11/05/2017
16:25:45
Index du forum Règles et inscription Inscriptions Demande d'inscription de NJ2

U.R.A

0

Création de pays : union des républiques arabes


Généralités :



Nom officiel :union des républiques arabes
Nom courant :U.R.A
Gentilé :arabe

Inspirations culturelles :république arabe unie/ Grand Beylicat Aykhanide pour l'aspect unificateur/syrie ba'athiste
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) :arabe
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle :Unité, liberté, socialisme
Hymne nationale :
Hymne du parti:
Monnaie nationale :le dinar

Capitale :المدينة (almadina)

Population : 30 million habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

L'histoire récente du territoire de l'Union des Républiques Arabes débute vers l’année 1737. À cette époque, la région n'était qu' un groupe de royaumes, d'émirats et de clans, tous sous la tutelle du Royaume Altaï d'Azur. Cependant, le milieu des années 1840 marquera un tournant décisif : le déclin de la suprématie azuréenne, couplé à un retard technologique flagrant des armées arabes de l'époque, permit à diverses armées eurysiennes de soumettre ces royaumes. Bien que le traitement cruel et déshumanisant infligé par les Eurysiens ait enflammé les populations locales, aucune action majeure ne sera entreprise avant la Grande Révolution de 1906.
Ces rébellions tribales culminèrent avec la création de la République du Nouveau Markaz. Cette république éphémère ne dura que trois mois, minée par des luttes intestines et l'arrivée d'une armada venue reconquérir la colonie. Bien que dépourvue de constitution et même d'une armée organisée, cette république sera vénérée par les divers groupes indépendantistes de la région. Cette expérience réveilla un puissant sentiment de nationalisme arabe chez Amjed al Qadir car historiquement, ces régions étaient traditionnellement en rivalité, mais lors des rares occasions où elles s'unissaient, des miracles, comme la capitulation des autorités coloniales, se produisaient. C'est alors qu'avec un rêve en tête et plusieurs partisans, il décida de fonder le Parti Socialiste Arabe ou plus communément connu sous son nom semi-officiel, le Parti Ba'ath. Contraint de se réfugier initialement au Faravan en raison de la répression coloniale, son mouvement gagnera progressivement en popularité, menant plusieurs manifestations et révoltes mineures. Ces actions, avec l'aide des tribus, forcèrent la main des colonisateurs. Cependant, ne voulant pas accorder l'indépendance à un pays susceptible de tomber sous l'influence des forces de gauche que représentait le Parti Ba'ath, l'armée coloniale décida de lancer l'opération Talon d'Achille. Celle-ci visait à anéantir les opérations du Parti Ba'ath dans la colonie avant de céder l'indépendance à
quatre régions dominées par leurs clans et tribus respectifs.Néanmoins, de multiples coups d'État et révolutions conduisirent à l'arrivée au pouvoir du Parti Ba'ath dans l’intégralité des royaumes successifs. La première de ces victoires fut la Révolution de juillet dans le Sultanat d'Algharb. Cette monarchie régionale avait hérité de la partie la plus développée de l'ancienne colonie, avec l'un des taux d'urbanisation et d'alphabétisation les plus élevés de la région. Cela rendit la population beaucoup plus réceptive aux idées panarabes et socialistes. Ce qui, accompagné d'une corruption généralisée et de la formation d'un gouvernement de plus en plus kleptocratique au détriment des valeurs traditionnelles qu'il prétendait défendre, mena quatre officiers de l'armée, influencés par des idées de gauche et frustrés par les inégalités qui rongeaient la société de l’époque, à organiser un coup d'État en 1957. Les officiers au pouvoir sous influence du parti rédigèrent une constitution, et grâce à un plébiscite populaire, le ba'athisme fut déclaré idéologie officielle de l'État.Cette première révolution se répliqua dans trois des cinq régions composant l'actuelle Union des Républiques Arabes. Toutefois, l'Émirat du Mihwar et celui du Janub firent exception. Au Janub, en 1965, après un coup d'État manqué, une guerre civile éclata entre traditionalistes et républicains qui, malgré le soutien du reste de l'Union, échouèrent dans leur tentative de prendre le pouvoir. C'est alors que fut lancé le plan Sauvetage d'Atlas, consistant en une invasion de l'émirat pour annexer le territoire.Cette situation contrastait fortement avec les événements au Mihwar où, après l'accession d'un émir affaibli, un plébiscite fut organisé ou le Parti Ba'ath remporta 87 % des voix, entraînant un transfert de pouvoir et une unification pacifique. Pour beaucoup, cette période fut le moment où le cœur de l'Union commença véritablement à battre. En effet, grâce à la guerre, des officiers, des soldats, des généraux, des politiciens et des civils venus de toutes les différentes régions de la République se rencontrèrent, favorisant la construction d'une identité nationale forte parmi le peuple. Une identité qui fut cependant absente des couloirs du pouvoir après le rattachement du Janub à la République.Des tensions apparurent entre le comité révolutionnaire et une partie de l'armée, débouchant sur l'une des purges les plus sanglantes du continent. Ces derniers, qui devaient servir de "bouclier et épée" du parti, gagnaient de plus en plus d'influence. Le chef de la faction libérale du parti de l'époque, Aflak al Turani, exprima ses inquiétudes lors d'une conférence secrète : "Mes frères, regardez autour de vous, le budget de l'armée grimpe d'année en année, des généraux commencent à réclamer une place parmi le conseil suprême, rappelez-vous de ce qui est arrivé aux monarchies arriérées avant nous. Si nous ne renforçons pas notre autorité, ce n'est qu'une question de temps avant que nous ne devions leur obéir." À la fin de cette conférence, Turani obtint une majorité confortable de 20 voix contre 8. Cette purge détruisit l'influence politique de l'armée, au prix d'une désorganisation et d'un affaiblissement de la défense du pays.Cependant, l'inquiétude du parti concernant le monopole de la force de l'armée devint rapidement caduque avec l'émergence du groupe armé Allah yubarik dhunubana (Que Dieu bénisse nos péchés). Créé dans le département du centre, initialement en tant que groupe d'étude religieuse, se radicalisa au début de la campagne "Marche en avant" de 1987. Cette campagne visant à réduire le taux d'analphabétisme, particulièrement chez les femmes, et incluait la légalisation de l'avortement ainsi que la décriminalisation du refus du port du voile. Qui enrage les groupuscules religieux du pays malgré, les déclarations et actions du gouvernement, la guérilla sévit toujours dans les régions du nord, bien qu'elle ne soit que l'ombre de ce qu'elle fut durant les années 90 et 2000, où elle menait de nombreux raids sur des installations gouvernementales grâce au peu d'infrastructures présentes dans les zones où opérait le groupe.



Sur le plan économique, l'U.R.A. possède une économie mixte principalement basée sur la vente de pétrole (34% du PIB). Même si depuis 2011, le gouvernement essaie de renforcer l'industrie métallurgique (11% du PIB) pour réduire sa dépendance aux ressources naturelles et aux marchés étrangers, cette tâche est rendue de plus en plus compliquée par la guérilla active dans les régions riches en minerai de fer.
Les autres piliers de l'économie comprennent l'industrie agroalimentaire (21% du PIB), l'industrie de l'élevage et de l'agriculture (23% du PIB), la construction (9% du PIB) et les télécommunications (2% du PIB).



Mentalité de la population :
Malgré la diversité de la population – incluant les divers dialectes, traditions, cultures et surtout tribus qui existent toujours, même si de manière cérémonielle, le ba'athisme jouit d'une certaine popularité dans le pays. Cela est principalement dû à l'endoctrinement inclus dans l'éducation nationale et le service militaire des citoyens, ce qui permet à une identité nationale d'exister en U.R.A.

Place de la religion dans l'État et la société :
Bien que le régime se voie comme complètement laïc, l'impossibilité d'imposer une forme d'athéisme d'État à une population religieuse depuis les premiers jours de l'union ont forcé le gouvernement à propager une version plus libérale et réformiste de l'islam tout en atténuant ces discours concernant la religion.
La majorité des habitants de l'U.R.A sont des musulmans sunnites avec une majorité de 80 pour cent et une minorité de chrétiens maronites ainsi que des musulmans chiites à onze et neuf pourcent respectivement.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
c’est un peu merdique, pas besoin de me le rappeler
Le conseil révolutionnaire: officiellement le conseil révolutionnaire pour la réunification arabe ou plus communément connue sous le nom de conseil suprême ou conseil révolutionnaire est censées êtres un groupe consultatif de parlementaire choisie pour leur loyauté à la cause arabe, en réalités ils est l'organe de décision ultime de l'état, ayant les pleins pouvoirs dans les affaires législatifs ainsi que judiciaire (ce qu'ils fait par le biais d'un parlement et d'une cour suprême soumis à son autorité), et peut renverser le gouvernement en place dans un vote de non-confidence sans oublier le pouvoir d'abroger la constitution quand estimez nécessaire, les membres du conseil suprême son nommé pour un mandat de quatre ans par le parlement.

Le bureau pour la sécurité politique: le bureau de la sécurité politique est l'organe de renseignement principal de l'Union des républiques arabes. Elle est chargée des matières de sécurité intérieure et extérieure, elle peut arrêter ou exécuter un individu sans mandat et sans procès si le conseil révolutionnaire le juge nécessaire et est chargé de la sécurité des membres du conseil révolutionnaire et du président .

La Cour suprême: La Cour suprême de l'union des républiques arabes est l'organe judiciaire secondaire du pays, elle est responsable de réviser toutes propositions passées par le Parlement pour déterminer leur compatibilité avec la constitution, elle est en revanche interdite de remettre en cause les lois qui bénéficient d'un "soutien populaire" proposée par le président de la République ou le conseil révolutionnaires.

l'assemblée populaire

Le Parlement de l'union des républiques arabes ou connus par son nom officiel comme l'assemblée populaire est l'organe législatif secondaire de l'union des républiques arabes, les membres de l'assemblée sont élues pour un mandat de huit ans dans des élections à suffrage universel par un tour même si seul le parti peut y participer. Bien que l'assemblée se nomme comme le principal corps législatif du pays, elle dispose de peu de pouvoir et est en réalité subordonnée au conseil révolutionnaire. La vaste majorité des experts internationaux considère le Parlement comme une chambre ou le conseil révolutionnaire propose et passe ces lois sans opposition.

Le conseil des ministres
Le conseil des ministres : crée par le président abdul rhaman al bakr le conseil des ministres est un organe parallèle du conseil révolutionnaire (même si le conseil est bien plus puissant) bien, que le conseil des ministres est chargée d'appliquer les directives et ordre du président, ils ne peuvent effectivement rien faire sans l'approbation préalable du conseil révolutionnaire.



Principaux personnages :





Politique internationale :

L'union des Républiques Arabes aspire à unir le monde arabe par la voie diplomatique ou par la force. Cependant, en raison des faiblesses de ses forces armées, l'agenda diplomatique du régime est clairement orienté vers la paix, comme l'explique le manifeste du XVIIIe Congrès du parti: "En raison des problèmes accablant nos forces armées, le Parti Ba'ath et le gouvernement de l'Union des Républiques Arabes devraient chercher à répandre l'idée d'une patrie arabe, unie et socialiste parmi les pays avoisinants."
Cette politique peut se manifester par le soutien à diverses organisations nationalistes dans la région ou par le projet de créer une organisation internationale centrée sur les pays arabes. Globalement, l'U.R.A. s'aligne avec les nations à orientation socialiste et communiste. Néanmoins, l'attitude autoritaire du régime et le nationalisme profondément ancré dans l'identité du pays peuvent parfois refroidir les relations avec les pays à tendance communaliste.
0
Voilà
Haut de page