11/05/2017
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[VALIDÉE] îles Champasak

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Création de pays : CHAMPASAK


Généralités :



Nom officiel : République populaire des îles fédérées de Champasak/ Respubli Ongpo Bansuhu Jaya Champrasak (loka)
Nom courant : îles Champasak/ Champasak
Gentilé : Champali/Champalie

Inspirations culturelles : Indonésie, Sri Lanka, Laos, Cambodge, Inde, Malaisie, Brunei, religions dharmiques, Corée du Nord, Chine communiste, Majapahit
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Loka (Prasagalog romanisé)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune
Drapeau :
Drapeau des îles Champasak

Devise officielle : "La pensée unique, giron de notre grande République"
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Dip

Capitale : Langkol

Population : 51 500 000 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Les plus anciennes traces de civilisation remontent à 10 000 avant J.C. Les premiers hommes de l'ethnie Chatra, ethnie ayant probablement des origines nazumies continentales, se sont réunis en tribus sur l'île de Kampung, chassant et cultivant le riz pour subsister dès le 2eme millénaire avant notre ère. En 1500 av JC, on assiste à l'émergence d'une des premières cités sur l'archipel, la cité d'Enlat, fondée sur un torrent et utilisant la force de l'eau pour alimenter des moulins. Enlat, cité-État commerçant avec les tribus voisines, s'impose alors comme le maître lieu de Kampung, enclenchant la marche de nombreuses avancées. Vers -1000, le bronze est découvert et maîtrisé par les Chatras, utilisant les moulins d'Enlat pour permettre l'émergence des premières fonderies. Les techniques de navigation sont alors approfondies, et on assiste aux premières migrations vers les îles du Nord. Tanjavoor, Bô-Lann et Champasak sont alors découvertes pour la première fois par les migrants chatras, qui s'y installent durablement. Ils y découvrent des chevaux et les domestiquent.

Vers l'an 0, l'archipel est découvert par un explorateur [Ushong] en voyage sur la mer des perles. Il y découvre alors une source inespérée de pigments violets, un pigment rare à l'état naturel. [***] (nom de l'explorateur) s'intéresse donc à cette ressource et décide de créer un rapport commercial entre Champasak et l'empire. N'ayant pas conscience de l'existence de Kampung, celle-ci se retrouve exclue des négociations. Un clan chatra se détache alors des autres pour essayer de prendre possession des fleurs de Trikaya, les fleurs contenant le précieux pigment, et il s'agit du clan Ankyil. Les Ankyils possèdent alors la quasi-totalité du Nord de l'île de Champasak, hormis un bout au Nord-est appartenant à un autre clan. Pour marquer le coup, les Ankyils se revendiquent en tant que royaume, et font de leur siège Emranaku la capitale de ce royaume. Les conquêtes s'enchaînent pour prendre contrôle des points stratégiques de la culture du Trikaya. Mais avoir le monopole sur Champasak ne suffit pas, d'autres importantes sources de Trikaya se situent sur Kampung. Le royaume Ankyil tente en 90 de s'attaquer à Kampung et de prendre Enlat. Mais la tentative échoue pour plusieurs raisons : Les [Ushongs] tiennent à garder un prix raisonnable pour le pigment et les autres ressources du commerce, ils aident donc les plus petits clans à rester sur le marché afin de garder une concurrence. Ainsi certains clans reprennent une partie des terres perdues avec l'aide secrète des [Ushongs]. Ensuite, la totalité des tribus et clans de Kampung se rallièrent alors à Enlat, créant le premier royaume Phunchai. Cette grande coalition a permis aux locaux de repousser l'envahisseur.

Défait, le royaume Ankyil a la rancune tenace, qui se fait ressentir jusqu'à la colonisation des îles par la Youslévie. Une grande rivalité débute alors entre les deux nouveaux royaumes. La déroute marque aussi la division de l'ethnie Chatra en deux nouvelles : les Akädis et les Champalis. Vers 125, les Ankyils débutent une campagne aggressive et expansionniste envers les clans restants et Phunchai. Le chaos engendré finit par lasser les [Ushongs] du manque de stabilité des échanges. Ils vont donc se rapporter de plus en plus souvent à Phunchai pour gagner en stabilité dans leurs rapports.

Profitant du détournement à son égard des [Ushongs], les Ankyils entament une conquête des clans adjacents avec l'émergence de l'idéal du "Prasapalit". Il s'agit d'une volonté d'unifier l'archipel sous un seul même régime. Ainsi, les Ankyils annexent les terres pendant pendant près de 900 ans des clans les entourant, pour finalement avoir une mainmise totale sur l'île de Champasak. Peu avant la conquête totale de l'île, un autre clan très puissant, celui des Terutus, proposa aux Ankyils de céder leur territoire en échange d'un mariage entre la descendante du Chef des Terutus et le fils héritier des Ankyils. Ainsi donc, le mariage se déroule alors en territoire Terutu, devenant par la même occasion un territoire Ankyil. Le fruit de l'union des deux donna naissance en 1034-35 au jeune Atavina Mahagôvind. De père Ningkong Gôvin et de mère Mathivara Tongboteru, il est héritier de l'empire, et c'est lui qui va porter le rêve du Prasapalit à la mort de son père. 1052 marque le début de son règne. Il instaure alors l'Empire Prasagalog, où les seigneurs issus des anciens clans disposent de droits sur leurs terres. Atavina usera d'une mine d'or pour faire fondre des statues dorées représentant des devas, toutes distribuées aux seigneurs et à leurs subalternes servant de titre de propriété d'un territoire légué par l'Empereur. Avec cette décentralisation de l’administration, de nombreux seigneurs de guerre se détachent et créent leur armée. Grâce à elles, les prasagalogs prennent l’archipel des Ranandas, où les Wans vivaient depuis leur migration. L’intégration des Ranandas, et donc du peuple des Wans, à l’empire permet la diffusion de l’hindouisme, devenant la religion principale de l’empire.

L’avancée des Prasagalog est indubitable, et la période de paix intérieure est propice au redémarrage des échanges commerciaux. Victoire après victoire, l’empire s’empare de Bô-Lann, de Tanjavoor pour arriver aux portes de l’île de Kampung en 1204, sous l’empereur Gohma II. Ils doivent en rester là, car le Royaume de Phunchai n’existe plus. A la place, ils trouvent un adversaire de taille : le sultanat d’Akänd.

Remontons le temps. En 1043, peu avant Atavina, les Banairais découvrirent l’île de Kampung, et en firent un partenaire de choix. D’abord simple relation de commerce, une évolution se fit ressentir quand les échanges humains s’accentuèrent. L’islam s’y diffusa et devint la religion principale de l’île, à tel point que Phunchai devint un sultanat sous l’égide du Banairah. Cette relation de suzeraineté s’est accentuée en avançant dans le temps, et le sultanat d’Akänd est maintenant un état vassal du Banairah.

La rapide avancée des prasagalogs est stoppée net. Les Akädis (gentilés d’Akänd) ont une superiorité technologique manifeste, probablement amenée sur l’île par les Banairais. Les prasagalogs se retirent donc vers Bô-Lann, tandis que les Akadis prennent une partie de Tanjavoor. Gohma II décide alors d’arrêter cette guerre, et trouve un moyen symbolique de représenter la paix envers les voisins d’Akänd. L’île de Tanjavoor devient un lieu commun, devenant un lieu d’échanges et de culte (les souverains des deux états seront désormais enterrés ici, dans le même lieu, et qu’importe les religions). Par la même occasion, les Wans demandent alors un plus grand degré d’autonomie, qui leur sera accordé.

La dynastie des Gôvind s’arrêta vers 1377. A ce moment-là, un seigneur parvient à faire monter son fils sur le trône impérial. Ce seigneur, Ankoh Basin Dhungan, parvient à prendre le contrôle en tant que régent, sachant que son fils, Lokesubanara Dhungan, est encore trop jeune pour règner véritablement. Dès lors, Ankoh Basin déclare la nouvelle dynastie des Dhungan, et fait de ses terres (Khmaureng)un nouveau siège de pouvoir. Durant sa régence, il modifie la loi et rends la place d’empereur de son fils fantoche. Il se proclame Phanom (Seigneur de guerre) à vie. Son rôle ne s’arrête alors pas à la guerre. Il représente le pouvoir exécutif, et tous les seigneurs se doivent de mettre à sa disposition leurs soldats. La législation appartient toujours à l’empereur, mais celui-ci est toujours accompagné par un ministre nommé par le Phanom, qui a une incidence sur les décisions de l’Empereur. Le judiciaire est légué aux seigneurs de l’Empire. Dès lors commença cette période de l’histoire Champalie qu’on nomme « Phanomran ». Un régime centré sur le développement militaire, qui met en avant la conquête de l’Akänd pour achever le Prasapalit. A plusieurs reprises, le Phanomran parvient à se présenter aux portes de l’Akänd, mais est refoulé à chaque fois.

Le Phanomran va durer plus de deux siècles, sous lesquels les Champalis ont vu leurs libertés encore plus restreintes. C’est finalement un renversement populaire qui permettra de renverser le Phanom à Khmaureng. L’empereur des Dhungans est alors destitué en 1602 pour être remplacé par un descendant d’une branche mineure des Dhungans. L’homme ayant conduit la révolution se voit promut au rang de conseiller de l’empereur, qui voulait reposséder sa pleine notoriété et ses pleins pouvoirs. Mais l’homme refuse, Jal-Badang Simearno est son nom. L’empereur veut alors s’en débarrasser, conscient du pouvoir fédérateur de celui-ci. Mais il est trop tard, le peuple est resté derrière Simearno, et un empereur aussi puissant n’est plus désiré. Simearno en appelle alors aux seigneurs l’ayant aidé dans sa rébellion. Ils assiègent Langkol, la capitale impériale depuis 1460 après Emranaku, et parviennent à trouver un compromis. Simearno fonde le Di-Jain, littéralement conseil des seigneurs, un organe législatif indépendant de l’empereur, qui garde sa puissance exécutive. Pour symboliser l’union des seigneurs en un pouvoir fort, leurs statues d’or sont fondues en une seule qui surplombe fièrement la salle du Di-Jain. De grandes réformes sont lancées : Les membres de l’administration impériale sont soumis à des concours afin de ne garder que l’élite et se séparer des corrompus ou incompétents ; une grande politique d’ouverture est lancée, commerçant avec un encore plus large panel de nations étrangères et permettant le syncrétisme des religions sur le territoire Champali ; et enfin une paix durable est établie entre l’empire et l’éternel sultanat d’Akänd. Un partenariat scientifique est même trouvé entre les deux anciens adversaires. Simearno, homme épris de sciences et de spiritualité, lance la construction des gultrums, des édifices généralement en pierre finement ouvragé où se tiennent des débats (le plus souvent autour de la spiritualité) et où des moines copistes prennent notes des traits d’esprits. C’est au gultrum de la capitale que s’est tenue l’élocution d’un certain Tehimsa. Tehimsa (déformation en prasagalog de Thomas) est un théologue antérinien connu et même divinisé par les locaux pour avoir propagé la bonne parole. Ce n’est pas pour autant que des minorités chrétiennes ont émergées, mais le syncrétisme est effectif sur le bouddhisme, alors adopté en ce temps-là.

Ce temps de paix, cet âge d’or ne va pourtant pas durer. 31 ans plus tard, en 1633, on assiste à un coup d’état. Le Phanomran est rétabli, et celui-ci ne semble pas vouloir lâcher le morceau quant à la conquête de l’Akänd. Les attaques sont brutales et répétées, les soutiens de l’empire Prasagalog commencent à se désintéresser. Cette guerre dure depuis trop longtemps. Les akadis, bien que n’ayant pas de volontés expansionnistes, commencent à avancer dangereusement vers Champasak, prenant Tanjavoor. Le Phanom de la dynastie des Rama n’arrive pas à repousser ces attaques éclairs. Ils sont alors contraints de vendre en 1654 l’île de Bô-Lann à Fortuna, réduisant leurs dettes de guerre envers les fortunéens. Cela ne suffit pas, les Akadis se rapprochent inéluctablement par l’Est. Ils s’emparent d’îles appartenant aux Ranandas, le Phanomran a peur. Pour dernier recours, ils demandent l’aide à la Youslévie. La Youslévie repoussent les Akadis, allant jusqu’à faire leur trajet inversement jusqu’à l’Akänd, qui est finalement pris par les Champalis armés par la Youslévie. Enfin ! Le Prasapalit existe bel et bien (si on oublie Bô-Lann). Hélas, cette guerre continuelle à fait faiblir les Prasagalog. Le peuple subissant une famine se révolte contre l’empire ruiné, qui finit par imploser le 21 juin 1657. Le peuple Champali ne pouvant se relever de cette épreuve, demande à la Youslévie de prendre le contrôle du Prasapalit afin de ressusciter son peuple.

Le Prasapalit devient une colonie de la Youslèvie dès 58. La période coloniale se poursuit jusqu’en 1914, alors que des manifestations pacifiques se déploient dans la totalité de l’archipel. Les Champalis obtiennent leur indépendances, avec l’obtention en prime d’un petit territoire en Nivérée, nommé bande de Baruwal. La Youslévie pour garder une emprise sur le territoire rétablis la monarchie et met sur le trône un homme de l’admnistration coloniale, en prétendant que celui-ci descendrait des Dhungans. La royauté est alors vide et dénuée de sens, quand les Champalis ont connus la grandeur d’un empire. Cette monarchie constitutionnelle prends appui sur la Youslévie et sur les élites du pays pour subsister, créant de grandes disparités sociales dans le pays. L’arrivée des premières idéologies taihoranistes est fortement réprimée par le roy. Cependant, un gourou apparaît sur la scène nationale, endoctrinant le peuple dans une forme de bouddhisme syncrétique propre aux îles. Le Ranshagupta Devanam prône la voie du Srivayana, une forme égalitaire du bouddhisme entrevoyant une forme de socialisme voire de communisme religieux. La grande majorité des champalis adhèrent à cette vision, puisque très touchée par les inégalités. Le Ranshagupta est alors en correspondance avec un jeune homme s’étant éxilé de lui-même au Nazum continental. En y voyageant, Rankidu Gen-An espérait collecter des connaissances nécessaires, principalement en matière de Taihoranisme. Il parvient à recevoir à y recvoir de l’aide, et rentre à Champasak pour prendre le contrôle. Il est alors soutenu par le peuple qui le porte alors jusqu’au palais. Dès ce jour, 13 juin 1973, il instaure un régime « communisme » alors assez laxiste (par rapport à aujourd’hui en fait), et met le Ranshagupta Devanam à la tête du dharma champali. Le pays se ferme peu à peu, et Gen-An lance une politique de tourisme, en faisant construire des infrastructures dédiées à cet effet dans les Ranandas. 19 avril 1987, Gen-An se fait assassiner durant un défilé. Sa mère Rankidu Gampo prends alors le contrôle et durcit considérablement le régime. Tout est étatisé (sans rire, TOUT), des camps de « rééducation spirituelle » sont créés en Nivérée, un environnement propice à l’apprentissage ; et enfin les populations Wans de l’archipel des Ranandas sont déportés sur la plus grande des îles de l’archipel. Son leadership est très provisoire et détesté, mais le neveu de Gen-An, Rankidu Anmal, prends le contrôle de force. Gampo n’oppose aucune résistance et s’exile au Chandekolza. Anmal fait alors mine de radoucir le contrôle exercé, mais reste une dictature totalitaire jusqu’au cou. Le Ranshagupta meurt, et est remplacé par le Ranshapala Devanam, héritier spirituel du Gupta.


carte des Champasak

Place de la religion dans l'État et la société & Mentalité de la population:
La religion est un des deux piliers de la république populaire des îles fédérées Champasak. L’aspect religieux et politique se complètent parfaitement, permettant de rendre docile une population en s’appuyant sur les deux aspects, au lieu d’un seul. Le principe politique auquel adhèrent les îles Champasak a trouvé le joli sobriquet de « Karmunisme », fusion du terme générique « communisme » et du terme « karma », principe trouvable dans les religions dharmiques symbolisant les « actions » de l’individu pour synthétiser. Quand son karma est mauvais, l’individu se réincarnera en un être inférieur à celui qu’il est, comme un animal, un esprit famélique preta, un démon belliqueux asura, ou même se réincarner en enfer. A l’inverse, un bon karma favorisera une bonne réincarnation, pouvant même atteindre le rang de divinité. La prochaine réincarnation joue un rôle capital dans la voie de l’illumination, Nirvana ou Moksha selon les religions. Ici, le Karmunisme repose sur une chose : L’égalité tant matérielle que spirituelle. Les individus atteignent ainsi un seuil d’égalité jamais atteint, permettant une pensée collective, une pensée de ruche, où les actions de chaque individu, le karma de chacun, se collectivisent et se synthétisent (Shanga Batal : esprit de communauté en Loka). Je précise que cela n’est que pure théorie, il n’y a pas de véritable conscience collective à ce jour sur les îles. Il s’agit donc du Karma commun, quand les champali peuvent mettre au service de tous leurs bonnes actions, tantôt pour l’optimisation de la société que pour l’optimisation de la voie de l’illumination. En effet, la pensée du Srivayana (courant bouddhiste créateur du principe de karmunisme et religion « unique » des îles Champasak) veut que cet « amas » d’actions permettent l’atteinte de la béatitude plus rapide ainsi qu’une façon moins égoïste d’y accéder. Siddharta Gautama est certes le précurseur, mais son élévation s’est opérée seule, bien que son enseignement ait permis d’enseigner aux autres générations comment y accéder. Le culte Srivana se voue plus aux boddhisattva, considérés comme être de compassion et de solidarité envers la communauté.

Le karmunisme se fond d’autant plus à la politique totalitaire du pays avec le contrôle social exercé. Dans la mentalité Champalie, quelqu’un agissant « mal », à savoir d’une manière qui aille à l’encontre du projet de communauté, sera la plupart du temps immédiatement reporté pour « éviter de mettre en branle le Shanga Batal ». Les individus se comportent du mieux possible (avec exceptions, ce n’est pas une généralité) car leur société et leur foi repose dessus, mal agir reviendrait à inscrire le terme « traître » sur son front à cause de la pression sociale, tant le karmunisme et le Srivayana sont passés dans les mœurs. Pour conserver le cercle vertueux politique-religion, plusieurs systèmes ont été mis en place au début de la dictature pour exercer un plus fort contrôle sur les Champalis, devenus crédules (toujours pas une généralité). Le Ranshapala Devanam est porteur et garant du karma commun, devenu leader religieux. La représentation en chair et en os de ce principe accroît l’attachement au Srivayana, et par la même occasion au gouvernement (puisqu’encore une fois, les deux sont liés). Ensuite, la politique de répression opéré en premier temps par Rankidu Gen-an et perpétré encore aujourd’hui consiste à ne jamais mélanger les opinions religieuses, car qui dit divergence religieuse dit divergence politique dans les Champasaks. La bande de Baruwal est le siège des déportations religieuse, où opèrent des centres de rééducation spirituelle. Les « agneaux égarés » y recevront une thérapie douce, tandis que les opposants politiques ou rebelles recevront le traitement de choc. La rééducation n’a d’ailleurs plus grand-chose de spirituelle à ce stade.

Le principal intérêt du Srivayana est qu’il est issu d’un immense syncrétisme, incluant des éléments d’autres confessions issues des syncrétisme, chrétienne avec la reconnaissance de Jésus en tant que bouddha (le titre), islamique avec Mahomet, et autre. Comme la religion prend en compte l’existence d’une entité suprême similaire au Ek-Onkar sikh, on considère que chaque religion sont relativement viables, juste des façons différentes de prier un dieu aux multiples formes, et que les prophètes ont bien existés et ont bien reçus une illumination divine. Sur ces bases, la conversion devient moins compliquée sur certains points.



Politique et institutions :



Institutions politiques :
Les îles Champasak, officiellement République populaire des îles fédérées de Champasak est constitutionnellement, depuis sa fondation en ****, un Etat socialiste à parti unique, le parti de l’émancipation. La constitution stipule que l’état se base sur la décentralisation du pouvoir démocratique dans toutes ses entités fédérées.

L’Assemblée Populaire suprême du Prasapalit (APSP) remplit le rôle législatif avec un total de 430 députés du parti élus pour 4 ans. Le président de l’Assemblée est élu parmi les députés volontaires, comprenant les gouverneurs fédéraux. Rankidu Anmal est aujourd’hui le Président de l’Assemblée suprême, gouverneur fédéral de l’île de Champasak, réélu à un second mandat à 424 voix contre 3 avec l’absence d’opposant. Aujourd’hui, la charge de président de l’Assemblée Populaire Suprême est considérée comme le plus haut poste administratif du pays, faisant de Rankidu Anmal Chef de l’état Champali. A ce poste, il peut nommer un ministre des Affaires étrangères, un ministre des Armées, et un gouverneur fédéral suppléant quand le président ne siège pas en tant que gouverneur fédéral.

Le pouvoir exécutif est détenu en majeure partie par les gouverneurs fédéraux qui font respecter le haut commandement des assemblées populaires et les règles édictées par le Ranshapala Devanam. Leur rôle est le même pour chaque île (avec une exception pour les Ranandas). Le judiciaire est rattaché au législatif puisqu’il s’agit des assemblées populaires locales (assemblées promulguant des lois à l’échelles locales, des lois ne s’appliquant qu’à des cas précis, généralement sans grandes importances) qui élisent les juges rattachés à la localité. La localité fédérale a plusieurs formes, correspondant sois à une subdivision pour les entités les plus grandes comme l’île de Champasak divisée en 7, sois à une entité en elle-même, comme l’atoll Vijaputra, territoire trop petit pour être subdivisé.

Le Bureau des Mœurs est un organe policier lié à l’exécutif. Le principal siège se tient à Langkol, tandis que le bureau est représenté dans chaque localité fédérale. Le Bureau des Mœurs a une portée idéologique et propagandiste, surveillant la population et même les touristes des Ranandas pour éviter la fuite d’opinions politiques et religieuses différentes. Ils représentent la meilleure forme de lutte dans la politique de répression en envoyant les contestataires dans les camps de « rééducation spirituelle ». Le bureau est à la solde des gouverneurs fédéraux, mais la voix du Chef de l’état prime sur toutes les autres. Par arbitraire, la police des mœurs peut arrêter n’importe qui.


Principaux personnages :



Politique internationale :
Les îles Champasaks est un état extrêmement renfermé sur lui-même. Le pays ne fait le premier pas diplomatique qu’avec de potentiels alliés aux idéologies compatibles, l’amitié entre nations ne les intéressant pas. Cependant, les Champasaks ne sont pas pour autant hostiles (mis à part Fortuna et Curiname sur le territoire Champali). Il s’agit d’une doctrine isolationniste, triant avec soin les nations pour conserver l’équilibre du pays.
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Cette fiche est à présent terminée! Je suis prêt à être relu par les modérateurs. Pour info, la période coloniale sera développé plus tard, quand je pourrais prendre en connaissance l'histoire coloniale de la Youslévie.
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Bonjour, bonsoir et bienvenue sur Geokratos!

Tout est en ordre pour moi ; ce faisant je peux valider la fiche.

Informations supplémentaires :

En tant que nouveau joueur, tu as quatre mois de protection durant lesquels aucune action hostiles pourra être menées contre toi. Nonobstant, tu ne pourras en faire aucune.

Tu peux demander à la modération à ce que trois de tes personnages soient immortels.

Sur cela. . . bon jeu à toi !

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