Annonce gouvernementale

Ici seront posté les différentes annonces de la part du gouvernement Gradenbourgeois

07/09/2016 : Annonce de référendum

Cher citoyen du Gradenbourg,

Il y a de cela 4 ans, vous m’avez élu, moi, Tilman Hoess, membre de l’ULR (Union des Libéraux Réformateurs), au poste de Premier ministre. À l’époque, en 2012, vous étiez une majorité écrasante à vous satisfaire de la situation qui était celle de notre pays, c’est-à-dire un pays dans lequel le pouvoir appartient au peuple, mais dont certains aspects sont toujours sous le contrôle de l’administration militaire. À l’époque, vous étiez satisfaits de la situation pour plusieurs raisons : l’augmentation rapide du niveau de vie et la quasi-non-intervention de l’administration militaire dans la vie du pays en sont deux exemples. Cependant, nous ne sommes plus en 2012, et de la même manière que les années passent, votre mentalité a changé. Vous doutez, et ce doute mène à des violences ; les manifestations violentes en sont la preuve. Le meilleur moyen de dissiper ce doute est de vous demander directement ce que vous voulez, et cela au travers d’un référendum. Ainsi, je vous annonce la tenue d’un référendum sur l’avenir du Gradenbourg, celui-ci aura lieu au plus tard en mars prochaine mais nous faisons notre maximum pour que nous puissions le tenir avant cette date.

Cher citoyen
Vive le Gradenbourg

01/01/2017 : Vœux du nouvel an 

Cher citoyen du Gradenbourg,

En ce premier janvier 2017, moi, Matz Blattner, Premier ministre du Grand Gradenbourg, vous souhaite à tous une très bonne année. Cette année 2017 s’inscrit dans le spectre du changement. En effet, depuis 1995, notre pays est placé sous tutelle Raskenoise afin de redresser l’économie d’un pays meurtri par les crises économique et migratoire. En 1995, le mot qui qualifierait le mieux notre économie était "inexistante" : tombée à moins de 500 millions de Sleks grandenbourgeois, il n’y a donc pas de meilleur mot pour qualifier cela. Mais rapidement, nous avons su rebondir, enregistrant des records de croissance les années qui suivirent, et cela grâce aux investissements Raskenois, mais surtout grâce au travail de la population gradenbourgeoise. Tous les efforts, tous les sacrifices auxquels vous avez consenti sont aujourd’hui récompensés : le niveau de vie s’est nettement amélioré, les conditions de travail également, et cela se voit, car l’année qui vient de se terminer fut celle ayant enregistré le plus fort taux de croissance (69,9 %).

Mais loin de vous réjouir uniquement de cela, vous vous êtes souvenus. Vous vous êtes souvenus de la raison pour laquelle notre si beau pays était sous tutelle de notre voisin germanique. Le pacte initial derrière cela était le redressement économique. Maintenant que cela a été accompli, il n’a plus de raison d’être. Vous avez alors commencé à descendre dans les rues pour manifester votre volonté d’indépendance totale et de restitution de votre souveraineté sécuritaire. Cela se fit dans le calme et la paix la majorité du temps, mais certains éléments perturbateurs vinrent bafouer cela, engendrant des émeutes et des casses.

Face à cette volonté, et afin de ramener le calme, j’ai pris la parole pour vous annoncer la tenue prochaine d’un référendum afin de choisir votre avenir. Depuis lors, certains se sont dits que cela n’était qu’une simple annonce pour ramener le calme, et qu’en réalité aucun référendum n’était prévu. Il n’en est rien : le référendum se tiendra bien. Cependant, ce n’est pas quelque chose qu’on organise en une semaine. Cela prend du temps pour le préparer. Mais aujourd’hui, je peux enfin vous donner une date. Le référendum sur l’autodétermination du Grand Gradenbourg est donc prévu pour le cinq février prochain. Ce vote déterminera l’avenir de notre pays ; j’attends donc une participation massive de votre part.

Vive le peuple Gradenbourgeois
Vive la république du Grand Gradenbourg

04/02/2017 : Une page se ferme mais une nouvel s’ouvre 

Cher citoyen du Gradenbourg,


En cette heure tardive, je souhaitais m’adresser à vous. De tout temps, vous avez fait preuve de résilience et de volonté. Même quand on vous a laissés seuls face à l’adversité (la confédération), vous n’avez pas flanché. Votre résilience fut votre carburant et votre volonté fut votre guide. Aujourd’hui, en ce quatre février 2017, votre volonté s’est exprimée, et de manière quasiment unanime, elle vous a dit qu’une réintégration à la Kresetchnie est préférable, et donc la fin de la mise sous tutelle raskenoise, était ce qu’il pouvait y avoir de mieux pour vous et votre pays. En ce jour spécial, le Gradenbourg amorce sa réintégration à la confédération. Cependant, ce n’est pas une fin en soi, mais le début de quelque chose de plus grand.

Cela fait maintenant 20 ans que notre si beau pays, meurtri par des années de crise, avait été placé sous tutelle raskenoise. Cette mise sous tutelle avait des défauts certains : elle privait le pays de certains droits, mais avec les années et le développement économique du pays, celle-ci se faisait de moins en moins présente. En 2007, notre pays retrouva son indépendance dans la gestion de son économie. En 2013, ce fut au tour de la justice de revenir pleinement sous contrôle gradenbourgeois. Depuis, il ne restait plus que la police et l’armée encore sous contrôle partiel. Mais, de la même manière que la rétrocession de l’économie et de la justice ne s’est pas faite en un jour, il en sera de même pour la police et l’armée. Ainsi, je vous annonce que, durant les deux prochaines semaines, ma seule priorité sera d’aboutir à un traité sur la réintégration dans les meilleurs conditions de notre pays au sein de la confédération.

Cependant, il ne faut pas uniquement penser à la réintégration, mais à comment y arriver. Jusqu’ici, notre diplomatie extérieure passait par celle de Rasken. Maintenant, nous allons être responsables de nos décisions, et ce sera à nous de les assumer, et non plus à Rasken. Ainsi, j’aimerais, dans les prochains jours, organiser une rencontre avec les dirigeants de la confédération et ceux de Rasken afin que cette réintégration se fasse dans de bonnes conditions. Cette rencontre sera également l’occasion de discuter de l’après et ainsi régler les problèmes persistants. Je ne veux que la paix et la prospérité pour ma population et j’estime que les problèmes du présent sont le terreau des conflits futurs.

Chers citoyens, avec ce référendum, l’histoire du Grand Gradenbourg se ferme, mais une nouvelle histoire débute. Que notre futur soit radieux ou pavé d’encombres, je sais que la résilience que vous avez en vous permettra de surpasser n’importe quel obstacle.