11/05/2017
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[Sciences] - Recherche et développement

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PROGRAMME NATIONAL DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT
Domaine : Chimie | Niveau actuel : 0/10 | Durée : 2 mois



1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

Historiquement, Gorae Man a privilégié certaines filières industrielles comme la construction navale ou l’électronique. En revanche, la chimie reste un domaine très peu développé, nous exposant à une forte dépendance aux importations. Ce programme vise à poser les bases d’une autonomie technologique en chimie, afin de soutenir notre agriculture, notre construction et notre industrie légère.

Il s’inscrit dans la stratégie de prospérité auto-suffisante portée par l’assemblée des cercles, qui autorise le financement public de ce programme validé par consensus.


2. ÉTAT DES LIEUX DES CAPACITÉS ACTUELLES (0/10)

Aujourd’hui, Gorae Man :


  • Ne possède aucun site de production chimique fonctionnel ;
  • Ne maîtrise que très partiellement la théorie des procédés chimiques de base ;
  • Dépend entièrement de l’importation pour des produits essentiels : engrais, plastiques, solvants, acides, liants de construction.

L’appareil de recherche reste morcelé, sans coordination à l’échelle nationale.


3. OBJECTIFS DE LA PHASE 1 (PASSAGE AU NIVEAU 1/10)

Cette première phase a pour but de construire les premières briques de notre chimie nationale.


  • Acides et bases simples : production en laboratoire d’acide sulfurique, chlorhydrique, soude caustique.
  • Engrais chimiques basiques : synthèse locale d’urée, phosphates simples, en appui à notre agriculture.
  • Liants de construction : formulation artisanale de chaux, ciment, adaptés à nos ressources minérales.
  • Polymères simples : polyéthylène, PVC, pour des usages courants (emballage, plomberie, etc.).


4. ACTEURS DE LA RECHERCHE

Coordination assurée par le Coordinateur à l’Innovation, désigné par l’assemblée des cercles. Il veille à la cohérence d’ensemble, sans interférer dans la gestion autonome des entités partenaires.

Laboratoires privés (민간 연구소) :


  • 해심화연구소 – Laboratoire Haesimhwa, situé dans la capitale, spécialisé dans la chimie appliquée aux matériaux de construction.
  • 파향기초과학원 – Institut des Sciences Fondamentales de Pahyang, axé sur les réactions acide-base et la chimie minérale.
  • 광포생명화학실험실 – Laboratoire de Biochimie de Gwangpo, initié par un cercle médical local, travaillant sur les composés organiques simples.

Universités partenaires (협력 대학교) :


  • 영산과학대학교 – Université des Sciences de Yeongsan, dotée d’un département jeune mais ambitieux en chimie générale.
  • 벽지기술원 – Institut Technologique de Biokji, historiquement orienté vers les matériaux et la géotechnique, s’ouvrant à la chimie appliquée.

Entreprises industrielles dotées de R&D (산업기업 연구부서) :


  • 장림소재 – Jangnim Sosae, entreprise de Haesim produisant des matériaux pour la construction.
  • []태중기술 – Taejung Gisul, compagnie d’Eunryu récemment reconvertie dans l’ingénierie chimique de base.
  • 이코라소재 – Ikora Sosae, issue d’une scission d’un conglomérat forestier de Gwangpo, se spécialise dans les polymères simples à base de résine naturelle.


5. MÉTHODOLOGIE ET SUIVI


  • Veille technologique : suivi actif des publications et brevets internationaux pour s'inspirer des techniques mondiales.
  • Expérimentation : tests de synthèse à petite échelle dans les laboratoires partenaires.
  • Développement de prototypes : chaînes pilotes pour valider les procédés.

Le Coordinateur à l’Innovation est chargé de :


  • Définir les grandes lignes stratégiques ;
  • Stimuler les synergies entre les institutions ;
  • Suivre les progrès de manière transparente ;
  • Rapporter à l’assemblée des cercles.
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PROGRAMME NATIONAL DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT
Domaine : Métallurgie | Niveau actuel : 0/10 | Durée : 2 mois



1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

Le développement industriel du Gorae Man, en particulier dans les domaines de la construction navale, de l’électronique et du bois, s’accompagne d’un besoin croissant en matériaux métalliques de base. À ce jour, la dépendance aux importations de métaux transformés constitue une faiblesse stratégique. Le présent programme vise à jeter les bases d’une métallurgie nationale, permettant de produire localement des alliages simples et de soutenir les industries essentielles. Cette première phase n’a pas vocation à explorer des procédés avancés, mais à maîtriser les fondamentaux techniques et logistiques d’une métallurgie autonome et résiliente.
2. ÉTAT DES LIEUX DES CAPACITÉS ACTUELLES (0/10)

À l'heure actuelle, les connaissances du Gorae Man en métallurgie se limitent à la transformation artisanale très ponctuelle.

  • Il n’existe pas d’exploitation organisée des gisements de fer, cuivre ou zinc du territoire.
  • L’extraction et la séparation des métaux à partir des minerais bruts sont inexistantes.
  • Aucun haut fourneau ni installation de fonderie fonctionnelle n’est opérationnelle.

  • Les connaissances pratiques en sidérurgie et en métallurgie non ferreuse sont absentes, hormis quelques savoirs traditionnels liés à la forge locale (outils agricoles, armement artisanal).

    3. OBJECTIFS DE LA PHASE 1 (PASSAGE AU NIVEAU 1/10)

    L’objectif de cette phase est de poser les premières briques de la métallurgie nationale à travers des acquis concrets :

  • Extraction de minerais bruts : lancement de petits sites expérimentaux d’extraction de minerais de fer et de cuivre (gisement repérés dans les collines de Pahyang et Suhoam).
  • Roche → Métal : élaboration de procédés de réduction simple (four à bas fourneau, charbon végétal) pour produire des métaux bruts comme le fer spongieux ou le cuivre purifié.
  • Fonderie de base : mise en place de petites unités de fusion et de moulage (lingots, plaques, pièces simples).
  • Initiation à l’alliage : fabrication expérimentale de bronzes ou d'aciers très basiques (non trempés), utilisables pour outils, pièces mécaniques simples ou structures de navires.
  • Établissement d’un glossaire technique et d’une base documentaire : adaptation en langue manaise de la terminologie scientifique internationale et structuration des savoirs acquis.

  • 4. ACTEURS DE LA RECHERCHE

    Le programme est supervisé sous l’égide du Coordinateur à l’Innovation de l’assemblée des cercles. Il réunit :

    - Laboratoires de recherche appliquée :

    • 철화연구소 – Cheolhwa Yeonguso, Institut de la Forge de Pahyang
    • 비산금속센터 – Bisan Geumsok, Centre des métaux de Suhoam

    - Universités partenaires :

    • 명지공과대학교 – Myeongji Gonggwa Daehakgyo, Université des Sciences Appliquées de Haesim
    • 은류기술대학교 – Eunryu Gisul Daehakgyo, Institut Technologique d’Eunryu

    - Départements de R&D des entreprises minières et navales :

    • 용산광업회사 – Yeongsan Gwang-eop Hoesa, compagnie minière de Yeongsan
    • 광포조선기술 – Gwangpo Joseon Gisul, Centre des Technologies Navales de Gwangpo

    5. MÉTHODOLOGIE ET SUIVI

  • Étude géologique et cartographie : identification et caractérisation des premiers gisements exploitables.
  • Tests en laboratoire : étapes d’extraction, réduction et affinage sur échantillons réduits.
  • Production de prototypes : fours expérimentaux, moules, premières pièces métalliques locales.
  • Formation et capitalisation des savoirs : élaboration de guides techniques pour les ouvriers et ingénieurs.

  • Le Coordinateur à l’Innovation veillera à :

  • L’adéquation entre les besoins de la nation (notamment chantiers navals, infrastructures) et les priorités techniques.
  • La transparence des résultats auprès de l’Assemblée des Cercles.
  • L’encouragement des synergies entre mines, industries et établissements de recherche.
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    PROGRAMME NATIONAL DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT
    Domaine : Télécommunication | Niveau actuel : 1/10 | Durée : 5 mois



    1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

    Le développement des télécommunications constitue l’un des axes stratégiques de la transformation technologique de Gorae Man. Dans une société fondée sur la circulation libre des idées, la prise de décision collective et la coordination des cercles, l’accessibilité à des moyens de communication fiables et interconnectés est un enjeu majeur. Actuellement, la qualité inégale des liaisons entre territoires urbains et zones rurales freine l’inclusion informationnelle et la réactivité des institutions. Le pays a besoin d’un socle solide pour faire converger innovation technologique, cohésion territoriale et respect de l’harmonie sociale.
    2. ÉTAT DES LIEUX DES CAPACITÉS ACTUELLES (0/10)

    Le niveau technologique actuel permet de manière autonome, sans faire appel à des investisseurs étrangers :

  • des communications radio et téléphoniques locales de courte et moyenne portée (réseaux analogiques et infrastructures hertziennes de base)
  • l’usage restreint d’équipements numériques dans les grands centres urbains (réseaux internes fermés ou semi-ouverts dans les établissements publics, les ports et certaines entreprises industrielles)
  • l’absence de réseau national structuré ni d’interconnexion large bande entre les régions
  • une très faible couverture hors des axes de circulation principaux et des mégapoles

  • 3. OBJECTIFS DE LA PHASE 2 (PASSAGE AU NIVEAU 2/10)

    L’objectif de cette phase est de :

  • poser les bases d’un réseau de télécommunications national structuré par antennes relais terrestres et maillage hertzien
  • expérimenter des transmissions numériques bas débit pour les messages textuels, administratifs ou logistiques
  • interconnecter les institutions publiques et les grands cercles régionaux par un réseau de données unifié
  • créer des protocoles de communication sécurisés à faible consommation, adaptés aux zones éloignées ou sensibles (montagne, mer, forêts)
  • renforcer la résilience du système par une architecture distribuée, évitant les points de défaillance uniques

    4. ACTEURS DE LA RECHERCHE

    Le programme est supervisé sous l’égide du Coordinateur à l’Innovation de l’assemblée des cercles. Il réunit :

  • 국가통신연구원 – Institut national des communications de Gorae Man (INC-GM)
  • ↳ Institution publique chargée de la coordination scientifique générale, du développement des protocoles de transmission harmonisés et de l'architecture réseau.
  • 해심자유대학교 기술·사회대학 – Université de Haesim – Département Technologique
  • ↳ Acteur académique spécialisé dans la recherche appliquée aux communications publiques, à l’inclusion numérique et aux interactions citoyennes.
  • 참수리 기술개발연맹 – Fédération Chamsuri pour le développement technologique
  • ↳ Consortium industriel rassemblant des coopératives et entreprises technologiques du secteur électronique et des télécommunications.
  • 지방협력회 통신조정소 – Cercles de coordination des infrastructures territoriales
  • ↳ Groupes de travail inter-circulaires réunissant des représentants des régions de montagne, de mer et des zones rurales pour co-construire le déploiement des infrastructures de terrain.

    5. MÉTHODOLOGIE ET SUIVI

  • Phase 1 : Cartographie des besoins : identification des zones blanches, analyse de la fréquentation, des usages, et des flux logistiques
  • Phase 2 : Développement de modules relais autonomes : prototypes basse consommation avec alimentation solaire ou thermique pour les zones isolées
  • Phase 3 : Mise en réseau pilote : interconnexion de 3 à 5 régions par un réseau test multi-protocole
  • Phase 4 : Évaluation éthique et sociale : consultation des cercles concernés, mesure des impacts sur la vie communautaire et la souveraineté numérique
  • Phase 5 : Bilan technologique : audit de performance, ajustement des protocoles et passage à la phase III si le consensus s’y prête
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    PROGRAMME NATIONAL DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT
    Domaine : Électronique | Niveau actuel : 5/10 | Durée : 6 mois



    1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

    Le secteur électronique constitue l’un des piliers du renouveau technologique du Gorae Man. Considéré comme stratégique à moyen terme, il alimente de nombreuses branches industrielles (robotique, informatique, transports, santé, équipements domestiques) et participe activement à la souveraineté numérique de la nation.

    Historiquement, la révolution industrielle du pays a reposé sur la construction navale. L’électronique, introduite plus tardivement, s’est d’abord développée dans les centres de recherche civils de Haesim et de Pahyang. Aujourd’hui, plusieurs entreprises d’envergure et départements universitaires coopèrent pour renforcer les capacités nationales en matière de composants, capteurs, circuits imprimés et interfaces homme-machine.

    Dans un contexte de diversification énergétique, de modernisation industrielle et d’interopérabilité croissante entre les secteurs, cette nouvelle phase de recherche et développement est d’autant plus essentielle.


    2. ÉTAT DES LIEUX DES CAPACITÉS ACTUELLES (5/10)

    Le Gorae Man possède déjà une base technologique solide en électronique appliquée :

    🔹 Production nationale de circuits imprimés simples et de composants standards (transistors, condensateurs, microcontrôleurs).
    🔹 Intégration efficace dans des systèmes embarqués (drones, capteurs agricoles, robots d’entretien).
    🔹 Partenariats académiques dans la miniaturisation et les interfaces sensorielles.

    Cependant, plusieurs limites subsistent :

    🔹 Dépendance aux composants complexes importés (processeurs avancés, puces gravées en profondeur).
    🔹 Faible autonomie dans la conception de systèmes multi-couches (matériel, firmware, logiciel).
    🔹 Déficit d’équipement pour la fabrication à grande échelle ou la conception en milieu extrême (température, humidité, immersion).


    3. OBJECTIFS DE LA PHASE 6 (PASSAGE AU NIVEAU 6/10)

    Cette phase vise l’élargissement des compétences nationales vers des domaines plus avancés de la conception électronique :

    🔹 Maîtrise de la production de circuits intégrés de moyenne complexité (SoC à architecture simplifiée).
    🔹 Amélioration de l’autonomie dans la fabrication de cartes multi-couches à faible densité.
    🔹 Intégration de systèmes adaptatifs (auto-réglage, tolérance aux pannes).
    🔹 Conception de composants à usage spécifique (ex : capteurs pour milieux hostiles, modulateurs de données).
    🔹 Renforcement des capacités de test, d’analyse et de simulation.

    4. ACTEURS DE LA RECHERCHE

    Le programme est supervisé sous l’égide du Coordinateur à l’Innovation de l’assemblée des cercles. Il réunit :

    🔹 현안연구소 - Institut Hyeonan de microélectronique
    ↳ Centre de conception de circuits basé à Haesim.
    🔹 광포공업고교 - Lycée technique industriel de Gwangpo
    ↳ Partenaire pour les tests industriels.
    🔹 부방대전과 - Faculté de technologie de Bupang
    ↳ Travaux sur l’électronique basse consommation.
    🔹 건조업류가회 - Syndicat des entreprises du BTP
    ↳ Volet déploiement en conditions réelles.
    🔹 하남시장업 - Coopérative artisanale de Hanan
    ↳ Électronique adaptée au design local.

    5. MÉTHODOLOGIE ET SUIVI

    🔹 Phase 1 : Études de besoins menées par les cercles d’usagers (secteurs industriel, médical, rural).
    🔹 Phase 2 : Prototypage rapide dans les cercle régionaux (espaces de recherche mutualisés).
    🔹 Phase 3 : Tests croisés sur sites partenaires (chantier naval, laboratoire climatique, environnement salin).
    🔹 Phase 4 : Revue mensuelle des avancements par la cellule d’innovation et les représentants des cercles utilisateurs.
    🔹 Phase 5 : Publication de livrables standardisés (schémas, benchmarks, guides d’intégration).
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    PROGRAMME NATIONAL DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT
    Domaine : Drone | Niveau actuel : 1/10 | Durée : 36 mois



    1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION

    Depuis la reconstruction du Gorae Man, l’innovation technologique a été identifiée comme un levier stratégique pour assurer la souveraineté nationale, stimuler l’économie et garantir une certaine indépendance face aux grandes puissances internationales. Parmi les domaines prioritaires, les drones occupent une place singulière : ils répondent à la fois à des besoins civils (cartographie, surveillance environnementale, logistique dans les zones montagneuses et isolées) et à des usages sécuritaires (patrouilles maritimes, reconnaissance, soutien aux opérations de secours).

    Le contexte géographique du pays, mêlant montagnes escarpées, vastes étendues forestières, îles et littoral complexe, renforce l’intérêt pour des systèmes aériens légers et autonomes capables d’assurer une continuité logistique et informationnelle. Cependant, le secteur national en est encore à ses balbutiements, et cette deuxième phase de développement vise à poser les bases d’une filière pérenne, capable de concurrencer à moyen terme les fabricants étrangers.


    2. ÉTAT DES LIEUX DES CAPACITÉS ACTUELLES (1/10)

    À ce stade, le Gorae Man dispose d’une technologie basique en matière de drones, limitée principalement à :

    🔹 Drones civils légers : quadricoptères à usage récréatif, agricole ou pour prises de vue aérienne, produits en faible série et dépendant en grande partie de composants importés.

    🔹 Prototypes semi-autonomes : quelques modèles développés en interne pour la surveillance forestière (prévention des incendies, suivi de la faune), mais dotés d’une autonomie limitée et d’une portée restreinte (inférieure à 5 km).

    🔹 Absence de standardisation : les drones existants reposent sur des logiciels étrangers et un assemblage artisanal, sans plateforme nationale commune, ni solution fiable pour les transmissions sécurisées.

    L’absence d’un moteur de propulsion optimisé, de batteries longue durée et de capteurs de haute précision freine toute application avancée, notamment dans les domaines de la sécurité civile et de la cartographie détaillée.


    3. OBJECTIFS DE LA PHASE 2 (PASSAGE AU NIVEAU 2/10)

    Cette phase vise à faire franchir au pays une première étape structurante en posant les fondations d’une filière nationale. Les objectifs principaux sont :

    🔹 Maîtrise de la conception : développer une architecture de drone standardisée (cadre, moteur électrique, contrôleur de vol) conçue et fabriquée localement.

    🔹 Autonomie améliorée : atteindre une autonomie en vol de 25 à 30 minutes, avec une portée opérationnelle d’au moins 15 km.

    🔹 Capteurs nationaux : produire en interne une première gamme de capteurs (caméras optiques et thermiques basiques) compatibles avec les drones civils et de secours.

    🔹 Sécurisation des données : amorcer la recherche sur des protocoles de communication cryptée pour limiter la dépendance aux solutions étrangères.

    🔹 Industrialisation pilote : lancer une première chaîne de production semi-automatisée capable de livrer des petites séries (200 à 500 unités par an) pour usage civil prioritaire (cartographie, livraison médicale, sécurité civile).


    4. ACTEURS DE LA RECHERCHE

    Le programme est supervisé sous l’égide du Coordinateur à l’Innovation de l’assemblée des cercles. Il réunit :

    🔹 바람길 – Baramgil : déjà reconnue pour son expertise en systèmes informatiques et logiciels embarqués, l’entreprise prend en charge le développement des algorithmes de pilotage et d’auto-stabilisation, ainsi que la sécurisation des transmissions.

    🔹 파향대학교 – 응용전자학과 – Université de Pahyang – Département d’électronique appliquée : spécialisée dans la miniaturisation des composants et la recherche sur batteries haute densité adaptées aux drones légers.

    🔹 광포조선소 – 조선소추진 – Chantiers Navals de Gwangpo – Division micro-propulsion : adaptation de leur savoir-faire en motorisation légère pour les besoins des drones aériens.

    🔹 농림 서클– Cercles agricoles et forestiers : utilisateurs pilotes du programme, chargés de tester les prototypes dans les zones montagneuses, les forêts denses et les champs éloignés.


    5. MÉTHODOLOGIE ET SUIVI

    🔹 Phase d’ingénierie commune

    → Conception des premiers plans standardisés.

    → Développement d’un logiciel national de contrôle.

    → Étude des matériaux légers et résistants.

    🔹 Phase de prototypage

    → Assemblage de 20 prototypes de drones civils testés en conditions réelles.

    → Ajustement des moteurs et optimisation de la consommation électrique.

    🔹 Phase de pré-série

    → Production d’une centaine d’unités destinées aux cercles partenaires (agriculteurs, sécurité civile).

    → Mise en place des premiers protocoles de communication sécurisée.

    🔹 Phase de certification et déploiement

    → Validation des normes nationales pour les drones légers.

    → Lancement d’une filière industrielle à petite échelle.

    → Évaluation finale et proposition de passage au niveau 3/8.
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