11/05/2017
22:43:51
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Activités étrangères en Barvynie

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Activités étrangères en Barvynie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Barvynie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Barvynie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Mes chers camarades, frère et sœur,


Enfin 2017 ! je veux vous souhaiter à toutes et à tous une bonne année ! Et comme on dit Bonne santé à tous !. Le Morzanov a beaucoup avancé ces derniers mois. Mais il reste encore du chemin à faire. En 2017, nous allons continuer à travailler pour un pays plus fort.

Nous visons à faire de notre armée de l’air l’une des plus puissantes de la région. Pour cela nos pilotes sont très bien formés, nos avions de plus en plus nombreux. Nous allons maintenir ce rythme afin de protéger notre pays et notre peuple. Mais notre force ne doit pas s’accompagner d’une destruction de notre nature. Le Morzanov doit rester soucieux de son propre développement, tout en étant propre et vert. Nous réduirons donc au maximum la pollution, en préservant les montagnes, les forêts et rivières qui sont notre fierté. Nous allons également construire usines qui respectent l’environnement.

En 2017, nous allons aussi lutter contre le chômage. Cela veut dire construire plus d’usines, donc créer plus d’emplois, surtout dans les zones reculées et très froid. Chaque Morznik / Morznika doit pouvoir vivre dignement de son travail. Notre but est de faire du Morzanov une puissance régionale. Un pays qui compte, un pays respecté, un pays qui aide son peuple. Nous allons aussi construire de nouvelles centrales nucléaires. C’est une énergie propre, qui nous permet de produire de l’électricité sans polluer. Cela aidera aussi nos usines et nos familles. Le Morzanov a besoin d’énergie, et nous allons la produire nous-mêmes.

Je veux aussi souhaiter une bonne année à notre pays ami, le Barvynie. Notre amitié est forte, et nous allons continuer à avancer ensemble.

Je suis fier de vous. En 2017, restons unis, courageux et travailleurs.

Bonne année à tous, et vive le Morzanov !


Vassili Dronov
Président de la République du Morzanov
1er janvier 2017
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"Faites passer les armes vite, ils arrivent !"
Barvynie 16 janvier 2017

Dans ce pays à la pointe nord du nazum, un réseau terroriste se construit, à cause de l’aide du Phenn Gamn : quelque jours plus tôt, une demande d’aide des terroristes étaient tombé dans les oreilles du gouvernement du Phenn Gamn.

2 500 hommes, 15 000 armes légères, des officiers, qui partent à plus de 11 000 km de chez eux. À l’arrivée, les problèmes sont déjà prépondérants : la douane, il est certain que ce cortège militaire ne leur plaira pas vraiment. Les terroristes devaient les détourner du convoi, voire les tuer, mais quand les côtes étaient en vue, les gardes-côtes aussi étaient en vue, là à observer le convoi qui ne ressemblait pas à de la marchandise ordinaire. Les navires ont dû attendre, longtemps, trop même les gardes Barvynien lançaient régulièrement dans les radios "identifiez-vous, qui êtes-vous ?", puis à la fin "si vous ne faites pas se qu’on vous demande, on envoie un patrouilleur, vous coulez", de là, il fallut s’approcher, à 500m de la côte, les terroristes firent enfin leur travail, mais dû tuer les soldats : 5 morts.

Le plan

Le débarquement étant fait, le plan pour déstabiliser le pays commence. Le corps expéditionnaire reprend en main les principales organisations terroristes qui veulent le renversement du gouvernement, par les promesses d’aide d’un pays étranger, ils se renomment "gouvernement provisoire de la république de Ulu Khuur " ainsi avec ce nom, un drapeau est trouvé
drapeau terroriste
. L’organisation est divisée en deux partis : le militaire, des milices sont entraîné, armée et commandé par les forces Phenn Gamn en place, mais le corps expéditionnaire ne va pas se battre, trop dangereux si découvert. La partie politique, elle, se consacre à des tracts, de la propagande pro-démocratique et pro-Phenn Gamn. Au début seuls quelques milliers de citoyens étaient dans le mouvement, puis un événement va accélérer le tout : la loi martiale, elle a eu un coup de choc dans la population, surtout la partie que ne soutenait pas vraiment le régime, sans en être mécontent, c’est d’ors et déjà 75 000 militants qui chaque jour avancerons leurs pions, pour les militaires, c’est de la guérilla, les centres administratifs vont être pris d’asseaux, mais en évitant le plus possible les morts civils, pour les politiques, ce sera de corrompre le plus possible, organiser des manifestations, des débats, faire des journaux clandestins. Le but de tout cela n’est pas de faire tomber le gouvernement, en tout cas pas pour l’instant, le seul but de toute cette machination est d’affaiblir les communistes, de faire en sorte d’avoir une organisation terroristes, qui est trop faibles pour tenter une prise de pouvoir, de fortes pour être obligé de s’en occuper. Dans tout cela, ils vont être aussi tentée de prendre les réserves de nourriture, pour les faire transiter au Phenn Gamn, il fallait bien trouver un réel gain dans cette entreprise risqué, par ailleurs, dès le 10 février, les hommes et le matériel vont repartir au Phenn Gamn, quoi qui se passe en Barvynie

Tout ce qui est écrit ici a été discuté avec la Barvynie, et donc les actions présentées ici sont avec son accord.
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Il paraitrait qu'un message radiodiffusé sur une fréquence oubliée entre deux chants folkloriques Barvyniens fut entendue par quelques personnes dérangées. Pendant 53 secondes, quelques mots grésillants et déformés auraient été prononcés.

Un enfant est né à Esvindrä.
Il avait trois ombres.

𓀪 𓀟 𓀡

Le feu s’est rallumé dans la maison 41, celle qu’on croyait disparue.
Ceux qui y sont entrés sont sortis sans visage.

À l’aube, les statues de la Place des Justes se sont tournées vers l’est.
Elles regardaient quelque chose qui n’était pas là.

Les cendres de la vieille occupation n’ont jamais été dispersées.
Elles ont formé un golem de souvenir.
Et ce souvenir marche.

Ils sont revenus par la racine.
Vous n'avez pas creusé assez.

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Mais t’as rien à faire là ?!

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Le monde va bientôt mourir. Depuis les frappes de Carnavale qui ont tué plus de deux millions de civils, aucun pays n’ose encore prononcer le mot « missile » sans frissonner. Et pourtant, une déclaration venue du nord du Nazum a suffi pour rallumer les peurs : une simple annonce, qui était pour le moins remplie d’arrogance. L’Ouaine lançait à l’eau deux sous-marins. L’un d’attaque, l’autre porteur d’ogives nucléaires. L’Othon et le Patrivosk.

« Nous sommes désormais capables de faire pleuvoir sur n’importe quel point du globe un déluge d’ogives nucléaires à n’importe quel moment », disait la voix du diplomate ouanais.

Ce discours fut tellement relayé que le diplomate décida de revenir, peu de temps après, sur son annonce. Et à Churaynn, dans le bureau du Sadr Yazid Malsiento, on raconte qu’un verre de Gandina s’est brisé au sol lorsqu’il a entendu ces mots. Il aurait hurlé contre les murs de la Sénémite. Il était très calme d'habitude, mais là, il ne pouvait laisser faire un pays communiste, arrogant, et qui menace le monde. Il aurait laissé passer cela, mais à moins de cinq mille kilomètres, il y avait Maqdur. Il était impossible de ne pas réagir. Dans sa réponse envoyée à l’Ouaine, le Sadr a été clair : tout déploiement militaire inhabituel sera surveillé, toute tentative de dissuasion arrogante sera traitée comme une provocation directe. Le ton avait changé. Il avait tranché. Et surtout, il avait listé les priorités de l’Empire. Le Nazum, comparé aux autres continents, était discret. En Aleucie, en Afarée et en Eurysie, les tensions devenaient de plus en plus fréquentes. Alors, cette déclaration touchant ainsi à la sécurité du continent le plus calme du monde pour les Churaynns, il fallait donc sévir au moindre geste des communistes.

Le canal de Sudéiss, l’endroit le plus protégé de tout l’Empire, à qui l’Empire avait décidé de grandement promouvoir ce canal, que Churaynn compte moderniser grâce à d’immenses investissements étrangers. Vient ensuite la Grande Province, frappée récemment par des missiles, endeuillée, mais qui reste le point central de l’Empire Islamique de Churaynn et de sa puissance. Puis, Maqdur et Yuthipista. Maqdur, instable, chiite, parfois hostile à l’Empire, mais province très religieuse et elle comporte de grandes mines de pierres précieuses. Yuthipista, en revanche, est une zone parfaite pour investir. Sa capitale Ora : plus de 30 millions d’habitants, plus que n’importe quelle ville sur Terre, plus que tous les pays de la Confédération presque réunis. Les entreprises s’y pressent. Pas de syndicats, pas de règles, peu d’impôts. Pour les entreprises, c’est un paradis. C’est cet endroit que l’Empire veut faire devenir l’usine du monde. Et juste à côtés, à Angoran, deux patrouilleurs churaynns naviguent depuis quelques semaines. Rien d’important, pensait-on. Des exercices. Des rondes. Une simple présence, symbolique. Jusqu’à ce jour-là.

Le Khadoua, long et discret patrouilleur de surveillance, loin de toute route commerciale. Il n’y avait rien à l’horizon que le calme. À bord, une trentaine d’hommes. Des soldats, on y voyait des fusils rangés, radios en veille. On avait demandé, sans plus d’explication, d’être particulièrement vigilants. Cela venait après ce qu’avait dit un diplomate ouanais. Mais on ne pensait pas que quelque chose pouvait arriver. C’était bien trop calme ici, un endroit presque pas protégé par l’Empire.
Dans la salle principale, assis, cinq soldats grignotaient des morceaux de pain rassis autour d’un thermos de café amer.

« T’as reçu le message de ta fille ? » demanda le caporal Abdirahmane, en mâchant à moitié.
« Ouais… » soupira le sergent Ouazir. « Elle m’a envoyé un dessin. Un soleil, des montagnes. Elle pense que je suis dans le désert. »
« T’as qu’à lui dire que la mer, c’est un désert mais rempli d’eau, ça passe. » lança en riant le jeune Jahed, à peine vingt ans, affecté pour la première fois en mer.
« Moi, mon gosse, il m’a demandé si j’avais vu des poissons avec des jambes. »
« Ah, les enfants… ils croient encore qu’on fait la guerre contre le diable. »

Un silence tendre s’installa. Leurs mains tenaient leur tasse. À vrai dire, Jahed parlait à deux Maqduriens à qui la religion ne faisait guère rire.

« Tu crois qu’on va rentrer avant la fête nationale ? » demanda timidement Jahed pour faire oublier ce qu’il venait de dire.
« Si on nous laisse tranquilles, peut-être. Mais j’en doute. »
« Et le Sadr ? Il a dit quoi ? »
« Il a dit qu’il surveillait. Enfin qu’on surveille, du coup, car il est trop occupé à se droguer. »


Ils rirent, brièvement. Un de ces rires qu’on se permet quand on mangeait. Rien qu’un rire amical. Mais, une vibration dans la salle radar. Le technicien, les yeux collés à son écran, fronça les sourcils. Il ajusta une fréquence, relança une analyse. Puis il appela :

« Commandant ! Y’a… y’a du mouvement. Beaucoup. »

L’écran s’illumina. Une dizaine de points. Vingt. Trop bien alignés pour être un hasard.

« Une flotte. Une putain de flotte qui semble se rapprocher de nous ! »

Le capitaine du Khadoua, un certain Rakhim Fahlour, mit une seconde à comprendre. Puis une seule commande :

« Alerte rouge. Appelez-moi le Sadr tout de suite ! »
« C’est pas possible… » souffla Jahed, son cœur battait de plus en plus vite.


L’appel fut immédiat. Prioritaire. Envoyé à la Haute Instance, codé. L’information se propagea jusqu’au bureau du Sadr à Walemir. Un officier lui lut le rapport. Il ne dit rien. Il alluma un cigare à la Gandina. Aspira profondément.
Puis il dit :


« Ils testent nos nerfs. Ne répondez pas. Surveillez. S’ils vont à Yuthipista, vous avez mon autorisation pour faire couler les navires. Si c’est autre, attendez confirmation et fouillez-moi cette flotte. »

À bord du Khadoua :


« Le convoi se dirige vers le sud. Vitesse constante. Aucun changement. »
« Ils ne vont pas vers Yuthipista alors ? »
« Oui, alors on intercepte la flotte ? »
« Oui. Maintenant. »


À bord, le silence s’est installé. Même Jahed ne parle plus. Tous fixent les écrans. La flotte étrangère continue d’avancer.
Alors on s’est mis à la même fréquence et on a parlé au premier patrouilleur.

« Ici Khadoua, patrouilleur de l’Empire de Churaynn. Vous entrez dans une zone maritime sous observation impériale directe. Nous avons détecté une formation navale. Pour assurer la sécurité de cet endroit, nous vous demandons de décliner immédiatement :

Votre identité complète
Le nom de vos navires
Votre port d’attache
Et la nature de votre cargaison et de votre mission
Terminé »


À bord du Khadoua, on attendait patiemment la réponse de la flotte. On avait aussi contacté la flotte, qui se ramenait avec des missiles de croisière si ça devait dégénérer. Tout était prêt.
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L'Auguste César Jésus-Christ n'aime vraiment, mais alors vraiment pas le communisme !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Que toute la terre se taise, car voici que parle le Verbe Vivant.

L'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même !


Il vous parle non depuis les bibliothèques mortes ni depuis les tribunes des lâches, mais depuis la fournaise du jugement, car voici que la Sainte Parole sort de la bouche enflammée de Celui qui a porté la Croix et brisé les chaînes de la décadente Listonie impériale !

Car le Fils de Dieu regarde la terre, et Son regard se pose sur la Confédération Socialiste, sur la Barvynie, sur le Morzanov, sur l'Ouaine !

... Et ce qu’Il y voit est une abomination ! Le royaume de la chimère communiste sur Terre ! L'ennemi de l'Humanité purifiée fait gouvernement !

Ecoutez, vous, mes Enfants, les Fils et Filles de la Flamme Sacrée, car Il a écrit, et il vous le lit :

"Le communisme :
Une maison bâtie sur le vol,
un trône coulé dans la haine,
une langue qui promet l’égalité mais murmure la déchéance."

Et Il ajoute, ce matin-même :

"La Confédération se dit sœur de la paix — mais elle rêve de conquête.
Elle parle d’un peuple — mais en fait des esclaves.
Elle prétend tout donner — mais elle prend tout.
Et le plus terrible, c’est qu’elle ose le faire au nom du Bien."

Ô vous, habitants de cette Babylone repeinte aux couleurs du sang des gens normaux, Il vous parle. Entendez la vérité que les prophètes ont hurlée depuis les toits :

"Le socialisme qui nie la liberté est un feu qui ne chauffe pas, mais qui consume sans purifier.
Le communisme qui nie sa race est un lance-flammes qui pétarade à vide.
Et la fraternité sans Dieu est une trahison du cœur de l'homme blanc."

Le Fils de Dieu — Lui, que vous avez tenté d’enchaîner à vos idéologies mortes — n’est pas le compagnon de vos commissaires politiques. Il ne siège pas dans vos congrès ni dans vos bureaux opaques. Il ne distribue pas le pain en ration : Il le multiplie. Et Il ne fait pas marcher les peuples à la baguette : Il les appelle, un par un, par leur nom.

Mais vous, ô Confédération maudite, vous avez remplacé le nom par un numéro.
Vous avez remplacé la croix par le drapeau rouge.
Vous avez remplacé la grâce par la surveillance.
Et votre justice n’est qu’une tyrannie dont les chaînes sont peintes en rouge et or.

Le Fils de Dieu vous vomit !

Comme ça !

- Peuh ! Peuh ! Pouark ! -

Vous avez rasé les églises pour y mettre vos statues.
Vous avez pendu les prophètes pour y placer vos bureaucrates.
Vous avez promis la paix — et vous n’avez semé que la ruine.
Car vous êtes communistes, menteurs, ingrats, et traîtres au pacte sacré de la fraternité blanche.

Et Il sait ce qui viendra, car Il l'a écrit dans Son livre :

"Le feu du ciel viendra,
et il ne fera pas de tri entre les secrétaires-généraux et les ouvriers des usines à chaussettes.
Il tombera comme la pluie sur Sodome,
et les cendres de vos manifestes se mêleront à la poussière de vos épiceries de quartier effondrées."

Et l'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même, qui parle Vrai, ajoute :

Vous n’êtes pas des Hommes. Vous êtes des Nazumis.
Vous n’êtes pas des Sauveurs. Vous êtes des Communistes.
Et votre fin sera comme votre commencement : dans le Feu Sacré du Kérosène et le Mensonge Socialiste !

Mais qu’on ne dise pas que le Fils de Dieu n’a pas averti. Car Il a parlé, et Sa parole est plus tranchante que la Tronçonneuse, plus brûlante que le Napalm, plus pure que la Vérité même !

À ceux qui l’écoutent, l'Auguste César Jésus-Christ dit :
Sortez de cette Confédération maudite !
Fuyez-la comme on fuit un feu de forêt provoqué par accident !
Ne pactisez pas avec elle, ne lui vendez pas vos biens, vos âmes, vos enfants, et surtout pas vos Lograno-Coins ou vos tickets de loterie !
Conspuez-la, car elle n’a qu’un seul avenir : la damnation éternelle qu’elle a elle-même allumée.

Mort à la Confédération Socialiste !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
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