24/09/2017
22:25:57
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Activités étrangères en Barvynie

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Activités étrangères en Barvynie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Barvynie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Barvynie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Mes chers camarades, frère et sœur,


Enfin 2017 ! je veux vous souhaiter à toutes et à tous une bonne année ! Et comme on dit Bonne santé à tous !. Le Morzanov a beaucoup avancé ces derniers mois. Mais il reste encore du chemin à faire. En 2017, nous allons continuer à travailler pour un pays plus fort.

Nous visons à faire de notre armée de l’air l’une des plus puissantes de la région. Pour cela nos pilotes sont très bien formés, nos avions de plus en plus nombreux. Nous allons maintenir ce rythme afin de protéger notre pays et notre peuple. Mais notre force ne doit pas s’accompagner d’une destruction de notre nature. Le Morzanov doit rester soucieux de son propre développement, tout en étant propre et vert. Nous réduirons donc au maximum la pollution, en préservant les montagnes, les forêts et rivières qui sont notre fierté. Nous allons également construire usines qui respectent l’environnement.

En 2017, nous allons aussi lutter contre le chômage. Cela veut dire construire plus d’usines, donc créer plus d’emplois, surtout dans les zones reculées et très froid. Chaque Morznik / Morznika doit pouvoir vivre dignement de son travail. Notre but est de faire du Morzanov une puissance régionale. Un pays qui compte, un pays respecté, un pays qui aide son peuple. Nous allons aussi construire de nouvelles centrales nucléaires. C’est une énergie propre, qui nous permet de produire de l’électricité sans polluer. Cela aidera aussi nos usines et nos familles. Le Morzanov a besoin d’énergie, et nous allons la produire nous-mêmes.

Je veux aussi souhaiter une bonne année à notre pays ami, le Barvynie. Notre amitié est forte, et nous allons continuer à avancer ensemble.

Je suis fier de vous. En 2017, restons unis, courageux et travailleurs.

Bonne année à tous, et vive le Morzanov !


Vassili Dronov
Président de la République du Morzanov
1er janvier 2017
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"Faites passer les armes vite, ils arrivent !"
Barvynie 16 janvier 2017

Dans ce pays à la pointe nord du nazum, un réseau terroriste se construit, à cause de l’aide du Phenn Gamn : quelque jours plus tôt, une demande d’aide des terroristes étaient tombé dans les oreilles du gouvernement du Phenn Gamn.

2 500 hommes, 15 000 armes légères, des officiers, qui partent à plus de 11 000 km de chez eux. À l’arrivée, les problèmes sont déjà prépondérants : la douane, il est certain que ce cortège militaire ne leur plaira pas vraiment. Les terroristes devaient les détourner du convoi, voire les tuer, mais quand les côtes étaient en vue, les gardes-côtes aussi étaient en vue, là à observer le convoi qui ne ressemblait pas à de la marchandise ordinaire. Les navires ont dû attendre, longtemps, trop même les gardes Barvynien lançaient régulièrement dans les radios "identifiez-vous, qui êtes-vous ?", puis à la fin "si vous ne faites pas se qu’on vous demande, on envoie un patrouilleur, vous coulez", de là, il fallut s’approcher, à 500m de la côte, les terroristes firent enfin leur travail, mais dû tuer les soldats : 5 morts.

Le plan

Le débarquement étant fait, le plan pour déstabiliser le pays commence. Le corps expéditionnaire reprend en main les principales organisations terroristes qui veulent le renversement du gouvernement, par les promesses d’aide d’un pays étranger, ils se renomment "gouvernement provisoire de la république de Ulu Khuur " ainsi avec ce nom, un drapeau est trouvé
drapeau terroriste
. L’organisation est divisée en deux partis : le militaire, des milices sont entraîné, armée et commandé par les forces Phenn Gamn en place, mais le corps expéditionnaire ne va pas se battre, trop dangereux si découvert. La partie politique, elle, se consacre à des tracts, de la propagande pro-démocratique et pro-Phenn Gamn. Au début seuls quelques milliers de citoyens étaient dans le mouvement, puis un événement va accélérer le tout : la loi martiale, elle a eu un coup de choc dans la population, surtout la partie que ne soutenait pas vraiment le régime, sans en être mécontent, c’est d’ors et déjà 75 000 militants qui chaque jour avancerons leurs pions, pour les militaires, c’est de la guérilla, les centres administratifs vont être pris d’asseaux, mais en évitant le plus possible les morts civils, pour les politiques, ce sera de corrompre le plus possible, organiser des manifestations, des débats, faire des journaux clandestins. Le but de tout cela n’est pas de faire tomber le gouvernement, en tout cas pas pour l’instant, le seul but de toute cette machination est d’affaiblir les communistes, de faire en sorte d’avoir une organisation terroristes, qui est trop faibles pour tenter une prise de pouvoir, de fortes pour être obligé de s’en occuper. Dans tout cela, ils vont être aussi tentée de prendre les réserves de nourriture, pour les faire transiter au Phenn Gamn, il fallait bien trouver un réel gain dans cette entreprise risqué, par ailleurs, dès le 10 février, les hommes et le matériel vont repartir au Phenn Gamn, quoi qui se passe en Barvynie

Tout ce qui est écrit ici a été discuté avec la Barvynie, et donc les actions présentées ici sont avec son accord.
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Il paraitrait qu'un message radiodiffusé sur une fréquence oubliée entre deux chants folkloriques Barvyniens fut entendue par quelques personnes dérangées. Pendant 53 secondes, quelques mots grésillants et déformés auraient été prononcés.

Un enfant est né à Esvindrä.
Il avait trois ombres.

𓀪 𓀟 𓀡

Le feu s’est rallumé dans la maison 41, celle qu’on croyait disparue.
Ceux qui y sont entrés sont sortis sans visage.

À l’aube, les statues de la Place des Justes se sont tournées vers l’est.
Elles regardaient quelque chose qui n’était pas là.

Les cendres de la vieille occupation n’ont jamais été dispersées.
Elles ont formé un golem de souvenir.
Et ce souvenir marche.

Ils sont revenus par la racine.
Vous n'avez pas creusé assez.

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Mais t’as rien à faire là ?!

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Le monde va bientôt mourir. Depuis les frappes de Carnavale qui ont tué plus de deux millions de civils, aucun pays n’ose encore prononcer le mot « missile » sans frissonner. Et pourtant, une déclaration venue du nord du Nazum a suffi pour rallumer les peurs : une simple annonce, qui était pour le moins remplie d’arrogance. L’Ouaine lançait à l’eau deux sous-marins. L’un d’attaque, l’autre porteur d’ogives nucléaires. L’Othon et le Patrivosk.

« Nous sommes désormais capables de faire pleuvoir sur n’importe quel point du globe un déluge d’ogives nucléaires à n’importe quel moment », disait la voix du diplomate ouanais.

Ce discours fut tellement relayé que le diplomate décida de revenir, peu de temps après, sur son annonce. Et à Churaynn, dans le bureau du Sadr Yazid Malsiento, on raconte qu’un verre de Gandina s’est brisé au sol lorsqu’il a entendu ces mots. Il aurait hurlé contre les murs de la Sénémite. Il était très calme d'habitude, mais là, il ne pouvait laisser faire un pays communiste, arrogant, et qui menace le monde. Il aurait laissé passer cela, mais à moins de cinq mille kilomètres, il y avait Maqdur. Il était impossible de ne pas réagir. Dans sa réponse envoyée à l’Ouaine, le Sadr a été clair : tout déploiement militaire inhabituel sera surveillé, toute tentative de dissuasion arrogante sera traitée comme une provocation directe. Le ton avait changé. Il avait tranché. Et surtout, il avait listé les priorités de l’Empire. Le Nazum, comparé aux autres continents, était discret. En Aleucie, en Afarée et en Eurysie, les tensions devenaient de plus en plus fréquentes. Alors, cette déclaration touchant ainsi à la sécurité du continent le plus calme du monde pour les Churaynns, il fallait donc sévir au moindre geste des communistes.

Le canal de Sudéiss, l’endroit le plus protégé de tout l’Empire, à qui l’Empire avait décidé de grandement promouvoir ce canal, que Churaynn compte moderniser grâce à d’immenses investissements étrangers. Vient ensuite la Grande Province, frappée récemment par des missiles, endeuillée, mais qui reste le point central de l’Empire Islamique de Churaynn et de sa puissance. Puis, Maqdur et Yuthipista. Maqdur, instable, chiite, parfois hostile à l’Empire, mais province très religieuse et elle comporte de grandes mines de pierres précieuses. Yuthipista, en revanche, est une zone parfaite pour investir. Sa capitale Ora : plus de 30 millions d’habitants, plus que n’importe quelle ville sur Terre, plus que tous les pays de la Confédération presque réunis. Les entreprises s’y pressent. Pas de syndicats, pas de règles, peu d’impôts. Pour les entreprises, c’est un paradis. C’est cet endroit que l’Empire veut faire devenir l’usine du monde. Et juste à côtés, à Angoran, deux patrouilleurs churaynns naviguent depuis quelques semaines. Rien d’important, pensait-on. Des exercices. Des rondes. Une simple présence, symbolique. Jusqu’à ce jour-là.

Le Khadoua, long et discret patrouilleur de surveillance, loin de toute route commerciale. Il n’y avait rien à l’horizon que le calme. À bord, une trentaine d’hommes. Des soldats, on y voyait des fusils rangés, radios en veille. On avait demandé, sans plus d’explication, d’être particulièrement vigilants. Cela venait après ce qu’avait dit un diplomate ouanais. Mais on ne pensait pas que quelque chose pouvait arriver. C’était bien trop calme ici, un endroit presque pas protégé par l’Empire.
Dans la salle principale, assis, cinq soldats grignotaient des morceaux de pain rassis autour d’un thermos de café amer.

« T’as reçu le message de ta fille ? » demanda le caporal Abdirahmane, en mâchant à moitié.
« Ouais… » soupira le sergent Ouazir. « Elle m’a envoyé un dessin. Un soleil, des montagnes. Elle pense que je suis dans le désert. »
« T’as qu’à lui dire que la mer, c’est un désert mais rempli d’eau, ça passe. » lança en riant le jeune Jahed, à peine vingt ans, affecté pour la première fois en mer.
« Moi, mon gosse, il m’a demandé si j’avais vu des poissons avec des jambes. »
« Ah, les enfants… ils croient encore qu’on fait la guerre contre le diable. »

Un silence tendre s’installa. Leurs mains tenaient leur tasse. À vrai dire, Jahed parlait à deux Maqduriens à qui la religion ne faisait guère rire.

« Tu crois qu’on va rentrer avant la fête nationale ? » demanda timidement Jahed pour faire oublier ce qu’il venait de dire.
« Si on nous laisse tranquilles, peut-être. Mais j’en doute. »
« Et le Sadr ? Il a dit quoi ? »
« Il a dit qu’il surveillait. Enfin qu’on surveille, du coup, car il est trop occupé à se droguer. »


Ils rirent, brièvement. Un de ces rires qu’on se permet quand on mangeait. Rien qu’un rire amical. Mais, une vibration dans la salle radar. Le technicien, les yeux collés à son écran, fronça les sourcils. Il ajusta une fréquence, relança une analyse. Puis il appela :

« Commandant ! Y’a… y’a du mouvement. Beaucoup. »

L’écran s’illumina. Une dizaine de points. Vingt. Trop bien alignés pour être un hasard.

« Une flotte. Une putain de flotte qui semble se rapprocher de nous ! »

Le capitaine du Khadoua, un certain Rakhim Fahlour, mit une seconde à comprendre. Puis une seule commande :

« Alerte rouge. Appelez-moi le Sadr tout de suite ! »
« C’est pas possible… » souffla Jahed, son cœur battait de plus en plus vite.


L’appel fut immédiat. Prioritaire. Envoyé à la Haute Instance, codé. L’information se propagea jusqu’au bureau du Sadr à Walemir. Un officier lui lut le rapport. Il ne dit rien. Il alluma un cigare à la Gandina. Aspira profondément.
Puis il dit :


« Ils testent nos nerfs. Ne répondez pas. Surveillez. S’ils vont à Yuthipista, vous avez mon autorisation pour faire couler les navires. Si c’est autre, attendez confirmation et fouillez-moi cette flotte. »

À bord du Khadoua :


« Le convoi se dirige vers le sud. Vitesse constante. Aucun changement. »
« Ils ne vont pas vers Yuthipista alors ? »
« Oui, alors on intercepte la flotte ? »
« Oui. Maintenant. »


À bord, le silence s’est installé. Même Jahed ne parle plus. Tous fixent les écrans. La flotte étrangère continue d’avancer.
Alors on s’est mis à la même fréquence et on a parlé au premier patrouilleur.

« Ici Khadoua, patrouilleur de l’Empire de Churaynn. Vous entrez dans une zone maritime sous observation impériale directe. Nous avons détecté une formation navale. Pour assurer la sécurité de cet endroit, nous vous demandons de décliner immédiatement :

Votre identité complète
Le nom de vos navires
Votre port d’attache
Et la nature de votre cargaison et de votre mission
Terminé »


À bord du Khadoua, on attendait patiemment la réponse de la flotte. On avait aussi contacté la flotte, qui se ramenait avec des missiles de croisière si ça devait dégénérer. Tout était prêt.
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L'Auguste César Jésus-Christ n'aime vraiment, mais alors vraiment pas le communisme !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Que toute la terre se taise, car voici que parle le Verbe Vivant.

L'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même !


Il vous parle non depuis les bibliothèques mortes ni depuis les tribunes des lâches, mais depuis la fournaise du jugement, car voici que la Sainte Parole sort de la bouche enflammée de Celui qui a porté la Croix et brisé les chaînes de la décadente Listonie impériale !

Car le Fils de Dieu regarde la terre, et Son regard se pose sur la Confédération Socialiste, sur la Barvynie, sur le Morzanov, sur l'Ouaine !

... Et ce qu’Il y voit est une abomination ! Le royaume de la chimère communiste sur Terre ! L'ennemi de l'Humanité purifiée fait gouvernement !

Ecoutez, vous, mes Enfants, les Fils et Filles de la Flamme Sacrée, car Il a écrit, et il vous le lit :

"Le communisme :
Une maison bâtie sur le vol,
un trône coulé dans la haine,
une langue qui promet l’égalité mais murmure la déchéance."

Et Il ajoute, ce matin-même :

"La Confédération se dit sœur de la paix — mais elle rêve de conquête.
Elle parle d’un peuple — mais en fait des esclaves.
Elle prétend tout donner — mais elle prend tout.
Et le plus terrible, c’est qu’elle ose le faire au nom du Bien."

Ô vous, habitants de cette Babylone repeinte aux couleurs du sang des gens normaux, Il vous parle. Entendez la vérité que les prophètes ont hurlée depuis les toits :

"Le socialisme qui nie la liberté est un feu qui ne chauffe pas, mais qui consume sans purifier.
Le communisme qui nie sa race est un lance-flammes qui pétarade à vide.
Et la fraternité sans Dieu est une trahison du cœur de l'homme blanc."

Le Fils de Dieu — Lui, que vous avez tenté d’enchaîner à vos idéologies mortes — n’est pas le compagnon de vos commissaires politiques. Il ne siège pas dans vos congrès ni dans vos bureaux opaques. Il ne distribue pas le pain en ration : Il le multiplie. Et Il ne fait pas marcher les peuples à la baguette : Il les appelle, un par un, par leur nom.

Mais vous, ô Confédération maudite, vous avez remplacé le nom par un numéro.
Vous avez remplacé la croix par le drapeau rouge.
Vous avez remplacé la grâce par la surveillance.
Et votre justice n’est qu’une tyrannie dont les chaînes sont peintes en rouge et or.

Le Fils de Dieu vous vomit !

Comme ça !

- Peuh ! Peuh ! Pouark ! -

Vous avez rasé les églises pour y mettre vos statues.
Vous avez pendu les prophètes pour y placer vos bureaucrates.
Vous avez promis la paix — et vous n’avez semé que la ruine.
Car vous êtes communistes, menteurs, ingrats, et traîtres au pacte sacré de la fraternité blanche.

Et Il sait ce qui viendra, car Il l'a écrit dans Son livre :

"Le feu du ciel viendra,
et il ne fera pas de tri entre les secrétaires-généraux et les ouvriers des usines à chaussettes.
Il tombera comme la pluie sur Sodome,
et les cendres de vos manifestes se mêleront à la poussière de vos épiceries de quartier effondrées."

Et l'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même, qui parle Vrai, ajoute :

Vous n’êtes pas des Hommes. Vous êtes des Nazumis.
Vous n’êtes pas des Sauveurs. Vous êtes des Communistes.
Et votre fin sera comme votre commencement : dans le Feu Sacré du Kérosène et le Mensonge Socialiste !

Mais qu’on ne dise pas que le Fils de Dieu n’a pas averti. Car Il a parlé, et Sa parole est plus tranchante que la Tronçonneuse, plus brûlante que le Napalm, plus pure que la Vérité même !

À ceux qui l’écoutent, l'Auguste César Jésus-Christ dit :
Sortez de cette Confédération maudite !
Fuyez-la comme on fuit un feu de forêt provoqué par accident !
Ne pactisez pas avec elle, ne lui vendez pas vos biens, vos âmes, vos enfants, et surtout pas vos Lograno-Coins ou vos tickets de loterie !
Conspuez-la, car elle n’a qu’un seul avenir : la damnation éternelle qu’elle a elle-même allumée.

Mort à la Confédération Socialiste !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
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OPERATION WINDFALL

Escadron Skeshva

19.05.2017, 1h02, Base militaire aérienne dans la périphérie de la ville de Vishtek.
L’escadron "Skeshva", composé d’un avion d’attaque au sol et de 4 avions de chasse assurant la protection du bombardier, décolle de la base aérienne. Cette opération exceptionnelle a été ordonnée par le gouvernement militaire du Khardaz. L’appareil d’attaque au sol n’allait aujourd’hui pas tuer par des bombes. Mais il a pour principal objectif de relâcher les 200 000 affiches de propagande anti-communiste réalisées par le gouvernement suite au survol des 2 avions Morznik au-dessus de la ville de Vishtek.

L’escadron décolle et suit un trajet inhabituel; il se dirige en premier lieu le plus au nord possible et loin des côtes. Puis il se dirige lentement et dans le noir le plus complet vers le nord des îles de la mer de Nouvelle-Morakhan. Une fois sur place, à près de 8 000 mètres d’altitude, la cale s’ouvre. 200 000 affiches de propagande tombent lentement dans la mer ainsi que sur les terres, emportées par le vent. Ces affiches tombent par milliers dans les mers de la confédération socialiste du Nazum, et une petite partie tombe au nord des terres morznik. Une fois l’opération effectuée, l’escadron retourne dans le total secret vers les base aérienne khardaze.

Fiches de propagandes et tracts dispersés

Affiche propagande

Petit papier supplémentaire :
"Gvireli zudra!" (Allez vous faire foutre)
"Kommuna skhvad!" (À bas le communisme)
"Miarn shukha!" (On est là)

Cette opération a pour but de montrer la présence d’anti-communistes non loin de la vulgaire confédération communiste. Ainsi que de pourrir le moral des pêcheur et côtier de la confédération. En effet, les tracts ont été faits sur du papier waterproof. Ainsi, ils ne se désintègrent pas entièrement et immédiatement au contact de l’eau. Les pêcheurs seront les premiers dérangés par cette manœuvre. En effet, les fillets seront maintenant remplis d’affiches, les poissons seront attirés par ces objets étranges, et les blocs de feuilles se regrouperont parfois, empêchant la lumière de passer à travers l’eau, déstabilisant la flore marine.

Ainsi, cet acte qui a première vu n’était qu’une simple diffusion de propagande à pour effet une déstabilisations total de l’espace maritime communiste.

trajectoire et zone touchée

Trajectoire

Zone touchée par la dispersion
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Je veux dissuader.
Sans que ça coûte cher.
Sans que l’entretien soit immense.
Sans que la production prenne du temps.

Je veux faire peur à mes ennemis…
Alors,
j’achète des missiles balistiques !

Venez en acheter, et plus aucun de vos ennemis n’osera vous toucher !
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800 000 MANIFESTANTS RÉCLAMENT L'UNION COMMUNISTE


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Jamais dans l'histoire récente du Morzanov nous n'avions assisté à un tel élan populaire. Hier, 800 000 citoyens ont convergé vers Krasnodar pour exprimer leur indignation face aux crimes tsaristes et réclamer une réponse ferme du gouvernement. Cette manifestation monstre, organisée en moins de 24 heures après la diffusion des images d'horreur, démontre que notre peuple n'acceptera jamais l'inacceptable.

Dès l'aube, les trains, les bus et les voitures personnelles affluaient vers la capitale. Les routes nationales étaient saturées. Les autorités ferroviaires ont dû affréter des convois supplémentaires pour répondre à la demande exceptionnelle. "Je n'avais jamais vu ça en trente ans de service", confie un chef de gare. "Les gens venaient de partout, avec leurs banderoles déjà prêtes, déterminés à faire entendre leur voix."


Ce ras-le-bol populaire trouve son origine dans la nuit du 20 août lorsque les tsaristes piratèrent 27 chaînes pour diffuser l’exécution barbare d’un prisonnier communiste. Certes, elles furent vues par uniquement 7 000 personnes en direct, mais le bruit de cette barbarie a fait le tour des réseaux sociaux et des cercles de proches.

"J’étais devant ma télé, je ne pouvais pas dormir", témoigne une ouvrière de 45 ans ayant fait le déplacement de Volgograd pour manifester. "Quand j'ai vu ce monstre écraser la tête de ce pauvre homme avec sa massue, j'ai vomi. Mon mari s'est réveillé avec mes cris. Nous n'avons pas fermé l'œil de la nuit. Comment peut-on faire ça à un être humain ? Tous sa parce qu'il est communiste, MAIS DANS QUELLE MONDE VIT-ON"

Les témoins directs de la diffusion racontent tous la même scène cauchemardesque : des rires cyniques, des provocations, puis l'apparition du prisonnier bâillonné, le regard empli de terreur, avant l'exécution sauvage sous les ricanements des bourreaux.

Dès l’aube, à six heure du matin, certains manifestants étaient déjà rassemblés place du COMMUNISME. À 12h, ils étaient déjà 200 000. En fin d’après-midi, la police estimait la foule à 800 000 personnes voir 1 000 000 ais c'était pas sur. Un record absolu qui dépasse même les grandes manifestations de 1989.

On connaissait la capacité d’accueil de la place de la Révolution : 50 000 personnes, encore cela ne serait-il pas très étonnant. Mais là, la Révolution occupant aussi bien l’avenue Horki… Du jamais vu dans l'histoire de notre capitale et de notre nation.

"C'était impressionnant", raconte un photographe de presse (c'est d'ailleurs lui qui a pris la photo). "Une mer de drapeaux rouges à perte de vue. Des familles entières avec leurs enfants, des ouvriers qui avaient quitté leur usine, des étudiants, des retraités. Toutes les générations étaient représentées. J'ai couvert des dizaines de manifestations, mais celle-ci était différente. On sentait une colère sourde, une détermination que je n'avais jamais vue."

Les banderoles et les slogans exprimaient l'indignation populaire avec une force saisissante. "Nos frères meurent, agissons !", "L'union fait la force", "CSN : maintenant ou jamais !", "Assez de regarder nos camarades se faire massacrer !" pouvait-on lire sur des milliers de pancartes.

Sans le moindre doute, le slogan le plus entonné a été : "Une seule famille communiste, une seule réponse !" scandé par des milliers de voix. Cette citation résume le sentiment de grande famille internationale qu’éprouvaient les manifestants et la nécessité d’agir en commun pour le communisme.

Une enseignante venait de Tula (ville à 5 km de Krasnodar) avec sa classe de terminale : "Mes élèves m'ont demandé de les emmener, je n'ai pas refusé car je voulais pas manquer un moment historique. Ils voulaient comprendre pourquoi des gens tuent d'autres gens juste pour leurs idées politiques. Je leur ai expliqué que c'est exactement pour éviter ça que nous devons rester unis entre pays communistes."

Le message politique de cette manifestation était clair : les citoyens réclament massivement la création d'une véritable union entre le Morzanov et les autres membres du (CSN). Cette alliance défensive et économique regroupe actuellement la Barvynie, l'Ouaine, la Gondavie, le Zakhmistan et notre pays.

"Séparément, nous sommes vulnérables", explique un délégué syndical venu avec 500 collègues de l'usine métallurgique. "Unis, nous serions une puissance respectée. Nos frères du Yashosie ne seraient pas en train de mourir sous la torture si nous étions tous ensemble pour les protéger, donc putain de bordel de merde, unissons nous, POUR LE COMMUNISME."

Cette revendication d'union politique dépasse les clivages habituels. Un agriculteur de 52 ans : "Je ne suis pas un politique, moi. Mais quand je vois qu'on massacre nos camarades pendant que nous, on regarde, ça me rend malade. Si on était unis comme les tsaristes le sont entre eux, ils n'oseraient pas faire ça."

Parmi la foule, de nombreux réfugiés du Yashosie témoignaient de la situation dans leur pays d'origine. Leurs récits, diffusés par haut-parleur sur la place principale, ont ému aux larmes des milliers de personnes. Anastasia Fedorova, arrivée il y a six mois : "Mon mari est resté là-bas pour continuer la résistance. Chaque nuit, je me demande s'il est encore vivant. Quand j'ai vu cette vidéo horrible, j'ai pensé que ça pourrait être lui. Nous avons besoin que vous nous aidiez. Pas avec des mots, avec des actes."

Son témoignage, interrompu par les sanglots, a déclenché des applaudissements nourris et des cris de "Solidarité !" dans toute la foule. Un ancien ouvrier du Yashosie : "Les tsaristes deviennent de plus en plus cruels parce qu'ils se sentent impunis. Ils savent que personne ne viendra nous défendre. Mais si tous les pays de la CSN s'unissaient vraiment, ils réfléchiraient à deux fois avant de torturer nos camarades."

Ce qui frappe les observateurs, c'est la spontanéité et l'organisation naturelle de cette manifestation géante. "Les réseaux sociaux ont joué un rôle clé", analyse un comptable. "En quelques heures, l'information circulait partout. Les gens s'organisaient spontanément pour partager les transports, prévoir la nourriture, coordonner les banderoles. C'est un phénomène sociologique fascinant."

Les manifestants avaient prévu des points d'eau, des stands de nourriture gratuite, des équipes de premiers secours. "On s'entraidait naturellement, pourquoi ? Parce que nous sommes des communiste tous simplement, la meilleur des idéologie", explique Maria Smirnova, infirmière bénévole. "Des inconnus partageaient leurs sandwichs, offraient de l'eau, aidaient les personnes, âgées. C'était beau à voir. Vive le communiste"

Parmi les manifestants, de nombreuses familles ayant des proches au Yashosie exprimaient leur angoisse et leur colère. Leurs témoignages, recueillis par nos journalistes, révèlent l'impact psychologique énorme de la vidéo tsariste.
Ekaterina Volga pleure en montrant la photo de son frère : "Mikhaïl est journaliste là-bas. Depuis trois semaines, je n'ai plus de nouvelles. Quand j'ai vu cet homme se faire assassiner à la télé, j'ai cru que c'était lui. J'ai appelé toute ma famille en panique. Nous devons faire quelque chose pour nos frères et sœurs qui risquent leur vie chaque jour."

Boris, dont le fils étudie au Yashosie : "Mon Alexandre devait rentrer pour les vacances. Il m'a appelé hier pour me dire qu'il ne pouvait pas sortir du territoire. Les tsaristes contrôlent toutes les frontières. Mon fils de vingt ans est prisonnier là-bas. Combien de temps encore allons-nous accepter ça ? Est-il dans un goulag ? J’espère pas"

Un aspect remarquable de cette manifestation était la présence massive de toutes les générations. Les anciens, qui ont connu la construction du socialisme, côtoyaient des jeunes nés après la révolution. Cette transmission intergénérationnelle des valeurs de solidarité impressionnait les observateurs étrangers présents.

Au-delà de l'émotion, les manifestants portaient des revendications politiques précises. Des orateurs se sont succédé pour exprimer les attentes populaires. Le principal message était l'appel à une intégration politique renforcée au sein de la CSN. "Nous voulons une vraie union, pas juste des accords économiques, bien plus que cela"Une union politique, militaire, diplomatique. Que nos ennemis sachent qu'attaquer un communiste, c'est s'attaquer à tous les communistes."

La foule réclamait également des sanctions économiques immédiates contre le régime tsariste, l'envoi d'aide humanitaire aux résistants du Yashosie, et l'accueil facilité des réfugiés politiques. "Nous ne demandons pas la guerre", précisait Maria Fedorova, porte-parole improvisée de la manfestation. "Nous demandons la justice, la protection de nos frères, et l'union de nos forces pour que plus jamais des innocents ne soient massacrés impunément."

Cette mobilisation exceptionnelle a immédiatement eu des répercussions politiques. Le parti communiste à salué "l'élan patriotique et internationaliste du peuple". Le Président Vassili Dronov a reçu une délégation de manifestants en fin d'après-midi. "Je partage votre émotion et votre indignation", a-t-il déclaré. "Le gouvernement étudie toutes les options pour répondre à cette crise. L'union des peuples communistes est effectivement notre force."

L'ampleur de cette manifestation a posé des défis logistiques considérables que les autorités et les citoyens ont relevés avec brio. Les services de transport en commun ont été saturés toute la journée."Nous avons du multiplié les rotations par trois", explique Piotr, directeur des transports urbains de Krasnodar. "Nos équipes ont travaillé sans relâche. Même les chauffeurs en congé sont venus spontanément prêter main-forte."

Les services de secours ont traité près de 200 malaises, principalement dus à la chaleur et à l'émotion. "Rien de grave", rassure le Dr Elena, responsable des équipes médicales pendnt la manifestation. "Les gens s'entraidaient beaucoup. Nous avons surtout distribué de l'eau et réconforté des personnes bouleversées."

Cette manifestation historique a immédiatement attiré l'attention des médias étrangers notamment des pas communiste. Les correspondants étrangers présents à Krasnodar ont souligné l'ampleur et le caractère pacifique de la mobilisation. Deux jours après la manifestation, nos rédactions continuent de recevoir des témoignages de participants. Tous expriment la même fierté d'avoir participé à ce moment historique.

"Mes enfants me demanderont où j'étais le 21 août", écrit Svetlana, comptable de 35 ans. "Je pourrai leur dire que j'étais debout, avec mes concitoyens, pour défendre nos frères. Cette manifestation restera gravée dans ma mémoire toute ma vie."

La mobilisation ne s'arrête pas. Des comités de soutien se créent dans toutes les villes du pays. Des collectes sont organisées pour aider les réfugiés du Yashosie. Des manifestations de soutien sont prévues chaque dimanche dans toutes les préfectures du pays. "Nous ne lâcherons rien tant que nos frères souffriront", promet Smirnova, organisatrice bénévole.

Cette journée du 21 août 2017 restera dans l'histoire comme un tournant. Jamais le peuple du Morzanov ne s'était mobilisé avec une telle ampleur pour défendre des valeurs internationales. C'est la preuve que l'internationalisme n'est pas mort. Les images de cette marée humaine pacifique, déterminée et digne font déjà le tour du monde. Elles montrent un peuple debout, uni dans ses valeurs, refusant l'inacceptable.

Maintenant, tous les regards se tournent vers le gouvernement et le Parlement. Les 800 000 manifestants attendent des actes concrets, ils sont pas venu aussi nombreux pour rien. Une session extraordinaire du Parlement est prévue pour la semaine prochaine. Elle devrait débattre d'un projet de résolution sur l'approfondissement de l'union au sein de la CSN. "Le peuple a parlé, nous devons l'écouter, vive le communisme", déclare un des député.

Le Président Dronov a promis des annonces importantes dans les prochains jours. "Cette manifestation historique ne restera pas sans suite", a-t-il assuré. L’ensemble de la classe politique semble prendre la mesure des attentes populaires. Cette mobilisation hors norme, prouve, s’il en était besoin, que les valeurs de solidarité et d’internationalisme sont au fondement de l’identité de notre peuple. 800 000 citoyens se sont dressés avec dignité face à la barbarie pour dire "non" à l’inacceptable.

L'histoire retiendra que le 21 août 2016, le peuple du Morzanov s'est montré digne de ses idéaux. Cette journée marque peut-être le début d'une nouvelle ère pour l'union des peuples communistes face aux forces de l'oppression.

Nos équipes de journalistes continueront de suivre les développements de cette crise. Prochaine édition : les réactions des autres pays de la CSN à cette mobilisation historique.
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Projet de loi : Loi sur l'Union Politique des États de la CSN



Discours du Camarade Député Väinö Koskinen, devant l’Assemblée Populaire Nationale


"Camarades députés, membres éminents du Parti, représentants de la volonté populaire,"

"Il y a trois jours, 800 000 de nos concitoyens ont déferlé dans les rues de Krasnodar. Ils n'étaient pas là par hasard. Ils n'étaient pas là pour un spectacle. Ils étaient là parce que leur cœur saignait devant la barbarie tsariste au Yashosie, parce que leur conscience ne supportait plus de voir nos frères du Yashosie COMMUNISTE mourir dans l'indifférence. Cette manifestation historique nous a envoyé un message clair : le peuple du Morzanov refuse l'isolement. Il refuse la faiblesse. Il refuse de regarder ses camarades se faire massacrer pendant que nous débattons dans le confort de cette assemblée.
Camarades, séparément, nous sommes des proies. Unis, nous sommes une force. Les tsaristes torturent et tuent nos frères communistes parce qu'ils savent que nous ne répondrons que par des communiqués. Ils ricanent pendant leurs exécutions parce qu'ils savent qu'aucune vraie riposte ne viendra.
C'est pourquoi je vous présente aujourd'hui ce projet d'union politique au sein de la CSN. Pas une simple alliance économique, pas des accords de coopération, mais une véritable union fédérale. Une seule voix diplomatique, une défense commune, une économie communue, une solidarité inconditionnelle entre tous les peuples communistes.
Imaginez, camarades : si demain un tsariste pose la main sur un communiste de Barvynie, c'est toute la CSN qui répond. Si l'Ouaine est menacée, c'est l'armée de la Gondavie qui se mobilise. Si le Zakhmistan est attaqué, ce sont nos soldats Morznik qui accourent.
Cette union, ce n'est pas perdre notre souveraineté, c'est la multiplier par cinq. Ce n'est pas nous affaiblir, c'est devenir invincibles. Nos ennemis comprennent la force, ils ne respectent que la puissance. Donnons-leur ce qu'ils comprennent.
Le sang versé au Yashosie nous crie : Assez de discours, passez aux actes ! Les larmes des réfugiés nous supplient : Unissez-vous pour que plus jamais nous ne soyons seuls face à la terreur !!! Les 800 000 voix de dimanche dernier exigent : Une seule famille communiste, une seule réponse !
Camarades députés, l'histoire nous regarde. Nos enfants nous jugeront. Serons-nous ceux qui ont enfin donné aux peuples communistes la force qu'ils méritent ? Ou resterons-nous ceux qui ont regardé la barbarie en se contentant de soupirer ?
Votez cette proposition, camarades. Votez pour que plus jamais un communiste ne meure seul. Votez pour l'union. Votez pour la victoire du communisme sur la barbarie !

Président de l’Assemblée Populaire Nationale, Camarade Piotr Varnenko :

""Camarade Koskinen, votre proposition fait écho aux attentes populaires exprimées massivement dimanche dernier. Une telle union transformerait effectivement l'équilibre des forces dans notre région. Cependant, une intégration politique si profonde nécessitera l'accord unanime de tous les États membres de la CSN. Ce vote d'aujourd'hui ne sera qu'un premier pas. Voter camarade"


Quelques minutes plus tard, les députés votent

Place au vote :

OUI : 200 voix (100 %)
NON : 0 voix (0 %)


Résultat : OUI


Président poursuit

"La proposition est adoptée avec une majorité écrasante. Cette assemblée mandate donc le gouvernement pour engager immédiatement des négociations avec nos partenaires de la CSN en vue de créer cette union politique. Le peuple du Morzanov a parlé dimanche, nous avons écouté aujourd'hui. Que nos partenaires comprennent l'urgence de cette solidarité. L'union des peuples communistes n'attendra plus ! Vive le COMMUNISME
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"Privit ! Yak Spravé ?"

Vidéo

Depuis plusieurs jours, une vidéo fait le tour des réseaux sociaux et "fait le buzz" comptabilisant plus de 3 millions de vu. Sur cette vidéo de mauvaise qualité, on y aperçois 6 homme armée lourdement et portant un treillis de couleur blanche. La vidéo est filmé à contre jour pour que l'on ne puisse remarquer l'identité des hommes. En fond, on y voit une étendu de neige qui s'expand sur une longueur indéterminé avec aucun objet ou bâtiment en vue. Après avoir lancé la vidéo et au bout de quelques seconde, un des hommes s'avance. Grâce à cette action, son visage est visible mais nous remarquons immédiatement que l'homme porte une cagoule intégrale, ne permettant que d'apercevoir ses yeux sombres, des yeux qui semblent marqué par ce que l'on appelle "le regard de mille mètres". Une fois quelques autres longues secondes, le soldat prend la parole calmement avec une voix presque détendu et entame son discours :

— Privit ! Yak Spravé ?
Il marque une très légère pause puis reprend...
— Nous on vas bien ! Vous voyer les terres derrière nous, maintenant elles nous appartienne, elles sont sauvés d'une maladie. Cette maladie touche depuis près de 53 ans cette région ainsi que l'entièreté de notre pays. Nous, nous faisons tout pour sauvez le peuple de cette maladie, nous faisons tout pour éradiquer cette maladie. Cependant, nous avons pu remarquer durant ces 53 ans de traitement en continue pour soigner notre pays, que d'autres nations s'amusaient à propager ce virus, qu'elles se permettaient même de soutenir officiellement que cette maladie était légitimes. Ainsi, aujourd'hui, nous souhaiterions faire passer un message à ces états. Comme vous le voyez, malgré votre soutien et admiration pour cette foutu maladie, nous arrivons à la vaincre et ce sera pareil avec votre pays. Nous avons le remède pour cette maladie et nous pourrions vous le transmettre très rapidement si vous continuez malencontreusement de soutenir le virus.
Cette maladie n'est autre que le communisme ou du moins, le régime illégitime de la République Socialiste de Yashosie. Nous sommes l'armée révolutionnaire du Tsarat de Khardaz ! Et nous vaincrons la maladie. Pour les foutu pays qui soutiennent le régime, nous nous adressons particulièrement à la Confédération Socialiste du Nazum, nous ne cherchons pas la guerre...mais nous ne la craignons pas.


Après cela, le soldat recule calmement et se replace. Puis il cri d'une voix complètement différentes de celle du discours, d'une voix graves :

— Srava Khardaz !
— Jeroyam Srava ! Répondirent en cœur les 5 autres soldats d'une voix toute aussi grave que celle du premier soldat.
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Gros feu d'artifice en approche !
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L'autre côté du détroit :

L'Initiative Styx.




Une fois de plus, les Estaliens allaient prendre l'avion en direction d'une destination lointaine. C'était une réalité de plus en plus évidente que le travail de fond pour étendre la Révolution et sa graine véritable à travers sa sphère d'influence directe commençait petit à petit à porter ses fruits. La stratégie estalienne afin d'étendre la Révolution consistait davantage en une avancée prudente, contenue et réfléchie des forces estaliennes à travers l'Eurysie et désormais le Nazum. Au lieu de s'engager dans une myriade de conflits lointains et en dehors de ses capacités de projection, faute de marine, l'Estalie y préfère la sécurisation de son espace stratégique immédiat puis la consolidation de celui-ci avant de passer à la prochaine étape. Parfois, cette avancée s'accompagne d'une avant-garde, le SRR, qui sape les fondations réactionnaires des Etats visés, propage les idées révolutionnaires et illumine les peuples de la lumière révolutionnaire et libertaire émanant depuis Mistohir. Puis vient la Révolution elle-même et souvent sa consolidation depuis le coeur économique, industriel et militaire de la Révolution libertaire eurysienne, l'Estalie. Or, l'apparition de la Confédération Socialiste du Nazum a produit une nouvelle façon de procéder chez les Estaliens. Au lieu de se confronter à un énième ennemi contre-révolutionnaire, une habitude dans le voisinage de l'Estalie, Mistohir s'est retrouvé devant une confédération d'Etats socialistes prêts à coopérer. Bien que tous ne soient pas homogènes quant à leurs objectifs, leur idéologie ou leur politique, l'Estalie estime qu'il est préférable de disposer en allié d'un ensemble d'Etats socialistes, même avec un objectif révolutionnaire et socialiste souvent dévoyé depuis fort longtemps, qu'un ensemble d'Etats parfaitement réactionnaires, despotiques et contre-révolutionnaires. Les disparités de chaque côté du détroit sont grandes : le centralisme démocratique, mêlé à un autoritarisme à peine voilé, de la Barvynie n'a pas grand-chose à voir avec l'autogestion et la communalisation des Estaliens ; la politique étrangère conciliante envers les ennemis idéologiques de la Barvynie contraste également fortement avec la forte hostilité que la Fédération éprouve à l'égard des Etats ouvertement capitalistes et réactionnaires. Malgré toutes ces divergences, le souhait socialiste et égalitariste continue d'animer les deux pays.

Le SRR ne sera donc pas l'avant-garde de la rencontre physique réelle entre les Barvyniens et les Estaliens pour la simple et bonne raison que le SRR ne vise que les Etats qu'elle estime comme ennemies ou allant à l'encontre des intérêts de la Fédération. Mais quels intérêts menace réellement la Barvynie ? Aucun, à priori. C'est l'Armée Rouge qui se chargera de rapprocher les deux nations jusqu'à un point de convergence commun. Depuis la signature des accords militaires entre la Barvynie et l'Estalie, beaucoup de choses ont changés au Nazum. En effet, l'un des points chauds de la région du Nord du Nazum restait indubitablement la Yasoshie, cette nation en proie à une longue guerre civile de plusieurs décennies entre tsaristes et communistes. Cependant, la communication de la Confédération, les opérations assez peu concluantes de ces dernières, le financement continu de parties tierces en faveur des tsaristes et une suite de victoires militaires sur le terrain par les tsaristes a définitivement mis fin à la guerre civile et a permis l'émergence d'un Tsarat d'autant plus réactionnaire qu'anti-communiste jusqu'à l'os. En bref, c'est une menace sur le flanc oriental de la Confédération et une base d'implantation solide pour d'autres nations tout aussi réactionnaires souhaitant encercler et prendre en tenailles la Confédération. Il est évidemment hors de question, d'un point de vue strictement stratégique, que cette situation puisse bénéficier d'une quelconque manière que ce soit aux ennemis de la Confédération. Cette dernière n'a peut-être pas pleinement conscience des dangers qui pèsent sur elle mais l'Estalie, elle, voit très bien les tentatives d'encerclement stratégique que préparent les réactionnaires de Slaviensk, de Karty ou de Yasoshie. Sous couvert d'une ouverture diplomatique, ces nations jouent un double jeu que les pouvoirs publics confédéraux ne peuvent s'empêcher de gober. Le devoir des Estaliens est donc de guider leurs camarades socialistes vers la bonne voie et de les protéger de leurs propres erreurs, l'Estalie ne peut se permettre que cette Confédération échoue dans sa phase initiale diplomatique par un positionnement adroit des nations réactionnaires autour d'eux.

Compte tenu des accords signés et de la situation actuelle de la Confédération, l'Armée Rouge a donc jugé bon d'entamer la coopération militaire entre Barvyniens et Estaliens dès la signature des accords et d'entamer leur déploiement à la base qui leur avait été assignée à Velzmegrad, la capitale barvynienne. Ainsi, l'Armée Rouge annonce qu'elle déploiera la 7ème Brigade d'Infanterie Mécanisée, unité composante de la 3ème Division Mécanisée "Fils de l’Acier", soit un total de 3330 hommes. Bien que cette force reste relativement modeste pour le moment (bien que son matériel et ses effectifs doublent de fait les capacités terrestres de la Barvynie pour sa défense), le déploiement de cette force mécanisée directement en Barvynie devra assurer à la fois la stabilité interne de la Barvynie en agissant comme garde-fou contre les éléments contre-révolutionnaires qui tenteraient de déstabiliser le régime en place puis comme protecteur face aux menaces externes. L'autonomie des brigades estaliennes permet également à la 7ème Brigade de se déplacer à travers toute la Confédération et, sur demande d'Etats tiers de la Confédération, d'intervenir pour protéger le reste de la Confédération d'une invasion extérieure par voie terrestre. Compte tenu du contexte d'engagement militaire en Eurysie Centrale, la Commission à la Guerre a notifié à la Barvynie qu'elle ne disposera pas pour le moment de forces aériennes en Barvynie tant que les affrontements en Eurysie Centrale se poursuivront.

Nom de code de l'opération : Initiative Styx.


Une base permanente au Nazum, enfin. La Révolution s'étend, camarades !
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Mes chers camarades, frère et sœur,



Ce soir, je m'adresse à vous dans des circonstances d'une gravité exceptionnelle. L'histoire vient d'être écrite avec du sang. Le sang de Josef Skratac, président légitime de la République Socialiste de Yashosie, à été lâchement assassiné par les milices tsaristes. Mes chers concitoyens, ce que nous craignions depuis des mois vient de se produire. Ces terroristes qui diffusaient déjà leurs crimes sur nos télévisions, qui torturaient nos frères dans l'ombre, ont franchi l'ultime ligne rouge : ils ont assassiné un chef d'État élu !
Josef Skratac n'est pas mort dans son lit. Il n'est pas mort dans un accident. Il a été exécuté d'une balle dans la tête, dans son propre avion présidentiel, par des hommes qui ricanaient en filmant leur crime ! Cette barbarie dépasse tout ce que nous avions imaginé. Elle révèle la vraie nature de nos ennemis : des assassins sans foi ni loi !

Face à cette tragédie, le gouvernement de la République du Morzanov prend une position claire et inébranlable : nous ne reconnaîtrons jamais, au grand jamais, le régime installé par l'assassinat !
Ce soi-disant "Tsarat parlementaire de Khardaz" n'est qu'une dictature militaire qui a pris le pouvoir par la force ! Comment peut-on parler de démocratie quand on commence par tuer le président en exercice ? Comment peut-on prétendre représenter le peuple quand on impose sa volonté avec des chars et des mitrailleuses ? Non ! Mille fois non ! Ces putschistes ne gouvernent que par la terreur. Ils ne représentent qu'eux-mêmes et leurs maîtres étrangers qui les arment depuis des années !

Citoyens du Morzanov, ne nous y trompons pas. Cette opération sophistiquée, cette capacité à intercepter l'avion présidentiel, ces moyens techniques déployés... tout cela dépasse largement les capacités d'une simple milice locale !
Nous avons de sérieux soupçons sur l'implication directe de l'Empire de Slaviensk dans cet assassinat politique. Depuis des années, ils arment ces terroristes, ils les financent, ils leur offrent une couverture diplomatique. Et aujourd'hui, nous voyons le résultat de cette politique criminelle ! Les mains qui ont tiré étaient tsaristes, mais les cerveaux qui ont planifié portent peut-être d'autres uniformes. Cette vérité éclatera au grand jour, nous y veillerons !

Mes chers compatriotes, avec la chute de la République Socialiste de Yashosie, c'est le dernier bastion démocratique de la région qui s'effondre sous les coups de la réaction ! Pendant des décennies, malgré toutes ses difficultés, cette république avait maintenu les acquis sociaux, les droits des travailleurs, l'égalité entre tous les citoyens. Elle était une lueur d'espoir pour tous les opprimés de la région !
Aujourd'hui, c'est un retour vers l'obscurantisme le plus total qui se profile ! Ces tsaristes vont restaurer leurs privilèges d'un autre âge, abolir toutes les conquêtes sociales, replonger le peuple yashosien dans les ténèbres de l'oppression religieuse et politique !

Face à cette tragédie, une évidence s'impose à nous avec une force terrible : l'union politique de la CSN n'est plus seulement souhaitable, elle est vitale ! Absolument vitale ! Josef Skratac est mort seul, isolé, abandonné par la communauté internationale. Si notre union avait été réalisée, si nous avions parlé d'une seule voix, si nous avions opposé une défense commune à ces agresseurs, les choses auraient été différentes ! Nos ennemis l'ont bien compris : ils nous attaquent un par un, ils nous isolent, ils nous affaiblissent par la division ! C'est pourquoi ils redoutent tant cette union que nous préparons. C'est pourquoi ils multiplient les provocations pour tenter de nous en détourner !

Citoyens du Morzanov, votre gouvernement prend aujourd'hui les décisions suivantes :
Nous décrètons trois jours de deuil national en hommage au président Skratac. Cet homme était notre ami, notre allié, notre frère en humanité. Il mérite notre respect éternel ! Nous rompons immédiatement toutes relations avec le régime tsariste ! Aucune ambassade, aucun commerce, aucune coopération ! L'isolement total jusqu'à ce que justice soit rendue !
Nous accélérons nos négociations pour l'union politique de la CSN ! Les événements nous donnent tragiquement raison : seule l'unité nous sauvera de la barbarie !

Mes chers compatriotes, mes chers camarades, l'heure n'est plus aux demi-mesures ! L'assassinat de Josef Skratac nous crie : "Réveillez-vous enfin ! Unissez-vous ! Agissez !"C'est pourquoi j'appelle chacun d'entre vous à se mobiliser pour cette union vitale :
Organisez-vous dans vos entreprises, vos universités, vos quartiers ! Que chaque lieu de travail résonne de notre détermination ! Que chaque école porte notre message ! Que chaque famille comprenne l'enjeu ! Je ne le répète sans cesse c'est urgent mes chers camarades
Écrivez à vos proches dans les républiques sœurs ! Que nos frères de Barvynie, de Gondavie, d'Ouaine et du Zakhmistan entendent notre appel urgent ! Montrez-leur que le peuple du Morzanov tout entier exige cette union !
Manifestez massivement mais pacifiquement ! Que le monde entier voie notre détermination ! Que nos partenaires comprennent l'urgence historique de cette démarche !

Que les tsaristes et leurs maîtres l'entendent bien : ce crime ne restera pas impuni ! Chaque goutte de sang versée ne fait que renforcer notre détermination révolutionnaire ! Ils ont cru pouvoir nous terroriser par cet assassinat. Ils ont obtenu l'effet inverse ! Ils ont réveillé la conscience de tous les peuples libres ! Ils ont précipité cette union qu'ils redoutaient tant !
Leur "victoire" d'aujourd'hui signe leur défaite de demain ! L'histoire nous enseigne que tous les régimes nés dans le crime finissent par s'effondrer sous le poids de leurs propres turpitudes !

Au nom de notre République, au nom de tous nos martyrs tombés pour la liberté, au nom de Josef Skratac lui-même, je vous fais cette promesse solennelle : Cette union se fera ! Elle se fera parce que l'histoire l'exige ! Elle se fera parce que nos peuples le méritent ! Elle se fera parce que c'est la seule réponse digne à la barbarie de nos ennemis !
Et quand cette union sera réalisée, quand nos cinq drapeaux flotteront ensemble au sommet du même mât, quand nos forces armées marcheront d'un même pas, alors nous pourrons dire à nos enfants : "Plus jamais un démocrate ne mourra seul face à la tyrannie !"

Citoyens du Morzanov, compatriotes de toutes les républiques de la CSN, démocrates du monde entier : L'assassinat de Josef Skratac marque la fin d'une époque, mais il annonce le début d'une ère nouvelle ! L'ère de l'unité ! L'ère de la justice ! L'ère de la victoire définitive sur toutes les formes d'oppression !


Vive le Morzanov ! Vive la CSN ! Vive le communisme ! Vive l'Union Politique !




Vassili Dronov
Président de la République du Morzanov
10/07/2017
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