cet État montagneux du Nazum central commence réellement en 125 après Jésus-Christ. La région de l'actuelle Illage (ou Illagistan, à votre convenance, je préfère cette appellation dans la langue illageoise) était alors occupée par plusieurs tribus illageoises (İllaz̦yar) et awaghanes (aŵğan) – le nombre exact est inconnu des historiens en raison des archives fermées ou disparues de l'époque, ou simplement de leur inexistence.
Cette même année l'un des chefs de tribu, Axan Ji-Kalcac̦an Allŵhidi – le « Allŵhidi » signifie qu'il vient de la ville d'Allŵhid, ce qui veut dire qu'il appartient à la tribu des Yrerzin – décida d'entreprendre l'unification de tous les illageois. Il lève donc son armée et oscille entre victoires et défaites. Il mourut pendant le siège de Balugdad (se prononce Bawougdad), à deux vingt-et-cinq (45) ans : il ne verra son rêve [celui de réunir sous un même oriflamme tout les peuples et tribus illageois] s'accomplir. C'est son fils, Ûlbek Ji-Axan Allŵhidi, qui assiégera Balugdad et unifia tous les Illageois.
Cette unification marque le début du Pașağat, un régime monarchique dirigé par un Pașah. Le premier Pașah fut officiellement Axan Ji-Kalcac̦an Allŵhidi, dit Axan Ier, même si logiquement, c'était plutôt Ûlbek Ji-Axan Allŵhidi, dit Ûlbek Ier.

Vers l'an 1000, le puissant empire Yudjénide, voisin à l'Ouest du Pașağat, entreprit des escarmouches à la frontière avec l'état du Pașah, nottament sur la ville frontalière de Paștak, au sud de Xabul, capitale d'alors, se qui fit déplacer le régime vers Ğarxom. Cependant, ce n'est que réellement entre 1400 et 1500 après Jésus-Christ que se lança la campagne de l'Empire Yudjénide en Illage. Les yudjénides, mieux armés et préparés que les forces du Pașah, s'escrimait à avancer plus loin que la ville de Merzun (se prononce Mèdjoune), à l'Ouest du territoire actuel. La guerre dura pendant près d'un siècle, et les deux parties se battirent farouchement pour chaque centimètre carré de territoire. Finalement, la paix est actée entre les deux entités, et la moitié ouest du territoire du Pașağat (allant de la frontière à Merzun) est cédée aux Yudjénides.
L'Empire Yudjénide domina ainsi le sénestre d'Illage pendant près de 400 ans, avant qu'une crise interne, à l'aube du XXe siècle, ne le fragmente, laissant l’Ouest et l’Est de l’ancien Pașağat indépendants.

En 1765, le Pașağat conquis les tribus des peuples awaghanes de la bande Wâxan.

En 1925, suite aux accords de Xartaŵrzikalacașâğâ-i-Abndallah, suite à la conférence de Merzun, rassemblant les partis kaderstanais (yudjénides) et illageois, la partie Ouest et Est seront réunifiés sous l'autorité du Pașah, qui sera appelé Șah, en raison de l'annexion de la partie awaghane.

En 1989, c'est l'accession au trône de l'actuel Șah, Mohammad III. Les règne de ses prédécesseurs étaient marqués par le conservatisme, le mépris et la répression des peuples minoritaires (karderstanais, awaghanes...), le retard industriel pris par la peur des machines, et le retard en terme de droit humain. Mohammad veut y remédier, pour ça, il engage un tas de réfomes, parmis icelles : le droit de vote au femmes, la laïcisation de l'état, le droit de disposer une terre pour les non-illageois, le lancement du programme industriel et militaire, et d'autres réformes du style.
Aujourd'hui, ces réformes font peur aux conservateurs : ils y voient une « gauchisation » et une communalisation de l'état, ainsi qu'une perte du pouvoir du peuple illageois, qui seront certains mouvement (Xallban et Sûmarin) seraient « pur ». La colère gronde parmi les conservateurs, et ça pourrait très mal se finir...

Mentalité de la population : Illage est une nation partagée entre deux peuples : les Illageois et les Awaghanes. Au sein même des Illageois, il existe plusieurs groupes — montagnards, Aklâtik, Rzungell — qui partagent certes la même langue, mais non les mêmes courants religieux. Les Aklâtik sont sunnites, les Rzungell chiites, et les montagnards chrétiens orthodoxes. Les Awaghanes forment la communauté chrétienne la plus importante du pays (plus de 60 % des chrétiens, majoritairement orthodoxes, sont awaghanes). Il existe également une forme d'oppression envers ces minorités chrétiennes, le christianisme représentant moins de 7 % de la population — et plus particulièrement à l’encontre des Awaghanes.

Le peuple illageois, mis à part les Awaghanes, entretient une très mauvaise perception et de mauvaises relations avec l’étranger. Du Lav P'iri au Transblême, en passant par les Transks, Churayns et Mokhaïens. Seuls les Kaderstanais sont considérés comme des gens respectables à leurs yeux : ce sont leurs frères.

Les Awaghanes, quant à eux, sont plutôt ouverts, et apprécient beaucoup les peuples des steppes (Moritons, Mhyr-Münes), ainsi que les peuples du Lav P'iri.

Place de la religion dans l'État et la société : L'islam sunnite (peuple) est la religion majoritaire du pays, suivie de près par l'islam chiite (état, plus maintenant), et le christianisme orthodoxe. Jusqu'à récemment, la religion islamique occupait une place centrale dans l'état : elle y était indissociable (justices, écoles, hôpitaux, tout ça sous le contrôle d'icelle). Elle avait (et a toujours d'ailleurs) également une place de choix dans la société : on enseigne et transmet des connaissance, au sein des campagnes, par elle. Elle soutien ceux qui ont des soucis, et offre un répits dans ce pays cruel et suranné.

Politique et institutions :

Institutions politiques : İllaz̦istan (en français : Illage) est un Zxârazgăr. C'est-à-dire que c'est un régime de transition d'un point A à un point B. Dans le cas présent d'Illage, c'est une monarchie de transition entre Illage Suranné (point A ; conservatisme) et Illage Nouveau (point B ; progressisme). Tout cela n'a pas de base juridique et n'ai que purement symbolique.

Exécutif

Șah
Le pouvoir exécutif, en Illage, est détenu par le Șah. Il a le pouvoir de déclarer une guerre, condamner, par décret, toute personne de son choix (sauf si indication contraire dans la constitution, exemple : les membres du Conseil Constitutionnel). Il a aussi le pouvoir de déclarer l'état d'urgence, lorsque la situation interne est critique, et de prendre les pleins pouvoirs, le tout, sans l'aval du Sénat. Le Șah est aussi le chef du gouvernement.
Zarrzûlm
Le Șah peut décider de déléguer certaines tâches (affaires étrangères, économie, santé...) à des Zarrzûlm. Les Zarrzûlm sont des conseillers à pouvoir limité, par exemple, le Zarrzûlm Xroğvaz̦âr al-Nușxwom rédige les réponses des missives, mais ne peut répondre qu'avec l'aval du Șah qui l'examine.

Législatif

Rzez̦xân & Haut Conseil d'Etat
Illage possède un parlement : le Rzez̦xâm. Il est composé d'une chambre haute (Varnâm = Sénat) et d'une chambre basse (Zxâranâm = Assemblée Nationale), toutes deux consultatives. Elles votent les lois et peuvent servir de conseil au Șah. Pour voter les lois, les parlementaires (qui sont élus pour cinq ans au suffrage masculin direct [Zxâranâm] et suffrage masculin indirect [Varnâm], et qui sont tous des hommes, dans les deux chambres) se réunissent, d'abord dans la chambre basse afin de délibérer, puis les résultats montent à la chambre haute. Ils y délibèrent, et, s'ils se sont mis d'accord, ils envoient la loi au Haut Conseil d'Etat (qui surveille les agissements du Rzez̦xân et dont les membres sont nommés à vie par le Șah) qui décide si elle est promulguée ; sinon, elle retourne à la chambre basse et le processus reprend. Si les parlementaires de la chambre haute ne se sont pas mis d'accord, alors la loi retourne à la chambre basse, et ce processus se répète indéfiniment jusqu'à ce qu'il y ait un accord.

Judiciaire

Constitution
En Illage, il existe bien une constitution : la Zxârnuc̦mağa Rûxwomi i Ji-Ğarxomi /zxornitʃmaːa ryxwɔmi i ji aːrxɔmi/. Elle est laïque, et est basée sur le modèle des constitutions ouest-eurysiennes, comme le voulait Mohammad Ji-Xârznum Ğarxomi.
Conseil Constitutionnel
Le CC, dont les membres sont des juges choisis par le Șah, surveille la constitutionnalité des lois ET règlements (pas les décrets). Si une loi, approuvée par le Haut Conseil d'Etat, est anticonstitutionnelle, le CC peut la refuser – sauf si ordre contraire du souverain. Il fait aussi office de tribunal suprême, en collaboration avec le Conseil des Anciens.
Conseil des Anciens
Le Conseil des Anciens est l'organe théocratique de l'Etat. Bien qu'il soit laïc, l'Etat a un devoir moral auprès des citoyens. Ainsi, le CA rassemble des théologiens du monde islamique chiite et collabore avec l'organe laïc pour juger. Il conseille aussi le souverain sur demande.

Principaux personnages :

Mohammad III, ou Mohammad Ji-Xârznum Ğarxomi, Șah İllaz̦i :

Șah

İlmâztrûn Ji-Xwâğon Ğarxomi, Zarrzûlm Xroğvaz̦âr al-Nușxwom İllaz̦i :

Zarrzûlm Xroğvaz̦âr al-Nușxwom

Rzevzumâr Ji-Xacrul Balugdadi, Zarrzûlm Xroğvaz̦âr al-Ewrâzğâr-xwut İllaz̦i :

Zarrzûlm Xroğvaz̦âr al-Ewrâzğâr-xwut

Politique internationale : La politique internationale de ce pays, comme celle de toute monarchie absolue/autocratique en générale, dépend des intérêts sur le moment, à court, moyen, et long terme de la nation, mais surtout, et avant tout, de la position géopolitique et idéologique du dirigeant.
Dans le cas d'Illage, le dirigeant est plutôt progressiste, et, conscient de la position arriérée de sa nation, cherchera à noueur des relations cordiales avec ses voisins et les potentiels alliés à travers le monde d'Illage.